Antifascisme

Antifascisme

L'antifascisme désigne l'opposition organisée au fascisme et à l'extrême droite[1], et dans une acception plus large une idéologie tendant à s'opposer également à la droite dite « dure ».

Sommaire

Origines

L'antifascisme est un mouvement visant à s'opposer au fascisme et, par extension, aux idéologies et pratiques issues des régimes hitlérien et mussolinien. Ce mouvement est né en Italie, et pendant la Guerre d'Espagne, comme le mouvement qu'il combat.

Les principales forces sociales antifascistes sont :

Selon George Orwell, dans Les Pieds dans le plat espagnol, ce mouvement anti-fasciste a surtout servi une « démocratie bourgeoise », qui selon lui n'est qu'une autre forme de fascisme, et a été soutenu par des communistes devenus dans les faits des contre-révolutionnaires[3].

En France, le courant antifasciste s'incarne d'abord dans le Comité de vigilance des intellectuels antifascistes, le Front populaire, puis dans la Résistance, dont les gaullistes, les socialistes et le PCF prennent la tête.

La tactique du front populaire consiste à former des gouvernements unissant les partis de la bourgeoisie libérale et de la gauche, pour contrer la menace fasciste. Cette tactique a été appliquée en France et en Espagne. En France le Front populaire a rempli son rôle, comme le démontrera Léon Blum lui-même lors de son procès à Riom sous Vichy. Par contre en Espagne le Frente popular fut destitué par le coup d'État militaire franquiste.

Pour le trotskisme, et l'anarchisme des Amis de Durruti, le véritable antifascisme ne peut pas se baser sur la tactique du Front populaire, mais sur l'action directe et révolutionnaire des masses ouvrières, et éventuellement sur le Front unique de leurs organisations. C'est faute de ce Front unique entre parti communiste et social-démocratie que Hitler l'emporte en Allemagne, selon Trotsky[4]. Par ailleurs, les staliniens ont instrumentalisé l'antifascisme assez systématiquement pour discréditer leurs opposants (les anarchistes devenant "anarcho-fascistes", etc.) depuis les années 1930 jusqu'aux années 1980, lorsque l'un des slogans du PCF était Gauchistes, Fascistes, Assassins[réf. souhaitée].

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, les antifascistes ont joué un rôle important dans la Résistance contre les nazis dans les divers pays d'Europe. Des antifascistes italiens, allemands et espagnols en exil, notamment, ont participé à la résistance anti-nazie en France. On a ainsi assisté à un affrontement avec d'un côté des français pro-nazis alliés à la Gestapo et collaborant avec l'occupant allemand, et de l'autre des allemands anti-nazis luttant contre l'armée allemande aux côtés de la Résistance française.

Antifascisme contemporain

Graffiti antifasciste sur un mur de Sarajevo.

Actuellement, la tradition antifasciste est maintenue par certains anciens résistants et leurs organisations. Elle est revendiquée par des mouvements politiques de l'extrême gauche (SCALP-No Pasaran, Francs-tireurs partisans, Coordination antifasciste de Belgique…).

Un antifascisme plus radical, parfois violent, est apparu dans les années d'après-guerre, puis a grossi à partir des années 1960 et 1970, ne s'opposant plus seulement aux groupes néo-nazis et intégristes, mais par généralisation à toute politique de droite dite « dure », qu'elle soit sécuritaire, conservatrice ou patriotique, voire « néo-libérale ». Ainsi certains politiciens de droite comme Nicolas Sarkozy en France ou Oskar Freysinger en Suisse, ou leurs partis, sont fortement critiqués par les mouvements antifascistes actuels[5].

Certains mouvements se réclamant de l'antifascisme ne s'opposent pas uniquement à l'extrême-droite, mais à la droite en général, ainsi qu'au capitalisme (ce qui était déjà souvent le cas à l’origine de l’antifascisme, dans les années 1920 et 1930).

La mouvance antifasciste actuelle est aussi fortement liée à la scène « Skinhead de gauche » par le biais des organisations type RASH (Red and Anarchist SkinHead), Redskin (Skinhead Communistes) et SHARP (SkinHead Against Racial Prejudices), ainsi qu'à une partie de la mouvance altermondialiste et anticapitaliste qui ont par la suite créé des groupes "Antifa" (Exemple de groupe connu à Paris : Red Warriors).

Utilisation de l'antifascisme

Mythe fondateur national

L'Italie d'après-guerre

L'antifascisme a pu jouer un rôle majeur pour assurer l'unité nationale dans certains pays, en particulier le régime italien à ses débuts. Cette question a été étudiée par l'historien italien Ernesto Galli della Loggia dans l'article "Formes et fonctions de l’antifascisme dans la vie politique italienne : Légitimité ou légitimation ?" paru dans XXe siècle[6]. Selon Galli della Loggia, les premiers dirigeants de la jeune république italienne doivent résoudre un double problème de légitimité : le nouveau régime n'a pas d'histoire et ne s'est pas fait seul mais avec l'aide des Américains qui ont contribué à renverser le régime fasciste. Dès lors, l'antifascisme servira selon l'auteur aux forces politiques du pays pour « s’inventer une tradition », celle d'un pays qui a majoritairement lutté contre le fascisme : « Ce n’est qu’au travers de la lutte contre le fascisme, dont la Résistance a représenté le point culminant, que les nouvelles forces démocratiques et républicaines pouvaient, en effet, légitimer leur rôle ainsi que la rupture politique et institutionnelle qu’elles se préparaient à instaurer. »[7] Pour Galli della Loggia, il y une « nationalisation » de l'antifascisme[8]. Mais en plaçant l'antifascisme comme fondement, les nouveaux dirigeants ont évacué complètement le concept de nation, qui a disparu du paysage politique pour l'auteur.

L'historien Renzo De Felice, communiste jusqu'en 1956 et spécialiste du fascisme, avait développé une position proche de celle de Galli della Loggia plus tôt; il critique ce qu'il appelle le « mythe de la résistance », vulgata resistenziale[9]. L'Italie a selon lui soutenu majoritairement le fascisme et il ne faut pas exagérer l'importance de l'antifascisme. L'historien Claudio Pavone reprit des idées proches, dans son ouvrage de 1991, Una guerra civile. Saggio storico sulla moralità nella resistenza. L'auteur, qui a pris part directement à la résistance italienne, relativise l'importance de cette dernière et l'honorabilité des motifs de ceux qui y ont pris part. Ses thèses ont été mieux accueillies dans le cadre d'un débat historiographique renouvelé dans les années 1990[10].

Les position de Galli della Loggia a été attaquée par l'historien Eric Vial dans la même revue. De même, celle de Renzo de Felice a été critiquée avec virulence. Ils ont en particulier été accusés de fournir une réhabilitation posthume du fascisme.

La République démocratique allemande

Un autre cas, celui de l'Allemagne de l'Est, a été étudié par Alan L. Nothnagle, professeur d'histoire à l'Université européenne Viadrina dans Building the East German Myth: Historical Mythology and Youth Propaganda in the German Democratic Republic, 1945-1989. Il estime que le Parti socialiste unifié d'Allemagne (SED), principal parti d'Allemagne de l'Est, a construit sa stabilité et, partant, celle du régime, sur quatre « mythes » pour assurer sa légitimité. Nothnagle fait de l'antifascisme du SED le second de ces mythes. Pour l'auteur, la mythologie du régime faisait, de façon exagérée, du parti communiste allemand le fer de lance d'une résistance antifasciste populaire, pour attribuer au parti et donc au régime qu'il dirigeait la légitimité d'avoir résisté au nazisme[11].

Utilisation par le mouvement communiste

Cette instrumentalisation à l'échelle d'une nation a pu également se faire, souvent plus tardivement, à l'échelle de différents partis, principalement communistes. A l'échelle italienne, le débat sur l'antifascisme a animé la communauté des historiens depuis une trentaine d'années : il avait été ouvert par l'historien du fascisme Renzo De Felice dans son Intervista sul fascismo., livre entretien qui avait ouvert alors un débat historiographique intense[12]. En particulier, il estime que le fascisme est un phénomène daté, qui a disparu. Pour lui, le maintien d'un mouvement antifasciste n'a pas de sens et l'antifascisme est un mythe qui a pour fonction de légitimer le parti communiste italien.

Le débat s'est poursuivi avec d'autres travaux : Galli della Loggia écrit ainsi dans XXe siècle : « très tôt, et de plus en plus, l’antifascisme devint un simple outil de parti communiste dans sa lutte contre ses ennemis, périodiquement accusés d’œuvrer au rétablissement d’un régime autoritaire[13] ». Galli della Loggia d'ajouter que le parti communiste italien chercha volontairement à exagérer la menace fasciste pour se donner une légitimité « le parti communiste orienta donc son action politique et culturelle [..] en construisant l’image d’un fascisme éternellement menaçant »[14].

Un tel débat s'est tenu, plus tardivement en France : l'historienne Annie Kriegel a soulevé cette question en 1990 dans un article "Sur l'antifascisme" paru dans la revue Commentaire. L'ouvrage de François Furet, Le Passé d'une illusion est celui qui a le plus diffusé ces idées, en 1995. Ainsi, Furet, ancien militant du PCF stalinien, d'écrire que les mouvements communistes ont nourri une assimilation volontaire et erronée entre fascisme et anticommunisme. Pour lui, cette confusion sciemment voulue aurait bloqué toute analyse critique du communisme, puisque faire cette analyse reviendrait à défendre le fascisme. François Furet applique en particulier cet antifascisme de face au stalinisme[15]. L'essayiste Jean Sévillia parle ainsi de terrorisme intellectuel concernant l'instrumentalisation manichéenne de l'antifascisme par les communistes français qui amalgamaient tout anticommunisme au fascisme : « Avant-guerre, sous le mot fascisme, la propagande communiste englobait le nazisme, le régime mussolinien, les États nationaux-catholiques ou la droite nationaliste des pays libéraux. Cette dialectique amalgamait en réalité des courants politiques, des philosophies et des situations historiques radicalement différentes. (...) Quel rapport entre un hitlérien et un patriote français de droite ? Aucun. Pour un marxiste, il y en a un : tous deux sont anticommunistes. (...) Après-guerre, les communistes resservent à l'envi cette thématique antifasciste. (...) Immense sophisme, mais d'une puissance d'attraction considérable ; qui ne serait pas révulsé par Hitler ? Cette haine rétrospective jette abusivement des milliers de braves gens dans les bras du Parti communiste[16]. »

D'autres auteurs comme Stéphane Courtois dans Le Livre noir du communisme se sont intéressés à ces thématiques. L'historien écrit par exemple page 32 de l'ouvrage : « L'antifascisme est devenu, pour le communisme, un label définitif et il lui a été facile, au nom de l'antifascisme, de faire taire les récalcitrants. […] Furent ainsi prestement escamotés les épisodes gênants au regard des valeurs démocratiques, comme les pactes germano-soviétiques de 1939 ou le massacre de Katyn. »

Là encore ces thèses ne font pas l'unanimité et Enzo Traverso en particulier a été critique des thèses de ces auteurs[réf. souhaitée].

Critique bordiguiste

Pour Amadeo Bordiga et les bordiguistes, l'antifascisme est une idéologie bourgeoise, visant à mêler les intérêts du prolétariat à ceux de la bourgeoisie, pour sauvegarder le capitalisme en crise[17]. Ils rejettent aussi bien le Front populaire que le Front unique. Pour eux, le fascisme est un phénomène typique, mais non extra-ordinaire, de la contre-révolution victorieuse après l'écrasement des ouvriers consécutif à la Première Guerre mondiale et à l'échec de la vague révolutionnaire des années 1920. La contre révolution se caractérise par la montée du fascisme et du stalinisme en Europe. Ce phénomène aboutit à la deuxième guerre impérialiste mondiale. C’est donc un phénomène historique et mondial que l'on doit combattre, mais pas par la défense de la démocratie ou des libertés avec les bourgeois libéraux. C'est une politique du capitalisme dans sa phase de crise historique.

Critiques de l'antifascisme contemporain

Pour Pier Paolo Pasolini, connu pour son combat antifasciste réel contre le fascisme italien, l'antifascisme moderne est une posture naïve ou de mauvaise foi. Pour lui l'antifascisme, par le choix volontaire ou non d'une cible qui n'existe pas ou n'existe plus, est le fascisme d'aujourd'hui.

Dans ses Écrits corsaires (1975), il écrit : « Une bonne partie de l'antifascisme d'aujourd'hui, ou du moins ce qu'on appelle antifascisme, est soit naïf et stupide soit prétextuel et de mauvaise foi. En effet elle combat, ou fait semblant de combattre, un phénomène mort et enterré, archéologique qui ne peut plus faire peur à personne. C'est en sorte un antifascisme de tout confort et de tout repos. Je suis profondément convaincu que le vrai fascisme est ce que les sociologues ont trop gentiment nommé la société de consommation[18]. »

En France, Lionel Jospin qui fut le premier secrétaire du Parti socialiste en 1981 et durant tout le premier septennat de François Mitterrand, puis ministre du gouvernement sous le second, avoua en 2007 que : « Pendant toutes les années du mitterrandisme nous n'avons jamais été face à une menace fasciste donc tout antifascisme n'était que du théâtre, nous avons été face à un parti – le Front National – qui était un parti d'extrême droite, un parti populiste aussi à sa façon mais nous n'avons jamais été dans une situation de menace fasciste et même pas face à un parti fasciste[19]. »

Certains analystes reprochent au mouvement antifasciste contemporain des combats à géométrie variable : pour Pierre-André Taguieff, philosophe et politologue, l'indignation des antifascistes vis-à-vis de certaines dictatures serait davantage motivée par des motifs politiques que par un réel intérêt pour le sort des populations sous le joug de dictateurs. Il écrit ainsi que « depuis les années 1970, les "antifascistes" les plus résolus ne se mobilisent jamais contre les dictateurs en exercice dans le monde et ne semblent pas s'indigner devant les multiples régimes tyranniques qui privent de liberté des millions d'hommes »[20]. Pour Taguieff, l'antifascisme tombe dans le manichéisme avec ses figures sacrées comme Fidel Castro [réf. nécessaire] ou Mao [réf. nécessaire] et ses obsessions comme les États-Unis [réf. nécessaire] ou l'extrême droite. Ainsi, selon lui, « la posture antifasciste à force de se rigidifier, se confond avec le simplisme manichéen de la mentalité libertaire la plus sectaire et obtuse »[21]. Alain Finkielkraut considère que l'antifascisme a été corrompu en instrument politique par le communisme[22].

Voir aussi

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Antifascisme avant 1945

Antifascisme contemporain

Bibliographie

Personnalités antifascistes

Notes et références

  1. Serge Cosseron, Dictionnaire de l'extrême-gauche, Paris, Larousse, 2007, p. 77-79.
  2. Voir Serge Audier, Le socialisme libéral, La Découverte, 2006, ou Philippe Nemo, Histoire du libéralisme en Europe, PUF, 2007, 3e partie
  3. Dans le ventre de la baleine, Éditions Ivrea, pp. 38-48.
  4. Léon Trotsky, « Aux Bolcheviks-Leninistes de l'URSS », 17 août 1934.
  5. Bündnis Alle gegen Rechts :
    « Das Bündnis "Alle gegen Rechts" bekämpft nicht "nur" die NazischlägerInnen auf den Strassen und den wiederaufkeimenden Faschismus und Antisemitismus in der Politik und an den Stammtischen. Unser Kampf richtet sich auch gegen alle anderen unterdrückerischen und ausbeuterischen Strukturen und Systeme (Staat, Patriarchat, Kapitalismus, Sexismus…) mit denen eine freie, emanzipierte, selbstbestimmte und solidarische Gesellschaft nicht möglich ist! » (« L'Alliance "tous contre la droite" ne combat pas "que" les nazis dans les rues et le retour du fascisme et de l'antisémitisme dans la politique et dans les bistrots. Notre combat se dirige aussi contre tous les systèmes et structures oppressifs et productifs (État, patriarcat, capitalisme, sexisme, etc.) avec lesquels une société libre, émancipée, autogérée et solidaire n'est pas possible »)
  6. Ernesto Galli della Loggia, "Formes et fonctions de l’antifascisme dans la vie politique italienne : Légitimité ou légitimation ?", Vingtième Siècle. Revue d'histoire, 2008(4), N°100, p.69 à 78
  7. Galli della Loggia, art. cit., p.69
  8. Galli della Loggia, art. cit., p.71
  9. John Whittam, Review Article Fascism and Anti-Fascism in Italy: History, Memory and Culture, in Journal of Contemporary History, 2001, vol 36(1), p.163 et suivantes
  10. Manlio Graziano, "(Ne pas) enseigner la nation (italienne)", Outre - Terre, 2005(3) (no 12), pages 23 à 43
  11. Alan L. Nothnagle, Building the East German Myth: Historical Mythology and Youth Propaganda in the German Democratic Republic, 1945-1989, University of Michigan Press, 1999
  12. Michael A. Ledeen, "Renzo de Felice and the Controversy over Italian Fascism", Journal of Contemporary History, 11 (1976), pages 269-283
  13. Résumé de l'article par la revue XXe siècle.
  14. Galli della Loggia, op. cit., p. 69
  15. François Furet le Passé d'une illusion, Robert Laffont/Calmann-Lévy, 1995
  16. Jean Sévilla Le terrorisme intellectuel, éditions Perrin, 2004
  17. L'ANTIFASCISME DEMOCRATIQUE: UN MOT D'ORDRE ANTI-PROLETARIEN QUI A DEJA FAIT SES PREUVES et NOUVELLES ATTAQUES CONTRE «AUSCHWITZ OU LE GRAND ALIBI»
  18. Pasolini, Ecrits corsaires - Texte lu
  19. L'antifascisme n'était que du théâtre, France Culture, 29 octobre 2007
  20. Pierre-André Taguieff, Les contre réactionnaires, 2005, p. 27.
  21. Taguieff, ibid., p. 29.
  22. « Ce n'est pas un des moindres crimes du communisme, en effet, que d'avoir manipulé l'enfer et transformé l'antifascisme en instrument d'oppression. », Alain Finkielkraut, Mgr Stepinac et les deux douleurs de l'Europe, Le Monde 07/10/98

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