Salé

Salé
Salé
سلا
Blason de Salé
Héraldique

La ville de Salé vue de Rabat
La ville de Salé vue de Rabat
Administration
Pays Drapeau du Maroc Maroc
province Salé
Région Rabat-Salé-
Zemmour-Zaër
Code postal 11000
Maire Noureddine Lazrak (RNI) (2009)
Gouverneur Alami Zbadi
Géographie
Coordonnées 34° 01′ 46″ Nord
       6° 50′ 09″ Ouest
/ 34.02950, -6.83595
Altitude 11 m
Superficie 9 548 ha = 95,48 km2
Superficie de l'agglomération 127 500 ha = 1 275 km2
Démographie
Population 903 485 hab. (2007)
Densité 9 462,6 hab./km2
Population de l'agglomération 1 800 000 hab. (2010)
Localisation
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Salé
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Salé
Internet
Site de la ville http://www.villedesale.ma

Salé (en arabe : سلا) est une ville du Maroc. Elle est située sur le littoral atlantique du pays, sur la rive droite de l'embouchure du Bouregreg, en face de Rabat. Elle est limitée à l’est par la province de Khémisset, au sud par la préfecture de Rabat, à l’ouest par l’océan Atlantique et au nord par la province de Kénitra. Les habitants de Salé s'appellent les Slaouis ou bien encore Ahl-Sala en arabe, tandis qu'en français, ils sont connus sous le nom de Salétin(e)s.

Salé se situe dans la région Rabat-Salé-Zemmour-Zaër et compte aujourd'hui 903 485 habitants[réf. nécessaire]. Salé était autrefois une république autonome d'envergure internationale.

La ville de Salé tire son nom de oued Sala, « rivière salée », appellation de l'oued Bouregreg jusqu'au XIIIe siècle.

Sommaire

Histoire

Les premières traces de la ville remontent à l'ère romaine, où les Romains avaient fondé une colonie au nom de Sala Colonia. La ville de Salé comme telle est fondée par la tribu amazighe des Ifrenides au Xe[1] siècle, et fut proclamée capitale.

La ville de Salé est ensuite prise en 1068 par les Almoravides. Au XIe siècle, la ville connut un véritable développement, que ce soit à l'époque des Almohades (XIIe siècle) ou des Mérinides (du XIVe siècle), du fait de sa position stratégique sur la voie terrestre Fès/Marrakech, et grâce à son port, centre d’échanges entre l’Europe et le Maroc.

La grande mosquée, construite entre 1028 et 1029, et la madrassa ou centre d'études islamiques, rendirent la ville un des centres religieux les plus importants du Maroc.

En 1260, Salé a été attaquée par des troupes venant de Castille, ce qui a engendré le début de la construction d'une muraille qui protège la ville.

Au XVIIe siècle, et notamment à partir de 1610, la ville de Salé, et, de l'autre côté du Bouregreg, la ville de Rabat, dite à l'époque "Salé la Nouvelle" accueillirent l’arrivée massive de musulmans et de juifs chassés d’Espagne. Ce fait nouveau donna un nouveau souffle à la cité (Salé l'ancienne), augmenta la population, et créa une rivalité avec la ville toute voisine de Rabat. Les morisques établis à Salé y vinrent en deux vagues : la première comprenait les habitants de Hornachos, qui étaient des colons, et qui avaient donc certains privilèges pour quitter la péninsule ibérique avec certains de leurs biens s'ils partaient volontairement. La deuxième vague, quant à elle, regroupait les autres morisques expulsés sans leurs biens ni leur honneur. Ils cherchèrent donc à se venger à travers la piraterie. En effet, à cette époque, Salé fut célèbre surtout par son intense activité maritime, et les Andalous en firent la capitale des corsaires. Tandis que les Hornacheros s'occupaient de l'assemblage des navires, les autres morisques formaient leurs premiers équipages.

Le développement économique venu avec les Hornacheros et les Andalous était tel que Salé et Rabat décidèrent de s'unir et d'instituer, entre 1627 et 1666, une république indépendante sous le nom de République du Bouregreg ou République de Salé. L'actuelle kasba des Oudaïa leur tenait lieu de capitale. Cette république était dirigée par des corsaires et avait comme mission principale la piraterie. En ce temps, seule la République de Salé avait un port indépendant. Tous les autres ports du Maroc étaient occupés par l'Espagne ou le Portugal.

En 1666, les alaouites (dynastie actuellement au pouvoir au Maroc) s'emparèrent des villes de Salé et de Rabat, et mirent fin à la République du Bouregreg.

L’activité commerciale de Salé durant le XVIIIe siècle lui permit d’étendre son influence grâce à la course dans le pays jusque dans des régions très éloignées. Cependant le déclin de la ville vint en 1755 avec le tremblement de terre de Lisbonne. En effet, ce dernier dont l'épicentre se trouvait à la même distance de Lisbonne à Salé a causé un tsunami qui a définitivement dévié le cours du Bouregreg. Ceci a causé la désactivation du port, qui jusque-là, était situé à l'intérieur des murailles de la ville. Le principal port du royaume a ensuite été transféré à Essaouira, bien que Salé garda une certaine activité corsaire jusqu'en 1829.

Ainsi, et depuis le XIXe siècle s’annonce la fin du rôle commercial prépondérant dont jouissait la ville, et Salé s’enferma sur elle-même et demeura, au cours du XIXe siècle et pendant l’époque des protectorats français et espagnol, un haut lieu de culture et de résistance au protectorat [1].

D'un autre côté, Rabat fut établie capitale en 1912, date du début du protectorat français. La ville jusqu'ici jumelle est devenue une grande ville administrative, tandis que Salé est quelque peu reléguée au second plan, bien qu'elle demeure encore un centre religieux et culturel face à sa voisine européanisée. De nos jours, le port de Salé a perdu son importance commerciale et reste seulement un port de pêche à la barque.

En 1957, le pont Moulay Al Hassan a été inauguré[2] et est le premier pont routier à lier Rabat et Salé. Actuellement, on compte 4 ponts entre les deux villes, dont un ferroviaire, et le projet d'aménagement de la vallée du Bouregreg compte d'en construire quelques-uns de plus.

Mosquée de Salé, construite par les Ifrenides entre 1028 et 1029

Anciennes familles de Salé

L'on tentera ci-dessous de répertorier succinctement les composantes humaines de Salé avant les vagues de migration à grande échelle intervenues après l'Indépendance, et qui bouleversèrent les structures humaines et la hiérarchie sociale.

Nous laisserons de côté les familles n'ayant plus de lignée ainsi que celles dont la présence date de moins de quatre siècles, pour ne nous intéresser qu'aux anciennes familles slaouis installées dans la ville avant le XVIIe siècle. Les familles citées ci-dessous le sont par ordre chronologique en fonction de leur arrivée dans la ville depuis sa fondation au Xe siècle jusqu'au XVIIe siècle.

On note que pour la plupart les anciennes familles de Salé sont d'origine arabe ainsi que d'origine andalouse établies dans la ville suite à la Reconquista en Andalousie. Ces derniers s'installèrent dans la ville de Salé dotée d'un emplacement stratégique à l'embouchure du Bouregreg et y firent une base corsaire à partir de laquelle furent lancées plusieurs expéditions à succès en direction des côtes européennes faisant de cette cité à son apogée un des plus importants carrefours maritimes de la région.

Du Xe au XVe siècle :

  1. Les Idrissides (Alamyine)
  2. Les Kettaniyine
  3. Les Alaouites
  4. Les Kadiriyine
  5. Les Laâlou
  6. Les Sedrati
  7. Les Bensaîd
  8. Les Aâmar
  9. Les Atoubi


  1. Les Maâninou
  2. Les Zniber


Au XVIe siècle

  1. Les ben Bouzid
  2. Les Zouaoui
  3. Les Fennich
  4. Les Hamdouche
  5. Les Hassouni
  6. Les Aouad
  7. Les Sbihi
  8. Les Bouallou
  9. Les Mkinsi
  10. Les Cherkaoui


Au XVIIe siècle

  1. Les Harakat
  2. Les Talbi
  3. Les al-Aouni
  4. Les Hajji
  5. Les Bouchaâra
  6. Les Mrini
  7. Les Hassar
  8. Les Elgharbi
  9. Les Belcadi
  10. Les Belahcen
  11. Les Zaâri
  12. Les Bensaghir

À partir du XVIIIe siècle: Acharki, al-Ahrach ou (Lahrech), Âkkour, al-Âmarti, al-Ârousi, al-Âssri, Atoubi, al-Âzzouzi, al-Bahloul, al-Bardîi, al-Barhmi, al-Baroudi, Bayahya, Belâarbi, Belâayychi, Bellafkih, al-Bellage, Bellahsen, Belkbir, Bellamine, Bellghazi, Bellhaj, Bellkadi, Bellyamani, Benâabbou, Benâabdennbi, Benâayyad, Benâazzouz, Benabdelâali, Benbdesslame, Benâboud, Benâli, Benbrahim, Benchekroune, Bencherki, Benchlih, Bendahmane, Bendaoud, Benghaneme, Benjilali, Benkassou, Benkhadda, Benmansour, Benmlik, Benmoussa, Bennaftah, Bennaghmouch, Bennani, Benomar, Benslimane, Bensmaïl, Bentalha, Bentaleb, Bentabbaâ, Benthami, Benzaïra, Benzuina, Berraïs, Berramdane, Berrjali, Berroyel, al-Bezzaz, al-Beghal, Bouâallou, al-Bouâazzaoui, Bouâbid, Bouhmouch, Boukhres, Boulaâjoul, Boumsellak, Brital, al-Chafîi, al-Chaoui, al-Cheddadi, Chkroune, Chergou, al-Cherradi, al-Chiadmi, al-Chiheb, Chmaou, al-Chouni, al-Doukkali, al-Doughmi, al-Douiyab, al-Dridi, Driham, al-Fasi, al-Filali, al-Gadi, al-Gharbaoui, al-Ghazzi, Ghlid, al-Ghmari, Ghmires, al-Ghnimi, al-Ghrabli, al-Gueddar, Guelzim, al-Hamdi, al-Hanchi, al-Hansali, al-Haouari, Harmach, al-Haski, al-Hasnaoui, Hassar, al-Hayyani, al-Hiyyad, al-Houch, al-Hrizi, al-Hsini, al-Huiyyach, al-Jâaïdi, al-Jabli, Jkhalef, kabtine, al-Kadmiri, Kahkhami, al-kalîi, Kandil, al-Kasri, al-Khaldi, al-Khammal, al-Kjiri, al-Kouch, al-Krom, al-Lahyani, al-Maâdadi, Maâgoul, al-Malki, al-Mansouri, al-Marrakchi, al-Masbahi, al-Maslouhi, al-Mbarki, Mellah, al-Mir, al-Mkinsi, Moumene, al-Nasiri, al-Nejjar, al-Ouadrasi, Ouaglou, Oualaâlou, al-Ouardighi, al-Oudiyyi, al-Ouraoui, al-Rabouli, al-Rahmani, al-Rifi, al-Rtimi, al-Ruijal, al-Sabounji, al-Sahli, al-Sahraoui, al-Sarghini, Sarouilou, Sasi, al-Sbaîi, al-Sbiti, al-Sebbahi, al-Seffar, al-Sefiani, al-Semmar, al-Shaïmi, al-Sibari, al-Slimani, al-Smahi, al-Sousi, al-Tabbal, al-Tanjaoui, al-Tazi, al-Tebbaâ, al-Titoini, al-Tiyyal, al-Tlemsani, al-Trabelsi, Yaâgoub, al-Zaâri, Zellou, al-Zemmouri, al-Zhani, al-Zhiri, al-Zîim, al-Zouaïdi, Zouita,
Plus de 200 familles s'installèrent ensuite du XVIIIe au XXe siècle dans la vieille médina de Salé dont la population ne dépassait guère les 50 000 habitants à l'aube de l'indépendance du pays en 1956, avant de connaître à partir de cette date là une explosion démographique multipliant la population de la ville par 10 en l'espace de 30 ans, du fait de son attractivité due à son passé glorieux, à sa réputation de ville majeure de la résistance d'où a débuté la lutte contre les colons français au tout début des années 1930 mais surtout à sa proximité avec la capitale Rabat.

Géographie

Salé a toujours été considérée comme la sœur rivale de Rabat, elle dispose d'une culture et d'une identité propres, elle est aussi nettement plus ancienne que Rabat, la fondation de la ville remontant, en effet, à l'époque des Romains. L'oued Bouregreg sépare la capitale de Salé. Elle se compose de plusieurs parties :

Centre-ville : Cette partie animée et surpeuplée de la ville a pour principales artères les boulevards Mohammed V et Hassan II. Quelques boutiques et magasins modernes longent le centre-ville. Deux hôtels sont installés dans cette partie de la ville.

Quartiers résidentiels : Les quartiers résidentiels de Salé les plus réputés sont : Bettana, Rmel et Hay Esalam, là où résident un grand nombre de responsables de la ville, et où vivent un grand nombre de fameux intellectuels marocains.

Bord de mer : Le bord de mer est constitué d'un cimetière et de quelques villas modernes. Il s'étend de l'embouchure du Bouregreg au sud, jusqu'au quartier de Hay Chmaâou au nord.

Mellah : Ancien quartier juif où une importante communauté juive se réfugia vers l'an 1800. C'est l'un des mellahs les plus charmants du Maroc. Il suit une norme de construction aérée.

Médina : Fondée au début du XIIe siècle par les Almohades, la médina de Salé s'enorgueillit de fontaines, de Riads et de mosquées. Bab Mrisa, près du centre-ville permet de pénétrer dans la médina.

Rmel : Ancien quartier français constitué de villas de style colonial, comprend une ancienne église.

Sala el Jdida : Salé la nouvelle, quartier-banlieue, populaire et à part, sur la colline, ville dans la ville.

Politique

Salé a acquis ses titres de noblesse pendant la période du protectorat français. Pendant les décennies qui précédent l'indépendance du Maroc, la ville fut le fief des mouvements de résistance nationale. L’appel au « latif » lancé à Salé, par feu Haj Ahmed Maâninou, relayé par la suite dans les principales cités du Maroc, et la pétition contre le Dahir Berbère remise au Sultan Mohammed V et au Résident général conduira la France au retrait du dahir de mai 1930, perçu par les intellectuels de l’époque comme une tentative de division du peuple marocain. Ce texte aura entraîné la première réaction nationaliste des élites marocaines contre l'occupant et consacré leur volonté de résistance. Nombreux s’accordent aujourd’hui à reconnaitre que cet épisode constitue l’acte fondateur de la prise de conscience politique qui conduira quatorze ans plus tard à la signature du Manifeste de l'indépendance du 11 janvier 1944 par de nombreux slaouis. Salé a aussi été réputé avoir été le fief de la gauche marocaine pendant de nombreuses décennies, de nombreux leaders y ont résidé. Salé est aussi connu pour être un fief du mouvement Al Adl Wal Ihssane, le guide spirituel du mouvement y résida en effet, ainsi que de nombreux disciples et sympathisants. La ville a été submergée par un grand exode rural ces dernières années.

Démographie

Salé forme avec Rabat et Témara une conurbation de 1,66 million d'habitants (2005). La croissance exponentielle de la population est due en grande partie à l'exode rural. la ville de Salé est appelée à devenir millionnaire à l'horizon 2020. Selon le recensement général de la population et de l'habitat de 2004, sa population était d'à peu près 800 000. Les quelque 21 000 urbains qui s'ajoutent chaque année dans la ville devraient faire de Salé une ville millionnaire dans moins de dix ans.

Évolution démographique de la ville de Salé entre 1912 et 2007
Année 1912 1936 1952 1960 1971 1982 1994 2004 2005 2007
Salé 19 000 32 000 47 000 77 000 159 000 328 000 580 000 761 000 780 000 903 485

Climat

En ce qui concerne le climat, le territoire de la ville de Salé appartient au domaine bioclimatique sub-humide avec des variations semi-arides et humides. Soumis à une double influence continentale et océanique, la précipitation moyenne varie entre 500 et 600 mm/an. La saison pluvieuse s’étale d’octobre à mars et la saison sèche d’avril à septembre. La pluviosité couvre en moyenne 70 à 90 jours par an. Les vents locaux, notamment la brise de mer, atténuent les excès thermiques, et avec d'autres éléments placent la ville dans l'étage bioclimatique subhumide

L’influence tempérante de la masse océanique se traduit par des températures moyennes de l’ordre de 9 °C pour les mois les plus froides et de 38 °C pour les mois les plus chauds. Le gel est presque rare.

Sport

Clubs sportifs ayant joué ou jouant à Salé
Équipe Sport Ligue Stade
AS Salé Football Botola Stade Boubker Ammar
AS Salé (Basket) Basket-ball Division 1 Salle El Bouâzzaoui
Sporting de Salé Football Fusion avec l'AS Salé en 2002 Stade de la Marche verte

Site officiel

Enseignement

Établissements scolaires

Enseignement supérieur

  • Faculté des Sciences juridiques, Economiques et Sociales de Salé - FSJESS
  • École Supérieure de Technologie de Salé - ESTS

Lien externe

Site officiel

Aménagement de la vallée du Bouregreg

Un large projet d'aménagement et de développement de la vallée du Bouregreg a été lancé en 2006. Ce dernier, d'un montant de 30 milliards de dirhams[3], a pour objectif de remodeler significativement les deux rives du fleuve et devrait permettre à la ville de Salé de connaître à terme un important développement économique.

Un port de plaisance a été ouvert le 15 mars 2008 dans ce cadre[4].

Tramway de Rabat-Salé

le tramway de Rabat-Salé [5]est un projet à long terme qui prévoit la réalisation d’un réseau de tramway comprenant 4 lignes avec deux traversées du fleuve Bouregreg[6].

Le réseau de tramway prévu pour 2010 comporte deux lignes

  • La ligne 1 : dite «ligne structurante de l’agglomération», s’étend de Hay Karima à Salé au quartier de l’Agdal, avec un passage au centre ville de Rabat par l’avenue Al Alaouiyine.

Elle relie ainsi les pôles émetteurs/attracteurs majeurs de l’agglomération : avenue Mohammed V à Salé, quartier des Ministères, gares ONCF (Rabat-ville et Salé), facultés et bibliothèques entre Bab Rouah et Ibn Zohr, quartier de l'Agdal, et enfin domaine universitaire de Bab Al Irfane et hospitalier de Souissi.

  • La ligne 2 : dessert les quartiers denses de l’Océan, Yacoub Al Mansour et le Quartier Bettana à Salé.

Un tronc commun est prévu pour la traversée du Bouregreg au niveau du pont Hassan II, inauguré en 2011.

Jumelages

Villes

Communes d'arrondissement

Notes et références

  1. Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères
  2. Robert Chastel, Rabat-Salé, vingt siècles de l'oued Bou Regreg, Rabat, Éditions La Porte (réimpr. 1997) (1re éd. 1994), 335 p. (ISBN 9981-889-07-5), p. 322 
  3. http://www.amwaj.ma/index.php
  4. http://www.bouregreg.com/
  5. http://tramwayrabatsale.com
  6. Bouregreg
  7. Jumelage de plusieurs villes et collectivités marocaines et africaines

Liens externes


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Salé de Wikipédia en français (auteurs)

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  • Sale — Sale, n. [Icel. sala, sal, akin to E. sell. See {Sell}, v. t.] 1. The act of selling; the transfer of property, or a contract to transfer the ownership of property, from one person to another for a valuable consideration, or for a price in money …   The Collaborative International Dictionary of English

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