Psychanalyse et autisme

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Psychanalyse et autisme

Articles principaux : Autisme et Psychanalyse.

En psychanalyse, l'autisme est représenté selon divers modèles théoriques :

Toutes ces expressions visent à représenter une défaillance dans la façon dont le psychisme de l'enfant se structure par le rapport à son environnement (environnement parfois appelé symboliquement la mère, le sein, ou l'objet primaire). L'autisme est lié par ces modèles aux toutes premières bases de cet organisation psychique (on parle parfois de forte carence en termes de symbolisation primaire).

« La psychanalyse bien comprise et les hypothèses qu’elle permet de faire sur la psychopathologie de l’autisme n’ont aucune prétention causale. Elles cherchent à élucider les mécanismes qu’utilise un enfant, privé, pour toutes sortes de raisons, en grande partie biologiques, d’une communication normale avec son environnement, afin d’organiser sa représentation du monde.[2] »

En terme de prise en charge thérapeutique, la compréhension de ces mécanismes doit aider à distinction des différents facteurs, mais la prise en charge psychologique sur ces bases est accusée avec force par des associations de parents d'être pratiquée au dépends des autres méthodes de prise en charge de l'autisme (surtout en France) voir de se faire dans la négations des causes cognitives et/ou génétiques; et même d'être utilisée pour justifier certaines dérives.[3]

Sommaire

Histoire du rapport entre autisme et psychanalyse

Il est globalement admis par les psychanalystes spécialiste du sujet que l'autisme ne se limite pas à ce qui peut en être théorisé en psychanalyse[4].

Distinctions

Le terme autisme viens de la psychiatrie. Il est crée par Eugen Bleuler en 1911 et en 1943 les descriptions princeps de l’« autisme infantile » sont réalisées par Léo Kanner[5] et la « psychopathie autistique » est décrite par Hans Asperger [6] (mais il ne serra popularisé que beaucoup plus tard).

La conceptualisation est effectué dans un champs plus interdisciplinaires, un grand nombre de chercheurs de psychistes et de psychanalystes se sont intéressés aux origines de la pensée (observations de nourrissons), à la psychopathologie de l’enfant et aux activités perceptivo-sensorielles et motrices les plus précoces pour élaborer de nombreux concepts utilisés pour les psychothérapies de l’autisme, des psychoses infantiles ou des états limites, mais aussi, de façon plus large, pour la connaissance des fondements du psychisme tant dans sa dimension individuelle que groupale : pourquoi et comment le sujet humain pense, quels sont les outils psychiques de base nécessaires à l'apparition de la pensée, et à quoi sert-elle  ?

Les concepts qui peuvent ultérieurement être reliés à l'autisme (voir la liste des concepts liées) se sont développés parfois indépendamment, et globalement à des époques ou les connaissances sur l'autisme était très réduites.

Premiers liens, polémiques sur les causes

Dès le départ, la question de l'étiologie de l'autisme a généré certaines difficultés, d'une part en raison de la nouveauté de l'appréhension de ces problèmes rendant difficile une position claire par manque de données scientifiques, d'autre part à cause de la manière dont certaines de ces idées ont été diffusées ou médiatisées.

Ainsi, avant de trancher sur la fin de sa vie pour une étiologie génétique, le psychiatre Léo Kanner, un des précurseurs de la recherche sur l'autisme et créateur de na notion d'autisme infantile, avait d'abord privilégié une origine psycho-affective en évoquant une froideur maternelle susceptible d'entraîner des difficultés de contact avec le bébé.

Ce changement important de perspective n'a pas eut un écho médiatique comparable à la popularisation des idées de Bruno Bettelheim qui s'est davantage effectuée par les médias (émissions de télévision) que par ses livres, ce qui a pu entretenir certaines confusions. La création de l'Orthogénic School en 1947 sous la forme d'un internat où lui seul rencontrait les familles avec l'hypothèse d'une fonction psychotisante du milieu (les situations extrêmes) a probablement aussi alimenté l'idée selon laquelle les parents pourraient être directement responsables de l'apparition des troubles autistiques chez leur enfant.

D'autre part, le lien à la psychanalyse n'est pas toujours évident, y compris pour les psychanalystes. Par exemple on peut lire « Il importe de remarquer que la conception de B. Bettelheim n’est aucunement d’origine psychanalytique, mais provient de son observation que certains déportés en camp de concentration étaient en retrait autistique.[7] »

évolution, et intégration de la diversité des causes potentielles

Cependant, après avoir privilégié une origine psychique pure, la psychanalyse a aujourd'hui intégré les données de la neurophysiologie et de la génétique et, dès le début des années 1970, Frances Tustin affirmait qu'il pouvait y avoir une sensibilité génétique des enfants à devenir autiste. De fait, Margaret Mahler, Frances Tustin, Donald Meltzer, Françoise Dolto ou Maud Mannoni sans cesser d'interroger le sens que peut prendre l'autisme dans la relation parents-enfant, ont tous laissé ouverte la question de l'origine des troubles. Ceci impose une approche plurifactorielle ou la part de la psychogénèse est variable, même si un abord psychique des troubles demeure essentiel quelles que soient les causes profondes.

L'existence de différences importantes entre les sujets autistes accrédite l'idée d'une étiologie complexe. Toutefois des causes variées peuvent aboutir au même fait central à savoir que ces enfants ont fait trop précocément, et/ou avec un équipement insuffisant, l'expérience de la perte de l'objet et qu'ils n'ont pu y faire face autrement qu'en élaborant des défenses autistiques. Celles-ci visent, notamment avec l'objet autistique ( cf. Frances Tustin) à boucher le trou de la séparation en niant les liens et peuvent donc empêcher l'enfant autiste et son agent maternant de se trouver réciproquement au sein d'une relation primaire suffisamment satisfaisante pour eux (la dyade).

Si les causes de l'autisme peuvent être multiples et se combiner entre elles : problèmes génétiques, infectieux ou neurophysiologiques, accouchement difficile, maladies néonatales entraînant des hospitalisations, mais aussi dépressions maternelles, absence de soutien paternel, deuils de parents ou d'enfants, violences transgénérationnelles, déracinements culturels, reviviscence de problèmes familiaux anciens ... le résultat final est la difficulté pour les partenaires de vivre une symbiose (psychanalyse) heureuse pourtant indispensable au développement normal du bébé c’est-à-dire au processus d'humanisation et d'individuation (Margaret Mahler). Cela entraîne secondairement l'impossibilité à élaborer une séparation psychique qui est à l'origine des déficits symboliques (jeu, langage élaboré...) que l'on constate par la suite chez l'enfant autiste (Mélanie Klein, Jacques Lacan).

Hypothèses récentes

Le groupe de recherche et de prévention de l’autisme (P.R.E.A.U.T.) à proposé de relier plus précisément l'établissement du trouble autistique au « troisième temps pulsionnel oral » qui n'aurait pas pu se faire normalement.[8]

Cette étape s'inscrit dans l'interprétation théorique selon laquelle dans un premier temps l'enfant cherche à obtenir une satisfaction qui proviens de l'extérieure ou de l'autre; dans un deuxième temps il déplace cette recherche sur son propre corps; et un troisième temps il se fait « l’objet de satisfaction de l’Autre » (selon Freud[9]), autrement dit il « s’agit d’une apparente passivité dans laquelle quelqu’un se laisse regarder, se laisse manger…dans le jeu du faire semblant » (selon lacan[10]).

Dans cette « épopée symbolique du nouveau née »[11], l'enfant autiste se distinguerait donc, selon ces conclusions, par le fait qu'il n'entrerait pas dans cet échange symbolique qui consisterait donc à faire semblant pour satisfaire l'autre.

Le soin d'inspiration psychanalytique en France

En France les centres de consultation et institutions pour les enfants autistes et psychotiques sont relativement récents. Ce sont des psychanalystes : Serge Lebovici, Philippe Paumelle, et René Diatkine qui ont créé en 1958 l'Association de Santé Mentale du 13e arrondissement de Paris, avec en 1961 le premier centre de consultation publique (le Centre Alfred Binet qui propose des thérapies psychanalytiques) puis la création du premier Hôpital de Jour en France. En 1969 Maud Mannoni crée l'école de Bonneuil sur Marne en s'inspirant des travaux de Jacques Lacan mais aussi des concepteurs de la psychothérapie institutionnelle Jean Oury, Félix Guattari, François Tosquelles qui avaient travaillé, mais avec des adultes, à l'Hôpital Saint Alban et/ou à la clinique de la Borde. À noter aussi les observations de jeunes sujets autistes faites par Fernand Deligny à partir de 1967 à Graniès, dans les Cévennes. En province la création du premier Hôpital de Jour pour enfants (IRP de Bègles) date de 1970, sous l'égide du Professeur Blanc, Président du CREAI d' Aquitaine, et du Docteur Jacques Loisy. Progressivement d'autres structures sont créées pour les jeunes enfants sur le territoire, mais souvent en nombre insuffisant, au fur et à mesure que la sectorisation psychiatrique, commencée en 1968, se met peu à peu en place.

Cela n'a pas empêché que jusque vers les années 1975 beaucoup d'enfants autistes ont continué d'endurer des conditions de vie dramatiques dans les anciens asiles où certains étaient placés, et où ils mouraient très jeunes de désespoir et d'insuffisance de soins (hospitalisme), d'autres restant cachés au domicile des parents par suite d'une absence de structures adaptées et de l'immense désarroi familial face à des troubles aussi étranges.

Il revient incontestablement aux personnes bien formées à la psychanalyse d'avoir humanisé le soin de ces enfants : en France (Serge Lebovici et son équipe) comme à l'étranger, (Bruno Bettelheim avant sa déportation s'intéressa le premier à ces questions en accueillant chez lui de 1932 à 1938 deux enfants autistes) en mettant davantage l'accent sur le traitement psychique que sur le handicap et en privilégiant un abord très individualisé des situations, toutes différentes, qui se présentent. Quelle que soit la cause de l'autisme un soin fondé sur la relation humaine, et non sur le forçage, est indispensable dans le respect des étapes maturatives de l'enfant et de sa souffrance ce qui suppose une connaissance approfondie du psychisme initiée par la psychanalyse. Tous les soignants insistent sur une prise en charge la plus précoce possible.


S'il est difficile aujourd'hui de faire un bilan précis de l'apport lié à ces méthodes attentives à la situation particulière de chaque enfant et du groupe familial tout entier dont il fait partie, on doit cependant indiquer que beaucoup de jeunes enfants autistes et psychotiques, même si l'on ne peut pas parler de guérison, voient leur situation s'améliorer pour ce qui concerne une meilleure utilisation du langage, une réduction importante de leurs angoisses, des communications plus faciles avec leur entourage ainsi qu' un accès au savoir et au jeu qui leur était la plupart du temps impossible auparavant. Mais il manque encore trop souvent de structures d'accueil adaptées où les adolescents et les jeunes adultes pourraient poursuivre l'évolution commencée en institution qui demeure souvent irremplaçable en raison de la nécessité thérapeutique d'un abord pluridisciplinaire et multifocal de la souffrance de ces enfants et de leur famille.


Aujourd'hui l'approche psychanalytique de l'autisme se fait principalement dans trois directions :

  • avec l'enfant en institution spécialisée type hôpital de jour autour de la notion de "contenance" (cf. Wilfred Bion) avec de nombreuses techniques verbales et non verbales  : ateliers thérapeutiques variés, thérapie individuelle ou groupale, pataugeoire, psychomotricité, orthophonie ... pour l'aider à s'ouvrir à une relation subjective, en complément des techniques éducatives et pédagogiques qui ont toute leur place à condition qu'elles soient souples et respectent l'évolution de l'enfant, ce qui nécessite un travail d'équipe coordonné et une "mise en récit du soin" (Jacques Hochmann).
  • avec la famille grâce à divers entretiens avec les membres de l'équipe et / ou des intervenants extérieurs pour mieux accompagner leur enfant et pour retrouver un fonctionnement aussi satisfaisant que possible, la présence d'un enfant autiste en son sein étant une épreuve des plus déstabilisantes pour son équilibre.
  • avec les soignants grâce aux réunions d'équipe et supervisions pour mieux comprendre les mouvements intérieurs très archaïques que peut éveiller en eux la prise en charge d'enfants autistes, et la dimension institutionnelle du soin.

voir aussi

Liste de concepts liées

Marie-Dominique Amy (accordance), Piera Aulagnier (pictogrammes), Didier Anzieu (enveloppes psychiques, Moi-peau, miroir sonore), Gregory Bateson (double bind), Bruno Bettelheim (situations extrêmes), Esther Bick (identité adhésive, position adhésive, skin container, méthode d'observation des bébés), Wilfred Bion (fonction alpha, contenant-contenu, pare-excitation, rêverie maternelle, angoisses catastrophiques, éléments bêta), José Bleger (cadre, noyaux agglutinés, symbiose, ambiguïté), John Bowlby (attachement), Thomas Berry Brazelton (enveloppe d'interactions réciproques, compétences du nourrisson), Jean-Pierre Caillot (position narcissique adhésive ), Françoise Dolto (image inconsciente du corps), Michael Fordham (soi primaire, défenses du soi, soi gelé), Sigmund Freud ( narcissisme, stade oral, origines corporelles du moi, roman familial, dénégation, fort-da …etc.), Evelyne Granjon (objets bruts), Geneviève Haag (clivages corporels, mantèlement, identifications intracorporelles de jonction, structures rythmiques de base, grille de repèrage clinique des étapes évolutives de l'autisme infantile traité), Paula Heimann (objets enkystés), Jacques Hochmann (mise en récit du soin), Eliott Jaques (défenses contre les angoisse primitives), René Kaës (appareil psychique groupal, fonction conteneur, pactes dénégatifs), Mélanie Klein (identification projective, bon et mauvais objet, positions paranoïde-schizoïde et dépressive), Léon Kreisler, Bertrand Cramer et Serge Lebovici (interactions fantasmatiques), Jacques Lacan ( forclusion du Nom du Père, stade du miroir ), Rosine Lefort et Robert Lefort (Autre troué/non troué), Margaret Mahler (phase autistique normale, symbiose (psychanalyse), séparation-individuation), Donald Meltzer (démantèlement, bi-dimensionnalité, identification intrusive), Gisela Pankow (corps vécu spatial et temporel), Paul Schilder (image du corps), Hanna Segal (équations symboliques), René Spitz (dépression anaclitique, dyade, hospitalisme, cavité primitive, organisateurs du moi), Daniel Stern (accordage affectif), René Thom (théorie des catastrophes, attracteurs), François Tosquelles (constellation transférentielle), Frances Tustin (formes ou traces autistiques, autisme primaire normal, trou noir de la psyché, matrice postnatale, objets autistiques et confusionnels, sensations objets), Henri Wallon et René Zazzo (le stade du miroir), Donald Winnicott ( setting, holding, handling, breakdown, objets et phénomènes transitionnels, capacité à être seul )...

Bibliographie

Par ordre chronologique

  • Jacques Lacan : "Le Séminaire, Livre III, Les psychoses (1955-1956), Paris, Le Seuil.
  • José Bleger : "Symbiose et ambiguïté", PUF, 1967, ISBN 2130366031.
  • Bruno Bettelheim : "La Forteresse vide" Gallimard, Paris, 1969.
  • Michael Fordham : "The self and autism" Karnac Books (1976), ISBN 0433308826
  • Frances Tustin : "Autisme et psychose de l'enfant", Le Seuil, Paris, 1977.
  • Frances Tustin : "Les états autistiques chez l'enfant" Le Seuil, Paris, 1981.
  • Eugène Bleuler : L'invention de l'autisme, "Analytica", 1988, Ed Navarin, Paris.
  • Frances Tustin : "Le trou noir de la psyché", Le Seuil, Paris, 1989.
  • Frances Tustin : "Autisme et protection", Le Seuil, Paris, 1992, ISBN 2020136619.
  • Marie Christine Laznik : "Vers la parole", Denoël, Paris, 1995.
  • Denys Ribas, Roger Perron et coll: "Autismes de l'enfance" Ed.: PUF, 1997, Monographies de la Revue française de psychanalyse, ISBN 2130456030.
  • Pierre Delion: "Séminaire sur l'autisme et la psychose infantile", Erès, 1997.
  • Margaret Mahler : "Psychose infantile - Symbiose et individuation" Ed: Payot-Rivages, Coll.: PBP no 30, 2001, ISBN 2228894575.
  • Denys Ribas: "Controverses sur l'autisme et témoignages", Ed.: Presses Universitaires de France, 2004, ISBN 2130543944.
  • Donald Meltzer : "Explorations dans le monde de l'autisme" Ed: Payot, 2004, ISBN 2228896462;
  • Anne Alvarez, ­Susan Reid, Préf. Didier Houzel ­"Autisme et Personnalité" (Les recherches de l'Atelier sur l'Autisme de la Tavistock Clinic ), Hublot, 2001, ­ ISBN 2912186153.
  • Robert et Rosine Lefort : "La distinction de l'autisme", Le Seuil, Paris, 2003.
  • Chantal Lheureux Davids : "L'autisme infantile ou le bruit de la rencontre", L'Harmattan, 2003.
  • Bernard Golse, Pierre Delion : "Autisme, état des lieux et horizons", 2005 Ed ERES, ISBN 2749205077.
  • Frances Tustin (avec de nombreux textes inédits en français, notamment "Le stade autistique primaire de l'enfant, une erreur qui a fait long feu" (1994), etc., in Journal de psychanalyse de l'enfant, 2006, n0 38, Ed.: Bayard, ISBN 2227476087.
  • Bernard Touati, Fabien Joly, Marie-Christine Laznik : "Langage, voix et parole dans l'autisme", PUF, 2007, ISBN 2130557120
  • Jean-Louis Bonnat : "Autisme et psychose", PUR, 2008.
  • Jacques Hochmann, Histoire de l'Autisme Paris, Odile Jacob, 2009.(ISBN 9782738121530)
  • Jean-Claude Maleval : L'autiste et sa voix, Seuil, 2009
  • Jean-Claude Maleval : "L'autiste, son double et ses objets", PUR, 2009.
  • Martin Joubert : "L'enfant autiste et le psychanalyste, Essai sur le contre-transfert dans le traitement des enfants autistes", PUF, 2009.
  • G. Berquez : "L'autisme infantile - Introduction à une clinique relationnelle selon Kanner", PUF, Paris. (Date à préciser)
Extrait d'ouvrage
  • Robert et Rosine Lefort : Marie-Françoise ou l'autisme, "Naissance de l'Autre", Le Seuil, Paris, p263-382.
  • Jacques Lacan : Allocution sur les psychoses de l'enfant, "Autres écrits", Ed. du Seuil, Paris, 2001, p361-371.

Notes et références

  1. Documentaire vidéo Francoise Dotlo, volume 2, Parler vrai (37éme minute environ)
  2. Jacques Hochmann Un phénomène social : l'autisme (source utilisée)
  3. « Le packing s’appuie sur une conception largement héritée de la psychanalyse » affirme Brigitte Axelrad (source utilisée)
  4. Par exemple Jacques Hochmann, étant son Histoire de l'Autisme aux enfants sauvages et aux troubles envahissants du développement (Paris, Odile Jacob, 2009.(ISBN 9782738121530)); autre exemple, Marie-christine Laznik défend souhaiter l'avis d'autres spécialistes interview de Marie-christine Laznik sur oedipe.org
  5. Autistic Disturbance of Affective Contact dans Nervous Child N°2 (1943) p. 217-250 (texte en ligne)
  6. titre originale : Die 'Autistischen Psychopathen' im Kindesalter [lire en ligne]
  7. G. Haag source utilisée
  8. source utilisée
  9. Freud, Pulsions et destins de pulsions, O.C. Vol XIII, PUF, 1988 (source identique)
  10. Lacan, Les quatre concept fondamentaux, Paris, Seuil, 1973 (source identique)
  11. selon les termes du titre du livre de G. Cullere‑Crespin (: L’épopée symbolique du nouveau‑né, Paris, Eres, 2007
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