Marcilly-Sur-Vienne

Marcilly-Sur-Vienne

Marcilly-sur-Vienne

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Marcilly-sur-Vienne
Carte de localisation de Marcilly-sur-Vienne
Pays France France
Région Centre
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Canton Sainte-Maure-de-Touraine
Code Insee 37147
Code postal 37800
Maire
Mandat en cours
Thierry Brunet
2008-
Intercommunalité Communauté de communes de Sainte-Maure-de-Touraine
Latitude
Longitude
47° 02′ 42″ Nord
       0° 32′ 27″ Est
/ 47.045, 0.540833333333
Altitude 32 m (mini) – 121 m (maxi)
Superficie 10,99 km²
Population sans
doubles comptes
545 hab.
(2006)
Densité 46 hab./km²

Marcilly-sur-Vienne est une commune française du département d'Indre-et-Loire, dans la région Centre.

Sommaire

Géographie

Canton de Sainte-Maure - Arrondissement de Chinon - Superficie : 1 099 hectares à 42 mètres d'altitude - nombre d'habitants : 513 - Voies d'eau : La Vienne et les ruisseaux "Le ruisseau de la Fontaine, du Ceps et du Sourd" - Communes frontalières : Ports, Luzé, Rilly-sur-Vienne, Pouzay et Nouâtre - Routes départementales : D18 (itinéraire vert) et D 108 (Nouâtre) - Les habitants sont appelés les Marcillois

Histoire

Une charte de l'abbaye de Noyers cite au XIe siècle Marcilly-sur-Vienne sous le nom de Marcilliacus. Ce petit bourg avec son importante ferme du marais était un fief dépendant du Château de la Motte. Successivement le toponyme est orthographié Marcelleius, puis Marcillus en 1230 et la forme Marcillé perdura longtemps.

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
1900 Augustin Chapelle
1908 Delphin Mourruau
1912 Eugène Ligeard
1918 Louis Grandin
1925 Fernand Vincent
1943 Mathurin Danger
1945 Baptiste Fournier
1947 Julien Maurice
1953 Maurice Vincent
1962 Roger Amirault
1971 Maurice Vincent
1974 Gildas Valet
1983 Alphonse Charbonneau
1983 Gildas Valet
1989 Régis Trainquart
2008 Thierry Brunet
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
298 170 266 360 369 350 385 401 397
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
388 410 418 404 423 404 437 426 438
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
423 425 425 446 481 508 481 462 510
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 - -
542 544 446 515 526 509 545[1] - -

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Graphique d'évolution de la population, 1793-1999

Lieux et monuments

Le château de La Motte

Le château de la Motte, divers noms et lieux-dits apparaissent dans les chartes de Noyers. C'est tout d'abord, Motta au XIIe siècle puis La Motte Yvon au XIVe siècle suivi de la Motte de Marcilly-sur-Vienne ou de la Motte sous Nouâtre du XVe au XVIIIe siècle. La Motte Piolant est également citée au XVIIe siècle.

Cette motte féodale sur la rive gauche de la Vienne complète les deux mottes élevées sur la rive droite de part et d'autre du gué de l'époque, pavé en son temps, car c'était la route d'Espagne, reliant Tours à Saint-Jacques-de-Compostelle.

Le comte Foulque Nerra est l'un des premiers bâtisseurs de ces mottes qui entre autres assuraient la protection du gué sur chaque rive. À Marcilly-sur-Vienne, en 1540, il est aussi noté l'existence d'une importante forteresse dotée d'un pont-levis et appelée la motte de Sulion.

Le passage de la rivière est à l'origine de Marcilly-sur-Vienne et Nouâtre. Marcilly-sur-Vienne Fief du château de la Motte a appartenu en 1396 à Pierre de la Jaille puis ensuite à ses descendants jusqu'au XVIe siècle. Se succédèrent dans l'ordre, les familles Becs de Lièvre, de Cressant, de Turpin de Crissé, d'Armagnac, de Chezelles, Rabault des Rollands et de Greaulme.

L'édifice actuel construit sur l'emplacement de l'ancienne motte Piolant date du XVIIe siècle. Il est constitué d'un corps de logis en quatre parties, avec une tour carrée, un pavillon avec toit à la Mansart et une partie centrale avec pilastres doriques et une porte plein cintre, le tout entouré de dépendances.

Certains murs de ce château ont 2m d'épaisseur et côté rivière on retrouve les fondations d'un ancien pigeonnier du XIXe siècle. Ce château depuis sa dernière reconstruction a subi bon nombre de modifications suite à héritages, partages, vente, etc.et il se transforma en fermes et autres logements indépendants.

Un des derniers véritables châtelains de La Motte fut Martin d'Anzay dont la tombe est encore au cimetière (en entrant à droite).

Actuellement au lieu-dit "La Motte" on y recense plusieurs familles.

L'église

L'église de Marcilly-sur-Vienne fut bâtie au XVe siècle sur les fondements d'une ancienne église du XIe, construite par la famille de Jaille du château de la Motte, elle porte en elle tous les caractères d'une construction seigneuriale avec principalement sa chapelle à deux arcades blasonnées avec une vue biaisée vers la nef pour que les seigneurs puissent suivre l'office. Une porte charretière flanquée d'une porte piétonne était l'entrée des familiers ousuivants alors que la grande était réservée aux maîtres des lieux. Ces portes dissymétriques à pinacles et colonnes torsadées sont enjolivées par des statuettes colorées.

Du coté droit on trouve une autre chapelle plus simple, avec une seule arcade, réservée à Saint Blaise, le patron de cette église. Il faut savoir que Blaise, futur saint, vécut et mourut en Arménie au IVe siècle. C'était un évêque médecin qui accomplissait de nombreux miracles. Il fut décapité sur l'ordre d'Agricola qui voulait le faire apostasier.

À Marcilly-sur-Vienne on vient le prier pour la guérison des maux de gorge.

La nef rectangulaire, relativement grande, est formée de quatre travées voutées sur croisées d'ogives à liernes profondément mouturées et retombant sur de fines colonnes à chapiteaux.

Une plaque funéraire en marbre noir qui était sur le tombeau seigneurial de la chapelle (cassé à la Révolution) est maintenant apposé dans l'abside indiquant que l'un des propriétaires de l'église, Jean d'Armagnac, conseiller d’État, gouverneur et bailli de Loudun vers 1627 est décédé en 1634 poignardé par son secrétaire qui fut ensuite roué.

Extérieurement, cette église est épaulée par de gros contreforts plantés de biais et percée en façade par un portail double sommé d'une accolade et surmonté par un vitrail aussi large que lui ; portes et fenêtres sont encadrées par deux colonnes coiffées d'un pinacle et de deux niches.

La charpente est couverte d'ardoises surmontée d'un clocher à huit pans avec sa girouette de coq gaulois et nanti de deux cloches issues de la grosse cloche de jadis, fêlée, et qui fut fondue après la guerre 40-45 sous l'égide de l'abbé Duperré et des parrains.

La maison du Passeur et le bac

La maison du Passeur date du XVe siècle et cette bâtisse témoigne de l'importance du passage de la Vienne entre Nouâtre et Marcilly-sur-Vienne. La gué primitif emprunté alors pour la route d'Espagne et Saint-Jacques-de-Compostelle est remplacé par un bac mis en service jusqu'à la construction du pont en 1932.

Jusqu'à ce moment, le rôle du passeur est indispensable pour les personnes et les attelages d'animaux désirant se rendre d'une rive à l'autre.

Beaucoup d'histoires et d'incidents émaillèrent les traversées par ce bac ou charrière et certains passeurs furent même les vedettes des tribunaux pour des immersions dont un passant tombé à l'eau et non repêché, qui bien sûr se noya. Ce marinier habitait évidemment "La Maison du passeur" située près de l'embarcadère.

Le dernier passeur de Marcilly-sur-Vienne, monsieur Bourreau surnommé « le père Ratapoële », était un marinier, tenant buvette et vendant ses poissons. Décédé en 1926, il fut remplacé par messieurs Bernon et Bouchet de Nouâtre.

Cette solide maison aux murs très épais 70-95 cm doit régulièrement, compte tenu de son emplacement, affronter la montée des eaux lors de crues importantes.

En 1892, l'eau la submergea presque, en 1913 elle était au milieu du premier étage et en 1962 au plafond du rez-de-chaussée.

À une époque, le conseil général avec monsieur Guignard, maire de Sainte-Maure-de-Touraine regretta que cette maison ne fût pas achetée par l'État et intégrée dans son patrimoine car il reste peu de maison de Passeur et fort peu en bon état.

Un détail, un nom gravé sur une pierre de cette bâtisse, "IBRIDIER" reste une énigme.

Le Marais

Le Marais : racine du village de Marcilly-sur-Vienne. connu dès le VIIe siècle par les chartes de l'abbaye de Noyers, Le Marais était un fief important du château de La Motte. À la fin du XVIIe siècle il appartenait à Jean d'Armagnac seigneur de La Motte Piolant. Peut être est-ce à lui que l'on doit les derniers vestiges de cette ferme seigneuriale en l'occurrence une belle tour carrée dont le rez-de-chaussée constituait l'entrée.

Les deux autres ouvertures sont actuellement condamnées. Intérieurement l'arcature en plein cintre a été muré et un bâtiment plus récent est venu s'épauler sur la face ouest. Pour l'ouverture donnant sur l'extérieur on remarque encore deux étroites meurtrières qui protégeaient le portail de chaque côté. La clé porte un bel écusson non sculpté. Un autre semblable se voit au dessus d'une fenêtre dans la cour de la ferme.

Si les murs sont en moellons, les angles et les assises supérieures sont appareillés en pierres de taille.

Une corniche à petits mordillons supporte le toit d'ardoises à quatre pans et tout le premier étage était un colombier dont les centaines de boulins sont intacts. Il est encore occupé par quelques pigeons qui s'ébattent à leur aise.

En bordure du chemin la partie basse d'une petite tour est incorporée dans les murs de la clôture.

Ce fief du marais fut toujours une ferme importante située à une centaine de mètres de l'église et du prieuré au carrefour de la route principale de jadis, aujourd'hui appelée la rue de Cambraye.

Après avoir appartenu à différents membres de la famille d'Armagnac durant les XVIIe et XVIIIe siècles, en 1737 le propriétaire du Marais était Mathieu Pierre, capitaine de chevau-légers du régiments d'Autry, lieutenant des maréchaux de France et seigneurs de plusieurs autres fiefs comme La Douce et la Heurtelière.

La propriété du Marais passe ensuite en 1764 à la veuve Armand Gazeau de la Bouère, Anne Perrine de Greaulme qui comparut par fondé de pouvoir comme dame de Marcilly à l'assemblée électorale de la Noblesse en 1789.

Depuis la Révolution, la ferme du Marais changea de nombreuses fois de propriétaires.

Les Fours à Chaux

Les Fours à Chaux C'est en 1881 au lieu dit "Le Sourd" ou "Les Fours" que furent construits 4 fours à chaux à feu continu avec un hangar de stockage et 400 m de voie Decauville pour le transport de la pierre. La gestion de cette usine était conduite par Monsieur Pellé J-B et ses associés Messieurs Champigny, Gautron, Tissier puis Pagé en 1885.

Après Monsieur Emile Fouquet en 1889, c'est Monsieur Jean Baptiste Pellé-Millet qui reprend l'affaire. En 1907, Monsieur Fernand Vincent hérite de l'Entreprise. Il la modernise avec la construction d'un bâtiment pour abriter un moteur vertical monocylindre poly-carburant, d'un magasin, d'une machine à broyer et la voie s'allonge à 720 m. Une trentaine d'ouvriers travaillant tant à l'usine qu'en carrière et des logements sont mis à leur disposition. Tous les anciens se souviennent du petit train de wagonnets tiré par un cheval jusqu'en 1949 puis par un petit locotracteur. Ce mini train transportait la pierre qui fut d'abord extraite à ciel ouvert au Vieux Port puis dans le coteau où des galeries de 4 km furent creusées et même jusque sous "Les Ourillaux".

En 1937, Monsieur Maurice Vincent succède à son père et de deux fours en service, il passe à quatre en 1945. En 1962, suite à une erreur de fabrication de la chaux, l'usine est obligée de fermer. La Maison Vincent s'investit alors dans la fabrication de parpaings et d'abris de jardin puis dans la construction de préfabriqués (les préfabriqués Royer).

Personnalités liées à la commune

Fin 2003 une enfant de Marcilly-sur-Vienne eut l'honneur d'être félicitée et médaillé sous la coupole de l'Académie française. Elle reçut le prix Chais d'Est Ange (célèbre généalogiste du XIXe siècle) qui lui fut remis par l’académicien Emmanuel Leroy-Ladurie, historien, ancien directeur de la Bibliothèque nationale et des Archives nationales.

Fait marquant

Soucoupe volante à Marcilly-sur-Vienne

Si les anciens de la commune s'en souviennent, les jeunes ne connaissent sûrement pas cette histoire d'OVNI et d'extraterrestres à Marcilly-sur-Vienne.

Le 30 septembre 1954, au lieu dit "Les Varennes" dans les champs, lors des premières extractions de sable, qu'une soucoupe volante atterrit

Voici un résumé de ce que les journaux de l'époque (NR, Match, Radar, France Dimanche, etc.) rapportèrent sur cette affaire.

Le martien les regardait en silence et lorsque Georges Gatay, le chef de chantier qui se sentait envahir d'une étrange torpeur leva les yeux vers le bord de la carrière, la plus fantastique apparition qu'il eut pu imaginer le cloua sur place.

Il était à peu près 16h 30 et les cinq compagnons de l'entreprise Cochery extrayaient de la carrière de Marcilly-sur-Vienne des graviers et des pierres pour les Ponts-et-Chaussées à l'aide d'une pelleteuse mécanique et d'un certain nombre de machines bruyantes. Creusée au bord de la route, cette carrière était la seule excavation au milieu de cette vaste plaine dégarnie d'arbres. Les cinq ouvriers en attendaient un sixième, le chauffeur d'un camion qui venait faire le plein. L'air ensoleillé de cette fin d'après-midi était limpide et sans le moindre nuage. C'est alors que la chose arriva…

"Je n'ai pas la berlue, pensa Georges Gattay en se passant la main sur les cheveux, c'est bien une soucoupe volante et un Martien. Successivement, ses camarades de travail regardèrent dans sa direction et firent la même réglexion. Un objet circulaire, surmonté d'un dôme d'un gris métallique, se tenait immobile à environ un mètre du sol. Il semblait que des pales tournant à très grandes vitesse y étaient attachées. L'ensemble avait l'apparence d'un bol renversé. Mais le plus étrange de tout était ce petit être d'un mètre cinquante cinq environ, qui se tenait immobile devant. Vêtu d'une sorte de combinaison plastique, chaussé de bottillons de même matière, il portait sur la tête un casque opaque qui lui couvrait le visage.

« Une sorte de projecteur émettant une lueur très douce était fixé sur sa poitrine et attirait nos regards », racontèrent les témoins par la suite. À la main, l'être d'un autre monde tenait une espèce de revolver ou de tube de métal. L'apparition ne dura qu'une minute et demie peut-être, puis l'individu disparut peu à peu comme une image qui s'efface sur un écran et l'appareil remonta par saccades brusques vers le ciel. Arrivé à une centaine de mètres du sol, il s'entoura d'un nuage circulaire, rappelant une fumée blanche artificielle et disparut.

C'est à ce moment-là qu'arrivait le chauffeur du camion. De la cabine de son camion, il n'eut que le temps d'apercevoir l'étrange machine avant qu'elle ne disparaisse dans le nuage.

Aux enquêteurs qui les pressaient de questions, les témoins de cette visite astrale ont répondu catégoriquement : « Nous ne sommes pas des illuminés, nous sommes sûrs de ce que nous avons vu ». Même des Marcillois dignes de confiance, jurèrent avoir vu cette soucoupe.

Par la suite ces témoins furent beaucoup moins catégoriques. Leur petite histoire fit son chemin et devant la population narquoise et sceptique, ils adoptèrent l'attitude la plus prudente : celle du silence.

Après des enquêtes poussées, il en fut déduit que l'affaire avait été inventée par la joyeuse équipe de carriers à l'instigation de son contremaître qui pour la rendre plus plausible en avait fignolé tous les détails.

Toutefois certains soucoupistes acharnés persistent à considérer qu'à Marcilly-sur-Vienne comme en d'autres endroits à l'époque, ces observations peuvent être authentiques. Selon eux, les témoins excédés par les railleries dont ils étaient l'objet, auraient fini par dire qu'il s'agissait d'une plaisanterie juste pour avoir la paix.

Que croire ? À chacun son idée et scrutons le ciel.

Enseignement

Culture

Manifestations

Associations

Amicale des Anciens Combattants, Club du 3e âge "Automne Rose", Comité des Fêtes "Le Réveil de Marcilly", Club de gymnastique "Club de Gym Sourire", Association "Grain de Sel" (Bibliothèque, Théâtre, Spectacle…), Tireurs des Trois Fontaines, Club de judo et Ju-Jitsu, APE (Association des parents d'élèves du regroupement se met au service des écoles), Société de chasse.

Rassemblement des Marcilly's de France

Depuis de nombreuses années, tous les deux ans, l'Association des Marcilly's de France organise tout un programme pour réunir le plus grand nombre de lieux portant ce nom, 24 au total.

Marcilly-la-Campagne (27-Eure), Marcilly-sur-Eure (27-Eure), Marcilly (50-Manche), Chaumoux-Marcilly (18-Cher), Marcilly-sur-Maulne (37-Indre-et-Loire), Marcilly-sur-Vienne (37-Indre-et-Loire), Marcilly-en-Beauce (41-Loir-et-Cher), Marcilly-en-Gault (41-Loir-et-Cher), Marcilly-en-Villette (45-Loiret), Marsilly (17-Charente-Maritime), Marcilly (77-Seine-et-Marne), Marsilly (57-Moselle), Marcilly-le-Hayer (10-Aube), Fay-lès-Marcilly (10-Aube), Avant-lès-Marcilly (10-Aube), Marcilly-sur-Seine (51-Marne), Marcilly-en-Bassigny (52-Haute-Marne), Marcilly-sur-Tille (21-Côte-d'or), Marcilly-Ogny (21-Côte-d'Or), Marcilly-et-Dracy (21-Côte-d'Or), Marcilly-la-Gueurce (71-Saône-et-Loire), Marcilly-lès-Buxy (71-Saône-et-LOire), Marcilly-le-Châtel (42-Loire), Marcilly-d'Azergues (69-Rhône).

En 1986, Marcilly-sur-Seine fut le premier à accueillir la rencontre des Marcilly's de France.

En juin 1999, Marcilly-sur-Vienne a été retenue pour recevoir les Marcilly's de France.

Pompiers

Marcilly-sur-Vienne a eu sa section de sapeurs-pompiers qui a été créée en 1929 pour être dissoute en 1973. Uniquement animée par des Marcillois dévoués et bénévoles, la section des sapeurs-pompiers a beaucoup de souvenirs (exercices du dimanche matin, voyages, fêtes des pompiers…).

Artisans et commerçants de Marcilly

Activités artistiques, Épicerie-bar, Antiquités brocante, Charpente-couverture, Chauffage-plomberie, Coiffure à domicile, Ébéniste, Électricité générale, Garage automobiles, Spectacles et animations Jardinier-paysagiste, Service à domicile, Maçonnerie et carrelage, Fromage de chèvres, Artiste et dessinateur, Poterie, Sable et graviers, Taxi-ambulance.

Voir aussi

Notes et références

Liens externes

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