Martel (Lot)

Martel (Lot)
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44° 56′ 16″ N 1° 36′ 35″ E / 44.9377777778, 1.60972222222

Martel
Image illustrative de l'article Martel (Lot)
Armoiries
Administration
Pays France
Région Midi-Pyrénées
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Canton Martel
Code commune 46185
Code postal 46600
Maire
Mandat en cours
Jean-Claude Requier
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Martel
Démographie
Population 1 538 hab. (2007)
Densité 44 hab./km²
Gentilé Martelais , Martelaises
Géographie
Coordonnées 44° 56′ 16″ Nord
       1° 36′ 35″ Est
/ 44.9377777778, 1.60972222222
Altitudes mini. 92 m — maxi. 336 m
Superficie 35,28 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Martel (en occitan languedocien Martèl) est une commune française, située dans le département du Lot et la région Midi-Pyrénées.

Ses habitants sont appelés les Martelais(es).

Sommaire

Géographie

Martel en Quercy est située au nord-ouest du Lot, chef-lieu de canton en plein cœur du causse qui porte son nom, dans le Haut Quercy. À 5 km de la rivière Dordogne, Martel se situe aux croisées de trois régions : Midi-Pyrénées - Limousin - Aquitaine, à proximité de Rocamadour, Souillac, Saint-Céré, Carennac, Brive-la-Gaillarde, Collonges-la-Rouge, Turenne, Sarlat, Eyrignac, et du gouffre de Padirac.

Héraldique

Le blasonnement en est : « De gueules, à trois marteaux ou martels d'argent au manche d'or 2 et 1. »[1]

Histoire

La légende de Charles Martel, Maire du Palais et grand-père de Charlemagne, qui ne fut dénommé Martel que de façon posthume, fondant la ville autour de son église dédiée à Saint Maur, soit pour commémorer une bataille gagnée contre les Sarrazins, soit dans le cadre de son conflit avec Eudes, duc d'Aquitaine, ne semble être qu'un conte érigé pour asseoir la fierté des Martelais quand on généralisa les armes parlantes vers le XIIIe siècle. Ces légendes des origines étaient très fréquentes au Moyen Âge.

Située sur l'antique voie gallo-romaine reliant Paris au midi de la France, jalonnée au sud par le pèlerinage vite célèbre de Rocamadour, à 5 km de la Dordogne et de l’un des derniers oppidums gaulois, Uxellodunum, la cité de Mortel (Le nom d'origine est-il lié à Saint Maur ou provient-t-il effectivement d’une bataille?), qui ne deviendra Martel qu'entre le XIIIe et le XIVe siècle, a très certainement été fondée au début du XIe siècle par les vicomtes de Turenne, puissants et redoutés seigneurs du bas limousin. Les plus anciens bâtiments et textes relatifs à Mortel datent effectivement du XIe siècle. Une certitude, la fondation de la cité n’est ni d’origine religieuse autour d’une abbaye, ni d’origine militaire autour d’un castrum ou d’une place forte (La Raymondie ne datant que du XIVe siècle et la situation géographique en plaine étant trop exposée), mais aurait été créée et développée par les Vicomtes comme ces villes neuves du Moyen Age, les Bastides dont le but était de valoriser un fief autour d’un marché pour tirer bénéfice des routes ou de la fertilité des terres, en l’occurrence celles de la vallée de la Dordogne. Les seigneurs attiraient les colons en leur conférant des avantages : la faculté d’ouvrir un marché, des droits de juridiction et surtout des impôts préalablement définis et modérés. La particularité de Martel en tant que bastide, c'est qu'elle n'en respecte pas l'agencement urbain.

Les consuls de Martel font construire deux enceintes fortifiées, la première correspondant au tour du centre ville actuel au XIIe siècle, puis la deuxième enceinte au XIVe siècle. Pendant la guerre de Cent Ans, malgré la présence des mercenaires anglais notamment au château de Montvalent avec la compagnie de 600 hommes de Jean Sandos, la cité ne sera jamais prise. Le traité de Brétigny en 1360 la livre aux Anglais. Du Guesclin la reprend en 1374. Martel restera catholique durant les guerres de religions. Lorsque Charles-Godefroy de la Tour d'Auvergne, petit-fils du Maréchal de Turenne, vendra à Louis XV la Vicomté de Turenne le 8 mai 1738 pour payer ses dettes de jeu, Martel perdra de son autonomie (La vicomté était le dernier fief français, les viscomtins, devenus sujets de Louis XV, sont alors contraints à l'impôt) et déclinera lentement jusqu'à la révolution. Lors de celle-ci, la sénéchaussée royale sera supprimée privant une grande partie de la bourgeoisie de ses moyens de subsistance. La population ne cessera de diminuer.

Martel, la ville aux sept tours. De gauche à droite, Mirandol, Vergnes de Ferron, Fabri, Raymondie, Prison, Cordeliers, Eglise Saint Maur.

Bénéficiaire d'une charte octroyée par le Vicomte de Turenne en 1219, pouvant dès lors faire appel au roi de France en cas de litige avec le Vicomte, proche du pèlerinage de Rocamadour et de la route de Saint-Jacques-de-Compostelle, accueillant plusieurs ordres religieux, Cordeliers, Mirepoises, Maltaises, administrée par des consuls élus, qui s'efforceront de protéger la petite cité et des appétits du Vicomte et des troubles de l'histoire, Martel fut une bourgade prospère dans une région relativement pauvre, autour de ses marchands et de sa sénéchaussée royale jusqu'au XVIIIe, puis grâce au commerce de la truffe du XIXe jusqu'au début du XXe siècle, ce qui peut expliquer le grand nombre de belles maisons du XIXe siècle en lisière du centre médiéval. Le marché aux truffes de Noël 1904 verra changer de mains plus de 20 tonnes d'or noir.

L'économie du XXe siècle y sera très limitée du fait de l'exode rural et du déplacement de la truffe vers le sud du Lot (Lalbenque) et ne sera marquée que marginalement par la Conserverie DELVERT, Coupe d'Or du Bon Goût Français 1970, fournisseur de Fauchon et Félix Potin, fermée en 1981, et plus récemment par l'entreprise SOLEV, rachetée par le groupe POCHET en 2011. La petite gare de Martel sur le parcours de la ligne Bordeaux-Aurillac a été fermée en 1980.

Aussi appelée la ville aux 7 tours, Martel comptait au XVe siècle plus d'une trentaine de tours, tourelles et échauguettes.

Tout ceci explique sûrement que ce soit constitué au fil des siècles, un petit ensemble urbain d'un charme rare, où les époques, les styles architecturaux, la fière ambition ou la franche humilité des hommes se sont magiquement mêlés : Martel en Quercy. PYR

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1987 2014 Jean-Claude Requier PRG  Vice-président du conseil général

Sénateur depuis 2011

Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Au début du XXe siècle, Martel comptait 2 236 habitants[2].

Évolution démographique
(Source : INSEE[3])
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007
1377 1416 1454 1402 1462 1467 1591 1538[4]
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Économie

L'économie y est marquée par : - l'industrie, à travers la SOLEV, employant plus de 320 personnes, - l'agriculture et le commerce des produits du terroir, - le tourisme et la gastronomie, - une forte proportion de résidences secondaires.

Martel bénéficie de plus de nombreux équipements : - Ecole maternelle, primaire et collège, - Complexe sportif, - Un supermarché et une supérette généralistes, - Un commerce de bricolage, - Une agence postale, - Deux pharmacies, - Médecins, dentiste, infirmiers libéraux, kinésithérapeutes, - Vétérinaire, - Banques, assurances, - Agences immobilières, - Coiffeurs, - Deux boulangers-patissiers, - Plusieurs hôtels, - Plusieurs restaurants , - Plusieurs bars dont un bar tabac, - Plusieurs antiquaires, brocanteurs...

Martel est de plus proche du bassin d'emploi de Brive (30 km), de l'autoroute A20 (7 km) et de l'aéroport Brive-Vallée de la Dordogne (15 km).

Industrie

Martel bénéficie de l'implantation d'une usine de métallisation, la SOLEV. Son domaine d'activité concerne le vernissage et finition pour des produits à haute valeur ajoutée : bouchons et flacons de parfums de luxe... Les techniques de traitement de surface suivantes y sont mises en œuvre : métallisation sous vide, vernissage, reprise laser, sublimation... Cette usine, emploie plus de 320 personnes[5].

Agriculture

C'est aujourd'hui un centre actif du marché de la truffe, des noix et de l'artisanat des conserves.

Tourisme

La saison touristique est essentiellement concentrée de début juillet à la mi-août.

Le chemin de fer touristique

La Chemin de fer touristique du Haut Quercy qui réalise la liaison Martel - Saint-Denis-lès-Martel a été remise en service en 1997 par une association de passionnés bénévoles[6]. 58 000 personnes par an visitent cette ligne. Un nouveau hall des voyageurs a été inauguré le 18 avril 2010[7].

Une partie de cette ligne, taillée dans la falaise de Mirandol, surplombe la Dordogne. Il s'agit en fait d'une portion de l'ancienne ligne Bordeaux Aurillac construite entre 1880 et 1884 et mise en service en 1889. Elle venait concurrencer le trafic des "Gabares" de la Dordogne. Le train servait notamment à l'expédition des truffes du marché de Martel, l'un des plus importants de la région, d'où le nom de Truffadou. La partie Sarlat - Saint-Denis est inexploitée par la SNCF depuis 1980.

Autres sites touristiques

Reptiland propose de découvrir serpents, lézards et crocodiles du monde.

Le marché d'été ayant lieu sous la halle mercredi et samedi matin est l'un des plus beaux de la région.

Plages de rivière et canoë-cayak à Gluges, Copeyre, Meyronne, Saint Sozy...

Lieux et monuments

Le beffroi du palais
  • Palais de la Raymondie[8]: édifié à partir de 1280 à l'initiative de Bernard Raymondie, receveur des impôts royaux et fils présumé du Vicomte Raymond IV de Turenne, l'édifice fut achevé vers 1330 par son gendre Pierre Stéphani. Ce palais urbain se compose de quatre ailes disposées autour d'une vaste cour, à laquelle on accède par un porche surmonté d'une tour transformée tardivement en beffroi. Il présente trois niveaux d'élévation de des petites échauguettes aux angles des façades sud et est, symbolisant, comme tous les palais urbains différents rôles : résidence aristocratique ou bourgeoise à l'étage, galeries au rez-de-chaussée destinées au commerce, salle de réception pour les manifestations publiques. À la révolution, il devient hôtel de ville, puis se voit alliéner par le développement de nombreux commerces en rez-de chaussée. A noter : la façade Sud avec son enfilade d'arcades Renaissance; fenêtres à meneaux et médaillons, échauguettes, cheminées et bas-relief Renaissance. Au 1er étage du Palais de la Raymondie, on trouve le Musée d'Uxellodunum qui renferme des collections d'objets protohistoriques et gallo-romains provenant des fouilles du Puy-d'Issolud. Intéressantes collectons de pots à pharmacie (XVIIe et XVIIIe siècles) et séries de cartes anciennes.
  • Église Saint-Maur[9]: dédiée à un disciple de saint Benoît; église fortifiée, tympan roman du XIIe siècle, nef du XIVe siècle, clocher du XVIe siècle, rehaussé pour sa partie octogonale au XIXe siècle, d'une hauteur de 48 mètres. L'église à travers ses dimensions et son caractère imposants est un bel exemple du "Gothique du Midi", dont la cathédrale Sainte-Cécile d'Albi est la plus représentative. Le chevet de l'église est éclairé par une très belle verrière du début du XVIe siècle représentant en 12 tableaux la Semaine Sainte; on l'attribue à l'atelier du célèbre verrier Arnaud de Moles. On trouve aussi dans le chœur un bel ensemble de boiseries et de tableaux du XVIIIe siècle
  • Halle de la fin du XVIIIe siècle remarquable pour sa charpente en châtaignier et ses "conques" (mesures à grain) : édifiée sur l'emplacement de l'Arsenal et du premier hôtel de ville où les consuls et le sénéchal tenaient leurs séances, démoli par décision du 4 janvier 1792 de l'assemblée municipale, bâtiment remarquable par sa charpente conçue par Teringot, géomètre à Martel.
  • Hôtel Fabri (XIIe siècle, XIVe siècle et XVIe siècle): en 1183 le bourgeois Étienne Fabri y accueille Henri le Jeune mourant, après le pillage de Rocamadour par sa troupe de mercenaires. Deuxième fils et héritier d'Henri II Plantagenêt et d'Aliénor d'Aquitaine, frère de Richard Cœur de Lion et de Jean Sans Terre. D'après la tradition, le prince d'Angleterre, Henri Court-Mantel, y mourut en 1183, en expiant ses crimes, alors qu'Henri II était en route aux alentours de Limoges pour se réconcilier avec ce fils terrible.
  • Maison Grise : jadis habitée par une famille de juristes, les Judicis (XIIe siècle, XVIe siècle et XIXe siècle).
  • Hôtel Condamine : hôtel de la monnaie, ancien atelier de frappe des monnaies en usage dans la Vicomté (XIIIe siècle et XIVe siècle); particularité : 2 tourelles accolées d'inégales longueurs.
  • Le Grenier d'Abondance : petit immeuble renaissance du XVIe siècle attenante à la deuxième enceinte, fenêtres à meneaux dont l'une est surmontée d'une expression tirée des Eglogues de Virgile, "Deus nobis ocia fecit"… "Dieu nous a donné ce lieu de repos"
  • Hôtels particuliers, maisons de charme, portes de style, ancien couvent des Mirepoises avec son cloître et son plafond à caissons, à découvrir au détour des vielles rues.
  • La Vassaudie  : difficile à trouver sur la route de Creysse, une majestueuse ruine faite de gros moellons appareillés et bien assisés. Aujourd’hui éventrée, on y devine une grande salle principale, avec en continuité une autre pièce plus petite qui devait être une chapelle à croisée d’ogive, dont les liernes devaient reposer sur des culots sculptés
De gauche à droite, tours Fabri, Mirandol, Vergnes de Ferron, et tour de la Raymondie

Liste des 7 tours

  1. Clocher de l'église, octogonal
  2. Beffroi de la Raymondie, rectangulaire
  3. Tour Tournemire : tour de guet, et également prison (XIIe siècle et XIVe siècle, carrée
  4. Tour des Cordeliers (tronquée à la Révolution), carrée
  5. Tour Fabri, ronde
  6. Tour Vergne de Ferron, ronde
  7. Tour de Mirandol, carrée

Personnalités liées à la commune

  • Henri le Jeune, dit le « jeune roi », prince d'Angleterre, deuxième fils de Henri II et d'Aliénor d'Aquitaine, couronné roi du vivant de son père [surnommé Henri Court-Mantel], mort à Martel en 1183
  • Raymond IV de Turenne donna à Martel sa charte de franchises en 1219
  • Peyre Pélicié, troubadour qui vivait au début du XIIIe siècle, de Martel [issu d'une famille bourgeoise de la ville] dont on conserve deux chansons <réf. Jeanroy>
  • Christophe de Romandiola (1172-1271) bienheureux, disciple et ami de François d'Assise, fonda le couvent des Cordeliers
  • Saint Louis et Blanche de Castille vinrent à Martel en 1244
  • Du Guesclin, libérateur de Martel en 1374
  • Etienne de Bascle (1605-1661avocat janséniste, ami de l'abbé de Saint-Cyran, 3e solitaire de Port Royal<réf.Delforge:Les petites écoles de Port-Royal. Sainte-Beuve: Histoire de Port-Royal., etc.>
  • Jean-Louis Jauberthou,introducteur en France de la vaccine, qu'il inocula à la famille royale en 1785<livres divers sur la vaccination>
  • Pierre-Joseph Lachèze de Murel(1744-1835) député aux États Généraux, et à la chambre des députés, chev. de la Légion d'Honneur[10]
  • Pierre Lachièze(1743-1818) avocat, maire de Martel pendant la Révolution (1792-1795), président de l'Assemblée départementale, député à la Législative et au Conseil des Anciens et au Corps Législatif[11]
  • Claude Caÿx prêtre né le 6 novembre 1724 à Martel, bienheureux, tué lors des massacres de septembre 1792 à Paris[12]
  • Charles Ribeyrolles, publiciste républicain, proscrit en 1851, ami de Victor Hugo, établi au Brésil où il mourut en 1860, co-auteur du Brésil pittoresque
  • Pierre-Marcelin Lachièze (1807-1885) avocat, fondateur sous la monarchie de juillet du journal républicain le Radical du Lot[13]
  • Mgr Arlet, évêque d'Angoulême (début du XXe siècle), né à Martel[14]
  • Henri Ramet, né le 22 février 1859 à Martel, maire, historien
  • Albert Lachièze, (1840-1925) maire de Martel de 1877 à 1925, député du Lot de 1889 à 1906[15]
  • Pierre Lachièze-Rey, philosophe, né et mort à Martel (1885-1957)
  • Marcel Baleste géographe, historien de Martel, mort en 2006, auteur de "LA VIE QUOTIDIENNE A MARTEL AU XIXe siècle SIECLE – 1800-1852"[16]
  • Pierre Mirat (1924-2008), acteur français inhumé au cimetière de Martel

Jumelage

Panoramique

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Voir aussi

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Notes et références

  1. Victor Adolphe Malte-Brun, Lot : Géographie - Histoire - Statistique - Administration, Les éditions du Bastion, 1882 (réimpr. 1980), 58 p., p. 41 
  2. Le Lot partie Chemins de fer p.194 - Armand Viré - Réédition de l'ouvrage de 1907 - ISBN 2-7455-0049-X
  3. Martel sur le site de l'Insee
  4. http://www.insee.fr/fr/ppp/bases-de-donnees/recensement/populations-legales/commune.asp?annee=2007&depcom=46185
  5. Solev sur http://www.pivaudran.com. Consulté le 23 avril 2010
  6. Gino Lauri, « C F T H Q - Le Truffadou », 1 Mars 2011. Consulté le 2 mars 2011
  7. « Le hall des voyageurs inauguré », dans La Dépêche du Midi, 23 avril 2010, p. 26 [texte intégral (page consultée le 23 avril 2010)] 
  8. Anne-Laure Napoleone, La Raymondie de Martel, p. 391-404, dans Congrès archéologique de France. 147e session. Quercy. 1989 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1993
  9. Marie-Pasquine Subes-Picot, Église Saint-Sauveur de Martel, p. 365-390, dans Congrès archéologique de France. 147e session. Quercy. 1989 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1993
  10. Pierre-Joseph Lachèze de Murel sur le site de l'assemblée nationale Assemblée nationale - Base de données historique des anciens députés
  11. Pierre Lachièze sur le site BSEL Sociéte des études du Lot 3 1999
  12. Claude Caÿx sur le site Causes des Saints Révolution Française 02
  13. Pierre-Marcelin Lachièze dans le BSEL BSEL - Octobre-Décembre 1998
  14. Mgr Arlet sur un bulletin du conseil municipal de Cremps Mgr Arlet
  15. Albert Lachièze sur le site de l'assemblée nationale Assemblée nationale - Base de données historique des anciens députés
  16. Ouvrage de Marcel Baleste sur Quercy.net Quercy Net

Liens externes


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