Saint-astier (dordogne)

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Saint-Astier (Dordogne)

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Saint-Astier

L'Isle à Saint-Astier
L'Isle à Saint-Astier

Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Canton Saint-Astier
(chef-lieu)
Code Insee abr. 24372
Code postal 24110
Maire
Mandat en cours
Jacques Monmarson
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes Astérienne Isle et Vern
Démographie
Population 5 311 hab. (2006)
Densité 155 hab./km²
Géographie
Coordonnées 45° 08′ 47″ Nord
       0° 31′ 45″ Est
/ 45.146388, 0.529166666667
Altitudes mini. 58 m — maxi. 222 m
Superficie 34,25 km²

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Voir la carte administrative

Saint-Astier (Sench Astier en occitan[1]) est une commune française, située dans le département de la Dordogne et la région Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Astériens.

Sommaire

Géographie

Située à 100 km à l’est de Bordeaux et à 20 km à l’ouest de Périgueux, Saint-Astier s’inscrit au cœur de la vallée de l’Isle. La croissance de sa population prouve la vitalité de sa vie économique et associative. L'apport de l'autoroute A89 représente un atout majeur pour les années à venir.

La ville de Saint-Astier possède un riche patrimoine historique. Certaines constructions insolites en témoignent aujourd’hui : mottes féodales, cluzeaux, châteaux, église fortifiée… Parfaitement intégrées au paysage, elles constituent autant de liens entre les lointains résidents du pays et ceux qui y vivent aujourd’hui. La campagne est également jalonnée de petites constructions : moulins à eau, pigeonniers, puits couverts, illustrent une économie et un mode de vie désormais disparus.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Saint-Astier
Saint-Aquilin
Chantérac
Léguillac-de-l'Auche Annesse-et-Beaulieu
Saint-Germain-du-Salembre Saint-Astier Montrem
Saint-Léon-sur-l'Isle Grignols

Histoire

Statue représentant
l'ermite saint Astier

La ville et son nom sont liés à l’histoire d’un homme, Astérius, fils d’une famille romaine, né au VIe siècle à Puy-de-Pont, à l’embouchure de l’Isle et du Salembre, près de Neuvic sur l'Isle. La légende veut que, devenu ermite, il réalisa de nombreux miracles donnant au lieu une certaine renommée. Après sa mort, son tombeau attirant la dévotion des fidèles, une abbaye s’installa. En 980, une église est bâtie. Les restes de saint Astier y sont transférés.

Sur les rives de l’Isle, la petite bourgade subit de plein fouet les invasions qui ravageront le Périgord. En 1219, Saint-Astier devient l’une des 34 villes fortifiées du Périgord, se protégeant en particulier du côté de la rivière. L’église elle-même fera l’objet de fortifications successives, lui donnant son aspect massif actuel. Incendiée, elle sera reconstruite au XIe siècle et connaîtra plusieurs modifications jusqu’à nos jours.

L’évènement marquant du XIXe siècle fut la construction d’un pont permanent sur l’Isle, en remplacement des fragiles passerelles en bois, auxquelles chaque crue était fatale. Dès 1829, monsieur de Valbrune décide de se consacrer à la réalisation de cet ouvrage. Un appel à souscription est lancé. Les Astériens et les communes environnantes répondent pour une somme de 56 000 francs. Le pont, commencé en 1831, fut livré à la circulation le 12 octobre 1832. Cette méthode de la souscription publique fut utilisée pour agrandir la place du marché aux bœufs mais aussi pour remplacer l’horloge du clocher.

À proximité de la rivière, Saint-Astier fut concernée par le projet qui, en 1820, devait rendre l’Isle navigable de Périgueux à Libourne. Sur la commune, on établit trois écluses et un canal de dérivation de 1 300 mètres. Le 26 avril 1835, un bateau génois fit l’objet de la curiosité des Astériens.

Le 20 août 1944, des combats opposent les résistants aux allemands qui, en représailles, fusillent le soir même 21 otages [2] au lieu-dit les Quatre-Routes. Sur place, deux stèles ont été érigées pour rendre hommage à ces victimes ainsi qu'aux 10 résistants morts pour la France ce jour-là.

Blason

Blason: de gueules à une cloche d'or.

Démographie

Sources : INSEE [3] et Cassini [4]

Évolution démographique
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 216 1 985 2 263 2 518 2 546 2 613 2 561 2 769 2 826
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 931 2 879 2 913 2 891 2 961 3 280 3 581 3 201 3 073
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 942 3 042 3 204 2 953 3 053 3 067 3 073 3 415 3 933
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 - -
4 256 4 052 4 093 4 416 4 780 5 098 5 311[5] - -

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
1790 1800 de Valbrune - -
1800 1816 Poulard - -
1816 1823 de Valbrune - -
1823 1831 Nogué - -
1831 1834 Gadaud - -
1834 1840 Albin - -
1840 1846 Baldou - -
1846 1848 Albin - -
1848 1864 Gadaud - -
1864 1865 Dubet - -
1865 1870 Maréchal - -
1870 1873 Mauriac - -
1873 1908 Maréchal - -
1908 1920 Pareuil - -
1920 1935 Astarie - -
1935 1941 Chanraud - -
1941 1945 Bru - -
1945 1947 Maurice Laurent - -
1947 1948 Aubin Lacore - -
1948 1952 Maurice Crebet - -
1952 1953 Pierre Astarie - -
1953 1956 Léopold Delbary - -
1956 1959 Louis Guichard - -
1959 1977 Raymond Dupuy - -
1977 en cours Jacques Monmarson PS Vice-président du Conseil Général
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Jumelage

En 1969, le collège de Saint-Astier a initié un jumelage avec le collège de Kengkok au Laos.

Économie

L'emploi

L'emploi des habitants

Au recensement de 1999, la population active totale (actifs + chômeurs) de Saint-Astier s'élève à 2 039 personnes[6]. Le taux d'activité entre 20 et 59 ans y est de 81 %, ce qui place la commune un peu en-dessous de la moyenne nationale (82,2 %). On y dénombre 293 chômeurs (14,4 % des actifs, taux supérieur à la moyenne nationale 12,9 %). En tout et pour tout, la population comprend 40,1 % d'actifs, 26,6 % de retraités, 21 % de jeunes scolarisés et 12,4 % d'autres personnes sans activité[6].

Par rapport aux moyennes nationales, le pourcentage de retraités y est plus important (26,6 % contre 18,2 %) et le pourcentage de jeunes scolarisés y est à l'inverse, inférieur (21 % contre 25 %).

En 2004 [7], la population active totale s'élève à 2 063 personnes, soit 41,1 % de la population. Le nombre de chômeurs s'est amoindri (257), représentant un taux de chômage de 12,5 %.

L'emploi sur la commune

En 1999, la commune offrait 2 138 emplois [8].

Répartition des emplois par domaines d'activité

  Agriculture Industrie Construction Tertiaire dont Commerce dont Services
Saint-Astier 1,3 % 12,3 % 6,8 % 79,7 % 9,6 % 11,3 %
Moyenne nationale 4,2 % 18,2 % 5,8 % 71,8 % 13,2 % 19,7 %
Sources des données : INSEE[8]

On remarque que le secteur tertiaire dominant l'économie nationale (71,8 %) occupe une place encore plus prépondérante au sein de l'emploi astérien (79,7 %).

Les entreprises

On recense 186 entreprises sur la commune dont 60 commerces (32,3 %) , 44 dans les services (23,6 %), 25 dans l'éducation, la santé et l'action sociale (13,4 %), et 23 dans le secteur de la construction (12,4 %) [9].

En 2007, parmi les 100 premières entreprises en termes de chiffre d'affaires HT ayant leur siège social en Dordogne, on trouve implantées sur Saint-Astier [10] :

  • Saint-Astier Distribution (hypermarchés) : 24e, 28 520 k€ ;
  • SA Picandine (fabrication de fromage) : 49e, 14 702 k€ ;
  • Société nouvelle de Chaux et ciments de Saint-Astier (activités des sociétés holding) : 51e, 14 037 k€.

Leur classement par secteur d'activité en Dordogne est le suivant :

  • dans le commerce, Saint-Astier Distribution est 9e [11]
  • dans le secteur des services, la Société nouvelle de Chaux et ciments de Saint-Astier se classe également 9e [12] ;
  • dans l'agroalimentaire [13], la SA Picandine est 8e. Dans le même secteur, on trouve également en 30e position Bétail viande Astérienne Debrégeas (transformation et conservation de la viande de boucherie) avec 2 220 k€ de chiffre d'affaires HT et à la 45e place, la Petite Périgourdine (préparation industrielle de produits à base de viande) avec 1 462 k€.

Les atouts de la commune

Les zones d'activité

La commune possède sur son territoire trois zones d’activités : Mallebay, la Serve et le Roudier. Celles-ci comportent plusieurs entreprises d’importance : fromagerie Picandine (groupe Rians), Chausson matériaux, Point P, Signature F (fauteuils de spectacle), Colas… Le développement économique de la commune n'est pas pour autant terminé, puisque une ZAC intercommunale est actuellement en développement, avec l’implantation de la société ISOA.

La chaux blanche

À l’heure où la chaux retrouve ses lettres de noblesse dans le bâtiment, la chaux de Saint-Astier a su prendre une place essentielle et incontournable sur le marché national et européen de la restauration.

En 1850, Louis Vicat, ingénieur des ponts et chaussées, prospectait les ressources du pays en pierre à chaux. Il mit en évidence les propriétés du calcaire du bassin de Saint-Astier. Ses recherches géologiques lui permirent d’assurer que le calcaire de Saint-Astier pouvait convenir à la fabrication d’une chaux naturelle pure, dont la faible hydraulicité permettait son emploi en milieu humide.

Le banc calcaire de dix kilomètres de long appartient à l’ère secondaire, groupe crétacé supérieur, étage Campanien (75 millions d’années). Ce calcaire provient de dépôts marins constitués de coquillages, coraux, marnes et autres animaux infiniment petits et nombreux. La mer ayant été très calme, cela donne des couches d’une grande régularité sur plusieurs centaines de mètres d’épaisseur et une composition chimique et minéralogique du calcaire constante.

Même au plus fort de la conquête du ciment, vers 1900, alors que la plupart des chaufourniers disparaissaient, les chaux de Saint-Astier ont parfaitement résisté grâce à la qualité de ce calcaire particulier et à la modernisation des sites de production.

Le bassin de Saint-Astier, unique en Europe par l’homogénéité de son gisement calcaire, regroupe trois usines de production qui distribuent les chaux naturelles de Saint-Astier et des enduits prêts à l’emploi : Safa, Cimchaux et la Dordognaise. Les chaux pures résultent exclusivement de la cuisson d’un matériau calcaire suivi d’une extinction sans aucun additif.

Le Centre National d’Entrainement des Forces de Gendarmerie (CNEFG)

Parmi les institutions astériennes, le Centre national d'entraînement des forces de gendarmerie (CNEFG) tient une place notable. Créé suite aux évènements de mai 68, sur un ancien site de l'Armée de l'air, il fut Centre de perfectionnement de la gendarmerie mobile, Centre d'Instruction de la Gendarmerie puis Centre d'Instruction des Gendarmes Auxiliaires.

Le CNEFG fournit les moyens et les infrastructures adaptés à la formation et au perfectionnement des gendarmes mobiles et gardes républicains qui viennent acquérir à Saint-Astier les techniques élémentaires au maintien de l'ordre.

Le centre accueille également les unités similaires de nombreux pays (Espagne, Italie, Maroc, Pays-Bas, Portugal, Slovaquie, Slovénie ou Turquie...). Cette dimension internationale permet les échanges de compétences dans les domaines du maintien de l'ordre et de l'intervention professionnelle. Le CNEFG est le plus grand centre de ce type en Europe.

Les marchés

« Saint-Astier, petite ville, grand clocher. »

Le rendez-vous privilégié pour rencontrer les producteurs, goûter les produits du terroir, écouter les anciens discuter en patois, découvrir la ville autrement, chaque jeudi matin.

Marché au gras de novembre à mars. Marché aux truffes

Vie locale

Culture

Lieu de vie et d'échanges, La Fabrique réunit toutes les activités qui font un centre culturel vivant et dynamique : salle de spectacles et de cinéma, hall d'exposition, espace de restauration avec cuisines équipées, salles de réunion, studio de danse, salles d'enseignement musical et d'arts plastiques… Le bâtiment municipal abonde d'une vie associative ardente, pour tous les publics.

Le cinéma

Un cinéma privé était déjà présent à Saint-Astier mais il a fermé ses portes en 1982. Rouvert comme cinéma municipal – ce qui en fit la première salle d'Aquitaine de ce statut – sa gestion et sa programmation furent abordées dans un esprit de service public, bien loin des préoccupations commerciales des réseaux de distribution.

Il ne faut cependant pas confondre associatif et désuet : la salle de cinéma, d'une capacité de 500 places assises, n'a rien à envier aux multiplexes : elle dispose d'un écran panoramique de 45 m², du son Dolby Digital et est classée Art & Essai.

La politique tarifaire est aussi en adéquation avec le projet, puisque le prix moyen est de 5,25 €, avec un système d'abonnement. La Fabrique assure environ 40 séances par mois, tous les soirs à 21h, plus des séances à 14h et 17h les mercredis, samedis, dimanches et pendant les vacances scolaires.

Le centre culturel

Le centre culturel est géré par convention par l’association CRAC. Tout au long de l'année, il assure une programmation de spectacles axée sur la chanson et le jeune public, avec de fréquentes décentralisations sur les communes alentour.

Chaque année, au mois de mai, le festival La Vallée est le témoignage de la vitalité de ce territoire avec l’accueil de plus de vingt artistes sur 13 communes. Depuis 1994, ce projet culturel mêle création théâtrale, spectacles de rues, concerts de musiques amplifiées, spectacles pour enfants durant le temps scolaire, rencontres conviviales autour d’une équipe artistique dans les villages et projets en direction des familles.

La médiathèque

La médiathèque permet d’emprunter gratuitement de nombreux documents écrits, audiovisuels et multimédia et propose un poste d’accès à Internet. Elle dispose d’un fonds de 24 000 livres, 960 périodiques, 1 700 enregistrements sonores, 600 vidéos et 50 cédéroms. Une partie de ces documents provient de la bibliothèque départementale de prêt et est régulièrement renouvelée.

Parallèlement, la médiathèque organise régulièrement des expositions, conférences, lectures.

L’école de danse

L’école de danse Art & Mouvement accueille les enfants à partir de quatre ans. Plusieurs disciplines et niveaux sont proposés, ainsi que des cours pour adultes, des stages et des soirées.

La ville de Saint-Astier accueille également près d’une vingtaine d’associations et structures à vocation culturelle dont certaines à vocation départementale : Ciné-Passion en Périgord et le Conservatoire de musique.

Sports

Saint-Astier, par la richesse de ses infrastructures et le nombre important de ses associations sportives, encourage les pratiques sportives par le biais d’un service des sports qui coordonne les activités et gère les installations : deux stades, deux gymnases, quatre courts de tennis (dont un couvert), une salle de musculation, une piscine couverte.

Des éducateurs interviennent dans les écoles et auprès des clubs. Ils encadrent également les jeunes à travers le centre de loisirs et le club ados.

Jeunesse / Éducation

Pour les plus jeunes, Saint-Astier offre trois systèmes d’accueil, la crèche familiale, le service multi-accueil et le centre de loisirs maternel, ainsi qu’un centre de loisirs et une maison des jeunes.

Saint-Astier dispose de trois écoles et un collège : l'école maternelle, située en centre-ville, l’école primaire Mounet-Sully et l’école Gimel, située à la périphérie de la ville à proximité des stades et de la piscine.

Le collège Arthur Rimbaud doit déménager à la rentrée 2009 dans un nouveau bâtiment, construit sur le site de Gimel. Plus vaste, aéré et fonctionnel, il s’agira du premier collège conçu selon la norme HQE (Haute qualité environnementale) en Dordogne.

Manifestations / Fêtes locales

  • JSA d’Or, janvier
  • Festival La Vallée, mai / juin
  • Prix du Muguet (cyclisme), mai
  • Le mois du Théâtre, été
  • Nuit des Bandas, juillet
  • Itinéraire baroque, juillet
  • Académie de la Couleur, juillet
  • Fête du Cheval, août
  • Comice agricole, septembre
  • Journées du patrimoine, septembre
  • Fête votive, octobre
  • La Valentin Huot (cyclisme), octobre

Lieux et monuments

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  • Château de Bonneval, propriété privée
  • Manoir de Brouillaud, propriété privée, sur un site inscrit depuis 1979 [14].
  • Château de Crognac, XIXe siècle, propriété privée
  • Manoir d'Excideuil, propriété privée
  • Repaire de Fareyrou ou Chartreuse de Fareyrou [15], XVIe siècle, propriété privée
  • Manoir des Ferrières, propriété privée
  • Château de la Batud (ou de Labatut), XVe siècle et plus récent, propriété privée
  • Manoir de Petit-Puy, propriété privée
  • Château de Puyferrat [16], classé monument historique en 1862, propriété privée, visitable
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  • Château du Puy-Saint-Astier, XVe siècle, XVIIe siècle, XVIIIe siècle, inscrit aux monuments historiques en 1988, propriété privée
  • Deux maisons avec tourelles du XVIe siècle sont également inscrites depuis 1948
  • Maisons anciennes à pans de bois
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Écologie

Trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 1 sont constituées sur le territoire communal :

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Commons-logo.svg

Notes et références

  1. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne
  2. Texte présenté à la presse le 16 août 1991 au nom du Comité départemental de liaison de la Résistance, et publié dans le n° 82 de septembre 2006 de "la Voix de la Résistance en Dordogne"
  3. Saint-Astier sur le site de l'Insee
  4. Saint-Astier sur le site "Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui"
  5. Insee, Population légale 2006
  6. a  et b Données INSEE compulsées par le journal du Net Emploi à Saint-Astier
  7. INSEE - Enquête annuelle de recensement 2004
  8. a  et b INSEE 1999 - Emplois au lieu de travail
  9. Les entreprises de Saint-Astier sur le site du Journal du net
  10. Sud Ouest éco, supplément au journal Sud Ouest, édition Dordogne du 13 novembre 2008, pages 8 et 9
  11. Sud Ouest éco, supplément au journal Sud Ouest, édition Dordogne du 13 novembre 2008, page 25
  12. Sud Ouest éco, supplément au journal Sud Ouest, édition Dordogne du 13 novembre 2008, page 20
  13. Sud Ouest éco, supplément au journal Sud Ouest, édition Dordogne du 13 novembre 2008, page 32
  14. DIREN Aquitaine - Site du Brouillaud
  15. Contrairement à ce qui est noté dans le Dictionnaire des châteaux du Périgord de Guy Penaud (Éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 97828790012216)), la Chartreuse de Fareyrou (qui est le côté ouest du repaire de Fareyrou) n'est pas située sur la commune de Léguillac-de-l'Auche mais sur Saint-Astier
  16. Le Château de Puyferrat sur le site La passion des châteaux
  17. [pdf] Vallée de l'Isle entre Razac-sur-l'Isle et Saint-Astier sur le site de la DIREN Aquitaine
  18. [pdf] DIREN Aquitaine - Vallée du Jouis
  19. [pdf] DIREN Aquitaine - Haute vallée du Salembre

Liens externes

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