- Yamaha XTZ 750 Super Tenere
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Yamaha XTZ 750 Super Ténéré
Yamaha 750 XTZ Super Ténéré 
Constructeur : YamahaDates de production 1989 - 1997 Moteur(s) bicylindre en ligne, 4 temps refroidissement liquide Distribution 2 act, 5 soupapes par cylindre Cylindrée (alésage x course) 749 cm³ (87 x 63 mm) Puissance 70 ch à 7 500 tr/mn Couple 6,8 mkg à 6 750 tr/mn Alimentation 2 carburateurs Mikuni ∅ 38 mm Embrayage multidisque en bain d'huile Boîte de vitesses à 5 rapports Transmission par chaîne Cadre double berceau Suspension avant (débattement) fourche télescopique Suspension arrière (débattement) monoamortisseur (215 mm) Frein avant 2 disques ∅ 245 mm, étriers 2 pistons Frein arrière 1 disque ∅ 245 mm, étrier 2 piston Empattement 1 505 mm Hauteur de selle 865 mm Poids à sec 189 kg Réservoir (réserve) 26 ℓ Vitesse maximale 190 km/h Prix à sa sortie 6 860 € La XTZ 750 Super Ténéré est un modèle de motocyclette du constructeur japonais Yamaha.
Son nom provient de l'historique de la marque : elle appartient à la lignée des XT, débutée avec la légendaire Yamaha XT 500 et reprend le nom du désert touareg déjà porté par le 600 monocylindre de la marque.
L'image commerciale est, bien entendu, les rallyes, notamment le Paris-Dakar. Ces "gros trails" sont aussi capables de rouler hors bitume, mais il vaut mieux se contenter des chemins et pistes, vu le poids de l'engin (189 kg à vide). Une consommation de 8 l/100 km amène une autonomie dépassant les 300 km (26l de réservoir dont 5 de réserve).
Elle est importée en France à partir d'avril 1989, disponible d'abord en bleu/blanc et rouge/orange/blanc. Une couleur noire complètera l'offre en décembre 1989.
Une édition spéciale Stéphane Peterhansel, non-numérotée, a vue le jour en 1992 avec la couleur bleue du team Yamaha.
Jusqu'en 1998, elle évoluera peu : amélioration du freinage et des repose-pieds passager en 1992 sont les modifications les plus sensibles.Son bicylindre est architecturé comme un demi-FZ et possède aussi les caractéristiques 5 soupapes par cylindre. Le calage est à 360°, soit plus simplement il y a une explosion à chaque tour moteur (équivalent à un monocylindre deux temps), alternativement le cylindre droit puis le gauche.[1]
Les concurrentes de l'époque sont la Honda Africa Twin, mais avec une puissance et une vitesse de pointe moindres, la Cagiva 900 Elefant, qui innovait sur ce type de moto avec l'injection électronique et la Suzuki 750/800 DR (mono-cylindre).
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