Prénom

Prénom

Le prénom est un nom personnel qui précède le patronyme ou nom de famille. Il est utilisé pour désigner une personne de façon unique, par opposition au nom de famille qui est partagé et hérité. Dans certaines cultures, il n’y pas de prénom mais un ou plusieurs postnoms.

Sommaire

Son caractère récent

Les noms de famille (à l'époque, les prénoms s'appelaient noms car les personnes n'avaient qu'un seul terme pour désigner leur identité) apparaissent quand une hausse de la démographie ne permet plus de différencier les individus par leur prénom. En France, on en retrouve les premières traces écrites au XIIe siècle. Jusqu'à la fin du Moyen Âge, le nom de personne ou nom de baptême (correspondant au saint du jour de sa naissance) est donc le nom principal de toute identité. Il dérive, pour l'Europe latine, du cognomen romain. Il est accompagné (généralement suivi), afin de distinguer les différentes personnes portant le même prénom, de différents noms déterminants : nom d'origine géographique, de résidence (du chêne ou l'angevin), de filation (patronyme : le Martin de Jean ou de Luc), de parentalité, de métier (le marchand ou boucher) ou surnom - souvent une singularité liée au physique ou au caractère (sobriquets comme le grand, le bon, joly ou encore Martineau, le petit Martin). Aussi a-t-on, durant les derniers siècles du Moyen Âge en Europe, plus tard ailleurs (dans les pays arabes par exemple), au moment de fixer pour chacun un nom de famille, choisi ces déterminants. L'un d'eux devient nom de famille et acquiert, dans l'identité, une place prépondérante. Le nom de personne n'est plus alors qu'un « prénom », ce n'est plus lui qui sert d'entrée dans les dictionnaires bien qu'il précède le nom de famille dans le temps (c'est le nom de l'enfance), dans la graphie et dans l'usage oral[1], d'ailleurs étymologiquement, prénom signifie avant le nom (pré- de l’adverbe et préfixe latin prae (« devant, avant »).

Il reste quelques traces de l'ancienne prépondérance du nom de personne. Quand les Russes veulent être particulièrement polis et respectueux, ils s'adressent à une personne par son nom (le prénom) suivi de son patronyme (prénom de son père) et en omettant le nom de famille (Aleksandr Isaïevitch pour Alexandre Soljenitsyne). Quand les maîtres arabes établissent la liste de leurs élèves, ils rangent les noms par ordre alphabétique des prénoms, estimant secondaire le nom de famille. Bien que vivant au XVIIe siècle, le peintre Rembrandt van Rijn n'est connu que par un nom de personne qui ne précède rien. De même les papes, les évêques et les monarques sont connus par un nom de personne accompagné d'un numéro d'ordre ou (et) d'un déterminant géographique.

Pour tous les noms antérieurs au XVe siècle, c'est un anachronisme et une erreur lexicographique de parler de prénom : Jules n'est pas le prénom de César classé à C mais plutôt César le déterminant de Jules, nom classé à J. De même figurera à la lettre J Jean Chrysostome, car Jean est un nom de personne assorti d'un surnom comme déterminant.

Son choix dans le monde

Dans la plupart des langues indo-européennes, le prénom précède le nom de famille dans la manière de désigner les personnes.

À sa naissance (et/ou à son baptême), généralement, chaque personne se voit attribuer un ou plusieurs prénoms, dont un seul (qui peut être double) sera utilisé par la suite : le prénom usuel. Mais dans nombre de cultures, notamment en Asie et en Afrique, le prénom n'est attribué que plusieurs jours (ou plusieurs semaines) après la naissance.

Dans certaines langues (par exemple en vietnamien, en chinois ou en coréen), le nom de famille précède le prénom (simple ou composé). De même, en hongrois ou en japonais ; mais, pour éviter les malentendus et pour se conformer aux usages occidentaux, les Hongrois et les Japonais tendent à inverser l'usage traditionnel, lors d'échanges internationaux.

En France, comme dans beaucoup de sociétés occidentales, le choix du/des prénom(s) donne souvent lieu pour les parents à une intense réflexion. De nombreux livres ont été publiés ces dernières années à ce sujet. On observe des phénomènes de mode. Plus particulièrement en France, de nos jours, après une vague des prénoms américains (issus des séries télévisées américaines) dans les années 1990, on observe au cours des années 2000 un retour aux prénoms des grands-parents ou aux prénoms courts (Léa, Théo...).

Cette inspiration donnée par les séries ou les films américains ou autres n'affecte pas également tous les pays : parmi les plus résistants aux influences étrangères, en Europe, la Norvège, l'Islande et la Finlande figurent en bonne place, les deux premiers piochant dans un fonds extrêmement fourni, qui doit non seulement à l'énorme répertoire norrois, mais aussi aux influences d'autres peuples germaniques et des Gaëliques, essentiellement irlandais, entre le IXe et le XIVe de notre ère. En outre, la conscience de la signification du prénom de son enfant est inégale selon les cultures et les aires linguistiques. On remarque, au moins dans les pays francophones et anglophones, que le choix du prénom tient plus souvent à sa consonance ou à la mode, comme dit plus haut, qu'à son sens : nombreux sont les exemples comme Mélanie — du grec μέλαινα : « noire (de chevelure) » —, porté par une jeune fille blonde, qui aurait tout aussi bien pu se nommer Terry (de Theodoric, prénom masculin signifiant « protecteur de la tribu »)... À l'inverse, un Slave sait que son nouveau-né Володя — Volodya, (ou Volya, Volusya etc.), diminutifs de Володимир (Volodymyr), auquel correspondent le russe Владимир (Vladimir) ou le polonais Waldemar — aura les qualités d'un « prince régnant par la paix », un Caucasien espère bien que son jeune Звияд (Zviad, du géorgien ზვიად) sera à la hauteur de l'« orgueil » que l'on a de l'avoir mis au monde, la toute frêle كنزة (Kenza) sera forcément un « trésor », et le petit Lakhota Mato Sapha maˈto ˈsapˣa souhaite bien avoir l'intelligence et la force de l'« ours noir ».

La tradition sápmi (saami) se contente originellement du prénom. L'indication de la filiation est relativement récente, essentiellement pour des raisons administratives. Il en va de même pour les populations turques et altaïques, amérindiennes et bien d'autres.

En dehors de l'Europe, certains choix peuvent étonner les Occidentaux : cela n'a rien d'extraordinaire de « numéroter » son enfant, comme en Chine, au Viêt Nam ou ailleurs. Par exemple, le prénom Samba, fréquent en Afrique de l'ouest, signifie en pulaar « Deuxième [fils] ». Ceci se retrouve parfois dans les prénoms occidentaux, mais la notion de numération n'est plus présente dans la conscience générale, même s'il en reste des traces dans certains prénoms d'origine latine ; ainsi : Quentin, le cinquième, Sixte, le sixième, Septime, le septième ou Octave, le huitième.

Certaines dénominations peuvent surprendre, comme Benjamin (de l'hébreu בנימין, benyamīn), le « Fils du Sud, ou de la droite (côté favorable) ». Une femme chinoise peut se nommer de façon en apparence banale, comme 瓶子 (Pīnyīn píngzi), une « (petite) bouteille », mais la connaissance de la culture concernée empêchera de sous-estimer la valeur de tels prénoms.

Dans les deux cas, ceci n'empêche pas les parents de faire appel à des termes aux significations plus élogieuses ou poétiques, comme c'est souvent le cas partout : Գոհար (Gohar : émeraude, féminin en arménien, provenant du farsi گوهر — plutôt réservé aux femmes dans les langues iraniennes) ; ainsi, l'un des plus courants, en Chine comme ailleurs : 花 (Pīnyīn huā, « fleur », seul ou en composition), მზექალა (Mzekala : fille du soleil, en géorgien), Алмаз ou Алмас (Almaz ou Almas — prénom féminin dans certaines langues, masculin dans d'autres), omniprésents en Asie centrale et dans le Caucase, de l'arabe ألماس, signifiant « diamant », et bien d'autres encore.

Au Viêt Nam, il est courant d'adjoindre au nom de famille (họ) et au prénom (tên) un nom intercalaire définissant le sexe de l'enfant : Thị pour une fille et Văn pour un garçon, entre autres possibilités.

Dans certains pays, notamment en Asie, le prénom change au cours de la vie. Ainsi, en Corée, les nouveau-nés se voient attribuer un « prénom de lait » à la naissance. Puis un autre, le prénom scolaire, vers l'âge de 6-7 ans, lors de leur entrée à l'école. Un troisième prénom, qui sera cette fois conservé jusqu'à la fin de leur vie, est enfin choisi pour leur vie adulte, souvent lors du mariage[2].

Au Rwanda, les enfants, à leur naissance, sont simplement appelés « le garçon » ou « la fille », et on attend qu'ils aient grandi un peu pour voir quel est le prénom qui va leur correspondre le mieux[2].

En France, une même personne peut, lors de sa déclaration de naissance à l'état civil, se voir attribuer plusieurs prénoms (il n'est pas rare qu'une personne porte un ensemble de cinq ou six prénoms). L'usage variera alors beaucoup selon les traditions familiales. Ainsi, dans certaines familles catholiques, le prénom Marie sera systématiquement choisi pour premier ou deuxième prénom, même pour un garçon, en hommage à la Vierge Marie. Le prénom du grand-père et de la grand-mère, ainsi que ceux du parrain et de la marraine, sont aussi fréquemment inclus dans la liste des prénoms. Dans la vie courante, seul le prénom d'usage, en général le premier de la liste, sera normalement employé.

Peut-on donner n'importe quel prénom à son enfant en France ?

Jusqu'en 1966, une loi de germinal an XI obligeait les parents à choisir le prénom de leur enfant dans divers calendriers ou parmi les personnages de l'histoire antique. Après 1966, on autorise tout prénom dont l'usage est consacré, notamment par l'évolution des mœurs. La dernière évolution de la législation en la matière date de 1993.

L'article 57 du Code civil français prévoit qu'on peut donner n'importe quel prénom à son enfant, dans la mesure où il ne porte préjudice ni au droit des tiers ni à l'enfant. M. et Mme Renaud ont dû, dans les années 1990, se battre en justice pour que leur fille Mégane conserve le prénom sous lequel ils l'avaient déclarée à l'État-civil, suite à une décision du procureur de la République de Nantes de demander en justice le changement de nom [citation nécessaire]. De même, le prénom breton Kawrantin (« Corentin » en français) a déclenché les foudres du procureur de la République à Nouméa qui a invoqué un nom « aux consonances barbares », mais celui-ci a été désavoué par le juge[3].

Le prénom-masque

Une particularité intéressante du vrai (pré)nom d'un Diné (peuple Navajos) est le mystère qui l'entoure : d'une part, l'enfant n'a guère besoin d'être nommé dans le cadre familial, les termes désignant les liens de parenté sont utilisés à la place du nom. Même s'il est attribué quelque temps après la naissance, le ʼájiʼ (nom de guerre) est employé le moins souvent possible, afin de ne pas le déposséder de son pouvoir protecteur ; par ailleurs, traditionnellement, il n'est jamais prononcé devant une personne étrangère à la famille. Spécialiste des Diné, Marie-Claude Feltes-Strigler[4] écrit : « Le nom d'une personne est son bien secret […]. Si une tierce personne l'a en sa possession, le nom n'est plus fiable et peut même se retourner contre son propriétaire. » Un Diné verra son ʼájiʼ masqué par les divers surnoms qu'il recevra sa vie durant et ceux que l'État civil lui attribue. Sans compter que dans le passé, il n'était pas rare qu'un même individu donne, à sa guise, divers faux noms à ses interlocuteurs, soit pour déjouer le fichage des services de recensement, soit pour dérouter ses interlocuteurs mexicains, puis américains.

Il existe en Mongolie une pratique similaire et bien vivante, surtout hors des agglomérations, qui consiste à malnommer son enfant, de façon à dissuader les esprits malfaisants de lui nuire ou de l'enlever : un petit garçon peut très bien se nommer Мүү-охин (ˈmyːoxᵊn, « vilaine fille »), voire Тэрбиш (ˈtɛrbɨʃ, « ce n'est pas lui »).

Usage social

Le prénom est très important dans la plupart des cultures dites occidentales. Il permet de se reconnaître comme entité à part entière et de distinguer la parenté de la hiérarchie.

Le rapport amical rend l'utilisation du prénom très importante, signe d'appartenance à un même groupe. Un surnom permet souvent de raffermir l'identité du groupe, car seules quelques personnes (même dans le groupe) connaissent la provenance de ce surnom. On observe cependant fréquemment, dans les bandes d'amis (peu importe l'âge), une ou deux personnes dont l'interpellation se fait par le nom de famille. En général, ces personnes ont beaucoup d'influence sur les autres, ou sont moins appréciées et servent de bouc émissaire.

Dans plusieurs institutions (bureau, coalition de médecins, certaines universités), le nom de famille désigne la personne en puissance hiérarchique, souvent appuyée par un titre comme Professeur (enseignement), Maître (droit), Monsieur (politesse) qui remplacent ainsi le prénom, alors signe de vie privée ou de non-formalisme. Par contre, plusieurs entreprises se débarrassent aujourd'hui de ces signes de respects devenus étouffants pour rendre les rapports à l'autorité plus conviviaux, ce qui peut, parfois, n'induire qu'une forme d'hypocrisie moins visible.

Aussi, un moyen de ramener à l'ordre un individu peut se faire en nommant son nom complet, puisque celui-ci inclut l'identité personnelle et la position familiale de ce même individu.

Dans le nom complet d'une personne, le ou les prénoms peuvent-être abrégés par une initiale ou le digramme initial, F. Chopin, Th. A. Anderson.

L'usage du prénom peut remplacer le tutoiement, lorsqu'il n'est pas possible (langue anglaise), ou qu'il serait inapproprié, par exemple pour des raisons de convenance. Il introduit ainsi un niveau supplémentaire de distance ou de respect :

  • Vouvoiement et titre ou grade, suivi du nom.
  • Vouvoiement et prénom.
  • Tutoiement.


Les prénoms d'état civil sont obligatoirement indiqués dans l'ordre sur les documents officiels mais il est possible de faire souligner l'un de ses prénoms secondaires pour en faire usage prioritairement sur le prénom principal.

Dans le temps, les prénoms donnés aux nouveau-nés étaient fréquemment ceux des parents ou grands-parents. Pour différencier les personnes, un prénom secondaire était alors utilisé prioritairement, ce qui rend plus ardues les recherches en généalogie. Exemple : DURAND Marie (Anne, Isabelle) aura une gravure "Anne DURAND" sur sa tombe alors qu'à l'état-civil, elle aura été enregistrée au nom de "Marie DURAND".

Ésotérisme

Le prénom, dans la numérologie et l'étymologie populaire, est vu par certains mouvements spiritualistes comme un moyen de connaître la personnalité affective de l'individu, qui serait « formé » à partir de son prénom ou influencé par sa consonance.

Ainsi, on a pu voir émerger depuis quelques années des marque-pages montrant la signification du prénom, les tendances affectives qu'il apporte, et même la vibration (expression remplaçant le mot « couleur ») liée au destin du porteur de ce même prénom.

Statistiques

En France, l'Insee publie une base de données de plus de 20 000 prénoms avec leur répartition géographique et des statistiques sur près de 80 ans. En Belgique, l'INS prépare un portail similaire. L'Office fédéral de la statistique suisse publie un palmarès qui ne se limite pas à la seule Confédération. Pour ce qui est du Canada, Statistiques Canada met à la disposition du public des documents sur le sujet — le plus simple étant de s'adresser aux bibliothèques.

Notes et références

  1. Jean-Pierre Gutton, Établir l’identité : l’identification des Français du Moyen Âge à nos jours, PUL, mai 2010.
  2. a et b Marie-Odile Mergnac, interrogée par Noëlle Bréham, « L'émission Les P'tits Bateaux du 9 mai 2010 » sur France Inter. Consulté le 12 juin 2010 (question 3, de 12'37" à 16'05").
  3. Voir le fait divers en détail sur le site d'un expert en prénoms bretons. Le Procureur a fait appel du premier jugement, mais a été débouté une seconde fois. M. et Mme Attard ont dû, dans les années 1990, se battre en justice pour que leur garçon Anders conserve le prénom puisque le juge le refusait, trouvant qu'il portait préjudice et qu'on rirait de ce prénom. Suite à des décisions de justice, le prénom Anders fut accepté puisqu'un autre garçon s'appelait déjà Anders en France.
  4. Marie-Claude Feltes-Strigler, (pp. 74-77, Parlons Navajo, L'Harmattan, 2002, ISBN 2-7475-2037-4).

Voir aussi

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