Moto aquatique

Moto aquatique

Motomarine

Pilote et sa motomarine

Une motomarine, aussi nommée scooter des mers et moto aquatique, est un petit véhicule de loisir nautique propulsé par un hydrojet, lui-même actionnée par un moteur à combustion. On compte deux types de ce véhicule, soit la motomarine à bras où l'utilisateur se tient debout et contrôle l'appareil avec un bras mobile verticalement muni de poignées de contrôle, et la motomarine à selle qui comporte un siège et des guidons similaires à ceux d'une motoneige ou d'une motocyclette. Dans le second cas, le véhicule est en général pour un conducteur et un passager.

Sommaire

Terminologie

Un motomariniste prenant un virage

Le terme « Jet Ski », nom d'un véhicule commercialisé par Kawasaki, visait à désigner ce que l'on appelle aujourd'hui une motomarine à bras (stand-up ski). « Jet Ski » est devenu avec le temps un terme quasi-générique pour désigner aussi bien les motomarines « à selle » que les motomarines « à bras » par un certain nombre d'utilisateurs. D'autres manufacturiers ont également produit des engins similaires sous les marques de commerce de Sea Doo (BRP), Wave Runner (Yamaha), etc.

Une marque de commerce particulière ne devant pas être utilisée comme nom commun d'un objet, des substantifs plus francophones ont été suggérés. En Europe, l'emploi des termes « scooter des mers » ou « scooter de mer » a une certaine diffusion. Depuis 2000, on remarque également l'usage du terme « moto aquatique ». Le terme administratif officiel, mais non d'usage, pour la France est V.N.M. (Véhicule Nautique à Moteur[1]). On n'a donc pas un consensus d'utilisation en Europe.

Le terme « motomarine » a été recommandé officiellement au Québec par l’Office québécois de la langue française. Il s'est rapidement imposé car les termes européens n'y sont pas employés. La personne qui pratique la motomarine est appelée motomariniste (n.m., n. f.) ou parfois motomarinier (n.m.) et motomarinière (n.f.).

Histoire

L'inventeur officiel de la motomarine s'appelle Clayton Jacobson II, un avocat américain et avide amateur de motocyclette, qui rêvait de créer une machine pour faire du ski nautique sans avoir l'obligation d'être tiré par un bateau[2],[3]. Ses premières versions était construites d'aluminium et le guidon mobile n'existait pas[4]. En 1967, il fut engagé par le constructeur de motoneiges Bombardier pour qui il créa en 1968 une motomarine assise, le Sea-Doo. Cette motomarine avait une quille ronde et de petite largeur par rapport à sa longueur, lui donnant l'aspect d'une tortue quand la quille était renversée dans l'eau. Avec un moteur de seulement 18 chevaux-vapeur, sa quille peu performante et certains problèmes de fiabilité mécanique, les ventes ne décolèrent pas. Bombardier abandonna le projet en 1970 pour se concentrer sur son marché principal, les motoneiges, et retourna les droits de l'invention à Jacobson[2].

Jacobson fut alors approché par Kawasaki Heavy Industries (KHI). Il vendit les droits d'usage de son brevet à la compagnie et y développa le JetSki en 1973, la première motomarine de type « à bras »[4]. La première série de JetSki mesurait 2,08 par 0,61 mètres, pesait 100 kilogrammes et elle était propulsées par un moteur de 398 cm³. La coque en fibre de verre était disponible en 2 versions: le modèle WS-AA dont le fond était plat et le modèle WS-AB, plus agressif, avec un fond en V. Environ 550 unités furent fabriqués la première année dont les 2/3 était du modèle WS-AB. Ces véhicules se vendaient 995,00 $US.

Après ce premier succès, Kawasaki et Jacobson entrèrent en dispute sur la parenté de l'invention : la compagnie argumentait qu'elle n'avait pas eu besoin de son brevet pour développer le véhicule. Suite à un procès en 1979, Jacobson fut reconnu l'inventeur[5]. Il intenta une autre action en court contre Kawasaki, et deux de ses filiales aux États-Unis, en 1989. Il alléguait alors que la compagnie avait obtenu un brevet pour le Jet Ski au Japon en nommant deux de ses employés comme les inventeurs. Il gagna contre la compagnie mère en juillet 1991 et obtint du jury 7,5 millions $US pour dommages, plus 13,5 million $US en compensations punitives. Cependant en appel, un juge ordonna un nouveau procès[5]. Finalement, en août 1992, les deux parties en arrivèrent à une entente hors-court dont le montant ne fut pas publié mais qui reconnaissait Jacobson comme l'inventeur une fois pour toutes[6].

Kawasaki demeura le seul producteur de motomarines jusqu'en 1986 alors que Jacobson a vendu un droit d'utilisation de son invention à Yamaha[5]. Devant le succès obtenu par le Jet Ski, Bombardier décida également de reprendre la production du Sea-Doo en 1988[3]. En 1992, c'est au tour d'un autre constructeur de motoneiges, la firme américaine Polaris, de se lancer dans ce nouveau marché et remporte un franc succès auprès de la clientèle des États-Unis[7]. En 1993, Arctic Cat de Thief River Falls dans le Minnesota emboîte le pas avec les jets Tigershark, motorisés par la firme Suzuki[7]. Actuellement trois constructeurs se partagent l'essentiel du marché : Bombardier, Kawasaki et Yamaha. Les ventes mondiales ont connu une constante progression jusqu'en 1995 alors qu'on a atteint un maximum de 200 000 unités vendues annuellement , la plus grande part étant destinée à l'Amérique du Nord. Par la suite, la production a décliné pour se stabiliser autour de 79 500 depuis 2002[8]. En 2004, selon l'Association des constructeurs de motomarines la valeur totale des ventes se situait à 733 454 700 $US, le prix d'une motomarine était de 9 226 $US[8]. On comptait environ 1,5 million de ces véhicules en circulation aux États-Unis seulement[8]. Depuis le milieu des années 1990, ce sont les motos avec sièges qui constituent la presque totalité des ventes aux États-Unis, les modèles pour trois passagers formant la catégorie la plus en progression[8].

Le sport associé à la pratique de la motomarine prit réellement son envol au cour des années 1980 avec des modèles de 440 cc et 550 cc, dont la coque était pratiquement identique à celle des premiers modèles de Kawasaki. Les 550 cc furent disponibles jusqu'au milieu des années 1990, maintenant remplacés par des modèles plus puissants. La popularité grandissante de ce sport imposa l'apparition de la IJSBA, fédération mondiale dont le nom originale était « International Jet Ski Boating Association » et dont le nom fut changé pour « International Jet Sport Boating Association », le terme JetSki étant une marque de commerce appartenant à Kawasaki. C'est à cet époque que la compétition mondiale fut créée à Lake Havasu en Arizona.

Types

Une motomarine « à bras »
Motomarine à selle

Motomarine à bras (Jet à bras)

La motomarine à bras se différencie de celle à selle par le fait qu’elle est démunie de toutes assises. Son pilote doit se tenir debout, les pieds dans une plate-forme spécifique nommée baquet. Son guidon est monté sur un bras articulé qui l’accompagne dans ses mouvements verticaux. La motomarine à bras est aussi appelée stand-up.

Les différentes pratiques de motomarine à bras sont :

  • Free-ride : Pratique de la motomarine à bras ou à selle dans les vagues dans le but d'exécuter des figures lors des sauts.
  • Free-style : Pratique de la motomarine à bras sur eau plate dans laquelle le pilote crée lui-même ses vagues en effectuant des aller-retours et se sert de son sillage pour décoller et exécuter des figures similaires à celles du free-ride. Cette pratique nécessite une grande puissance à bas régime
  • Vitesse : Course de vitesse exécutée dans un circuit de bouées qui est comparable à une course de MotoGP.

Motomarine à selle (Jet à selle)

La motomarine à selle, également appelé « scooter des mers » (Europe), est d’un gabarit bien supérieur à la motomarine à bras, elle est munie d’une assise, d’où sa dénomination de motomarine à selle. Elles ont été conçu à l'origine pour transporter deux personnes, mais on en retrouve maintenant de trois et même quatre sièges. Ce type de motomarine est aussi appelé Run en référence au terme "Wave runner" de Yamaha.

Détails techniques

Diagramme en coupe d'un hydrojet
Hydrojet sur un bateau de police

Les motomarines sont équipées de moteurs qui actionnent une turbine de type hydrojet, ingérant de l’eau à l’avant, la concentrant par turbinage et l’expulsant à la base arrière du véhicule[8]. Ce jet orientable par le guidon génère le déplacement et permet le changement de direction. On n’a donc aucune hélice visible, ce qui réduit le danger d’accident. Pour un contrôle de direction supplémentaire à basse vitesse, de petites ailettes de gouvernail équipent généralement les modèles à selle[8].

Originalement équipé de moteurs deux-temps à carburateur, les motomarines sont maintenant majoritairement munis de moteurs à injection à quatre-temps avec convertisseurs catalytiques[8]. Ceci réduit les gaz polluants et le bruit pour suivre les règlements comme ceux de l’Environmental Protection Agency (EPA) aux États-Unis et ceux encore plus stricts de la Californie[9],[10]. Ces moteurs réduisent en 2008 les émissions de plus de 90%, par rapport à ceux de 1998, et sont disponibles chez tous les constructeurs depuis 2003[8]. Ils constituent maintenant la majorité des ventes. L’insonorisation des coques, de meilleurs systèmes d’échappement et l’utilisation de matériaux absorbant les vibrations a permis de réduire le bruit des motomarines de 70% depuis la fin des années 1990[8].

Usages

Plaisance

Les motomarines sont agiles, faciles à conduire après un formation appropriée et peu coûteuses. Elles sont devenues populaires auprès des plaisanciers pour faire des balades sur les lacs et rivières. Elles sont assez petites pour être amenées sur place grâce à une remorque tirée par un automobile, mais elles peuvent être louées localement. La version à selle est en général assez puissante pour tirer un skieur.

Utilitaire

Ces même qualités les rendent attrayantes pour divers usages professionnels. Elles peuvent ainsi remplacer les hors-bords ou les autres petits bateaux pour les gardiens de plages, les biologistes qui étudient la vie marine, les policiers chargés de la surveillance des lacs et rivières, ou les entraîneurs de nageurs et de rameurs de compétition. La marine peut également les employer pour des missions de commando ou de patrouille rapprochée.

Compétition

Comme tout engin mécanique, la motomarine voit se dérouler des compétitions. Il y a des courses de vitesse en circuit fermé autour de bouées, des courses de vitesse en mer (le « Jet Offshore »), des courses d'endurance, et des épreuves de « Freestyle » et de « Freeride »[11]. Il y a eu pendant quelques années des épreuves de slalom parallèle mais elles ont disparu du paysage compétitif à la fin des années 1990.

Il n'y a pas une discipline reine qui éclipserait les autres dans la motomarine: les courses de vitesse au large sont les épreuves qui réunissent le plus de participants (450 pour les championnats du monde de la discipline, régulièrement plus de 200 pour d'autres épreuves du genre[12]) mais les pilotes de freestyle et de freeride sont ceux qui bénéfient globalement de la meilleure reconnaissance tant leur talent et leur prise de risque sur l'eau sont spectaculaires.

Les grands noms qui ont fait l'histoire de la motomarine en tant que sport sont : Jeff Jacobs, David Gordon, Tera Laho, Nicolas Rius, Florence Le Vot, Dustin Motzouris, Dustin Farthing, Steven Dauliach, Christy Carlson, Eric Malone, Francky Zapatta, Chris Mc Clugage, Chris Fischetti, Cyrille Lemoine, Eric Roy, Mark Sickerling, Didier Navarro, Karine Paturel, Jimmy Visser, Pierre Maixent, Scott Watkins, Jeff Kantz, Amy Green, Janelle Barr, Marc Sickerling, Ross Champion, Alessander Lenzi et Federico Bufacchi[13]. On compte beaucoup de grands champions, voire même quelques unes des "légendes", de ce sport parmi les français alors que c'est un sport plutôt marginal dans ce pays. La pression conjointe des lobbys écologistes, d'une prise de conscience environnementale générale et de l'augmentation des coûts du carburant a contribué à prendre ce sport dans un effet ciseau depuis le début des années 2000. Il est mal perçu donc moins de commanditaires, moins de couverture médiatique, plus de contraintes et de restrictions, plus coûteux. Le nombre de ses adeptes et compétiteurs a chuté de manière drastique en quelques années.

Réglementation

Du point de vue de la réglementation française, la motomarine est un « véhicule nautique à moteur », utilisable de jour uniquement[1]. Pour le piloter, le permis bateau est obligatoire. Celui-ci est accessible dès 16 ans. Dans les bases agréées, il est possible de naviguer sans permis lors d'initiations ou de randonnées encadrées par des moniteurs diplômés.

Inconvénients

Bruit

Selon un mémoire remis au Sénat canadien par M. Charles Komanoff, le 6 mai 2003, lors des audiences sur projet de loi S-10 concernant la motomarine, on peut résumer les doléances des autres utilisateurs des plans d'eau à l'encontre de la motomarine ainsi[14] :

  • les conducteurs de motomarines ont rarement une destination et ne font que passer et repasser, générant du bruit à chaque fois ;
  • contrairement à la plupart des embarcations motorisées, les motomarines quittent constamment l’eau en sautant les vagues. Sans l’effet atténuant de l’eau, l’échappement du moteur est beaucoup plus bruyant (estimation de huit à dix décibels supplémentaires) en sortant de l'eau. En retombant, la moto frappe la surface avec un bruit explosif ;
  • la motomarine est conçue et utilisée pour l’esquive, les virages brusques, la capacité de tourner sur place et, de façon générale, l’utilisation erratique de la manette des gaz. La vitesse du moteur varie donc avec chaque manœuvre. Il en résulte un son aigu pénétrant, qui monte et retombe rapidement de tonalité, captant l’attention de toutes les personnes à portée d’oreille.

Les calculs montrent que la nuisance psychologique supplémentaire due à ce que les motomarines émettent des bruits aigus, et variables d’un moment à l’autre, a le même effet de nuisance qu’un supplément de 12 à 15 décibels du niveau de bruit[14]. En ajoutant à cela le niveau de nuisance sonore mesurable et supplémentaire de 8 à 10 dBA dû aux sorties de l’eau, on estime que la motomarine peuvent émettre de 20 à 25 décibels de plus qu’un bateau à hors-bord ayant le même niveau de bruit mesuré dans l’eau. Même les plus récentes motomarines qui se conforment aux standards plus stricts produisent donc des effets sous-estimées par ces normes.

Le projet de loi S-10 visait donc à contrôler l'usage des plans d'eau par les motomarines en permettant aux communautés riveraines de faire une demande d'interdiction[15]. Plusieurs États américains ont également des législations interdisant leur usage sur des lacs de moins de 30 hectares (75 acres)[15].

Dangers potentiels

Comme n'importe quel véhicule, les motomarines sont sujets à une mauvaise utilisation, aux bris mécaniques et aux accidents par collisions. Leur conduite comporte cependant un élément de risque supplémentaire dû à la manœuvrabilité de leur direction. En effet, le mouvement du guidon change la direction d'éjection de l'hydrojet. Plus le régime du moteur est élevé, plus le changement de direction est précis. Si le moteur s'arrête subitement, il y a perte complète de maîtrise de la direction. En cas d'évitement d'urgence le conducteur doit donc accélérer pour avoir une meilleure manœuvrabilité ce qui n'est pas intuitif et peut causer des accidents chez les pilotes inexpérimentés[15],[16]. Comme mentionné antérieurement, certains modèles ajoutent maintenant des aillettes de gouvernail pour remédier à ce problème.

Leur utilisation a également un danger potentiel particulier dû à leur mode de propulsion En effet, un occupant qui tombe à l'arrière d'une motomarine est soumis au jet puissant venant de la turbine. S'il n'est pas protégé par un vêtemenent solide, comme une combinaison de plongée en néoprène, l'eau peut s'infiltrer dans toute ouverture de son corps et causer des dommages importants allant jusqu'à la mort[16],[17]. Par exemple, un patient de 16 ans est décédé suite à une chute derrière une motomarine en Illinois. L'autopsie a révélé que la cause principale du décès est un syndrome du choc toxique causé par une infection bactérienne suite au déchirement de l'anus par le jet[18]. Dans un autre cas de 2006, un jury du Comté de Napa, en Californie, a condamné Polaris Industries à verser 3,7 millions $US en dommages et intérêts à une victime qui a survécue à un tel accident mais souffre de handicaps importants comme l'incontinence fécale[19].

Pollution

Les anciens moteurs deux-temps des motomarines émettaient jusqu'a 225 fois plus d'oxyde de carbone et jusqu'à 1 000 fois plus de composés nitreux qu'un moteur automobile[15]. Ceci sans compter les pertes en hydrocarbures rejetés dans l'eau. Les améliorations de ces moteurs depuis 1998, suite aux nouveaux règlements gouvernementaux, et l'introduction de moteurs quatre-temps ont réduits considérablement les émissions des nouveaux véhicules. Cependant, tant que les anciennes motos ne seront pas retirées de la circulation, la pollution du parc de motomarines restera élevée.

Fédérations existantes

  • IJSBA (International Jet Sports Boating Association) [20]
  • IFWA (Fédération Internationale de Jetski Freeride)[21]
  • UIM (Union Internationale Motonautique)[22]

Voir aussi

Articles connexes

Plusieurs marques de motomarines proposent les deux versions
Certaines ne produisent que la version à bras

Liens externes

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Notes et références

  1. a  et b (fr)Véhicules nautiques à moteur, 11 avril 2008, Ministère de l'Écologie,de l'Énergie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire. Consulté le 2008-12-27
  2. a  et b (en)Sampsell, Michael M.; et al., Boat Accident Reconstruction and Litigation, Lawyers & Judges Publishing, 63-4 p. (ISBN 0913875791) 
  3. a  et b (en)Johnny Action, Tania Adams et Matt Packer, Origin of Everyday Things, Sterling Publishing, 124 p. (ISBN 1402743025) 
  4. a  et b (en)Jet Ski Evolution, boats.com. Consulté le 2007-09-11
  5. a , b  et c (en)« Judge Orders New Trial in Kawasaki Jet Ski Case », dans Wall Street Journal, 1991-09-17, p. C11 
  6. (en)« Kawasaki Heavy Industries Ltd.: U.S. Unit, Inventor Reach Settlement in Legal Dispute », dans Wall Street Journal, 1992-08-17, p. B6 
  7. a  et b (fr)Bruno Gillet de la revue Hydrojet HS, « Le Jet : une histoire d'ingeniosité », Juillet 1999, Jet-Net.org. Consulté le 2008-10-11
  8. a , b , c , d , e , f , g , h  et i (en)The history,Evolution, and Profile of the Personal Watercraft, janvier 2006, Personal Watercraft Industry Association. Consulté le 2008-10-11[pdf]
  9. (en)EPA Finalizes Emission Standards for New Nonroad Spark-Ignition Engines, Equipment, and Vessels, septembre 2008, Environmental Protection Agency. Consulté le 2008-10-14[pdf]
  10. (en)Air Resources Board, « Facts about California's new marine engine standards », février 1999, California Environmental Protection Agency[pdf]
  11. (en)How to Get Started in Racing, 2008, International Jet Sports Boating Association. Consulté le 2008-11-15
  12. (fr)Championnat du Monde de Jet Offshore sur le site officiel de l'île d'Oléron
  13. (en)World Champions 1982 - 2004, 2008, International Jet Sports Boating Association. Consulté le 2008-11-15
  14. a  et b (fr)Pourquoi les motomarines nous agressent-elles à ce point ? Davantage que les autres bateaux ? Données techniques., septembre 2006, Regroupement québécois contre le bruit (RQCB). Consulté le 2008-10-10
  15. a , b , c  et d (fr)Louis-Gilles Francoeur, « La motomarine en procès », dans Le Devoir, 30 mai 2003, p. B7 [texte intégral (page consultée le 2008-10-12)] 
  16. a  et b (en)Roy Scott Hickman et Michael M. Sampsel, Boat Accident Reconstruction and Litigation, Lawyers & Judges Publishing Company, Tucson, 2003, 560 p., « Chapitre 4 : Personal Watercraft ».
    Accidents reliés aux motomarines en pages 77-78
     
  17. (en)Jim Stingl, « Have fun on your watercraft, butt beware », dans Milwaukee Journal Sentinel, 28 juin 2000, p. 1 [résumé] 
  18. (en)Bernard Descottes, Fouzi Lachachi, Issifou Moumouni, Sylvaine Durand-Fontanier et Ramy Geballa, « Case Report: Rectal Injury Caused by Personal Watercraft Accident », dans Diseases of the Colon and Rectum, Springer (New York), vol. 46, no 7, juillet 2003, p. 971-972 (ISSN 1530-0358 et 0012-3706) [résumé lien DOI] 
  19. (en)Ford v. Polaris Industries, Inc. (cas 139 Cal. App. 4th 755), 18 mai 2006. Consulté le 2008-10-12
  20. (en)Site internet, International Jet Sports Boating Association. Consulté le 2008-11-15
  21. (en)(fr)Site internet, International Freeride Watercraft Association. Consulté le 2008-11-15
  22. (en)(fr)Site internet, Union Internationale Motonautique. Consulté le 2008-11-15
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