Saint-Symphorien-lès-Autun

Saint-Symphorien-lès-Autun

Autun

Autun

Vue générale d'Autun et de sa cathédrale
Vue générale d'Autun et de sa cathédrale

Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Bourgogne
Département Saône-et-Loire
(sous-préfecture)
Arrondissement Autun
(chef-lieu)
Canton Autun-Nord et Autun-Sud
Code Insee abr. 71014
Code postal 71400
Maire
Mandat en cours
Rémy Rebeyrotte
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes de l'Autunois
Site internet www.autun.com
Démographie
Population 14 806 hab. (2006)
Densité 241 hab./km²
Gentilé Autunois, Autunoises
Géographie
Coordonnées 46° 57′ 06″ Nord
       4° 17′ 58″ Est
/ 46.9516666667, 4.29944444444
Altitudes mini. 280 m — maxi. 642 m
Superficie 61,52 km²

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Voir la carte administrative

Autun ( En Bourguignon-morvandiau Autègne ) est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire et la région Bourgogne. Fondée comme « sœur et émule de Rome », capitale gallo-romaine des Éduens, évêché dès l'Antiquité, Autun a été jusqu'au Moyen Âge une importante cité bourguignonne. Aujourd'hui sous-préfecture de Saône-et-Loire, elle compte environ 14 800 habitants au recensement de 2006 (population municipale). Les habitants d'Autun sont appelés les Autunois.

Sommaire

Devise

Roma celtica, soror et aemula Romae

Géographie

La ville s'adosse sur le rebord sud d'une dépression nommée bassin d'Autun daté du Permien qui comprend le stratotype Autunien formant l'Autunois. Elle est cernée au nord de prairies bocagères (bocage à maille large), a l'ouest par le massif du Morvan, et au sud de forêts de feuillus (forêt domaniale de Planoise) couvrant un plateau gréseux. La région de l'Autunois est composée de soixante-quatre communes regroupées en sept cantons. On trouve dans les cantons d'Autun-Nord et d'Autun-Sud les communes suivantes : Antully, Auxy, Curgy, Dracy-Saint-Loup, Monthelon, Saint-Forgeot, Saint-Pantaléon (commune militant pour sa défusion) et Tavernay.

Le Ternin et l'Arroux, affluent de la Loire, traversent une partie de l'agglomération.

Le climat de la ville est caractérisé par des influences méridionales plus marquées que dans le reste du Morvan, notamment du fait de l'altitude inférieure à quatre cents mètres. La pluviométrie est modérée (inférieure à 900 mm/an sur trente ans).

Panorama sur la ville d'Autun
Rose des vents L'Orme Saint Pantaléon Rose des vents
N Saint Symphorien
O    Autun    E
S
Couhard Saint Pierre
Enclave:

Histoire

Autun est une grande ville d'histoire qui a conservé de nombreuses traces antiques ou médiévales. La ville fut l'une des capitales catholiques Romaines.

Augustodunum, ville romaine

Article détaillé : Augustodunum.
Remparts gallo-romains

C'est sous le règne de l'empereur romain Auguste (-27/14) qu'a été fondée la cité d'Autun : son nom antique, Augustodunum, signifie la forteresse d'Auguste. Auguste avait la volonté de créer une grande cité en Gaule qui montrerait la puissance romaine. Augustodunum fut donc doté de splendides monuments qui font aujourd'hui encore sa renommée.

On peut ainsi admirer à Autun :

  • Une enceinte longue d'environ 6 km, comportant de nombreuses tours. Elle a la forme d'un losange et entoure une superficie de 200 ha environ. Elle était percée de quatre portes (dont deux subsistent) aux extrémités des deux rues principales qui se coupaient à angle droit (cardo maximus et decumanus maximus).
Théâtre gallo-romain
  • Un amphithéâtre aujourd'hui disparu, situé à côté du théâtre.
  • Les portes de Saint-André et d'Arroux qui constituaient deux des quatre entrées permettant de franchir les murailles de la cité.
  • Le temple dit « de Janus », à l'extérieur des remparts. Ce temple a été à tort attribué à la divinité romaine Janus, en vérité les archéologues ignorent quelle divinité était vénérée en ce lieu. On peut lire sur une plaque explicative près du temple de Janus :
« Au nord-ouest de la ville antique, sur la rive droite de l'Arroux, se développait un quartier dont le seul vestige visible, le temple dit « de Janus » souligne la vocation cultuelle. […] La forme particulière de ce temple, dit fanum est de tradition gauloise quoique sa technique de construction, datable du 1er siècle de notre ère soit romaine. Le nom de Janus lui a été associé à tort au XVIe siècle par l'historien Pierre de Saint-Julien de Balleure qui interprètera ainsi le nom du secteur où il s'élève : La Genetoye. Ce terme désigne en fait un lieu où poussent des genêts. La divinité vénérée ici, reste totalement inconnue. […] »
  • La pierre de Couhard, qui se dresse dans une ancienne nécropole.[réf. souhaitée]
  • Une courte portion du cardo maximus, traversant la ville selon un axe nord-est/sud-ouest.

La création d'Autun attira les populations environnantes et notamment les habitants de Bibracte, l'oppidum éduen, qui tomba peu à peu dans l'oubli.

Autun fut célèbre pour son école de rhétorique.[réf. souhaitée]

Prise par Julius Sacrovir en l'an 21, elle fut le foyer de la révolte de ce Gaulois (qui se tua aux environs). Au IIIe siècle, elle fut assiégée pendant sept mois, prise et détruite par l'usurpateur Victorinus en 270 ; puis rebâtie dans le siècle suivant par Constantin.

Moyen Âge

Tympan de la Cathédrale Saint-Lazare, Autun

Léger (vers 616- décédé en 678), était évêque d'Autun. Il fut torturé sur l'ordre du maire du palais Ébroïn, qui le fit ensuite assassiner.

La ville fut saccagée par les Sarrasins du général Ambiza le 22 août 725, et suite à ce désastre, quelques années plus tard en 733, Charles Martel la confie à Théodoric Ier (708 - 755?), petit fils de Bernarius, fondateur de la lignée des Thierry comtes d'Autun, dont Thierry II d’Autun (748-804) est frère du célèbre Guillaume de Gellone (751-28 mai 812).

Elle est à nouveau saccagée par les Normands en 888. Elle fut depuis le Xe siècle le chef-lieu d'un comté dépendant du duché de Bourgogne.

Au Moyen Âge, la ville devient un important lieu de pèlerinage, et se voit dotée d'une nouvelle cathédrale en plus de la Cathédrale Saint Nazaire d'Autun. On venait y vénérer les reliques supposées de saint Lazare, non pas celles de Lazare, celui de la Bible, mais celles d'un évêque de Marseille du Ve siècle ; ce dernier avait participé à l'évangélisation de la Provence et avait été décapité sous le règne de Domitien, en l'an 94. Le culte de saint Lazare à Autun au XIIe siècle répondait certainement à celui de Marie-Madeleine présent à Vézelay. La cathédrale Saint-Lazare (1120), église romane de type clunisien, est célèbre, grâce à son tympan sculpté avec beaucoup de détails représentant le jugement dernier et signé de l'artiste Gislebert. Ce portail magistral doit aux chanoines d'Autun sa préservation exceptionnelle.

Plans de la cathédrale d'Autun.
Croix de la Libération sur les hauteurs d'Autun
Plaque sur la Croix de la Libération

Héraldique

Blason Blasonnement
« D'or au lion de gueules, au chef bandé d'or et d'azur de six pièces et bordé aussi de gueules. »
Commentaires : Première mention de ce blason en 1529 par Barthélemy de Chasseneuz dans son Catalogus De Gloriae Mundi imprimé à Lyon.

Temps modernes

En 1788, Talleyrand devient évêque d'Autun. Il fut élu député du clergé pour les États généraux de 1789. Il prononça un vibrant discours en 1789 pour se faire connaître, car il n'était venu qu'une fois auparavant.

Le lycée du XVIIe siècle tient une place importante dans l'histoire de la ville et même de la France puisque Napoléon Bonaparte, qui lui a donné son nom actuel, ainsi que ses frères Joseph et Lucien y ont fait leurs études. Ce lycée continue de fonctionner de nos jours. On peut y admirer les grilles en fer forgé érigées en 1772, les matières enseignées dans ce lieu y sont indiquées par divers représentations d'objets le long du haut de ces grilles.

L'ancien hôtel du marquis de Fussay situé rue de l'Arquebuse, construit en 1782, devient le siège de la sous-préfecture en 1820. Pendant la guerre franco prussienne, Garibaldi en fait son quartier général fin 1870 et début 1871.

Époque contemporaine

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, Autun est libérée le 9 septembre 1944 par les troupes françaises débarquées en Provence[1].

Administration

Jusqu'à la Révolution, on désignait le maire sous le nom de vierg. Cette appellation était typiquement autunoise et venait de vergobret.

Autun fait partie de la communauté de communes de l'Autunois, composée de 22 communes, ainsi que du pays de l'Autunois-Morvan, composé de 5 communautés de communes regroupant au total 61 communes.

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
13 novembre 1791- Ferdinand Pierre Marie Dorothée Guillemardet - -
- 1931 Charles Perrucot - -
1931 1945 Dr Fernand Renaud divers droite -
- octobre 1947 Jean René Monrose - -
- janvier 1969 Marcel Lucotte R.I. (UDF) -
- juin 1995 Didier Martinet PS -
mars 2001 en cours Rémy Rebeyrotte PS -
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Dans son ouvrage sur Autun,p77,Denis Grivot indique une population de 2000 habitants environ (quatre cents feux) a la fin du XVe siécle.


Évolution de la population d'Autun depuis 1793
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
7 792 9 176 9 400 9 744 9 936 10 435 11 164 11 637 11 997 11 156
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
11 897 12 389 11 684 12 889 14 049 14 895 15 187 15 543 15 764 15 479
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
15 498 13 856 14 119 14 045 14 863 14 438 14 399 15 305 18 398 21 556
1982 1990 1999 2006 - - - - - -
20 857 17 906 16 419 14 806[2] - - - - - -
1962 à 1999 : population sans double compte (recensement) ; à partir de 2006 : population municipale légale.
Sources : Cassini[3] et INSEE[4]

Histogramme de l'évolution démographique depuis 1793 :

Économie

Monuments aux morts

Le sous-sol riche en charbon et surtout en huile minérale n'est pas étranger à l'essor de la ville. La seconde est extraite depuis l'époque romaine des schistes bitumineux autuniens. À l'époque romaine, les schistes furent utilisés comme roches décoratives (le schiste dont on extrait l'huile minérale étant solide à l'état natif). Leur exploitation industrielle entamée en 1824, a fourni dès 1837 une « huile de schiste » destinée à l'éclairage. L'extraction a continué tant bien que mal jusqu'en 1957 malgré la concurrence croissante du pétrole. Seuls les deux terrils des Télots et quelques bâtiments en ruine témoignent de ce passé minier.

Le patrimoine historique, culturel, naturel ainsi que la proximité du Parc naturel régional du Morvan dont Autun est une ville partenaire, est sa plus grande richesse et la ville tente, par le tourisme, d'assurer son développement.

La ville d'Autun profite également de la présence de trois sites de production Dim (fabrication d'articles chaussant à mailles, centre logistique) qui représentent 1 379 emplois. Autun est devenu le berceau de la marque Dim en 1956. La société les Câble de Lyon, devenue Nexans par la suite, est aussi un point fort économique pour la ville.

En 2004, Autun a créé son premier centre commercial dans la zone d'activité de Bellevue. La ville a aussi un bureau de la Chambre de commerce et d'industrie de Saône-et-Loire.

Par sa proximité avec le Morvan, Autun est aussi une ville de l'industrie du bois. La présence de forêts privées et publiques (bureau de l'ONF d'Autun) a facilité le développement de corps de métiers et d'entreprises liés à cette industrie. Autun possède une chaufferie utilisant la biomasse environnante, construite par la firme Dalkia en 1999.

Enseignement

Collèges
  • Collège La Châtaigneraie
  • Collège Du Vallon
  • Collège Saint-Sacrement (Privé)
  • Collège Changarnier (Militaire)
Lycées
  • Lycée Bonaparte Pôle Général
  • Lycée Bonaparte Pôle Technologique et Professionnel
  • Lycée Saint-Lazare (Privé)
  • Lycée militaire d'Autun

Personnalités liées à la commune

(par ordre chronologique de naissance)

  • Symphorien d'Autun († vers 178), martyr chrétien ;
  • Lothain, Lautein ou Lautenus (Autun v. 477 - Silèze v. 518) : moine ermite qui s'installa à Silèze et y fonda un monastère, le village prit par la suite le nom de Saint-Lothain.
  • Léger d'Autun ou Leodogarius (sur les bords du Rhin, en Austrasie v. 615 - forêt de Sarcing auj. Lucheux, Somme 678) : évêque d'Autun (659-678) ; il fut martyrisé à plusieurs reprises et mourut décapité.
  • Nicolas Rolin (Autun 1376 - id. 1462) : homme d'état bourguignon ; fut chancelier de Bourgogne.
  • Talleyrand [Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord] (Paris 1754 - id. 1838) : homme politique, diplomate et homme d'Église : il fut évêque d'Autun (1788-1791).
  • Nicolas Changarnier (Autun 1793 - Paris 1877) : général et homme politique ; fut gouverneur de l'Algérie (1848).
  • Jules Miot (Autun 1809 - 1883) : membre du Conseil de la Commune de Paris.
  • Ernest Pinard (Autun 1822 - Bourg-en-Bresse, Ain 1909) : homme politique ; ministre de l'Intérieur (1867-1868).
  • Jules Basdevant (Anost, Saône-et-Loire 1877 - id. 1968) : juriste, professeur de droit, spécialiste en droit international ; il fut président de la Cour internationale de justice de La Haye (1949-1952).
  • Romain Galland dit Romano « Le Beau » (Le Creusot 1979 - ) : animateur radio sur Skyrock avec Difool dans l'émission Radio Libre ; il est citoyen d'honneur d'Autun.
  • Napoléon Bonaparte est admis au collège d'Autun le 1er Janvier 1779 grâce à son père assesseur de la juridiction royale d'Ajaccio, et connaissant Mgr de Marboeuf (frère du gouverneur de Corse). Il y retrouve ses frères Lucien Bonaparte et Joseph Bonaparte.

Culture

Autun est classée Ville d'Art et d'Histoire. En 1973, Autun accueille la cinquième édition du Festival Europa Cantat

Monuments et lieux touristiques

« Vue générale d'Autun prise sur le chemin de Monjeu » (Jean-Baptiste Lallemand, vers 1780). Aujourd'hui faubourg Saint-Blaise.

Autun, au cœur de la Bourgogne, a gardé un certain charme et possède de nombreux monuments.

  • La cathédrale St-Lazare, d'époque romane, connue par ses sculptures, en particulier, du tympan ;
  • La tour des Ursulines est une tour octogonale située sur les hauteurs de la ville. La tour, entourée des remparts romains, est surmontée d'une statue de la Sainte-Vierge haute de 3 m, datant de 1862, également classée. Elle est la propriété depuis 1997 du restaurateur d'art et peintre japonais Hisao Takahashi. Le premier week end de mai, on peut voir des carpes de tissus de la cérémonie de kodomo no hi flotter au vent. Il est possible de grimper au sommet en été seulement.
  • La place du Champ de Mars, qui est le cœur de la ville où se greffent les deux rues piétonnes (rue aux Cordiers et rue St-Saulge). L'Hôtel de Ville et le Théâtre à l'italienne de la ville inauguré en 1884. Le marché s'y tient le mercredi et le vendredi ;
  • Le théâtre romain, où est interprété le spectacle d'Augustodunum tous les étés ;
  • Les portes romaines : St-André, d'Arroux ;
  • Le temple dit « de Janus »;
  • La pierre de Couhard, monument funéraire antique de forme pyramidale, porteur de légendes.
  • Les remparts qui ceinturent la vieille ville.
  • Le Lycée militaire d'Autun, aux belles tuiles vernissées. Ancien grand séminaire construit au XVIIe siècle, il comprend maintenant depuis 1884 une école militaire préparatoire, puis un collège et enfin, depuis 1981, un lycée militaire. Il accueille des élèves originaires de toutes les régions françaises, dont les parents sont au service de l'État. Les deux quartiers abritent les élèves de la 6e aux classes préparatoires. La construction de nouveaux bâtiments a récemment permis la découverte de vestiges romains importants.
  • L'ancienne prison cellulaire, construite en 1854, fut l’une des premières prisons françaises à adopter le mode de détention cellulaire, le Panoptique. Désaffectée depuis 1955, elle est maintenant protégée par les monuments historiques et est notamment remarquable pour son plan circulaire.
  • Cascade pittoresque de Brisecou, lieu romantique.
  • La croix de la Libération qui domine le tout Autun.

Musées



Manifestations culturelles

  • Fête du livre en avril.
  • Festival Musique en Morvan[5]
  • Grand Spectacle Gallo-Romain "Augustodunum III"
  • La Foire du Meuble (fin août/début septembre)
  • La Foire du 1er mars et du 1er septembre, où tout le centre ville devient zone piétonne avec de nombreux stands. Une fête foraine s'installe pendant 15 jours.
  • Les nuits de la gargouille en juillet et août.
  • La semaine gallo-romaine en août.
  • Festival tuyaux et vielles dentelles en juillet.
  • Visites guidées à thèmes (cathédrale, musée Rolin, théâtre romain, musée lapidaire, au fil de l'eau, les remparts antiques, quartier marchaux, lycée militaire...).
  • En juillet et août, visites guidées de la cathédrale en anglais et en néerlandais.

Sport

Quelques clubs phares de la ville :

  • Basket : le CS Autun Basket évolue en Nationale 2 et joue dans la Salle de l'Arquebuse.
  • Rugby : l'AS Autunoise évolue en Fédérale 3 secteur Nord-Est et joue au Stade Saint Roch.
  • Football : l'Autun FC et Le Football Benfica Autun évoluent en Ligue Bourgogne et jouent au Stade Saint Roch.
  • Handball : O.C. Autun
  • Natation : Club Nautique Autunois
  • Société de tir autunoise (à Saint-Forgeot) : de nombreux titres en armes anciennes

Cultes

Catholique

  • Cathédrale Saint-Lazare
  • Église Notre-Dame (place du champ de Mars)
  • Église Saint-Jean (avenue de la République)
  • Église de Saint-Pantaléon (Saint-Pantaléon)
  • Église de Saint-Forgeot (Saint-Forgeot)
  • Église de Fragny (Fragny)
  • Église de Couhard (Couhard)

Musulman

  • Association Culturelle et Musulmane Autunoise, rue du 11 novembre.
  • Association Culturelle Musulmane d'Autun, rue du Faubourg Saint-Andoche.

Protestant

  • Chapelle Saint-André, temple de l'église réformée (accolée à la porte Saint-André)

Ville de garnison

Unités militaires ayant tenu garnison à Autun :

Jumelages

Bibliographie

Autun par Denis Grivot, LESCUYER, Lyon, 1967

Notes et références

Voir aussi

Articles connexes

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Liens externes

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