Évêque de Moray

Évêque de Moray

Évêché de Moray

Birnie, construite en 1140, premier siège de l'évêché.

L'évêque de Moray, ou évêque d'Elgin, était le dirigeant ecclésiastique du diocèse de Moray dans le nord de l'Écosse, l'un des treize évêchés médiévaux de l'Écosse. Si la charte de la fondation du monastère de Scone est fiable, alors l'évêché de Moray existait déjà sous le règne d'Alexandre Ier d'Écosse (1107 - 1124), mais il est certain qu'il existait en 1127 lorsque Gregoir (Gregorius) est mentionné en tant qu'évêque de Moray dans une charte du roi David Ier d'Écosse. L'évêché a son siège (cathedra en latin) à la cathédrale d'Elgin, mais fut plusieurs fois à Birnie et à Kinneddar[1] ainsi qu'au palais de Spynie qui servit de siège fortifié pour plus de 500 ans. Celui-ci ne fut pas nommé comme palais pour la majeure partie de son histoire, puisque le terme apparut pour la première fois dans le registre de Moray sur une ordonnance de 1524[2]. Les liens de l'évêché avec Rome furent rompus, en cessant temporairement après la réforme écossaise puis en persistant entre 1638 et 1661 sous l'Église d'Écosse avant la révolution de 1689 et la fin définitive de l'épiscopat en 1689.

Sommaire

Le siège fortifié : le palais de Spynie

Origine

Les anciens logements du palais de Spynie.

Les premiers évêques de Moray n'avaient pas de demeure définie, mais circulaient entre des maisons à Birnie, Kinneddar et Spynie[1]. En 1172, Guillaume Ier d'Écosse fit un don à l'église de la Sainte Trinité de l'évêché de Moray et à l'évêque Simon de Tosny. Une permission formelle pour déménager de façon permanente à Spynie fut accordée par le pape Innocent III en avril 1206 à l'évêque Bricius de Douglas, et cela fut probablement appliqué vers 1208[3]. L'évêque Bricius assista au quatrième concile œcuménique du Latran en 1215 et peut avoir fait appel à Innocent pour transférer le siège de Moray à Elgin. Il est certain qu'il écrivit à Innocent pour demander le changement avant juillet 1216[1] : la cathédrale de Spynie était considérablement vulnérable aux attaques et éloignée d'un marché, ce qui aurait été résolu par le choix de la ville d'Elgin avec son château royal. Bricius ne vécut pas assez longtemps pour voir les changements, décédant en 1222, mais ils prirent place sous son successeur l'évêque Andrew de Moray[4]. Cependant, même si le siège fut transféré à l'église de la Sainte Trinité à Elgin le 19 juillet 1224, le palais épiscopal de l'évêque de Moray devait rester à Spynie[5].

XIIe et XIIIe siècles

Porte est du palais de Spynie.

Le premier château était une structure en bois construite à la fin du XIIe siècle et fut révélée lors d'excavations menées entre 1986 et 1994[5]. Les preuves mises au jour suggèrent que les bâtiments étaient entourés de fortifications en terre, vraisemblablement un fossé et un talus de forme circulaire. La zone entourée est à peu près la même que celle du mur d'enceinte au XIVe siècle, c'est-à-dire un enclos de 45 à 65 m, ce qui est grand en comparaison des autres fortifications du Moyen-Âge trouvées en Grande-Bretagne. Il est probable que les bâtiments étaient composés de la maison de l'évêque (hall, chambre à coucher et chapelle), une brasserie et une boulangerie[5].

Les bâtiments en pierre sont apparus au XIIIe siècle avec la construction de ce qui est supposé avoir été une chapelle et eut des fenêtres en verres colorés[5]. La première mention écrite du château se trouve dans un document archivé au British Museum : ce manuscrit date du début du XIVe siècle, mais montre qu'il a été rédigé entre 1292 et 1296, et était apparemment destiné à l'usage des administrateurs anglais sous l'occupation de l'Écosse par Édouard Ier d'Angleterre[6],[7]. La première ordonnance émise au château de Spynie fut en 1343 et elle est enregistrée dans le registre de Moray[2].

XIVe et XVe siècles

Illustration de la destruction de la cathédrale d'Elgin. Thomas Allom, 1837.

Les bâtiments en bois restant furent progressivement remplacés par des bâtiments en pierre, cette substitution continuant jusqu'au XIVe siècle quand le premier principal bâtiment du château fut construit. Il s'agissait d'une structure presque rectangulaire construite avec un mur d'enceinte de 7 m de haut. L'entrée principale dans le mur faisait face au sud, et une tour saillant au coin sud-est avait des ouvertures étroites pour les archers.

En juin 1390, Alexander Stewart, Comte de Buchan et connu comme le loup de Badenoch, attaqua et brûla la cathédrale d'Elgin. Son frère, le roi Robert III d'Écosse lui interdit de s'introduire au château en août 1390, pour quelque raison que ce soit[7]. Après la mort de l'évêque Alexander Bur en 1397, le roi, conformément aux habitudes féodales établies lorsqu'un siège était vacant, prit possession du château et désigna le loup de Badenoch comme gardien du château[7]. Après l'élection du nouvel évêque, le roi émit une ordonnance le 3 mai 1398 pour que son frère remette le château et son contenu à l'évêque William sans réclamer de frais[7].

Fin du XVe siècle et XVIe siècle

La tour de David.

L'évêque John de Winchester est considéré comme le responsable du déplacement de la porte principale au mur est qui était pourvu d'une herse solide[7]. Le bon état de conservation de la partie supérieure de la porte permet de voir la loge du gardien dans son ensemble avec une petite cheminée. John, en plus de son poste comme évêque de Moray, était aussi maître des Travaux, c'est-à-dire qu'il était responsable de la construction et de l'entretien des propriétés de la couronne. En tant que tel, il avait été en charge des changements effectués sur les châteaux d'Inverness et de Urquhart ainsi que sur le palais de Linlithgow[5]. Le bel ouvrage de maçonnerie et les lignes de la porte principale peuvent avoir été exécutés par les maître maçons travaillant à la restauration de la cathédrale d'Elgin après sa destruction de 1390[8].

Intérieur de la tour de David, montrant les murs plâtrés et les trous pour insérer l'armature du plancher.

Les bâtiments les plus considérables furent construits entre la fin du XVe siècle et le XVIe siècle lorsque la tour de David, aussi connue comme la tour de Davey, fut bâtie ainsi que d'autres zones importantes de logements. La tour est la plus grande en volume de toutes les tours médiévales d'Écosse, mesurant 19 par 13,5 m et 22 m en hauteur. Elle fut commencée par l'évêque David Stewart et complétée sous William Tulloch[5]. Elle est faite de six étages, avec une mansarde au sommet, et d'un sous-sol voûté à environ 1,5 m sous la cour. Elle contient un donjon circulaire de 5,3 m de diamètre, éclairé seulement par une meurtrière étroite dirigée vers l'ouest, et avec un toit légèrement voûté en forme de dôme[7]. Le hall se trouve au rez-de-chaussé, mesurant 12.8 par 6,7 m et éclairé par de grandes fenêtres ; des sièges en pierre sont taillés dans la masse[7]. Au coin nord-est se trouve un escalier en spirale qui conduit aux étages supérieurs, chacun étant d'une conception similaire avec une pièce de grande taille à partir de laquelle il est possible d'accéder à de plus petites chambres. La tour est simple et manque presque de particularités architecturales. Les murs extérieurs furent initialement crépis tandis que les murs internes était plâtrés[5].

L'évêque David Stewart était aussi responsable pour transformer l'ancien hall de la rangée ouest en cuisines approvisionnant la tour. Il est dit que la construction de la tour s'est faite en réaction à des menaces du comte de Huntly qui fut excommunié par Stewart pour ne pas avoir payé ses taxes[9]. Vers la moitié du XVIe siècle, un jardin clos fut établit au sud de l'enceinte du château pour avoir un verger. Un acte notarié fut signé dans le jardin en 1556, indiquant qu'il était probablement un endroit plaisant pour se détendre[10]. L'alimentation des membres de la maison fut complétée en 1569 avec l'ajout d'une garenne privée et d'un colombier[11]. L'évêque Patrick Hepburn, dernier évêque de l'église catholique romaine à Spynie, fit installer des ouvertures larges pour les canons afin d'améliorer les défenses du château, et il fit agrandir certaines fenêtres[7]. Il continua d'habiter à Spynie pour un temps après la réforme écossaise.

Les armoiries des évêques David Stewart et Patrick Hepburn.

Un agent d'Élisabeth Ire d'Angleterre nommé Ruxby essaya de pousser Marie Ire d'Écosse à un complot avec l'église catholique romaine et il fut emprisonné au château de Spynie en 1566 pendant 18 mois lorsque Patrick Hepburn était évêque [12]. Hepburn se brouilla avec les conseillers de la reine pour offrir le gîte à James Hepburn avec qui il était parent, et ce dernier prit la fuite de Spynie vers les Orcades avant de gagner le Danemark[13],[14]. Dans la politique de pacification faisant suite à l'abdication de la reine Marie, le régent Morton, réuni avec le conseil privé à Perth le 23 février 1573, ordonna que le château soit disponible pour la couronne si nécessaire [15] : « the hous of Spyne salbe randerit and deliverit to oure Soverane Lord and his Regent foirsaid quhen it salbe requirite on XV dayis warning, without prejudice of ony partiis rycht. » (soit « la demeure de Spynie doit se rendre et être délivrée à notre seigneur souverain et à son régent lorsque requis avec un préavis de quinze jours sans porter préjudice aux droits d'un des partis »). Le 29 juillet 1587, le roi Jacques VI donna le château et ses domaines à Alexander Lindsay, 1e seigneur de Spynie, le tout resta entre ses mains jusqu'à ce qu'il les rende à la couronne en décembre 1605[11] . Durant cette période, en 1595, Spynie fut l'un des châteaux à voir l'installation d'une fortification supplémentaire pour se protéger d'une menace éventuelle des espagnols.

XVIIe siècle

Le palais de Spynie vu du sud est.

En 1606, Jacques VI rétablit la dotation de l'évêché de Moray[16]. L'évêque John Guthrie, qui était un royaliste bien connu, cessa d'être évêque en 1638 lorsque tous les évêques furent destitués par l'assemblée générale, ce qui débouchera sur les guerres des évêques. Cependant, Guthrie et sa famille continuèrent de vivre au château de Spynie. Guthrie refusant d'adhérer au mouvement des Covenantaires, il prépara le château pour un siège qui prit place comme prévu en 1640 avec le lieutenant des Covenantaires Sir Robert Monro et ses 800 hommes[17]. Le 16 juillet, Guthrie livra immédiatement le château qui fut désarmé. Guthrie fut autorisé à rester avec sa femme et ses serviteurs et, assigné à résidence, il fut contraint de payer pour l'entretien de la garnison de vingt-quatre hommes[17]. En septembre 1640, sur la base d'accusations douteuses, Guthrie fut emprisonné à Aberdeen et le château fut alors accordé au comte de Moray par Charles Ier d'Angleterre.

Elgin et les terres alentours étaient farouchement anti-royalistes[7] et, après sa victoire contre les covenantaires à Auldearn le 9 mai 1645, James Graham, 1e marquis de Montrose, porta son attention sur Elgin. Le seigneur d'Innes et Grant of Ballindalloch, ainsi que certains habitants d'Elgin, préparèrent le château à faire face à un siège[18]. Montrose occupa Elgin et brûla les maisons des principaux partisans des Covenantaires, ainsi que les fermes appartenant à Spynie, mais ne tenta pas de prendre le château[7]. Spynie était devenu un centre pour les Covenantaires locaux et ceci n'était pas resté inaperçu des royalistes. Le marquis de Huntly commença le siège du château à la fin de 1645 et laissa le commandement à Lord Lewis Gordon, mais les défenses du château tinrent bon jusqu'à ce que Gordon soit relevé par John Middleton[7].

Suite à la restauration de l'épiscopat dans l'église d'Écosse en 1662, la propriété du château revint de nouveau à l'église, mais il commençait à se délabrer. Le parlement accorda à l'évêque Murdo MacKenzie 1 000 £ pour les réparations et ceci permit d'entretenir le bâtiment jusqu'en 1689[19] lorsque le dernier occupant, l'évêque William Hay, fut expulsé après avoir refusé de jurer allégeance à Guillaume III d'Angleterre et la reine Marie[20]. Le palais passa alors entre les mains de la couronne, et les réalisations détaillées en fer ainsi que les sculptures sur bois furent enlevées. Les habitants pillèrent les murs pour s'approvisionner dans leurs propres constructions jusqu'à ce que la couronne mette fin à l'exploitation à la fin du XIXe siècle et instaure une politique d'entretien[5].

Évêques avant la réforme

Articles détaillés : Bricius de Douglas, Andreas de Moravia et Henry de Lichton.
Sceau de l'évêque Bricius de Douglas.

Gregoir de Moray (ou Giric, Gregory) est le premier évêque de Moray attesté. Son nom, ainsi que sa chaire, apparait dans la liste des témoins de deux chartes. La première charte, par Alexandre Ier d'Écosse, définit les pouvoirs juridiques détenus par le prieuré de Scone[21] et mentionne Robert de Scone comme témoin : il pourrait avoir été désigné prieur en 1114, mais est cité en qualité d'évêque[22], qu'il aurait obtenu en 1124, ce qui définit ainsi la période de temps probable. Ceci est renforcé par la mention du nom de évêque Gregoir (sans chaire) sur la charte de la fondation du prieuré de Scone que l'antiquaire Archibald Campbell Lawrie (1837-1914) date de 1120, même si des indices indiquent que la fondation peut remonter jusqu'à 1114[23]. Gregoir, évêque de Moray, est le candidat le plus probable pour l'évêque Gregoir de la charte car il est chronologiquement le plus proche Gregoir connu, et puisqu'il fut témoin explicitement d'une charte ultérieure liée à Scone. Enfin, la seconde charte est datée de 1128 et il s'agit d'une confirmation par David Ier d'Écosse des droits détenus par l'église de Dunfermline[24].

Sceau de l'évêque Andreas de Moravia.

William, successeur de Gregoir, apparaît pour la première fois en 1152-1153, vers la fin du règne de David Ier (1124-1153), en sa qualité de témoin du don du roi de l'église de Clackmannan à l'abbé de Cambuskenneth. À ce moment, il est déjà évêque de Moray et la date de son accession à l'office n'est donc pas connue : elle peut remonter jusqu'à 1128, dernière date où est apparue mention de son prédécesseur. William fut ensuite témoin d'une charte de Malcolm IV d'Écosse à une date après le 19 décembre 1154, lorsque Christian de Whithorn fut consacré évêque de Galloway. William fut témoin pour d'autres chartes de Malcolm IV, ainsi qu'une charte de Herbert of Selkirk, évêque de Glasgow et d'Ernald, évêque de St Andrews. Ce dernier désigne William comme « évêque de Moray et légat du siège apostolique ». L'évêque William s'était rendu à Rome en 1159 sur la demande de Malcolm IV pour se plaindre des activités de l'archevêque d'York, et en était revenu comme légat du Pape. C'est aussi en tant que légat du pape qu'il réalisa la consécration d'Ernald de St Andrews le 20 novembre 1160. William décéda le 24 janvier 1162 et le diocèse de Moray était toujours vacant en 1164, avant que son successeur Felix n'apparaisse dans les registres entre 1166 et 1171. Felix renonça à l'évêché ou, plus probablement, décéda en 1170 ou 1171 puisque son successeur Simon de Tosny fut élu en 1171. Ce dernier était à l'origine un moine de l'abbaye de Melrose qui devint abbé de Coggeshall dans l'Essex, avant d'abandonner ce poste en 1168 et de retourner à Melrose pour être finalement élu évêque de Moray en 1171 et consacré à St Andrews le 23 janvier 1172. Il fut témoin pour plusieurs chartes, fut présent au Conseil de Northampton en 1176 et fut le premier évêque nommé sur la liste des évêques du registre de Moray. Il décéda le 17 septembre 1184.

Le successeur de Simon fut Bricius de Douglas, un des cinq fils du seigneur de Douglas qui fit carrière dans le diocèse de Morray comme quatre de ses frères. Il devint évêque de Moray en 1203 et, le 7 avril 1206, reçu l'autorisation papale pour déplacer le siège de la chaire de Moray de Birnie à Spynie, ce qui fut probablement terminé en juin 1208. Bricius était l'un des plus importants ecclésiastiques de son époque, et ainsi il fut désigné pour arbitrer une dispute entre deux importants propriétaires fonciers du sud-est alors que l'évêché de Moray est au nord de l'Écosse. Il fut l'un des trois évêques écossais à prendre part au quatrième concile œcuménique du Latran et fit partie de la délégation visant à demander au pape de lever l'excommunication qui frappait le royaume d'Écosse. Cependant, son épiscopat fut entaché par des accusations de malversation, surtaxant ses ouailles et réalisant des actes purement en l'échange d'argent, l'ensemble étant dépensé pour s'attacher les services de femmes. À sa mort en 1222, Andreas de Moravia lui succéda, qui fut consacré entre le 12 mai 1223 et le 10 avril 1224. Andreas demanda le déplacement du siège de l'évêché de Spynie à Elgin, en reçut la permission du pape le 10 avril 1224, posa la première pierre le 1224 et le bâtiment fut complété peu après 1242. Décédant à la fin de 1242, il fut enterré au côté du chœur, sous une grande pierre en marbre bleu[25]. Son successeur fut Simon, pour lequel l'historien Donald Watt a déduit par l'extrapolation de faits indirects que le nom était de Gunby[26]. Simon était doyen de Moray en 1230 puis fut élu évêque de Moray. Un mandat papal du 3 mars 1244, d'Innocent IV, autorisa Gilbert de Moravia, évêque de Caithness, et Martin, clerc de la chambre apostolique à enquêter sur la légalité de l'élection et, si elle était jugée conforme, à consacrer Simon. L'enquête fut apparemment réussie pour Simon, puisqu'il resta évêque jusqu'à sa mort en 1251.

Évêques protestants

Références

  1. a , b  et c Registrum Episcopatus Moraviensis.
  2. a  et b Registrum Moraviense.
  3. (en)G. Donaldson - The Foundation of Elgin Cathedral, dans Elgin Cathedral and Diocese of Moray, Inverness, édité par A. Maclean, 1974.
  4. (en) R. Fawcett - Elgin Cathedral, Edinburgh, 1991.
  5. a , b , c , d , e , f , g  et h (en) Pringle Lewis - Spynie Palace and the Bishops of Moray, Edinburgh, 2002.
  6. (en) W. F. Skene (éditeur) - Chronicles of the Picts and Scots, Edinburgh, pages 214 - 215, 1867.
  7. a , b , c , d , e , f , g , h , i , j  et k (en) W. D. Simpson - The Palace of the Bishops of Moray at Spynie, Elgin, 1927.
  8. (en) Ross MacGibbon - Castellated and Domestic Architecture of Scotland, Edinburgh, 1887.
  9. (en) W. Rhind - Sketches of the Past and Present State of Moray, 1839.
  10. (en) Sir William Fraser - The Chiefs of Grant, volume 3, page 124.
  11. a  et b Registrum Magni Sigilli, 1546—80, No. 1907.
  12. (en) J. Stevenson (éditeur) - Claude Nau's History of Mary Stuart, page 27.
  13. (en) Registre du conseil privé d'Écosse (Register of the Privy Council of Scotland), volume 1, page 531.
  14. (en) Joseph Stevenson - Illustrations of the Reign of Queen Mary, page 217, 1837.
  15. (en) Registre du conseil privé d'Écosse, volume II, page 195.
  16. Miscellany of the Spalding Club, Vol. II, Introduction, p. xlviii.
  17. a  et b (en)George Buchanan - The History of Scotland, volume III, 1856, page 551.
  18. (en) J. Spalding - Memorials of the Troubles in Scotland and England 1624 - 1645, Aberdeen, 1850-1, volume II, page 447.
  19. (en) Acts of the Parliament of Scotland, volume VII, pages 409-410.
  20. (en) A. MacLean (éditeur) - Elgin Cathedral and Diocese of Moray, Inverness, 1974, pages 8-9.
  21. (en) Sir Archibald Lawrie - Early Scottish Charters Prior to A.D. 1153, Glasgow, 1905. Charte no. XLIX, pages 43-44.
  22. (en) John Dowden - The Bishops of Scotland, Glasgow, 1912, édité par J. Maitland Thomson, page 144.
  23. (en) Kenneth Veitch - Replanting Paradise:Alexander I and the Reform of Religious Life in Scotland, The Innes Review, volume 52, automne 2001, pages 136–166.
  24. (en) Sir Archibald Lawrie - Early Scottish Charters Prior to A.D. 1153, Glasgow, 1905. Charte no. LXXIV, pages 61-63, avec la liste des témoins en page 63.
  25. (en) Robert Keith - An Historical Catalogue of the Scottish Bishops: Down to the Year 1688, London, 1924, page 138.
  26. Donald Watt - Fasti Ecclesiae Scotinanae Medii Aevi ad annum 1638, seconde ébauche, St Andrews, 1969.

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