Terrorisme en france

Terrorisme en france

Terrorisme en France

Le terrorisme en France désigne l'ensemble des activités terroristes sur le territoire national français ou contre des citoyens français. Il présente des spécificités liées à l'histoire et la situation politique française, et a conduit à la création d'une législation particulière et à un ensemble de moyens de lutte antiterroriste.

Sommaire

Le terrorisme en France à partir de la fin du XIXe siècle

Articles détaillés : Propagande par le fait et La Cagoule.

Le terrorisme en France après la Seconde guerre mondiale

Terrorisme d'extrême droite

Entre la fin des années 1950 et le début des années 1980, la France fut secouée par des attentats imputables à l'extrême droite. D'abord motivé par les événements algériens (OAS, Commando Delta), ce terrorisme produit après la fin de la guerre d'Algérie des attentats anti-immigrés et anti-gauchistes principalement, mais aussi antisémites. Ces vagues d'attentats furent marqués par l'attentat revendiqué par le Groupe Charles-Martel contre le consulat algérien à Marseille qui fit 4 morts et une vingtaine de blessés.

Un terrorisme plus "militant", dirigé contre les Etats-Unis et l'URSS, était, dans les années 70, le fait de groupes solidaristes tel les Groupe Action Jeunesse.

Plus récemment, la Fraction nationaliste armée révolutionnaire, qui a revendiquée la destruction par des bombes de plusieurs radars routiers, semble proche des théories nationalistes révolutionnaires.

Une des spécificités du terrorisme d'extrême droite est l'absence de revendications pour nombre d'attentat qui lui sont imputés. Les pratiques terroristes de l'extrême droite en France semblent aujourd'hui s'inspirer du modèle Combat 18, un groupe néo-nazi anglais, c'est-à-dire poursuivant une lutte leaderless (sans leader), de manière individuelle.

Terrorisme d'extrême-gauche

Article détaillé : Années de plomb (Europe).

Dans les années 1970 et 1980, la France, l'Europe (en particulier l'Italie et la Belgique) et l'OTAN sont exposés à des attentats de groupes d'extrême-gauche, appartenant au mouvement autonome et de structures clandestines issus du maoïsme entre autres. La France subit les attentats d'Action directe de 1979 à 1987, marqués par les assassinats de l'ingénieur-général René Audran en 1985 et du PDG de Renault Georges Besse en 1986. Cependant, ce dernier attentat a pu être attribué à l'Iran, dans le cadre du contentieux nucléaire Eurodif.

En 2008 un groupe suspecté d'avoir saboté plusieurs lignes de TGV dans toute la France, occasionnant une paralysie du trafic, est interpellé (dont Julien Coupat). La qualification de « terrorisme » fait l'objet de polémiques dans cette affaire, tandis qu'à part Coupat, tous les prévenus sont progressivement libérés après plusieurs mois de détention. Coupat a été libéré fin mai 2009, mais reste mis en examen, et sera jugé devant un tribunal antiterroriste.

Conflits régionaux ou externes ayant affecté la France

Régionalisme corse

Le terrorisme lié au mouvement nationaliste corse est un phénomène récurrent pour l'Etat français depuis les années 1970. Chaque année plus d'une centaine d'attentats sont recensés sur l'île, même si tous ne sont pas à but politique. Le mouvement clandestin le plus structuré est le Front de libération nationale de la Corse, scindé aujourd'hui en plusieurs branches, dont une liste des actions terroriste est présentée dans l'article Liste des actions terroristes attribuées ou revendiquées par le FLNC. Si la plupart des attentats, perpétrés en pleine nuit, ont pour but des cibles matérielles, plusieurs actions mortelles ont été commises. Le sommet de ces attentats fut en 1998 l'assassinat de Claude Érignac.

Le conflit basque: ETA , GAL et BVE

Les indépendantistes basque de l'ETA livrent une lutte pour l'indépendance du Pays basque. S'ils se livrent essentiellement à des attentats en Espagne, le quart sud-ouest de la France est largement utilisé comme base arrière par l'organisation terroriste. Quelques attentats de l'ETA ont été signalés en France, comme le meurtre de deux gardes civils espagnols à Capbreton en 2007.

L'assassinat de Pierre Goldman en 1979, revendiqué par Honneur de la Police, groupe inconnu, a sans doute été organisé par une organisation précédant les Groupes antiterroristes de libération (GAL), dirigés par Madrid.

Le Pays basque français a été plus généralement marqué dans les années 1980 par les attentats du mouvement Iparretarrak. Aujourd'hui quelques attentats de Irrintzi secouent sporadiquement ce territoire.

Régionalisme breton

Article connexe : Nationalisme breton.

Des années 1970 au début des années 2000, la Bretagne a connu le terrorisme de l'ARB, limité généralement à des dégâts matériels.

Indépendantisme néo-calédonien

Dans les années 1980, la Nouvelle-Calédonie était dans une situation quasi-insurrectionnelle avec des affrontements meurtriers entre groupes canaques et caldoches. L'événement le plus retentissant fut la prise d'otages d'Ouvéa en 1988.

Indépendantisme aux Caraïbes

Entre 1981 et 1987 la Guyane, la Martinique et la Guadeloupe ont subi les attentats de l'Alliance Révolutionnaire caraïbe, du Groupe du 22 mai 1848, de Yich Telga et du Groupe de Libération armée. On dénombre entre 200 et 250 d'attentats, voire plus, causant de nombreux morts et dégâts matériels. [1]

Guerre civile en Algérie

Article détaillé : Guerre civile algérienne.

Après l'annulation des élections de 1991, remportées par le Front islamique du salut (FIS), par les militaires, l'Algérie s'est enlisé dans une guerre civile marquée par une violence extrême et de nombreux attentats. Le conflit est marqué par une extrême complexité, et il est difficile d'attribuer avec certitude les auteurs de nombre d'attentats, les militaires ayant joué un rôle particulièrement trouble.

Du fait des relations proches entre la France et l'Algérie, ce conflit s'est exporté sur le territoire français, officiellement via les Groupe islamique armé (GIA). Les principaux actes terroristes officiellement attribués à ces groupes sur le territoire français sont le détournement du vol AF 8969 en 1994, la vague d'attentats commis en France en 1995, dont celui du RER B à la station Saint-Michel, ainsi que celui du RER B à la station Port-Royal en 1996. Cependant, on soupçonne aussi le Département du Renseignement et de la Sécurité algérien d'avoir commandité ces attentats, en ayant notamment retourné Djamel Zitouni, le chef du GIA. Le motif invoqué aurait été de forcer la France à aider les militaires dans la lutte contre le GIA et de bloquer le processus de retour à la démocratie préparé par la Communauté de Sant'Egidio en 1994 [2].

Terrorisme arménien

En juillet 1983, une bombe explose à l'aéroport d'Orly, placée par l'ASALA, une organisation arménienne, laïque, qui fait huit morts. De 1975 à 1984, l'ASALA a été responsable de 57 « incidents terroristes » en France, dont 45 ont eu lieu après 1980 (dont la prise du consulat turc à Paris en 1981) [3].

Conflits israélo-palestinien et libanais

Dans les années 1980, la France est la cible d'actions terroriste en provenance du Moyen-Orient, Liban et Palestine principalement, par les groupes d'Abou Nidal, de Carlos, ou liés au Hezbollah.

Terrorisme islamiste

Article détaillé : terrorisme islamiste.

Depuis les attentats du 11 septembre 2001, la France doit faire face, comme d'autre pays, à une menace plus diffuse et qui n'émane plus d'États bien identifiées. Il s'agit d'actions terroristes en relation avec la présence militaire occidentale au Moyen-Orient par des groupes dont le plus connu est Al-Qaida[réf. nécessaire].

Le Gang de Roubaix, constitué d'anciens combattants bosniaques, tente après une série de braquages sanglants un attentat à la voiture piégée qui échoue, en 1996. Ils sont arrêtés peu de temps après.

Activité terroriste de l'État français

Activité terroriste extra-territoriale

Des citoyens français sont également victimes d'activités terroristes en dehors du territoire national, comme par exemple des prises d'otages ou des attentats, ce qui conduit parfois la France à intervenir diplomatiquement dans les négociations ou directement par une participation active de ses groupes d'interventions, mais aussi juridiquement par des investigations menées par ses juges d'instructions qui conduisent à des jugements en France des responsables terroristes ayant participé à des actes terroristes dont des citoyens français ont été victimes.

Voir par exemple : Vol 772 UTA (1989) ou l'attentat du 8 mai 2002 à Karachi (Pakistan) tuant 14 personnes, dont 11 ingénieurs de la Direction des constructions navales (DCN), peut-être liée à une affaire de pots-de-vins dans le cadre d'une vente, en 1994, de trois sous-marins Agosta (pour 825 millions d'euros [4]) au Pakistan [5],[6],[7],[8]. On a d'abord désigné Al Qaida comme responsable probable de l'attentat de Karachi, mais au printemps 2009, les juges chargés de l'affaire ont évoqué la possibilité d'un attentat lié au non-versement de commissions promises lors de l'achat des sous-marins. A l'époque, les commissions versées dans le cadre de la vente d'armes étaient légales, et pouvaient être défiscalisées à condition d'être déclarées au Ministre du Budget, qui était alors Nicolas Sarkozy (de 1993 à 1995). Suite à l'élection à la présidence de Jacques Chirac, celui-ci aurait demandé à son Ministre de la Défense, Charles Millon, d'examiner tous les contrats en cours et d'annuler ceux pouvant donner lieu à des rétrocommissions [4],[9].

Terrorisme divers

Liste des groupes armés agissant ou ayant agi en France

Législation contre le terrorisme

Confrontée plusieurs fois à des vagues de terrorisme, la France a fait évoluer sa législation, à travers les lois de 1986, 1996 et 2006[10]. Selon Human Rights Watch la justice française utilise le délit «association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste» [11] pour conserver abusivement en détention provisoire de nombreux suspects.

Après la vague d'attentats de 1986, le gouvernement Chirac suspend tous les accords de dispense du visa d'entrée et rétablit l’obligation du visa d’entrée pour les ressortissants de la totalité des Etats du monde, à l’exception de ceux de la Communauté européenne, de la Suisse, du Liechtenstein, de Monaco, de Saint-Marin et du Saint-Siège. L'accord européen sur le régime de circulation des personnes entre les pays membres du Conseil de l'Europe et celui relatif à la suppression du visa pour les réfugiés sont suspendus par la France. Outre le visa d'entrée, la France impose, via une circulaire non publiée du 28 novembre 1986, un visa de sortie que les étrangers résidant en France doivent demander pour voyager. Le Gisti (Groupe d'information et de soutien aux travailleurs immigrés) attaque en justice cette circulaire, et gagne au bout de six ans de procédures, le 22 mai 1992, devant le Conseil d'Etat [12].

Plan Vigipirate

Article détaillé : plan Vigipirate.

Juges spécialisés

Article détaillé : juge antiterroriste.

Des magistrats spécialisés sont chargés de coordonner les différents services de police. Il y en a huit en 2008.

Forces antiterroristes

La France s'est dotée de cellules spécialisées dans l'étude de la criminalité terroriste, visant à une coopération accrue entre le juge d'instruction et les groupes d'enquêteurs de la police judiciaire, en collaboration avec les services de renseignements intérieures et extérieurs. Elle dispose également de groupes d'intervention spécialisés, comme le GIGN, le RAID, les GIPN ainsi que les PI2G.

Coopération internationale

Les efforts de lutte contre le terrorisme ont amené les pays cibles à coordonner leurs actions, que ce soit de manière bilatérale ou multilatérale. Si de tels efforts remontent à la fin du XIXe siècle (Conférence internationale de Rome pour la défense sociale contre les anarchistes de 1898), ils ont été renforcé d'abord avec la création d'Interpol, puis avec une série de groupes informels à partir des années 1970 (TREVI, Club de Berne, etc.), qui ont précédé la création d'Europol et la coopération policière et judiciaire en matière pénale menée dans le cadre du Traité de Maastricht.

En Europe a été créé le SITCEN, ou Situation Center, en 2005, chargé d'analyser la menace commune contre l'Europe.

Associations

Il existe des associations de victimes du terrorisme. Leurs buts sont d'obtenir des poursuites judiciaires contre les auteurs d'attentats et leurs réseaux de soutien, ainsi que d'obtenir une indemnisation des victimes d'actes de terrorisme. On peut citer l'association SOS Attentats aujourd'hui dissoute et l'Association française des victimes du terrorisme - AfVT[13], membre du Réseau européen des victimes du Terrorisme, qui a pris la relève.

Chronologie des actes terroristes en France

Notes et références

  1. http://basseintensite.internetdown.org/IMG/pdf/caraib.pdf
  2. David Servenay, Attentats de 1995 : la piste des généraux algériens, Rue 89, 22 octobre 2007.
  3. a , b  et c Bonnie Cordes, Bruce Hoffmann, Brian M. Jenkins, Konrad Kellen, Sue Moran, William Sater, Trends in International Terrorism, 1982 and 1983, Rapport de la RAND Corporation. Les chiffres de ce rapport traitent du terrorisme international: ils excluent donc les attentats commis par des terroristes à l'intérieur de leur pays, ainsi que les attentats commis par des gouvernements contre leurs propres citoyens (terrorisme d'État).
  4. a  et b François Labrouillère, Charles Millon : «Chirac m’a demandé de bloquer des commissions illicites», Paris Match, 23 juin 2009
  5. Laurent Léger, La police judiciaire cite le nom de Sarkozy dans une affaire de corruption, Bakchich, 12 septembre 2008
  6. Fabrice Arfi et Fabrice Lhomme, Ventes d'armes: la corruption au cœur de la République, Mediapart, 13 septembre 2008
  7. Hervé Gattegno, Les mobiles cachés de l'attentat de Karachi, Le Point, 4 décembre 2008
  8. David Servenay, Derrière les onze morts de Karachi, le duel Chirac-Balladur, Rue 89, 19 juin 2009
  9. David Servenay, Attentat de Karachi : Millon a bien bloqué des commissions, Rue 89, 24 juin 2009
  10. [pdf]loi du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers
  11. Détention abusive de nombreux suspects.
  12. Gisti, Illégalité totale des visas sortie-retour, Plein Droit n° 53-54, mars 2002. « Immigration : trente ans de combat par le droit »
  13. (fr)Association française des Victimes du Terrorisme - AfVT
  14. a  et b Dominique Lorentz, Secret atomique. La bombe iranienne ou la véritable histoire des otages français au Liban, Les Arènes, 2002, p.138, qui cite Roland Jacquard, Les Dossiers secrets du terrorisme.
  15. Dominique Lorentz, Secret atomique,ou la véritable histoire des otages français au Liban, Les Arènes, 2002, p.138, cite Le Figaro du 21 novembre 1986 et Le Monde du 19 septembre 1986
  16. http://www.liberation.fr/france/0101202479-attentat-contre-tribune-juive-douze-neonazis-arretes
  17. http://www.start.umd.edu/gtd/search/IncidentSummary.aspx?gtdid=200110100001
  18. Laurent Léger, La police judiciaire cite le nom de Sarkozy dans une affaire de corruption, Bakchich, 12 septembre 2008
  19. Fabrice Arfi et Fabrice Lhomme, Ventes d'armes: la corruption au cœur de la République, Mediapart, 13 septembre 2008
  20. Hervé Gattegno, Les mobiles cachés de l'attentat de Karachi, Le Point, 4 décembre 2008
  21. David Servenay, Derrière les onze morts de Karachi, le duel Chirac-Balladur, Rue 89, 19 juin 2009
  22. http://www.start.umd.edu/gtd/search/IncidentSummary.aspx?gtdid=200205120004
  23. http://www.start.umd.edu/gtd/search/IncidentSummary.aspx?gtdid=200401180003
  24. http://www.start.umd.edu/gtd/search/IncidentSummary.aspx?gtdid=200410080002
  25. http://www.start.umd.edu/gtd/search/IncidentSummary.aspx?gtdid=200607030006
  26. http://reflexes.samizdat.net/spip.php?article334
  27. Philippe Madelin, Terrorisme : une menace considérée très réelle en France, Rue 89, 13 décembre 2008
  28. http://www.rue89.com/2008/12/16/cinq-batons-de-dynamite-au-magasin-printemps-a-paris
  29. Jean Chichizola, Un apprenti terroriste voulait «faire sauter» la Direction du renseignement, Le Figaro, 10 mars 2009.

Voir aussi

Liens internes

Liens externes

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