Ontologique

Ontologique

Ontologie (philosophie)

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En philosophie, l'ontologie (du grec oν, oντος, participe présent du verbe être) est l'étude de l'être en tant qu'être, c'est-à-dire l'étude des propriétés générales de tout ce qui est.

La Scolastique considéra cette étude comme une partie de la métaphysique, en tant qu'elle définit les transcendentia, les déterminations communes à tous les êtres (ce qu'on appellera plus tard métaphysique générale, par opposition à la théologie, dite métaphysique spéciale).

Le terme, bien que grec, ne fut créé qu'à l'époque moderne, sans doute au XVIIe siècle, en imitant le terme plus ancien de théologie, avec lequel il entretient toutefois un rapport très voisin.

En effet Jacob Lorhard l'utilise dès 1606 dans son Ogdoas Scholastica comme synonyme de métaphysique et les Elementa philosophiae sive Ontosophiae (1647) de Johannes Clauberg reprennent le terme qu'on retrouve ensuite une fois chez Leibniz[1].

Dans la métaphysique de Christian Wolff[2], l'ontologie est définie comme une sous-partie de la métaphysique, la partie la plus générale par opposition aux trois disciplines de la « métaphysique spéciale », la théologie (Dieu), la psychologie (l'Âme) et la cosmologie (le Monde).

Sommaire

Histoire

Antiquité

Dans la tradition occidentale de la philosophie, on considère que Parménide est le père de l'ontologie.

Parménide appartenait à l'école éléatique, située dans la ville d'Élée, dans le sud de l'Italie actuelle.

Il pose comme vérité première le fait que ce qui est, l'être, est, et qu'il est sans négation et sans altération. Seule la doxa, l'opinion changeante ou confuse, qui nous écarte de la vérité, nous fait croire à ce qui n'est pas. La doxa est un concept utilisé aujourd'hui par certains philosophes.

C'est contre cette thèse éléatique que Platon pose dans le Sophiste le problème du non-être. L'être n'est pas un et unique et les grands genres de l'être doivent aussi inclure l'altération et la négation.

Aristote définit l'être avant tout comme substance et de manière secondaire comme accidents de la substance (les autres catégories, qualité, quantité, relation, lieu, temps, disposition, possession...).

Être, essence, accident

Les Stoïciens distinguent ce qui existe (les Corps) du quelque chose (ti) en général (qui comprend donc aussi ce qui n'est pas, le vide, le temps et l'exprimable). Cette distinction autorise Pierre Aubenque à parler d'une « tinologie ».

Moyen Âge

Dans l'interprétation latine d'Avicenne, l'être (ens, l'étant) est commun, univoque entre l'être divin et l'étant créé. L'essence est indifférente à l'existence. L'essence de l’équinité est considérée comme ni existante ni non-existante et l'existence est dès lors analysée comme un "accident de l'essence" (ce qui n'était pas le cas chez Aristote).

Dès le XIe siècle, Anselme de Cantorbéry a introduit son argument ontologique qui est censé démontrer l'existence d'un étant nécessaire à partir de son essence. C'est Gilles de Rome qui distingue plus tard de manière explicite les termes d'essence et d'existence.

Thomas d'Aquin s'oppose à cette théorie de l'univocité de l'être et rejette aussi une équivocité totale. Il introduit un moyen terme avec celui d'analogie. Il existe une analogie de proportionnalité (analogia entis) entre l'être de Dieu (car Dieu est l'Acte d'Être) et des substances créées qui reçoivent l'être. Mais il s'agit surtout d'une analogie de nomination. Par exemple, on peut dire que Dieu possède l'intelligence en ce qu'Il possède au degré infini l'intelligence humaine. Les Thomistes comme Suarez étendront cette théorie de l'analogie à l'être tout entier en tant analogie de l'être. Les étants seront tous hierarchisés intrinsèquement vers l'Être ultime, sommet de l'analogie, qui est Dieu.

Ontologie moderne

  • L'analogie de l'être issue de Thomas d'Aquin devient un principe repris par la scolastique tardive et le début de la philosophie moderne. C'est au XVIIe siècle que naît le terme disciplinaire "ontologie" en tant que spécialité ou metaphysica generalis.
  • L'argument ontologique visant à prouver l'existence de Dieu cherche à montrer que Dieu existe nécessairement, en vertu de la définition de ce qu'est Dieu. Formulé de nombreuses fois au cours de l'histoire, c'est cependant à Descartes qu'on le rapporte le plus souvent, dans les Méditations Métaphysiques.
Article détaillé : argument ontologique.
  • Kant invente le terme « onto-théologie »[3] pour désigner cette partie de la métaphysique qui lie la théologie à la définition de ce qui existe indépendamment de toute expérience. La Critique de la raison pure rejette les arguments onto-théologiques en considérant que l'existence n'est pas un prédicat qu'on ajouterait à un sujet, mais la position du sujet.

Ontologie contemporaine

Ontologie formelle et ontologies régionales

Edmund Husserl distingue une ontologie purement formelle et des ontologies liées à chaque discipline, ontologies régionales.

L'ontologie dialectique de Lavelle

Au début du XXe siècle, un métaphysicien français relance le problème de l'être repoussé par l'université. Louis Lavelle développe à partir de 1912, une ontologie de la présence totale de l'Être conçu comme Acte, c'est-à-dire comme une liberté pure. Dans son activité réflexive, la conscience humaine découvre son centre opératoire qui est son acte d'être et derechef un Acte qui la dépasse et auquel elle participe : c'est l'intuition participative de l'Être "partout présent tout entier" en chaque point de l'univers.

L'Être lavellien ne doit pas être compris comme un étant mais comme la totalité à partir de laquelle tout étant prend son sens. Par conséquent, Lavelle échappe à la critique heideggerienne de l'oubli de l'Être. On peut comprendre la présence totale comme un mille-feuille qui ne cesse d'être approfondi par l'activité réflexive. L'Être, au départ vague et indéterminé, doit être participé et se présente comme un horizon que l'on ne peut pas perdre de vue sans s'annuler nous-mêmes.

A l'aide d'une méthode que Lavelle dénomme dialectique réflexive, il ne cessera d'analyser notre relation à l'Être d'abord à travers l'analyse déductive du sensible[4], puis dans sa grande Dialectique de l'éternel présent (1928-1951). Le deuxième volume de cette dialectique, De l'acte (1937), est la synthèse majeure de Lavelle.

L'ontologie fondamentale de Heidegger

Martin Heidegger a développé la phénoménologie de Edmund Husserl et entreprend de déconstruire la métaphysique.

Selon Heidegger, la métaphysique pose la question de l'être de l'étant, telle qu'elle était posée par Parménide, « Qu'est-ce que l'être ? » Mais l'histoire de la métaphysique depuis que l'on s'interroge sur l'être n'est que l'histoire de l'oubli de la question de l'être. La question de l'être est tombée dans l'oubli, et l'on a oublié cet oubli même.

Heidegger appelle ontique ce qui se restreint à l'étant au lieu de l'être. L'oubli de la question de l'être en est parvenue au point qu'on ne pense plus aucune différence entre les deux et que l'être n'est plus pour la métaphysique qu'un concept vide.

Heidegger appelle cette Différence entre l'être et l'étant Différence ontologique. Penser cette Différence permettrait d'éviter de revenir à une onto-théologie où l'être est toujours pensé via un étant suprême auquel il est identifié, Dieu ou, chez Platon, les Idées.

C'est par cette différence ontologique que seul le Dasein (l'être-là) se distingue de tous les autres étants: il est le seul étant qui se pose la question de l'être. Il en va de l'être de cet être. Toutefois, cette responsabilité est évacuée par les distractions et l'oubli de l'être qui, essentiellement, sont les conséquences du constat angoissant de la finitude de l'être du Dasein. En d'autres termes, le Dasein est un être fini qui n'a d'autre destination que la mort.

Mais cette mort ne signifie en aucun cas le développement d'un nihilisme simpliste chez Heidegger. Au contraire, cette finitude appelle le Dasein à remettre en question son être et c'est par cette remise en question qu'entre en jeu la phénoménologie. En effet, l'être ne se montre jamais tel qu'il est; il est très souvent un paraître (schein) qui se joue du Dasein.

Pour Emmanuel Lévinas, il faut au contraire réhabiliter la métaphysique liée à l'altérité contre une ontologie indifférente à toute éthique.

Ontologie analytique

Jeremy Bentham dans son Of Ontology propose d'analyser ce qui existe en appliquant le Rasoir d'Ockham et de réduire certaines entités à des fictions logiques qui n'existent que de manière secondaire (de même qu'une addition n'est pas une entité supplémentaire au-dessus de ses membres). Ce projet logique de parcimonie et de paraphrase (de retraduction logique) a joué un rôle important dans l'ontologie de la philosophie analytique.

Bertrand Russell a commencé par une ontologie proche de la Théorie des objets de Alexius Meinong et il admet au départ toute entité, les universels, les ensembles et même les entités possibles. Puis il développe une méthode de paraphrase (cf. sa théorie des descriptions) pour ne maintenir que deux types d'entités, les particuliers (qui peuvent s'analyser comme événements et non pas comme objets) et les universaux (Russell est toujours resté opposé au nominalisme de la tradition de l'empirisme). Par la suite, il réduit même les événements particuliers à des « faisceaux » de qualités et n'admet plus que ces qualités.

Willard Van Orman Quine dans son article « On what there is » a repris le terme d'ontologie pour désigner ce qui existe selon une théorie (on peut ainsi parler de l'ontologie du calcul des probabilités ou de l'ontologie de la théologie). Il formule un critère logique pour préciser ce qu'une théorie affirme comme existant et ce dont elle parle sans vouloir impliquer que cela existe.

Ce critère d'engagement ontologique est la quantification en logique (au sens de la théorie des quantificateurs en logique). « Être c'est être la valeur d'une variable liée ». Si une théorie quantifie sur des entités (en logique, dit qu'il est vrai pour quelques entités ou toute entité), la théorie affirme leur existence. Si une théorie peut réellement trouver une construction logique pour éviter cette quantification, la théorie n'affirme rien.

Cela a plusieurs conséquences générales. La logique du premier ordre ne quantifie que sur des individus et pas sur les propriétés mais une logique du second ordre serait engagée à un réalisme des propriétés et ensuite à des problèmes d'identité de ces propriétés. La logique modale sous sa forme quantifiée affirme l'existence de mondes et d'individus possibles.

L'anarchisme ontologique d'Hakim Bey

Dans l'Art du Chaos d'Hakim Bey, l'auteur consacre une partie à une description de l'anarchisme ontologique, qui est en fait une doctrine issue de la tradition de l'anarchisme individualiste pronée par Max Stirner, influencée par les situationnistes. Il s'agit d'une doctrine disant qu'il ne faut pas en avoir, en combattant les fantômes de Stirner, tel que l'État, la Patrie et l'Anarchie en tant qu'abstraction, pour faire un chaos guidé par l'amour fou et une passion effrennée pour la Vie, où il ne pourra y avoir d'État.

Les deux ontologies de Cornelius Castoriadis

Un concept-clef de Castoriadis (voir Les Carrefours du labyrinthe - 1978) est la distinction entre deux ontologies ou modes (modalités) d'être. L'ontologie ensembliste-identitaire et l'ontologie sociale-historique. Exemples, la vache est un mammifère= la vache appartient à l'ensemble des mammifères. Autre exemple : les galaxies appartiennent au même ensemble d'êtres, une galaxie peut mourir, mais une autre galaxie ayant les mêmes règles de fonctionnement pourra naître. Ce n'est pas du tout le cas pour les êtres de type social-historique: l'Empire romain est mort, il n'apparaîtra jamais d'autre empire qui aura le même genre de fonctionnement ni de destin; on n'a rien dit si l'on définit un « empire » par son appartenance à « l'ensemble des empires », il n'y a que des empires distincts dans le temps et l'espace, indéfinissables par un ensemble exhaustif de propriétés communes. Au plan collectif, toute institution humaine et tout imaginaire social possèdent cette caractéristique ontologique. Au plan individuel toute psyché relève de l'ontologie sociale-historique et ne peut pas être réduite à de l'ensembliste-identitaire. L'articulation des deux plans a été effleurée dans certains ouvrages de cette œuvre inachevée, les imaginaires sociaux résultent des millions d'actions de millions de psychés non-figées et réciproquement chaque ancien bébé construit sa psyché dans le bain des institutions imaginaires de sa société, elle-même non-figée.

Mécanique quantique et ontologie

La mécanique quantique nécessite de remettre profondément en question certaines idées courantes de nature ontologiques qui ne s'appliquent plus au niveau du monde microscopique[5]. En effet l’"étude de l'être réel ", dans le sens physique, ne peut plus être encore indiqué avec le seul terme ontologie, mais on doit utiliser aussi l’adjectif « physique » et nous parlons proprement d’ontologie physique.

Le premier concept remis en question est celui de propriété : alors que les objets macroscopiques qui nous environnent semblent pouvoir être caractérisés par des grandeurs physiques existant de manière absolue (position, vitesse, ...), la mécanique quantique est contextualiste, c'est-à-dire que l'existence des propriétés physiques n'est garantie que lorsque l'on précise un contexte expérimental permettant de les mesurer.
Par exemple, en vertu des relations d'incertitude de Heisenberg, si le contexte expérimental permet une mesure précise de la position, il est tout à fait inapproprié de parler de sa vitesse ou de faire comme si le système en avait une. Cet aspect de la mécanique quantique est la source des débats entre Bohr et Einstein, la philosophie réaliste de ce dernier ne pouvant s'accommoder de la disparition de ce qu'il appelait des éléments de réalité[6].

Le deuxième concept remis en question est celui de séparabilité : deux objets ayant interagi peuvent être intriqués ; ils doivent alors être pensés comme un tout et leurs états ne peuvent être décrits séparément. En particulier, on observe des corrélations entre les mesures effectuées sur un objet et celles réalisées sur l'autre objet, comme un lien entre eux malgré la distance qui les sépare. En mécanique quantique, ces corrélations sont expliquées en disant que la mesure perturbe le système global formé par les deux objets.

Le troisième concept remis en question est celui d'individualité : deux particules fondamentales sont intrinsèquement indiscernables l'une de l'autre, de sorte que l'on ne peut parler de l'électron n⁰1 ou de l'électron n⁰2, mais d'un système composé de deux électrons.

Globalement, la physique quantique fragilise le concept d'objet, ou de système physique. Par exemple, une particule est vue en théorie quantique des champs comme l'un des états possibles d'un champ, voire comme un état excité du vide quantique. La question de savoir pourquoi le monde macroscopique qui nous entoure ne ressemble pas à sa contrepartie microscopique n'est pas encore complètement tranchée et fait partie des problèmes d'interprétation de la mécanique quantique. En parallèle à l'interprétation de Copenhague, la plus utilisée en pratique, selon laquelle le monde est divisé en une partie macroscopique "classique" et une partie microscopique "quantique", les physiciens de la décohérence quantique tentent de faire émerger la phénoménologie qui nous est familière à partir des principes de la mécanique quantique.

Notes et références

  1. Opuscules et fragments inédits, édités par L. Couturat, p. 512
  2. Philosophia prima sive Ontologia (1729)
  3. Critique de la raison pure, A632/B660
  4. La dialectique du monde sensible, 1922
  5. Michel Bitbol, Mécanique quantique, une introduction philosophique, 1re éd. 1996 [détail des éditions] 
  6. (en) Albert Einstein, Boris Podolsky et Nathan Rosen, « Can Quantum-Mechanical Description of Physical Reality Be Considered Complete? », dans Phys. Rev., vol. 47, 1935, p. 777-780 [résumé, texte intégral]  Voir également l'article Paradoxe EPR

Voir aussi

Bibliographie

  • Fragments du poème de Parménide, Presses Universitaires de France, 1999, 2e édition (ISBN 2130476457)
  • Héraclite, Fragments, GF-Flammarion, 2002 (ISBN 2080710974)
  • Platon, Sophiste, GF-Flammarion, 2006 (ISBN 2080712691)
  • Aristote, Métaphysique, GF-Flammarion, 2008 (ISBN 2080705636)
  • Edmund Husserl, Recherches logiques, Presses Universitaires de France, 1993, 3e édition (ISBN 2-13-045518-2)
  • Jean Paul Sartre, L'être et le néant, Gallimard, 1976; réédition 2008 (ISBN 978-2-07-029388-9)
  • Martin Heidegger, Être et temps, Gallimard, 1996 (ISBN 2070707393)
  • Martin Heidegger, Le principe de raison, Gallimard, 1983 (ISBN 2070203689)
  • Jean Beaufret, Parménide : Le Poème, Presses Universitaires de France, 2006 (ISBN 2130559026 )
  • Louis Lavelle, Introduction à l'ontologie, Editions du Félin, 2008 (ISBN 2866456807)
  • Étienne Gilson, L'être et l'essence, Vrin, 2002, 2e édition (ISBN 2711602842)
  • Michel Meyer, Pour une histoire de l'ontologie, Presses Universitaires de France, 1999 (ISBN 2130497926)
  • Gilles Deleuze, La philosophie critique de Kant, Presses Universitaires de France, 2004 (ISBN 213054696X)
  • Ludwig Wittgenstein, Tractatus logico-philosophicus, Gallimard, 2001 (ISBN 2070758648)
  • Willard Quine, Du point de vue logique : Neuf essais logico-philosophiques, Libraire Philosophique Vrin, 2004 (ISBN 2711616568)

Articles connexes

Liens externes

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