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Terrorisme en France
Le terrorisme en France désigne l'ensemble des activités terroristes sur le territoire national français ou contre des citoyens français. Il présente des spécificités liées à l'histoire et la situation politique française, et a conduit à la création d'une législation particulière et à un ensemble de moyens de lutte antiterroriste.
Le terrorisme en France à partir de la fin du XIXe siècle
Articles détaillés : Propagande par le fait et La Cagoule.Le terrorisme en France après la Seconde guerre mondiale
Terrorisme d'extrême droite
Entre la fin des années 1950 et le début des années 1980, la France fut secouée par des attentats imputables à l'extrême droite. D'abord motivé par les événements algériens (OAS, Commando Delta), ce terrorisme produit après la fin de la guerre d'Algérie des attentats anti-immigrés et anti-gauchistes principalement, mais aussi antisémites. Ces vagues d'attentats furent marqués par l'attentat revendiqué par le Groupe Charles-Martel contre le consulat algérien à Marseille qui fit 4 morts et une vingtaine de blessés.
Un terrorisme plus "militant", dirigé contre les Etats-Unis et l'URSS, était, dans les années 70, le fait de groupes solidaristes tel les Groupe Action Jeunesse.
Plus récemment, la Fraction nationaliste armée révolutionnaire, qui a revendiquée la destruction par des bombes de plusieurs radars routiers, semble proche des théories nationalistes révolutionnaires.
Une des spécificités du terrorisme d'extrême droite est l'absence de revendications pour nombre d'attentat qui lui sont imputés. Les pratiques terroristes de l'extrême droite en France semblent aujourd'hui s'inspirer du modèle Combat 18, un groupe néo-nazi anglais, c'est-à-dire poursuivant une lutte leaderless (sans leader), de manière individuelle.
Terrorisme d'extrême-gauche
Article détaillé : Années de plomb (Europe).Dans les années 1970 et 1980, la France, l'Europe (en particulier l'Italie et la Belgique) et l'OTAN sont exposés à des attentats de groupes d'extrême-gauche, appartenant au mouvement autonome et de structures clandestines issus du maoïsme entre autres. La France subit les attentats d'Action directe de 1979 à 1987, marqués par les assassinats de l'ingénieur-général René Audran en 1985 et du PDG de Renault Georges Besse en 1986. Cependant, ce dernier attentat a pu être attribué à l'Iran, dans le cadre du contentieux nucléaire Eurodif.
En 2008 un groupe suspecté d'avoir saboté plusieurs lignes de TGV dans toute la France, occasionnant une paralysie du trafic, est interpellé (dont Julien Coupat). La qualification de « terrorisme » fait l'objet de polémiques dans cette affaire, tandis qu'à part Coupat, tous les prévenus sont progressivement libérés après plusieurs mois de détention. Coupat a été libéré fin mai 2009, mais reste mis en examen, et sera jugé devant un tribunal antiterroriste.
Conflits régionaux ou externes ayant affecté la France
Régionalisme corse
Articles connexes : Nationalisme corse et Liste des actions terroristes attribuées ou revendiquées par le FLNC.Le terrorisme lié au mouvement nationaliste corse est un phénomène récurrent pour l'Etat français depuis les années 1970. Chaque année plus d'une centaine d'attentats sont recensés sur l'île, même si tous ne sont pas à but politique. Le mouvement clandestin le plus structuré est le Front de libération nationale de la Corse, scindé aujourd'hui en plusieurs branches, dont une liste des actions terroriste est présentée dans l'article Liste des actions terroristes attribuées ou revendiquées par le FLNC. Si la plupart des attentats, perpétrés en pleine nuit, ont pour but des cibles matérielles, plusieurs actions mortelles ont été commises. Le sommet de ces attentats fut en 1998 l'assassinat de Claude Érignac.
Le conflit basque: ETA , GAL et BVE
Les indépendantistes basque de l'ETA livrent une lutte pour l'indépendance du Pays basque. S'ils se livrent essentiellement à des attentats en Espagne, le quart sud-ouest de la France est largement utilisé comme base arrière par l'organisation terroriste. Quelques attentats de l'ETA ont été signalés en France, comme le meurtre de deux gardes civils espagnols à Capbreton en 2007.
L'assassinat de Pierre Goldman en 1979, revendiqué par Honneur de la Police, groupe inconnu, a sans doute été organisé par une organisation précédant les Groupes antiterroristes de libération (GAL), dirigés par Madrid.
Le Pays basque français a été plus généralement marqué dans les années 1980 par les attentats du mouvement Iparretarrak. Aujourd'hui quelques attentats de Irrintzi secouent sporadiquement ce territoire.
Régionalisme breton
Article connexe : Nationalisme breton.Des années 1970 au début des années 2000, la Bretagne a connu le terrorisme de l'ARB, limité généralement à des dégâts matériels.
Indépendantisme néo-calédonien
Dans les années 1980, la Nouvelle-Calédonie était dans une situation quasi-insurrectionnelle avec des affrontements meurtriers entre groupes canaques et caldoches. L'événement le plus retentissant fut la prise d'otages d'Ouvéa en 1988.
Indépendantisme aux Caraïbes
Entre 1981 et 1987 la Guyane, la Martinique et la Guadeloupe ont subi les attentats de l'Alliance Révolutionnaire caraïbe, du Groupe du 22 mai 1848, de Yich Telga et du Groupe de Libération armée. On dénombre entre 200 et 250 d'attentats, voire plus, causant de nombreux morts et dégâts matériels. [1]
Guerre civile en Algérie
Article détaillé : Guerre civile algérienne.Après l'annulation des élections de 1991, remportées par le Front islamique du salut (FIS), par les militaires, l'Algérie s'est enlisé dans une guerre civile marquée par une violence extrême et de nombreux attentats. Le conflit est marqué par une extrême complexité, et il est difficile d'attribuer avec certitude les auteurs de nombre d'attentats, les militaires ayant joué un rôle particulièrement trouble.
Du fait des relations proches entre la France et l'Algérie, ce conflit s'est exporté sur le territoire français, officiellement via les Groupe islamique armé (GIA). Les principaux actes terroristes officiellement attribués à ces groupes sur le territoire français sont le détournement du vol AF 8969 en 1994, la vague d'attentats commis en France en 1995, dont celui du RER B à la station Saint-Michel, ainsi que celui du RER B à la station Port-Royal en 1996. Cependant, on soupçonne aussi le Département du Renseignement et de la Sécurité algérien d'avoir commandité ces attentats, en ayant notamment retourné Djamel Zitouni, le chef du GIA. Le motif invoqué aurait été de forcer la France à aider les militaires dans la lutte contre le GIA et de bloquer le processus de retour à la démocratie préparé par la Communauté de Sant'Egidio en 1994 [2].
Terrorisme arménien
En juillet 1983, une bombe explose à l'aéroport d'Orly, placée par l'ASALA, une organisation arménienne, laïque, qui fait huit morts. De 1975 à 1984, l'ASALA a été responsable de 57 « incidents terroristes » en France, dont 45 ont eu lieu après 1980 (dont la prise du consulat turc à Paris en 1981) [3].
Conflits israélo-palestinien et libanais
Dans les années 1980, la France est la cible d'actions terroriste en provenance du Moyen-Orient, Liban et Palestine principalement, par les groupes d'Abou Nidal, de Carlos, ou liés au Hezbollah.
Terrorisme islamiste
Article détaillé : terrorisme islamiste.Depuis les attentats du 11 septembre 2001, la France doit faire face, comme d'autre pays, à une menace plus diffuse et qui n'émane plus d'États bien identifiées. Il s'agit d'actions terroristes en relation avec la présence militaire occidentale au Moyen-Orient par des groupes dont le plus connu est Al-Qaida[réf. nécessaire].
Le Gang de Roubaix, constitué d'anciens combattants bosniaques, tente après une série de braquages sanglants un attentat à la voiture piégée qui échoue, en 1996. Ils sont arrêtés peu de temps après.
Activité terroriste de l'État français
Activité terroriste extra-territoriale
Des citoyens français sont également victimes d'activités terroristes en dehors du territoire national, comme par exemple des prises d'otages ou des attentats, ce qui conduit parfois la France à intervenir diplomatiquement dans les négociations ou directement par une participation active de ses groupes d'interventions, mais aussi juridiquement par des investigations menées par ses juges d'instructions qui conduisent à des jugements en France des responsables terroristes ayant participé à des actes terroristes dont des citoyens français ont été victimes.
Voir par exemple : Vol 772 UTA (1989) ou l'attentat du 8 mai 2002 à Karachi (Pakistan) tuant 14 personnes, dont 11 ingénieurs de la Direction des constructions navales (DCN), peut-être liée à une affaire de pots-de-vins dans le cadre d'une vente, en 1994, de trois sous-marins Agosta (pour 825 millions d'euros [4]) au Pakistan [5],[6],[7],[8]. On a d'abord désigné Al Qaida comme responsable probable de l'attentat de Karachi, mais au printemps 2009, les juges chargés de l'affaire ont évoqué la possibilité d'un attentat lié au non-versement de commissions promises lors de l'achat des sous-marins. A l'époque, les commissions versées dans le cadre de la vente d'armes étaient légales, et pouvaient être défiscalisées à condition d'être déclarées au Ministre du Budget, qui était alors Nicolas Sarkozy (de 1993 à 1995). Suite à l'élection à la présidence de Jacques Chirac, celui-ci aurait demandé à son Ministre de la Défense, Charles Millon, d'examiner tous les contrats en cours et d'annuler ceux pouvant donner lieu à des rétrocommissions [4],[9].
Terrorisme divers
- Le groupe terroriste AZF
- Le « Front révolutionnaire afghan », organisation inconnue qui a revendiqué le fait d'avoir mis des bâtons de dynamite, sans détonateur, aux magasins Printemps, à Paris, en décembre 1998.
- Le Front de libération des animaux
Liste des groupes armés agissant ou ayant agi en France
Article détaillé : Liste des groupes terroristes agissant ou ayant agi en France.Législation contre le terrorisme
Confrontée plusieurs fois à des vagues de terrorisme, la France a fait évoluer sa législation, à travers les lois de 1986, 1996 et 2006[10]. Selon Human Rights Watch la justice française utilise le délit «association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste» [11] pour conserver abusivement en détention provisoire de nombreux suspects.
Après la vague d'attentats de 1986, le gouvernement Chirac suspend tous les accords de dispense du visa d'entrée et rétablit l’obligation du visa d’entrée pour les ressortissants de la totalité des Etats du monde, à l’exception de ceux de la Communauté européenne, de la Suisse, du Liechtenstein, de Monaco, de Saint-Marin et du Saint-Siège. L'accord européen sur le régime de circulation des personnes entre les pays membres du Conseil de l'Europe et celui relatif à la suppression du visa pour les réfugiés sont suspendus par la France. Outre le visa d'entrée, la France impose, via une circulaire non publiée du 28 novembre 1986, un visa de sortie que les étrangers résidant en France doivent demander pour voyager. Le Gisti (Groupe d'information et de soutien aux travailleurs immigrés) attaque en justice cette circulaire, et gagne au bout de six ans de procédures, le 22 mai 1992, devant le Conseil d'Etat [12].
Plan Vigipirate
Article détaillé : plan Vigipirate.Juges spécialisés
Article détaillé : juge antiterroriste.Des magistrats spécialisés sont chargés de coordonner les différents services de police. Il y en a huit en 2008.
Forces antiterroristes
La France s'est dotée de cellules spécialisées dans l'étude de la criminalité terroriste, visant à une coopération accrue entre le juge d'instruction et les groupes d'enquêteurs de la police judiciaire, en collaboration avec les services de renseignements intérieures et extérieurs. Elle dispose également de groupes d'intervention spécialisés, comme le GIGN, le RAID, les GIPN ainsi que les PI2G.
Coopération internationale
Articles détaillés : Coopération policière internationale et Coopération policière et judiciaire en matière pénale.Les efforts de lutte contre le terrorisme ont amené les pays cibles à coordonner leurs actions, que ce soit de manière bilatérale ou multilatérale. Si de tels efforts remontent à la fin du XIXe siècle (Conférence internationale de Rome pour la défense sociale contre les anarchistes de 1898), ils ont été renforcé d'abord avec la création d'Interpol, puis avec une série de groupes informels à partir des années 1970 (TREVI, Club de Berne, etc.), qui ont précédé la création d'Europol et la coopération policière et judiciaire en matière pénale menée dans le cadre du Traité de Maastricht.
En Europe a été créé le SITCEN, ou Situation Center, en 2005, chargé d'analyser la menace commune contre l'Europe.
Associations
Il existe des associations de victimes du terrorisme. Leurs buts sont d'obtenir des poursuites judiciaires contre les auteurs d'attentats et leurs réseaux de soutien, ainsi que d'obtenir une indemnisation des victimes d'actes de terrorisme. On peut citer l'association SOS Attentats aujourd'hui dissoute et l'Association française des victimes du terrorisme - AfVT[13], membre du Réseau européen des victimes du Terrorisme, qui a pris la relève.
Chronologie des actes terroristes en France
- 24 décembre 1800 : attentat de la rue Saint-Nicaise contre Napoléon Bonaparte.
- 28 juillet 1835 : attentat du boulevard du Temple contre Louis Philippe, perpétré par Giuseppe Fieschi. S'il rate sa cible, il fait 19 morts et 42 blessés.
- 14 janvier 1858 : tentative d'assassinat contre Napoléon III par Felice Orsini.
- 9 décembre 1893 : l'anarchiste Auguste Vaillant jette une bombe à la Chambre des députés pour venger Ravachol. La bombe fait une cinquantaine de blessés (dont Vaillant).
- 1894 : procès des Trente et vote de la troisième loi scélérate.
- 24 juin 1894 : assassinat du président de la République Sadi Carnot, à Lyon, par l'anarchiste italien Santo Jeronimo Caserio.
- 1898: Conférence internationale de Rome pour la défense sociale contre les anarchistes
- 9 octobre 1934 : assassinat à Marseille du ministre Louis Barthou et du roi Alexandre Ier de Yougoslavie. Planifié par les Oustachis croates, l'assassinat fut exécuté par l'Organisation révolutionnaire intérieure macédonienne.
- 13 février 1936 : tentative d'assassinat du président du Conseil Léon Blum, organisée par La Cagoule, groupe d'extrême-droite.
- 23 janvier 1937 : assassinat par La Cagoule de l'économiste soviétique Dimitri Navachine.
- 9 juin 1937 : assassinat des frères Carlo et Nello Rosselli, antifascistes italiens, à Bagnoles-de-l'Orne, par la Cagoule.
- 11 septembre 1937 : attentats à la bombe contre la Confédération générale du patronat français et l'Union des industries métallurgiques, à Paris, perpétrés par la Cagoule. Deux morts.
- 5 septembre 1951 : attentat à la Banque commerciale pour l'Europe du Nord à Paris.
- 6 septembre 1951 : attentat à la Banque Worms.
- 31 octobre 1957 : attentat manqué contre le sénateur d'Alger Henri Borgeaud à Paris.
- 17 novembre 1957 : mitraillage dans un marché de Livry-Gargan par des indépendantistes algériens.
- 5 février 1958 : explosion d'une bombe au Palais Bourbon (le groupe Jeune Nation est suspecté).
- 6 janvier 1961 : six attentats de l'OAS à Paris.
- 4 avril 1961 : bombe à la Bourse (14 blessés).
- janvier 1962 : série d'attentats de l'OAS.
- 15 février 1962 : 11 attentats de l'OAS à Paris.
- 18 février 1962 : tentative d'assassinat de Yves Le Tac par l'OAS.
- 10 mars 1962 : voiture piégée à Issy-les-Moulinaux (3 morts, 50 blessés).
- 28 mars 1962 : 15 attentats à la bombe dans Paris.
- 29 mars 1962 : 15 nouveaux attentats dans Paris.
- 22 août 1962 : attentat du Petit-Clamart contre le général de Gaulle. Organisé par l'OAS.
- 28 octobre 1968 : l'extrême-droite fait exploser une librairie maoïste rue Gît-le-Coeur à Paris.
- 8 décembre 1968 : attentats contre Renault et plusieurs banques dans Paris.
- 26 avril 1970 : attentats visant les locaux des journaux La Nation et Le Parisien libéré.
- 14 mai 1971 : attentat au journal Minute.
- 22 juin 1972 : attentat à la station Invalides (8 blessés).
- 4 octobre 1972 : attentat à la librairie Palestine (Paris), faussement revendiqué par le groupe juif Massada, en fait un attentat raciste.
- 8 décembre 1972 : attentat du Mossad (service de renseignement israélien) à Paris contre Mahmoud Hamchari, qui meurt le 10 janvier 1973.
- 9 janvier 1973 : bombe à l'Agence juive à Paris.
- 5 septembre 1973 : prise d'otages à l'ambassade d'Arabie Saoudite par un commando palestinien.
- 14 décembre 1973 : attentat devant le consulat algérien à Marseille, organisé par le groupe Charles Martel (4 morts, 20 blessés).
- 22 mars 1974 : attentats contre les voies ferrées française menant à l'Espagne par les Groupes d'action révolutionnaire internationalistes
- 3 août 1974 : voitures piégées contre L'Aurore, Minute et L'Arche par des palestiniens [réf. nécessaire].
- 15 septembre 1974 : attentat à la grenade au drugstore Saint Germain des Prés à Paris, revendiqué par Carlos (2 morts, 34 blessés).
- 19 décembre 1974 : assassinat du colonel Ramon Trabal (revendiqué par les Brigades internationales Raul Sendic).
- 13 janvier 1975 : attaque à la roquette d'un commando palestinien mené par Carlos contre El Al à l'aéroport d'Orly (3 blessés).
- 19 janvier 1975 : attaque d'un commando palestinien à l'aéroport d'Orly contre un avion israëlien (20 blessés).
- 5 février 1975 : attentat au journal Minute.
- 2 mars 1975 : double attentat à l'explosif contre les bureaux de Toulouse et Lyon de la compagnie Air Algérie, revendiqué par le groupe Charles Martel.
- 9 mars 1975 : bombe à la gare de l'Est (1 mort, 6 blessés).
- 10 avril 1975 : une voiture piégée explose devant le consulat d'Algérie à Paris, attentat revendiqué par le groupe Charles Martel.
- 13 juin 1975 : attentats contre le secrétaire général de Force ouvrière et, par erreur, contre l'homonyme du rédacteur en chef du journal Le Parisien libéré, Bernard Cabannes, qui est tué.
- 17 septembre 1975 : bombes dans trois succursales de banques espagnoles.
- 8 octobre 1975 : tentative d'assassinat de Bartolome Valle, attaché militaire à l'ambassade espagnole (revendiqué par les Brigades internationales Juan Paredes Manot).
- 24 octobre 1975 : l'ambassadeur de Turquie, Ismail Erez, et son chauffeur sont abattus par l'ASALA.
- 4 décembre 1975 : double attentats au journal L'Express.
- 10 décembre 1975 : attentat à l'ambassade portugaise.
- 22 février 1976 : attentat à l'Office de tourisme algérien (revendiqué par le Front de libération unifié de la nouvelle Algérie).
- 11 mai 1976 : Joaquim Anaya, ambassadeur de Bolivie (revendiqué par les Brigades internationaless Che Guevara).
- 27 mai 1976 : bombe à la maison de la culture arménienne (1 mort).
- 2 juin 1976 : attentat à la bonbonne de gaz à Paris (4 morts).
- 2 novembre 1976 : tentative contre Homayoun Keykavoussi, attaché culturel de l'ambassade iranienne (revendiqué par les Brigades internationales Reza Rezayi).
- 2 novembre 1976 : attentat contre Jean-Marie Le Pen (5 blessés).
- 3 février 1977 : attentat contre la Librairie palestinienne à Paris, revendiqué par les Sections phalangistes de sécurité (extrême droite).
- 23 mars 1977 : assassinat de Jean-Antoine Tramoni, le meurtrier de Pierre Overney, par les Noyaux armés pour l'autonomie populaire.
- 12 avril 1977 : bombes dans les locaux de deux sociétés franco-soviétiques à Paris, revendiqué par le Front d'action pour la libération des Pays baltes.
- 7 juillet 1977 : tentative contre l'ambassadeur de Mauritanie (revendiqué par les Brigades internationales Mustapha El Wali Sayed).
- 8 juillet 1977 : bombe au domicile de Marcel Boiteux, directeur général d'EDF, revendiqué par le Comité d'action contre les crapules atomiques.
- 20 août 1977 : trois attentats à Châlon-sur-Marne contre le consulat italien, le Parti socialiste et le Parti communiste français, revendiqués par les Comités d'action fasciste.
- 2 décembre 1977 : meurtre du gardien de l'Amicale des Algériens en Europe par les Commando Delta.
- 4 décembre 1977 : attentat dans un hôtel de travailleurs algériens à Marange-Silvance, revendiqué par les Commando Delta.
- 19 décembre : attentat au magasin Fauchon à Paris.
- 25 décembre 1977 : bombe au cabaret Raspoutine à Paris.
- 10 janvier 1978 : attentat contre un foyer Sonacotra à Nice, revendiqué par le groupe Charles Martel.
- 18 mars 1978: assassinat à la voiture piégée du politique d'extrême-droite François Duprat, près de Caudebec-en-Caux.
- 4 mai 1978: assassinat du militant anticolonialiste Henri Curiel à Paris par les Commando Delta.
- 20 mai 1978 : tentative d'attentat contre la compagnie El Al à Orly.
- 11 juin 1978 : attentat contre le Club Méditerranée à Paris, revendiqué par le Front de la libération nationale française (1 blessé).
- 26 juin 1978 : attentat à la bombe au château de Versailles, revendiqué par l'Armée républicaine bretonne.
- 16 juillet 1978 : bombe au domicile de Jean Dutourd.
- 31 août 1978 : attentat au domicile de Yves Mourousi, revendiqué par la section franco-arabe du front du Refus (10 blessés).
- 2 décembre 1978 : bombe au Bazar de l'Hôtel de Ville (1 mort, 17 blessés).
- 25 mars 1979 : quatre attentats contre des commissariats parisiens, revendiqués par le Groupe d’Offensive pour la Radicalisation des Luttes, lié au mouvement autonome.
- 27 mars 1979 : bombe contre un foyer d'étudiants juifs à Paris, revendiqué par le Collectif autonome d'intervention contre la présence sioniste en France et la paix israëlo-egyptienne (33 blessés).
- 31 mars 1979 : attentat au journal Matin de Paris, revendiqué par la Ligue des combattants contre l'occupation juive (un groupe d'extrême droite).
- 12 avril 1979 : huit attentats du FLNC contre des banques parisiennes.
- 25 avril 1979 : attentat du FLNC au Palais de Justice.
- 29 avril 1979 : attentat dans les locaux du journal Le Monde, revendiqué par la Ligue des combattants contre l'occupation juive (un groupe d'extrême droite)..
- 1er mai 1979 : "Nuit bleue" à Paris, 12 attentats (trois commissariats, deux banques, une permanence de l'UDF, un garage, une agence ANPE, une agence EDF, une perception, une annexe du Ministère des Finances, ...), revendiqués par le Collectif communiste révolutionnaire.
- 2 mai 1979 : deuxième "Nuit bleue" à Paris, 12 attentats.
- 31 mai 1979 : troisième "Nuit bleue" à Paris, 22 attentats, revendiqués par le FLNC.
- 8 juillet 1979 : attentats contre trois entreprises turques parisiens, revendiqués par l'ASALA.
- 16 septembre 1979 : bombes au ministère du Travail et au siège de la Sonacotra par des autonomes.
- 20 septembre 1979: assassinat du militant Pierre Goldman à Paris par Honneur de la Police.
- 2 novembre 1979 : série de lettres piégées au fisc parisien.
- 18 novembre 1979 : attentats de l'ASALA à Paris contre Turkish Airlines, KLM et Lufthansa.
- 22 décembre 1979 : assassinat de Yilmaz Çolpan, directeur de l'Office de tourisme turc à Paris, revendiqué par l'ASALA.
- 29 janvier 1980 : attentat à l'ambassade syrienne (1 mort, 8 blessés).
- 1er février 1980 : assassinat du politique Joseph Fontanet, ex-ministre, à Paris.
- 24 février 1980 : attentat à Paris contre Aéroflot
- 15 mars 1980 : bombe du FLNC à l'Hôtel de Ville parisien.
- 19 avril 1980 : bombe au foyer des étudiants protestants à Paris (4 blessés), revendiquée par le Groupe Charles Martel.
- 7 mai 1980 : attentat à la bombe contre l'Association des étudiants musulmans, revendiquée par le Groupe Charles Martel.
- 11 mai 1980 : attentat au consulat d'Algérie à Aubervilliers, revendiquée par le Groupe Charles Martel.
- 14 mai 1980 : attentat contre la police à Paris, revendiqué par le FLNC (4 blessés).
- 26 juin 1980 : bombe au siège du MRAP à Paris.
- 19 avril 1980 : attentats du Front communiste antinucléaire contre cinq entreprises parisiennes.
- 3 octobre 1980: attentat de la rue Copernic. Quatre morts et vingt blessés.
- 20 octobre 1980 : bombe désamorcée à la Bourse de Paris.
- 4 janvier 1981 : attentat contre Chanel.
- 5 février 1981 : deux bombes sur les Champs-Elysées, revendiquées par l'ASALA.
- 4 mars 1981 : assassinat par l'ASALA de deux diplomates turcs à Paris : Resat Morali, attaché aux Affaires du Travail, et Tecelli Ari, conseiller aux Affaires Religieuses.
- 11-12 juin 1981 : bombe à cité d'urgence du Baou. Une autre est désamorcé devant la cité Bassens à Marseille. 29 familles sinistrées.
- 29 août 1981 : attentat palestinien à l'hôtel Intercontinental à Paris (15 blessés).
- 24 septembre 1981: prise du consulat turc à Paris par des membres de l'ASALA (1 mort, 3 blessés, 40 otages[3]).
- 25 octobre 1981 : double attentat sur les Champs-Elysées.
- fin octobre 1981 : six attentats à la bombe dans Paris.
- 16 novembre 1981 : attentat d'un groupe arménien à la Gare de l'Est (2 blessés).
- 20 décembre 1981 : attentat contre la société polonaise Botrans, revendiquée par le Groupe Charles Martel.
- 18 janvier 1982: assassinat de Charles Robert Ray, attaché militaire américain, à Paris. Revendiqué par les FARL [14].
- 3 avril 1982: Assassinat du diplomate israélien Yacov Barsimento, à Paris. Revendiqué par les FARL [14].
- 22 avril 1982 : une voiture piégée explose devant le siège du magazine Al Watan Al Arabi rue Marbeuf à Paris faisant un mort et 63 blessés.
- 19 juin 1982 : triple attentats anti-arabes à Calenzana.
- 9 août 1982: Fusillade de la rue des Rosiers (6 morts, 22 blessés).
- 15 juillet 1983: Une bombe explose à l'aéroport d'Orly, placée par l'ASALA (8 morts, plus d'une cinquantaine de blessés).[3].
- 9 août 1983 : attentat à la bombe au bureau d'Air Algérie à Marseille, revendiqué par le Groupe Charles Martel.
- 19 août 1983 : bombe dans un foyer Sonacotra de Marseille.
- 19 août 1983 : incendie criminel au domicile du trésorier de la Confédération des Français musulman rapatriés d'Algérie et de leurs amis (CFMRAA).
- 31 décembre 1983 : deux attentats attribués à Carlos perpétrés à la gare Saint-Charles de Marseille et dans le TGV Marseille-Paris font 4 morts et 45 blessés.
- 25 janvier 1985: Assassinat de René Audran, directeur des affaires internationales de la Délégation générale pour l'armement, revendiqué par Action Directe.
- 7 décembre 1985: attentats dans des grands magasins (Galeries Lafayette et le Printemps) à Paris. 41 blessés.
- 20 mars 1986 : une bombe explose dans la galerie Point Show des Champs-Élysées à Paris faisant 2 morts et 29 blessés.
- 12 juin 1986 : attentat d'un disquaire de Draguigan qui vendait des billet d'un concert de SOS Racisme, revendiqué par les Commandos de France contre l'invasion maghrébine.
- 19 août 1986 : bombe dans un marché à Toulon, revendiquée par S.O.S. France (4 morts).
- septembre 1986 : vague d'attentats à Paris. La presse les attribuent aux FARL (dirigées par Georges Ibrahim Abdallah)[15].
- 8 septembre 1986 : une bombe explose dans le bureau de la Poste de l'hôtel de ville de Paris faisant 1 mort et 21 blessés.
- 14 septembre 1986 : une bombe est découverte au Pub Renault avenue des Champs-Élysées à Paris. Elle tue deux personnes [réf. nécessaire].
- 15 septembre 1986 : une bombe explose à la préfecture de Paris sur l'île de la Cité causant 1 mort et 45 blessés.
- 17 septembre 1986 : une autre bombe explose devant le magasin Tati, rue de Rennes à Paris faisant 7 morts et 55 blessés.
- 17 novembre 1986 : assassinat du PDG de Renault Georges Besse, revendiqué par Action Directe (bien que le journaliste Dominique Lorentz situe cet assassinat dans le contexte du contentieux Eurodif avec l'Iran).
- 15 décembre 1986 : tentative d'assassinat, attribuée à Action Directe, contre Alain Peyrefitte, ancien garde des Sceaux, près de son domicile de Provins (Seine-et-Marne), au moyen d'une bombe ventouse placée sous sa voiture. Un employé municipal est tué.
- 7 avril 1987 : assassinat d'Ali André Mécili, avocat et politique algérien, à Paris.
- 29 mars 1988 : assassinat de Dulcie September, représentante de l'ANC sud-africaine, à Paris.
- 9 mai 1988 : bombe au foyer Sonacotra du Cannet (Alpes-Maritimes), faussement revendiqué par le groupe juif Massada, attribué à des néo-nazis proche du PNFE et de la FPIP (4 blessés).
- 31 juillet 1988 : bombe au journal Le Globe à Paris, attribué à des néo-nazis proche du PNFE et de la FPIP.
- 23 octobre 1988 : attentat du cinéma Saint-Michel attribué à un groupe catholique intégriste, protestant contre la projection de La Dernière tentation du Christ de Scorsese. 13 blessés (dont 4 gravement).
- 19 décembre 1988 : attentat contre un foyer Sonacotra à Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes), faussement revendiqué par le groupe juif Massada, attribué à des néo-nazis proche du PNFE et de la FPIP (1 mort, 12 blessés).
- 31 décembre 1992 : attentat contre la synagogue de Villepinte (Seine-Saint-Denis), attribué à des néo-nazis.
- 1993-2003: Liste des actions terroristes attribuées ou revendiquées par le FLNC.
- 24 décembre 1994 - 26 décembre 1994: détournement du vol AF 8969 par le GIA.
- 1995-1996: Vague d'attentats attribués au GIA, dont celui du RER B à la station Saint-Michel, l'attentat de Villeurbanne, ainsi que celui du RER B à la station Port-Royal en 1996.
- 3 décembre 1996 : attentat contre le journal Tribune juive[16].
- 6 septembre 1997 : attaque de la gendarmerie de Pietrosella (Corse) au cours de laquelle sera dérobée l'arme utilisée pour l'Assassinat de Claude Érignac.
- 6 février 1998 : Assassinat de Claude Érignac, préfet de Corse, dans une rue d'Ajaccio par un groupuscule indépendantiste. Après des années d'enquête, Yvan Colonna, accusé d'être le tueur, sera condamné à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une période de sûreté de 22 ans.
- 25 novembre 1999 : attentats contre la DDE et l'URSAAF à Ajaccio.
- 19 avril 2000 : attentat à Quévert (Côtes-d'Armor) contre un McDonald's, attribué à des indépendantistes bretons, 1 mort.
- 26 juin 2000 : découverte d'un engin explosif devant le Centre international de conférences Kléber à Paris , revendiqué par le FLNC.
- 20 octobre 2000 : découverte d'une voiture piégée renfermant une centaine de kilos d'explosifs à Marseille, revendiqué par Armata Corsa.
- 10 octobre 2001 : incendie dans un centre de recrutement de la Marine nationale à Pau, revendiqué par l'Association totalement anti-guerre[17].
- 22 mars 2001 : une voiture remplie d'explosifs est découverte à Paris, revendiqué par Armata Corsa.
- 6 mai 2002 :
- 8 mai 2002: attentats à Karachi (Pakistan) : 11 employés de la Direction des chantiers navals (DCN) sont tués. L'attentat est peut-être liée à une affaire de pots-de-vins dans le cadre d'une vente de sous-marins au Pakistan [18],[19],[20],[21]
- 12 mai 2002 : incendie du bureau régional du Secours populaire à Toulouse par des néo-nazis[22].
- 25 septembre 2002 : attentat raté contre la trésorerie générale à Nice, revendiquée par le FLNC.
- 20 juillet 2003 : double attentat contre la direction régionale des Douanes et de la Trésorerie générale à Nice, 16 blessés légers. Revendiqué par le FLNC UC.
- 2004-2005:
- menaces d'attentats émanant d'un groupe appelé AZF, qui cible la SNCF, Coca-Cola, etc.
- Mise en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste » des six ex-détenus français de Guantanamo.
- 18 janvier 2004 : voiture piégée contre le préfet Aissa Dermouche à Nantes[23].
- 8 octobre 2004 : attentat contre l'ambassade d'Indonésie à Paris, revendiqué par le Front islamique français armé (10 blessés)[24].
- 15 septembre 2005 : attentat à Rouffach (Alsace) contre un retraité maghrébin, revendiqué par la Cellule autonomiste et totalitaire Tiwaz 2882 (néo-nazi).
- 3 juillet 2007 : incendie de la permanence UMP de Marseille[25].
- 14 octobre 2007 : attentat contre une Caisse d'épargne à Marseille.
- 1er décembre 2007 : 2 gardes-civils espagnols sont abattus par un commando d'ETA sur le parking d'un centre commercial à Capbreton (Landes).
- 2007-2008 : attentats contre des radars automatiques, certains étant revendiqués par la Fraction nationaliste armée révolutionnaire, un groupe d'extrême-droite.
- 28 mai 2008 : deux membres du groupe néo-nazi Nomad 88, proche de la « Droite socialiste », mitraillent une cité à Saint-Michel-sur-Orge[26].
- 15 novembre 2008 : arrestation de Julien Coupat et de quatre autres personnes, mis en examen pour « direction d'une association de malfaiteurs et dégradations en relation avec une entreprise terroriste ». À part Coupat, tous les autres seront libérés en décembre 2008 et janvier 2009.
- décembre 2008: interpellation en France et en Belgique d'individus islamistes, considérés comme proches d'Al Qaeda [27].
- 16 décembre 2008 : un groupe inconnu, le Front révolutionnaire afghan, informe les autorités après avoir déposé des bâtons de dynamite (sans détonateurs) au Printemps à Paris[28].
- 20 décembre 2008: arrestation à Paris de Rany Arnaud, 29 ans, un islamiste isolé soupçonné d'avoir voulu faire sauter le bâtiment de la DCRI [29].
Notes et références
- ↑ http://basseintensite.internetdown.org/IMG/pdf/caraib.pdf
- ↑ David Servenay, Attentats de 1995 : la piste des généraux algériens, Rue 89, 22 octobre 2007.
- ↑ a , b et c Bonnie Cordes, Bruce Hoffmann, Brian M. Jenkins, Konrad Kellen, Sue Moran, William Sater, Trends in International Terrorism, 1982 and 1983, Rapport de la RAND Corporation. Les chiffres de ce rapport traitent du terrorisme international: ils excluent donc les attentats commis par des terroristes à l'intérieur de leur pays, ainsi que les attentats commis par des gouvernements contre leurs propres citoyens (terrorisme d'État).
- ↑ a et b François Labrouillère, Charles Millon : «Chirac m’a demandé de bloquer des commissions illicites», Paris Match, 23 juin 2009
- ↑ Laurent Léger, La police judiciaire cite le nom de Sarkozy dans une affaire de corruption, Bakchich, 12 septembre 2008
- ↑ Fabrice Arfi et Fabrice Lhomme, Ventes d'armes: la corruption au cœur de la République, Mediapart, 13 septembre 2008
- ↑ Hervé Gattegno, Les mobiles cachés de l'attentat de Karachi, Le Point, 4 décembre 2008
- ↑ David Servenay, Derrière les onze morts de Karachi, le duel Chirac-Balladur, Rue 89, 19 juin 2009
- ↑ David Servenay, Attentat de Karachi : Millon a bien bloqué des commissions, Rue 89, 24 juin 2009
- ↑ [pdf]loi du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers
- ↑ Détention abusive de nombreux suspects.
- ↑ Gisti, Illégalité totale des visas sortie-retour, Plein Droit n° 53-54, mars 2002. « Immigration : trente ans de combat par le droit »
- ↑ (fr)Association française des Victimes du Terrorisme - AfVT
- ↑ a et b Dominique Lorentz, Secret atomique. La bombe iranienne ou la véritable histoire des otages français au Liban, Les Arènes, 2002, p.138, qui cite Roland Jacquard, Les Dossiers secrets du terrorisme.
- ↑ Dominique Lorentz, Secret atomique,ou la véritable histoire des otages français au Liban, Les Arènes, 2002, p.138, cite Le Figaro du 21 novembre 1986 et Le Monde du 19 septembre 1986
- ↑ http://www.liberation.fr/france/0101202479-attentat-contre-tribune-juive-douze-neonazis-arretes
- ↑ http://www.start.umd.edu/gtd/search/IncidentSummary.aspx?gtdid=200110100001
- ↑ Laurent Léger, La police judiciaire cite le nom de Sarkozy dans une affaire de corruption, Bakchich, 12 septembre 2008
- ↑ Fabrice Arfi et Fabrice Lhomme, Ventes d'armes: la corruption au cœur de la République, Mediapart, 13 septembre 2008
- ↑ Hervé Gattegno, Les mobiles cachés de l'attentat de Karachi, Le Point, 4 décembre 2008
- ↑ David Servenay, Derrière les onze morts de Karachi, le duel Chirac-Balladur, Rue 89, 19 juin 2009
- ↑ http://www.start.umd.edu/gtd/search/IncidentSummary.aspx?gtdid=200205120004
- ↑ http://www.start.umd.edu/gtd/search/IncidentSummary.aspx?gtdid=200401180003
- ↑ http://www.start.umd.edu/gtd/search/IncidentSummary.aspx?gtdid=200410080002
- ↑ http://www.start.umd.edu/gtd/search/IncidentSummary.aspx?gtdid=200607030006
- ↑ http://reflexes.samizdat.net/spip.php?article334
- ↑ Philippe Madelin, Terrorisme : une menace considérée très réelle en France, Rue 89, 13 décembre 2008
- ↑ http://www.rue89.com/2008/12/16/cinq-batons-de-dynamite-au-magasin-printemps-a-paris
- ↑ Jean Chichizola, Un apprenti terroriste voulait «faire sauter» la Direction du renseignement, Le Figaro, 10 mars 2009.
Voir aussi
Liens internes
- Liste des attentats commis par Action directe
- Liste des actions revendiquées par l'ALF en France
- Organisations considérées comme terroristes par le Conseil de l'Union européenne
Liens externes
- [pdf]La France face au terrorisme, Livre blanc du gouvernement, 2006.
- (fr)Association française des Victimes du Terrorisme - AfVT
Catégorie : Terrorisme en France
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