Peuple indigène du brésil

Peuple indigène du brésil

Peuple indigène du Brésil

Les peuples indigènes du Brésil (Povos indígenas en langue portugaise) comprennent un grand nombre de groupes ethniques distincts qui habitaient la région avant l'arrivée des Européens aux environs de 1500. À la suite de Christophe Colomb, qui croyait avoir atteint les Indes orientales, les premiers explorateurs portugais les appelèrent Indiens, un nom encore unanimement utilisé au Brésil.

Les peuples indigènes au Brésil étaient surtout des tribus semi-nomades dont l'économie se basait sur la chasse, la pêche, la cueillette et l’agriculture de subsistance. Beaucoup des groupes qui existaient en 1500 disparurent comme une des conséquences de l’établissement des Européens et beaucoup ont été assimilés dans la population brésilienne. Les populations indigènes ont décliné des 5 - 6 millions précolombiens à 100 000 en 1970[1]. Seulement quelques tribus survivent dans leur culture originale dans des endroits retirés de la forêt amazonienne. Une nouvelle politique gouvernementale protège les subsistants depuis une cinquantaine d'années. La population indigène est remontée à 350 000 à 1991 puis à 700 000 lors du recensement de 2000[2]. Le nombre de personnes parlant une langue indigène est de 155 000 (nombre peut-être désactualisé). Le nombre de langues distinctes identifiées par les ethnologues pour le Brésil est de 235 dont 188 toujours vivantes. 215 peuples indiens sont actuellement identifiés, majoritairement localisés dans l'Ouest et le Nord amazonien.

L'héritage culturel des Indiens dans la culture brésilienne, bien que largement dilué, est aujourd'hui en voie de reconnaissance. Les colons européens leur ont notamment emprunté l'habitude de se baigner tous les jours ainsi que la domestication du manioc, nourriture typique des régions rurales.

Indiens Karajá

Sommaire

Origines

L'origine de ces peuples indigènes est encore une matière de discussion parmi les archéologues. Le traditionnel point de vue qui les relie à la migration sibérienne vers l’Amérique à la fin de la dernière glaciation, a toujours les faveurs des archéologues d'Amérique du Sud.

Hypothèse de la glaciation sibérienne

Des faits anthropologiques et génétiques montrent que beaucoup de peuples d’origine américaine descendent de la première vague de peuples migrants du nord de l'Asie (Sibérie) qui entrèrent par le détroit de Béring en au moins trois vagues séparées. Au Brésil, particulièrement, beaucoup de tribus qui y vivaient en 1500, descendaient de la première vague qui y était arrivée par le détroit à la fin de la dernière glaciation, vers 9000 avant JC.

La vague de migration d'environ 9000 avant JC, serait arrivée au Brésil vers 6000 avant JC pénétrant le bassin du rio Amazone du Nord-ouest. La deuxième et la troisième vagues vinrent de la Sibérie et ont formé les peuples d'athabaska et eskimo et n'ont pas dépassé les uns le sud des États-Unis et les autres le Canada.

Hypothèse des aborigènes américains

La thèse traditionnelle citée plus haut a été contestée à cause de trouvailles de restes humains en Amérique du Sud qui seraient trop vieux pour l'étayer : ils auraient environ 20000 ans. On affirme que quelques trouvailles récentes (par exemple le squelette de Luzia à Lagoa Santa) sont morphologiquement différentes du génotype asiatique et sont plus proches des aborigènes africains et australiens. Ces peuples aborigènes auraient ensuite été absorbés par les émigrants d’origine sibérienne. Les natifs de la Terre de Feu à l'extrémité sud du continent américain sont peut-être les derniers descendants de ces populations aborigènes.

Ces premiers émigrants auraient traversé l’océan ou auraient voyagé le long de la cõte et auraient pénétré en Amérique par le détroit de Bering bien avant les vagues sibériennes. Cette théorie est rejetée par beaucoup de spécialistes parce que le parcours leur semble trop difficile.

Restes archéologiques

Pratiquement, toutes les preuves archéologiques sur la préhistoire du Brésil datent de la période postérieure aux vagues d’immigration. Les Indiens brésiliens, au contraire de ceux de la Mésoamérique et des Andes occidentales, n’ont pratiquement pas laissé de monuments en pierre, et le climat humide et l’acidité des sols, ont détruit presque toutes les traces de leur matériel culturel, y compris le bois et les os. Pour cela, ce que nous connaissons de l'histoire de cette région avant 1500 a été déduit et reconstitué par des preuves archéologiques en petite échelle comme de la poterie et des flèches en pierre. Récemment, en mai 2006, une équipe d'archéologues brésiliens a découvert un site archéologique de monuments en pierres dans l'État d'Amapá.

Les restes les plus marquants des sociétés d'avant la découverte sont des tas de coquillages ("sambaquis") trouvés dans certains sites côtiers qui ont été continuellement occupés durant 5000 ans et la terre noire déposée en divers endroits le long de l’Amazone que l'on croit être d'anciens dépôts d'ordures. Des récentes excavations dans de tels dépôts dans le haut et moyen cours de l'Amazone ont montré des restes de quelques grands établissements, contenant de dizaines de centaines de maisons indiquant une structure sociale et économique complexe.

Économie et culture

Les peuples indigènes du Brésil paraissent avoir subsisté de chasse, de pêche et de cueillette. Ils utilisent des instruments et des flèches en pierres taillées, semblables à celles trouvées dans toutes les Amériques aux époques correspondantes.

Céramique

La poterie a été introduite à une date fort récente. Les poteries brésiliennes utilisent du matériel sophistiqué (comme des pointes de de silice microscopiques obtenues de certaines éponges d'eau douce) pour la fabrication de récipients utilitaires ou de cérémonie, décorés de sculptures, de moulures et de peintures. Cependant, les indigènes ne connaissaient pas le tour de potier.

L’évolution des styles de poterie à divers endroits indique un schéma complexe de migrations internes et de substitutions. En particulier, il semble que les Indiens Tupi-guarani, qui, vers 1500, était la plus grande famille ethnique à l'est des Andes, avaient pour origine une petite tribu de la région amazonique. Elle a semble-t-il migré de son occupation historique du Brésil central vers le Paraguay, au Ier siècle av. J.-C.

Agriculture

Les Indiens brésiliens ont développé ou appris quelques techniques d’agriculture. Certaines, comme le maïs, ont été importées des civilisations plus avancées de l'Ouest des Andes, tandis que le manioc, qui est devenu une des denrées de base de l'alimentation, semble avoir été développée sur place.

Les Indiens brésiliens n’avaient pas animaux domestiques qui puissent être utilisés pour le transport ou pour les travaux des champs. L’agriculture était donc totalement exercée à mains d’homme. Son schéma traditionnel comprenait l’abattage des arbres pour créer une clairière, brûler sur place le bois coupé pour en libérer les nutriments minéraux, planter et récolter. En général, on plantait deux ou plus d’espèces ensemble. Les champs étaient fréquemment abandonnés une fois le sol épuisé.

Des Indiens brésiliens fabriquaient une boisson alcoolisée fabriquée à partir de la fermentation du maïs ou du manioc, selon une technique qui semble être parvenue de l'autre côté des Andes.

Les Indiens à l'époque de la découverte

Quand les découvreurs portugais arrivèrent pour la première fois au Brésil, en avril 1500, ils y trouvèrent, à leur grand étonnement, une terre largement habitée, fourmillant de dizaines de milliers, peut-être de millions d’indigènes vivant dans un paradis de richesses naturelles. Pero Vaz de Caminha, le secrétaire officiel de Pedro Alvares Cabral, le capitaine de la flotte qui avait atterri dans l’État actuel de Bahia, écrivit une lettre au roi de Portugal décrivant sur un ton admiratif la beauté du pays et de ses habitants. Les Indiens, à l'endroit où les Portugais ont abordé, étaient pacifiques et hospitaliers.

Mais ces sentiments mutuels d'étonnement et de bonnes relations disparurent rapidement. Les colonisateurs portugais, peu nombreux, essayèrent de réduire les Indiens en esclavage pour les travaux agricoles. Des groupes de conquérants brutaux organisèrent des expéditions appelées bandeiras dans l’intérieur pour capturer des Indiens et chercher de l'or et des pierres précieuses. Bientôt, ils s'aperçurent que les Indiens n'étaient pas tous les mêmes et que beaucoup de tribus étaient belliqueuses et pratiquaient le cannibalisme.

Rapidement, les Indiens furent atteints par les maladies apportées par les Européens et contre lesquelles ils n'étaient pas immunisés et ils commencèrent à mourir en grand nombre. Beaucoup furent chassés de leurs terres par les conquérants. Ils refusaient d'être réduits en esclave, se suicidant ou fuyant dans l'intérieur. Les Portugais durent donc commencer à importer des esclaves noirs d'Afrique.

Les prêtres jésuites qui étaient venus avec le premier Gouverneur Général pour fournir une assistance religieuse aux colons, mais surtout pour convertir les peuples païens au catholicisme. Ils prirent le parti des Indiens et suscitèrent une Bulle pontificale affirmant que les Indiens étaient humains et devaient être protégés. Des pères légendaires comme José de Anchieta et Manuel da Nóbrega étudièrent et divulguèrent leur langue et fondèrent des établissements mixtes comme São Paulo dos Campos de Piratininga, où les colons et Indiens vivaient les uns à côté des autres, parlant la même Lingua Geral.

Ils commencèrent aussi à créer des villages plus éloignés, peuplés seulement d’Indiens civilisés, appelés missions ou réductions. Il y eut de nombreuses guerres entre certaines tribus comme la Confédération Tamoia. Parfois les Indiens se tournaient contre les Portugais, s'alliant avec les ennemis de ceux-ci, les Français, par exemple, dans le fameux épisode de la France antarctique à Rio de Janeiro. Parfois, il s’alliaient aux Portugais contre d'autres tribus. À peu près à la même époque, un soldat allemand Hans Staden, fut capturé par les Tupinambas et relâché longtemps après. Il a relaté son aventure.

Les Indiens dans le Brésil contemporain

Au XXe siècle, le gouvernement brésilien a adopté une attitude plus humanitaire, leur donnant une protection officielle avec la création des premières réserves indiennes. Le Service national de l’Indien (aujourd'hui la FUNAI ou Fondation Nationale de l'Indien) a été créé par Cândido Rondon, lui-même un Indien bororo et officier supérieur de l'armée brésilienne. Les tribus non-assimilées sont contactées par la FUNAI, aujourd'hui rattachée au ministère de la Justice, et intégrées dans la société brésiliennes à divers degrés. Cependant, cette protection n'est pas toujours suffisante et de nouvelles invasions, expulsions et massacres ont encore lieu.

Aujourd'hui au Brésil, il y a un peu plus de 700 000 Indiens qui occupent 594 zones indigènes sur un total de 100 millions d'hectares (12% du territoire brésilien). 215 ethnies sont répertoriées, utilisant 188 langues et dialectes. En 2002, on a signalé 45 groupes d’indigènes qui n'étaient pas encore entrés en contact avec le reste du monde. Une des tâches de la FUNAI est de tenter de les approcher afin que ce contact soit le moins traumatique possible.

La Constitution de 1988 contient un chapitre sur les Indigènes reconnaissant leurs droits sur les terres qu'ils occupent traditionnellement. Ces terres ont été déclarées inaliénables et « indisponibles ». Le Congrès seul peut en modifier l'usage, cette compétence étant retirée du domaine des tribunaux[3]. Leur démarcation est toutefois toujours en cours sur la base des 594 zones indigènes répertoriées.

Le statut appliqué aux Indiens est un statut dérogatoire. À l'exception d'une petite minorité, ils sont considérés comme des mineurs protégés, dépourvus de droits civiques[4]. Le « Statut de l'Indien » date de 1973 (loi 6001) est toujours appliqué, bien qu'il ne soit plus en conformité avec la Constitution en vigueur. Un projet de loi, déposé en 1991 au Congrès, est toujours discuté. Il soulève de vives discussions, notamment au sein des groupes de pression économiques, qui protestent contre la « sanctuarisation » d'une part aussi importante du territoire national. Les conflits de délimitation, souvent violents, sont aussi fréquents entre les tribus indiennes et les grands propriétaires terriens (fazendeiros)[5].

La difficulté du Brésil à faire face à cette part de son identité peut être symbolisé par les manifestations indiennes qui ont entaché la célébration en 2000 du cinq centième anniversaire de la « découverte » du Brésil par les navigateurs portugais dans l'État de Bahia.

Démarcation des terres

La démarcation des terres indigènes est en cours dans diverses régions du pays. Elle consiste à reconnaître les contours de la réserve, à en marquer les limites sur le terrain et la faire homologuer par l’Union (décret du Président de la République), l’enregistrer chez un notaire (au Brésil : Cartório de Imoveis) comme appartenant au(x) groupe(s) indigène(s) considéré(s).

Très souvent des intérêts particuliers sont menacés comme dernièrement lors de la tentative d’homologation de la réserve Raposa/Serra do Sol déjà démarquée depuis 1998 mais contestée en justice.

Groupes ethniques

Portrait d'un amérindien Bororo, par Hercule Florence, lors de l'expédition conduite en Amazonie brésilienne par le Baron von Langsdorf en Amazonie de 1825 à 1829

Les groupes ethniques les plus nombreux (+ de 7 500 individus) : (autres noms) et population

  • Guajajara (Tenetehára) 13 100
  • Guaraní
    • Guarani Kaiowas (Paĩ-Tavyterã) 18 à 20 000
    • Guarani Ñandeva (Ava-Chiripa) 8 à 10 000
    • Guarani Mbya 6 000
  • Kaingang (Kanhgág, Caingangue) 25 875
  • Macuxi (Makuxi, Macushi, Pemon) 19 000 au Brésil et 9 500 en Guyana
  • Munduruku (Mundurucu, Wuy jug u - auto-dénomination -) 10 065
  • Pataxó (Pataxô, Pataxó-Hã-Hã-Hãe) 9 700
  • Potiguara (Petinguara, Pitiguares, Potygoar, Pitiguara, Pitagoar, Potiguares) 10 837
  • Terena (Guaná) 16 000
  • Xakriabá 7 665
  • Xavante (A'uwe, Akwe, Awen, Akwen) 9 602
  • Yanomami (Ianomâmi, Yanomamõ, Yanomama, Yanoama, Xirianá) 12 000

Autres groupes par ordre alphabétique :

Indiens Apiaka, par Hercule Florence
Indiens Guana, par Hercule Florence
Indien Caxibi, par Hercule Florence
Indien Apiaka, par Hercule Florence


Autres ethnies du Brésil (- de 7 500 individus)
Nom ethnie Autre(s) nom(s) Population
Apinajé Apinayé, Apinaié 1 262
Aranã - 30 familles
Ashaninka Kampa, Asheninka Brésil : 859
Pérou : 51 000
Atikum Atikum-Umã 2 743
Awá Guajá, Wazaizara, Tenetehara, Aiayé, Amanayé, Gwazá 326 en contact et 30 isolés
Aweti Awytyza, Enumaniá, Anumaniá, Auetö 140
Bakairi Kurâ, Bacairi) 950
Baniwa Walimanai, Wakuenai 4 026
Bororo Boe 1 024
Karipuna Caripuna 21
Fulni-ô Kanijó 2 930
Ikpeng Txikão, Tchicão 319
Ingariko Ingaricó Brésil : 674
Guyana : 4 000
Venezuela : 728
Jiripancó - -
Kaibi Caiabi, Kayabi 1 000
Kaimbé Caimbé -
Kalabaça - -
Kalankó - -
Kapon - 4 866
Kalapalo Calapalo 417
Kamayurá Kamayurá, Camaiurá 455
Kambiwá Cambiuá 1 578
Kaninidé - -
Kantaruré Cantaruré 353
Kapinawá Capinauá 422
Karajá Iny 2 500
Karapotó - -
Kariri-Xocó Cariri-Chocó 1 500
Karuazu - -
Kiriri - 1 401
Katukina Tüküná 289
Kaxinawá Huni kuin, Cashinauá, Caxinauá Brésil : 1 400
Pérou : 3 964
Kayapo Caiapó, Mebêngokrê, Gorotire, A’ukre, Kikretum, Mekrãnoti,
Kuben-Kran-Ken, Kokraimoro, Metuktire, Xikrin, Kararaô
7 096
Korubo - -
Krahô Mehim, Mãkrare, Quenpokrare 2 000
Krenak Borun 150
Kuikuro Kuikuru, Cuicuro 450
Matipu - 119
Maxakalí Monacó bm, Kumanuxú, Tikmuún 802
Mehinako Mehinaku 199
Nahukuá Nafuquá, Nahukuá 105
Ofaié Opaié, Ofaié-Xavante 62
Palikur Paricuria, Paricores, Palincur(s), Parikurene, Parinkur-Iéne, Païkwené Brésil : 918
Guyane : 470
Pankará - 1 025
Pankarará Pancararé 1 500
Pankararu - 5 880
Pankaru Pankararu-Salambaia 87
Parentintins - 250
Patamona - -
Paiaku Jenipapo-Kanindé 220
Pipipã - -
Pitaguari Pitagoarí, Pitaguar, Pitavari, Pitiguari 871
Suyá Suyá Orientaux, Kĩsêdjê 334
Tapirapé Tapi’irape 501
Tapeba Tapebano, Perna-de-pau 2 491
Tapuio Tapuia-Xavante, Tapuia 235
Tremebé - 5 000
Truká - 1 333
Trumai Ho kod ke + de 120
Tumbalalá - 180 familles
Tupinamba - -
Tupiniquim - 1 386
Waiãpi Guaiapi, Wajãpi, Wayampi, Oyampi, Wayãpy Brésil : 525
Guyane : 412
Wapixana Uapixana, Wapishana, Vapidiana, Wapisiana) Brésil : 6 500
Guyana : 4 000
Wassu - 1 447
Wauja Waurá, Vaurá, Aurá, Uaurá 333
Xerente A'uwe, Awen, Akwe, Akwen 1 814
Xokó Xocó, Chocó 250
Xukuru Xucuru 6 363
Yawalapiti Iaualapiti 208
Yawanawá - 450
Yudjá Juruna, Juruhuna, Yuruna, Juruûna, Geruna, Yudya 278
Zuruahã Zuruahá, Suruwaha, Sorowaha 144

Notes

  1. Christiane Galus, « Le réveil des peuples autochtones », dans Le Monde du 08-12-2007, [lire en ligne]
  2. Chiffres de l’IBGE)
  3. Voir la Constitution de 1988, article 231.
  4. Alain Rouquié, Le Brésil au XXIe siècle, Fayard, Paris, 2006, p. 77.
  5. Pascale de Robert. « "Terre coupée", Recomposition des territorialités indigènes dans une réserve d’Amazonie », Ethnologie française, XXXIV, 2004, I.

Liens externes

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