Bécon les Bruyères

Bécon les Bruyères
Bécon sur le Plan de Roussel, 1733: Paris, ses fauxbourgs et ses environs où se trouve le détail des villages, châteaux, grands chemins pavez et autres, des hauteurs, bois, vignes, terres et prez, levez géométriquement, par le Sr Roussel

Bécon les Bruyères est le nom d’un lieu-dit situé dans le département des Hauts-de-Seine regroupant des quartiers de trois communes, en banlieue de Paris : le quartier de Bécon (commune de Courbevoie) et le quartier des Bruyères (communes d’Asnières-sur-Seine et de Bois-Colombes). C'est aussi le nom d'une gare (Gare de Bécon-les-Bruyères) située sur la ligne de Paris-Saint-Lazare à Versailles-Rive-Droite et sur la liaison omnibus de Paris-Saint-Lazare à Nanterre-Université.

Sommaire

Toponymie

Origine du nom

Le nom de Bécon pourrait venir du mot saxon beacon voulant dire phare terrestre[1]. Bécon est une colline qui surplombe Paris et, lorsque les Vikings voulurent l'envahir, c'est à Bécon qu'ils se rassemblaient grâce à leur phare[2].

Une autre hypothèse est qu'un édifice eut été bâti par Charlemagne afin de prévenir les invasions normandes[3].

Utilisation du nom

Le nom « Bécon les Bruyères », créé pour la Gare de Bécon-les-Bruyères, est dû à sa situation entre Bécon côté Courbevoie et, côté Asnières, le lieu-dit Les Bruyères (A rapprocher du chemin des Hautes-Bruyères, ancien nom de la rue de la Sablière). Approximativement inscrit dans le quadrilatère rue Faidherbe (Anciennement chemin royal puis chemin national en 1872), rue de Chanzy, Seine et rue du Cayla. Ainsi, on lit en 1927 cette adresse postale: Vaucher (Charles-Alexandre), Ing.-Elect., 3, rue de l'Avenir. Bécon-les-Bruyères par Courbevoie.

L'appellation « Bécon » est utilisé dans le nom de la station de métro terminus de la ligne 3 : Pont de Levallois - Bécon. Au XIXe siècle, existait encore un chemin de Bécon qui venait d'Asnières, chemin renommé depuis rue d'Anjou et rue de la Station. D'après une carte postale d'époque (La Banlieue parisienne inondée, A. Noyer), la rue de Bécon fut inondée par la Crue de la Seine de 1910.

Histoire

Jusqu'au XVIIIe siècle

Courbevoie et Colombes dépendaient tant des moines de Saint-Denis que des seigneurs laïques, et en furent affranchis en 1248. Le hameau de Bécon figure sur des cartes du XVIIIe siècle, notamment le Plan de Roussel à un emplacement pouvant correspondre à l'actuel parc de Bécon où s'élevait un château. Charlemagne y aurait fait élever une tour pour surveiller la vallée[4]. D'après le registre épiscopal du diocèse de Paris au 8 août 1636, un sieur Pierre Sablé (ou Pierre Sallé), conseiller au Parlement de Paris, en avait fait sa maison de campagne[5],[6]. Richelieu y aurait demeuré, et il n'en restait que peu de choses après la Révolution française.

Vers 1825 ou 1830, alors que la population du hameau ne dépassait pas quelques centaines d'âmes[7], cette villa de plaisance appartenait à Mme de Choiseul. Elle appartint ensuite à la comtesse du Cayla, au comte Orsini, au docteur Guillée[8].

le XIXe siècle

Vue extérieure des ruines du Château de Becon en 1870, Les ruines de Paris et de ses environs, 1870-1871, photographies d'Alphonse J. Liebert, texte d'Alfred d'Aunay Gallica BNF

Adolphe Thiers y demeura en 1855 et y écrivit notamment son Histoire du Consulat et de l'Empire[9].

Il semblerait qu'en 1861, la demeure ait été habitée par une communauté religieuse frappée d'interdit par l'Archevêché de Paris[10], ce qui alla jusqu'à faire l'objet d'un Décret Apostolique le 14 avril 1856.

Par la suite, lors de la Commune de Paris, après une infructueuse attaque de nuit tentée par Louis Ernest de Maud'huy, l'armée, commandée par le colonel Léopold Davout, le prit d'assaut le 17 avril 1871, alors qu'il servait d'avant-poste à 250 fédérés. L'indemnisation des destructions donna lieu en 1873 à la jurisprudence de l'affaire du Château de Bécon[11].

Le château avait été auparavant racheté par le prince Georges Stirbey (ou Ştirbei, fils aîné de Barbu Ştirbei) en 1869, qui y hébergea dans une maison attenante le sculpteur Jean-Baptiste Carpeaux jusqu'à sa mort en 1875[12]. Le château fut encore endommagé en 1943, puis définitivement rasé en 1957.

Toutefois, ce parc héberge actuellement le Musée Roybet Fould : Créé en 1927 par Consuelo Fould, petite fille du banquier Achille Fould qui fut ministre des finances sous Napoléon III, le musée Roybet Fould occupe la villa atelier de la fondatrice, par ailleurs artiste-peintre[13]. Il s’agit de l’ancien pavillon que la Suède-Norvège édifia à Paris pour l'Exposition universelle de 1878, légué à la ville de Courbevoie à charge pour elle d'ouvrir un musée dédié à la mémoire de Ferdinand Roybet[14].

Seconde Guerre mondiale

Le quai et la voie en direction de Versailles en décembre 1943.

À côté d'une importante gare de triage et proche des usines Hispano-Suiza, le quartier a été bombardé pendant la Seconde Guerre mondiale, le 9 septembre 1943, par deux cents projectiles[15] : Maurice Déribéré, habitant du quartier, raconte[16] le 15 septembre 1943 : « On distingue maintenant les croix noires dessinées, ridiculement petites, des forteresses volantes anglo-américaines... L'avenue Séverine est jonchée de pavés... le souterrain qui va sur le côté Asnières est effondré... Pour aller de l'autre côté de la gare, il nous faut passer sur le pont des Couronnes, à demi-coupé par une bombe. »

Un autre témoin, Colette Soulat, explique[17] : « Une bombe était tombée rue Galliéni... Un immeuble de la place de Belgique avait reçu une bombe entrée de biais qui avait tué tous les habitants réfugiés à la cave. Courbevoie ayant de nombreuses usines fournissant du matériel aux Allemands, ces derniers avaient une défense aérienne très au point. » Boulevard Saint-Denis, l'immeuble du 192 (toujours intact) était le plus haut de la région. Côté Seine, grâce à la large vue sur Paris, les Allemands avaient installé une batterie de DCA sur le toit[18].

Le rôle de ces usines est encore confirmé par ce témoignage[19] : « On bombardait dans le pays où j’habitais, à côté de Bécon les Bruyères, à cause des usines Hispano-Suiza. Qu’est-ce que ça pouvait bombarder ! Il n’y avait plus une maison à Bécon, plus rien du tout ! »

Le bilan s'élève à environ 80 morts, 53 maisons et immeubles détruits, ainsi qu'une partie du château et l'usine Guerlain. Des décennies plus tard, des bombes non explosées seront périodiquement déterrées lors de travaux publics.

Vie économique

L'endroit bénéficiant de sa relative proximité avec Paris tout en disposant de bien plus d'espace, il est facile d'y organiser des activités économiques.

Par exemple, en mars 1898, la Société des Agriculteurs de France y organisa un concours de pulvérisateurs et des essais de traitements destinés à combattre les maladies cryptogamiques et les insectes nuisibles[20]. On y trouvera plus tard des usines: Guerlain à partir de 1890[21], Cadum et Schoum en 1926[22], l'usine-modèle du Chocolat Devinck, les camions Berliet, Hispano-Suiza de 1914 à 1997[23], Air Equipement, SKF. Puis en 2009, IBM France y installe son siège national[24].

Retenons la production annuelle de quelques centaines de litres de vin blanc, d'un cru intitulé Château de Bécon [25]

Culture locale et patrimoine

Monuments et lieux touristiques

Parc de Bécon, façade de l'ancienne caserne Charras
  • Au parc de Bécon se trouvent les pavillons de la Scandinavie et des Indes de l'exposition universelle de 1878, inscrits à l'inventaire des monuments historiques en 1987. Le Pavillon indien du Prince de Galles, créé pour l'exposition d’objets de ce pays, est en cours de rénovation depuis 2010[26].
Le bâtiment voyageurs de la gare.
  • La aare de Bécon-les-Bruyères sur la ligne ligne de Paris-Saint-Lazare à Versailles-Rive-Droite fut ouverte en octobre 1891.
  • L'église paroissiale Saint-Maurice-de-Bécon, de style néo-roman, qui remplace une chapelle érigée en paroisse en 1907, fut terminée par Julien Barbier en 1910 avec son orgue d'Aristide Cavaillé-Coll de 1865, provenant de la chapelle palatine de Gerbéviller, acheté en 1909[28] à Charles de Lambertye Tornielle, marquis de Gerbéviller. Elle fut classée monument historique en 1985. Les vitraux sont de Lucien Mette d'après un carton d'Alphonse Hermann.
  • L'Église évangélique de Courbevoie[29].
  • A côté de la gare se trouvait une salle cinéma et de spectacle de 1200 places, le Casino de Bécon, ouvert en 1912 et qui comme tant d'autres fut transformée en supermarché dans les années 70[30].
  • Côté courbevoisien, le marché Lambrecht, aujourd'hui disparu, qui existait autour de 1900[31].
  • L'hospice du Cayla, inauguré par le Ministre de l'Intérieur le 28 mai 1905 (équipé en 1906 de fosses septiques Bezault, une nouveauté à l'époque), au 12 de la rue du même nom[32], où se trouve désormais une école élémentaire: il semble que certains bâtiments originels soient encore debouts[33].
  • Le Pont des Couronnes, au-dessus de la voie ferrée[34], antérieur à 1873[35], reconstruit une première fois en ciment armé vers 1910, puis par la SNCF dans les années 70. C'est le point le plus haut de la ville d'Asnières-sur-Seine (45,24 mètres).
  • La chapelle Saint-Charles[36], construite en 1889, murs en brique et en pierre, charpente métallique, inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel d'Ile-de-France en 1996[37]. Elle est prêtée par l'Eglise Catholique Romaine à la paroisse Saint-Jean de San Francisco, de l'Église orthodoxe de Serbie[38].
  • Du côté bois-colombien, l'ancien Pont des quinze perches (au dessus du raccordement ferroviaire du même nom, dans le prolongement de l'ancien chemin des Quinze-Perches, aujourd'hui avenue Chevreul), élargi par la suite à huit mètres. Il est mentionné dans les Annales de l'Assemblée nationale en 1876 et cité en 1853 par Charles Dickens[39].
  • Du côté asnièrois, se trouve le Square Gilbert Thomain (Anciennement Place des Bruyères), d'une surface de 5 900 m², et du nom (depuis 1936) d'un pilote d'essai, mort en service commandé au camp d'aviation de Romorantin, et Conseiller municipal d'Asnières[40]. Ce square, créé en 1902 puis réaménagé en 1975 et en 1982[41], le sera de nouveau en 2011[42].

Art et littérature

Probablement à cause de la sonorité particulière de son nom, cet endroit représente l'archétype de la petite ville banlieusarde, sans intérêt notable, mais ayant conservé une identité rurale.

  • Le Château de Bécon, par Georges B. Stirbey, illustrations d'Éd. Hubert, Photographies de P. Touchet, imp. Ph. Renouard, 1920[43],[44]. Contient des gravures et photographies de bâtiments disparus.
  • l'écrivain Robert Belleret exprime cette identité particulière dans son roman Les Bruyères de Bécon[45]
  • le film publicitaire de 1927, Les Mystères de Bécon-les-Bruyères de Robert Collard, dit Lortac et Payen. Maurice Chevalier le cite dans sa chanson Ça s'est passé un dimanche : « Mais elle habitait à Bécon-Les-Bruyères, Et lui demeurait à Bercy ».
  • Les Pieds Nickelés le citent à plusieurs reprises.
  • En 1927, Emmanuel Bove publie le roman Bécon-les-Bruyères[46], qui était paru en avant-première dans la revue «Europe» en mai 1927[47]. Il sera aussi publie dans la collection Portrait de la France de Jean-Louis Vaudoyer et recevra un accueil mitigé[48].
  • À titre documentaire, notons aussi Histoire et géographie de Bécon-les-Bruyères, 1931, 12 pages, par René Bonnamy.
  • André Malraux écrit dans La Condition humaine ce jugement aussi inexact qu'injuste : Bécon-les-Bruyères : nom ridicule d'une localité imaginaire de la banlieue parisienne dont les maisons, particulièrement banales, montrent un mauvais goût qui est vraiment incongru en Chine[49].
  • Un monologue comique de Richard, La prise de Bécon-les-Bruyères[50], mis en chanson par G. Bunel et Mario Lud.

Personnalités

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

  1. Definition of beaconA signaling or guiding device, such as a lighthouse, located on a coast. A signal fire, especially one used to warn of an enemy's approach. Old English beacen sign; related to Old Frisian bāken, Old Saxon bōcan, Old High German bouhhan.
  2. Bécon-les-Bruyères, évoque-t-il un lieu à quelqu'un? Le nom viendrait d'un phare (disparu depuis très longtemps) placé le long de la Seine.
  3. Courbevoie: Elements de patrimoine Profitant de la situation élevée du territoire, Charlemagne y fait dresser un phare à l'emplacement du parc de Bécon - lequel tire son nom du mot anglais beacon signifiant balise ou phare.
  4. Parc de Bécon
  5. Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, volume 3, Jean Lebeuf, Adrien Augier, Fernand Auguste Marie Bournon, 1883
  6. Histoire de la presqu'île de Gennevilliers et du mont Valérien, Jean Théoxène Roque de Fillol, Paris 1889
  7. Dictionnaire de géographie sacrée et ecclésiastique, M. Benoist, 1849 La population de Courbevoie est d'environ 1 600 habitants, y compris les hameaux dits le Bas Courbevoie, les Trois Maisons et Bécon. Le terroir est en terres labourables et en vignes.
  8. Courbevoie et ses environs: de leur origine à nos jours, Henri Vuagneux, Lejay fils et Lemoro, Poissy, 1906
  9. Histoire authentique de la Commune de Paris en 1871, Édouard Ferdinand de la Bonninière Beaumont-Vassy, Garnier-Frères, 1871, qui précise: Il y avait entre Courbevoie et Asnières une assez vaste construction moderne, jadis appelée villa Orsini, du nom de son propriétaire, célèbre maintenant sous le nom de château de Bécon. M. Thiers devait la connaître d'autant mieux qu'en 1855 il l'avait habitée durant une saison, et s'y était retiré pour y travailler à son Histoire du Consulat et de l'Empire. Ce château de Bécon servait d'avant-poste et d'observatoire aux bataillons fédérés qui occupaient Asnières ; ils en avaient crénelé les murs, et de plus ils avaient élevé une barricade sur la route, entre cette habitation et Courbevoie.. La Villa Orsini aurait dont abusivement repris le nom de Château de Bécon a cette époque.
  10. A collection of pastoral letters and other official publications relating to , François Nicolas M. Morlot (card, abp. of Paris.), lettre du 12 novembre 1861 au curé de Courbevoieil s'est écoulé trois semaines depuis que j'ai notifié les décisions venues de Rome, aux personnes réunies dans la maison dite de la Trinité, rue de Douai, et à celles qui occupent le château de Bécon, sans que, à l'heure qu'il est, aucune satisfaction ait encore été donnée... La messe, sans aucun doute, d'autres offices aussi, selon toute apparence, ont continué d'y être célébrés au moins jusqu'aux fêtes de la Toussaint inclusivement. Il est vrai que dimanche dernier, 10 novembre, plusieurs des personnes de la maison de la Trinité ont assisté à la messe paroissiale avec les jeunes pensionnaires de l'établissement; mais il paraît plus probable que les autres membres de la Communauté, en bien plus grand nombre, ont entendu la messe dans la chapelle depuis longtemps frappée d'interdit, ou dans un autre lieu de la maison ; que cette messe a été dite et qu'elle continue de l'être par un prêtre qui, malgré les prohibitions expresses du décret apostolique, renouvelées et confirmées en dernier lieu, à son domicile dans l'établissement.
  11. Etude sur la responsabilité des communes dans le droit ancien et moderne, et en particulier sur la loi du 10 vendémiaire an IV, Léon Choppard, 1874 Tribunal de la Seine, 10 décembre 1873, Affaire du château de Becon, Gazette des Tribunaux, 11 décembre 1873
  12. Chrétiens et hommes célèbres au XIXe
  13. [http://www.ville-courbevoie.fr/loisirs/culture/musee/}
  14. museums-of-paris.com : Musée Roybet-Fould
  15. La Brigade de Paris
  16. Bécon 1943 : bombardements www.jeronimot.com
  17. Récit de Colette Soulat, 2006 www.jeronimot.com
  18. Témoignage Mr Lédinger, 1990
  19. Il fallait bien que l’on travaille sous l’Occupation www.parolesdhommesetdefemmes.fr
  20. Journal d'agriculture pratique, Volume 1Moniteur des comices, des propriétaires et des fermiers
  21. La Maison Guerlain... Aimé Guerlain cède la création à son neveu Jacques. Sa première création sera Ambre. L'usine de Colombes ne suffit plus et est de nouveau transférée à Bécon les Bruyères.
  22. Historique SchoumArticle de Mme Coignerai-Devillers sur Courbevoie, fin des années 1970
  23. La cigogne s'envole de Bois-Colombes.L'usine aéronautique Hispano-Suiza quitte la ville.
  24. Le nouveau siège d’IBM France, un bâtiment intelligent en prise avec son environnementDonnant une large place à l’espace et à la lumière, l’ensemble s’articule en campus autour d’un vaste jardin traversé par un plan d’eau et s’intègre dans la dynamique économique et la vie de quartier de la zone de Bécon-Les-Bruyères.
  25. Château de Bécon (vin blanc) Cette modeste production de quatre cents à cinq cents litres de vin blanc par an demeure un témoignage de la viticulture locale, qui s'étendait autrefois sur tout le plateau.
  26. Une nouvelle vie pour le Pavillon des Indes
  27. Ancienne caserne Charras
  28. Amis de l'Orgue Cavaille-Coll de Saint-Maurice de Bécon
  29. Église évangélique de Courbevoie
  30. En activité, fermées ou disparues... hommage aux salles de cinémas ! Reconstruit dans les années 50, le cinéma arbore une nouvelle façade monumentale, alors que sa capacité est réduite à 750 fauteuils. Le Casino de Bécon subit alors le sort commun de tous les établissements n'ayant pas été morcelés, et ferme ses portes vers le milieu des années 70.
  31. http://residencesainteanne.skynetblogs.be/category/1321096/1/Interview+Christiane+Grigny
  32. Les Œuvres de la charité parisienne : liste dressée par l'office central des Œuvres de bienfaisance 175, boulevard Saint Germain Paris, juillet 1900 Asile du Chayla, à Bécon-les-Bruyères, r. du Chayla, 12 : Le mot Cayla vient de l'Occitan Castellum et admet plusieurs orthographes.
  33. Cartes postales anciennes de Courbevoie Bécon-les-Bruyères, Hospice du Cayla
  34. Mémoires en images - Asnières-Sur-Seine, François Martin et Michel Toulet
  35. Memoires de M. le préfet de la Seine et de M. le préfet de police, et procès-verbaux des délibérations, Volume 3, 1873
  36. Chapelle Saint Charles - XIXème siècle - Clocher : Flèche Chapelle relevant primitivement de la paroisse Sainte-Geneviève et aujourd'hui de Saint-Maurice-de-Bécon,
  37. Eglise dit Chapelle Saint-Charles
  38. Paroisse francophone du Diocèse de France et d’Europe Occidentale de l’Eglise Orthodoxe de Serbie
  39. The Household narrative of current events, Charles Dickens, 1853 A fatal accident has taken place on the Versailles Railway. The train which left Versailles at 7 o'clock in the morning, broke a rail between the stations of Courbevoie and Amiens, at a place called the Pont des Quinze Perches.
  40. Square Gilbert Thomain
  41. [http://www.asnieres-sur-seine.fr/content/download/19801/176644/file/D%C3%A9tail%20S%C3%A9rie%20O.pdf Asnières-sur-Seine: Renseignements pratiques
  42. Le square centenaire réaménagé une deuxième fois Le square Gilbert-Thomain, dans le quartier Bécon-Flachat, va subir une cure de jeunesse. Cet espace public d’un demi-hectare qui accueille enfants, adolescents, boulistes et piétons qui transitent vers la gare de Bécon-les-Bruyères, a été créé en 1902 puis réaménagé en 1975.
  43. [1]
  44. [2]
  45. Les bruyères de Bécon
  46. Bécon-les-Bruyères, Emmanuel Bove, aux éditions Émile-Paul frères, réédité en 2009 aux éditions Cent Pages, collection Cosaques
  47. Bécon-les-Bruyères
  48. Bibliographie de la collection Portrait de la France, 1926-1931
  49. Résumé de " La condition humaine " d'André Malraux
  50. Choix de 10 monologues, vers 1907
  51. Dictionnaire des comédiens français, ceux d'hier : biographie, bibliographie, iconographie.... T. 2. E-Z, Henry Lyonnet

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