Marcial Maciel

Marcial Maciel

Marcial Maciel Degollado

Marcial Maciel Degollado (Cotija de la Paz, Michoacan, Mexique 10 mars 1920 - † Houston, Texas, États-Unis, 30 janvier 2008) était un prêtre mexicain, fondateur de la Légion du Christ en 1941, et supérieur général de la congrégation des légionnaires du Christ, qui revendique plus de 700 prêtres et 3 000 séminaristes. Il fonda aussi le Regnum Christi, une association laïque ayant pour vocation l'évangélisation qui revendique plusieurs dizaines de milliers de membres. Proche des papes et notamment de Jean-Paul II, il participa à plusieurs synodes, devient consultant permanent de la Congrégation pour le clergé. Il se retire de la direction de la Légion du Christ en 2005, à 85 ans, avant d'être accusé de pédophilie et devra se retirer de toute vie publique, actes dont il clamera toujours son innocence. Il meurt à Houston et est enterré à Cotija de la Paz en 2008.

Sommaire

Jeunesse de Marcial Maciel Degollado

Enfance

Un groupe de Cristeros

Marcial Maciel Degollado est né en 1920, dans une famille de grande tradition catholique : sa grand-mère maternelle est la sœur du saint Rafael Guizar Valencia il compte aussi dans ses parents proches de nombreux évêques. Le père de Marcial Maciel, Francisco Maciel Farias (1878-†1950) est propriétaire terrien ; sa mère Maura Degollado Guizar, surnommé "Mama Maurita" (1895-†1977) eut onze enfants[1], sept garçons et quatre filles (Francisco †1973, José, Alfonso †1940, Marcial, Olivia, Teresa, Maura, Blanca, Javier, Reinaldo († à 5 ans) et Javier († à 6 ans)) [2] . Très vite avec l'arrivée au pouvoir de Plutarco Elias Calles dans les années 1926 à 1929, commença une persécution religieuse contre les chrétiens, de la part du gouvernement anticlérical. C'est dans le climat de la guerre des Cristeros que va grandir Marcial Maciel Degollado[3].

Article détaillé : Guerre des Cristeros.

Maura Degollado Guizar étant la sœur de l'un des derniers général des cristeros, sa famille est conduite à quitter Cotija pour se réfugier dans les villes de Zamora et de Jamay. Marcial Maciel est confronté tant à la pauvreté qu'à la situation tragique de la guerre. Marcial Maciel Degollado a durant cette période côtoyé son ami[4] José Luis Sanchez del Rio, futur bienheureux [5], qui à l'âge de 14 ans, suivit les cristeros et fut assassiné pour avoir refusé d'apostasier[6]. Cet exemple marquera Marcial Maciel Degollado, et contribuera indirectement à la fondation de la Légion du Christ.

Vocation

Marcial Maciel Degollado affirme avoir eu la vocation au sacerdoce lors d'une conversation tenue au mois de mai 1934, à l'âge de 14 ans, avec des religieuses réfugiées à Cotija en raison de persécutions religieuses. Elles lui demandèrent pourquoi il n'était pas resté au séminaire avec l'évêque de Veracruz, Rafael Guizar Valencia. Marcial Maciel éprouva à cet instant la « certitude morale que la volonté de Dieu était qu['il ait] une vie sacerdotale »[7]. Il demanda alors à ses parents d'entrer au séminaire, mais son père voulait qu'il mûrisse encore avant de partir, le considérant comme trop jeune, il partit donc un an plus tard [8] .

Portrait de saint Raphael Guizar Valencia

Le 3 janvier 1936 Marcial Maciel Degollado, pars de chez lui, avec l'autorisation de ses parents d'entrer au séminaire, les pères carmélites l'ayant accepté dans leur séminaire à Puebla[9]. Le 5 janvier 1936, en arrivant à Mexico, Marcial Maciel Degollado rend visite à son oncle, l'évêque de Véracruz Rafael Guizar Valencia qui lui demande de rester dans son séminaire pour discerner, ce qu'il fit au séminaire de Véracruz dont le siège était à Atzacapoptzalco[10]. Les séminaires étant interdits celui-ci était clandestin, contraignant les séminaristes à une grande discrétion sous peine d'être dénoncés[11] . Très tôt il commence les missions d'évangélisation en partant dans des communautés indigènes, au cours de ses vacances.

Le 5 juin 1936, en priant lors de la fête du Sacré-Cœur[12], il eut l'inspiration de fonder une communauté de prêtres missionnaires, qui évangéliseraient et ayant pour modèle le Christ[13],[14]. Marcial Maciel continue cependant d'étudier, et accompagne parfois des prêtres dans leurs missions dans l'État de Veracruz.

Durant cette période, le gouverneur de Veracruz décide d'interdire les églises et demande de les fermer au public en 1937, créant des affrontements entre forces gouvernementales et catholiques, conduisant à la mort de Léonor Sanchez. Une grande manifestation eu lieu à Orizaba, et Marcial Maciel fut amené à négocier avec l'armée et permettra d'éviter une répression. Quelques jours plus tard les églises n'étant pas ouvertes, de nouvelles manifestations eurent lieux et Marcial Maciel était l'un des leaders des manifestations[15], il affirma à la foule que les églises étaient de nouveau ouverte, alors même que l'autorisation du gouvernement n'était pas encore arrivé[16], contribuant ainsi à la réouverture des églises de manière pacifique.

En juin 1938 à la mort de son oncle, le saint Rafael Guizar Valencia, les supérieurs de Marcial Maciel étaient contre son projet de fondation d'une nouvelle congrégation religieuse, il est donc exclu du séminaire de Veracruz et arrive à poursuivre ces études dans le séminaire de Montezuma, l'évêque de Chihuahua envoyant ses séminaristes au Nouveau-Mexique (États-Unis)[17] afin d'éviter les persécutions religieuses au Mexique. Là encore très vite l'idée de fonder une congrégation contribue à l'abandon du séminaire à Noël 1939, du fait de l'opposition des supérieurs et de l'évêque de Chihuahua. Marcial Maciel Degollado est finalement accepté par l'évêque de Cuernavaca, avec Mgr Francisco Gonzales Arias, qui l'envoie dans le séminaire du Nouveau-Mexique, mais pour y être de nouveau exclu en septembre 1940[18].

Fondation de la Légion du Christ

Fondation de la Légion du Christ

Article détaillé : Légion du Christ.
La basilique Notre-Dame de Guadalupe de Mexico où fut ordonné Marcial Maciel Degollado

L'évêque de Cuernavaca demanda à Marcial Maciel de continuer ses études afin d'être prêtre avant de lancer sa fondation. Son évêque lui propose la création d'une extension du séminaire de Cuernavaca, qui pourrait être le futur centre des "Missionnaires du Sacré-Cœur", nom d'origine de la Légion du Christ. Le 12 décembre 1940, l'évêque propose au père Marcial de lancer une fondation. Plusieurs jeunes rejoignent Marcial Maciel afin de fonder la congrégation avec l'aide d'un Chapelain. Le vendredi 3 janvier 1941[19], la congrégation est fondée sans grands moyens financiers. Pendant la journée Marcial Maciel s'occupe des séminaristes et la nuit il continue ses études avec des professeurs[20]. Le 26 novembre 1944, Marcial Maciel Degollado est ordonné prêtre dans la basilique Notre-Dame de Guadalupe de Mexico[21].

Rencontre avec le pape Pie XII et début de reconnaissance

Afin de pouvoir poursuivre son œuvre, le P. Marcial avait besoin de l'approbation diocésaine, mais aussi du Nihil obstat du Vatican. En 1946, le père Marcial part avec ses séminaristes à Rome afin de rencontrer le pape. En 1946 le pape Pie XII[22] semble très intéressé par la fondation du père Marcial, la Légion devant être « ut castrorum acies ordinata »[23] et le pape insista afin que cette communauté développe les soins spéciaux à la formation des leaders catholiques[24]. C'est à ce moment que le père Marcial présenta à la Sacré Congrégation pour les religieux la constitution des légionnaires du Christ.

De retour au Mexique, le père Marcial obtient l'accord de l'évêque de Cuernavaca afin d'emmener tous les séminaristes faire leurs études en Espagne, à l'université Pontificia de Comillas, à Madrid, vivant dans la maison offerte par le marquis de Comillas. Les premiers séminaristes espagnols intègrent la Légion du Christ. Le 25 mai 1948, la congrégation des légionnaires du Christ reçoit le Nihil obstat, ainsi que l'érection canonique[25], le 13 juin 1949 l'érection canonique est érigée.

Accusations contre le père Marcial

Le 14 juin 1948, suite à des accusations lourdes portées contre le père Marcial, le Vatican demande à ce que l'on n'érige pas canoniquement la congrégation. On accuse ainsi le père Marcial de dix-huit chefs d'accusation, dont mensonges, alcoolisme, séquestration de jeunes séminaristes qui auraient l'interdiction de se confesser à un autre prêtre[26], trafic de drogues[27], ou de manquer d'attention à la formation des séminaristes… Les accusations continuèrent pendant plusieurs années, au point que le Vatican demanda à l'évêque du lieu de dissoudre la congrégation, le père Marcial Maciel va voir le cardinal de la Congrégation pour les religieux, qui affirme l'invalidité de cette annulation, le cardinal n'ayant pas signé l'acte de dissolution.

À la suite de ces accusations, le père Marcial va fonder à la demande du cardinal de la Congrégation pour les religieux, un collège et un séminaire pour les légionnaires du Christ à Rome, pour la formation des séminaristes, qui fut achevé lors de l'automne 1950[28]. Le "Centre d'études supérieures de la Légion du Christ"[29] est inauguré le 24 décembre 1950[30], qui est le siège de la direction générale de la Légion du Christ, il marquera la proximité de la Légion du Christ avec le Saint-Siège.

À partir de 1954 commença la création, grâce à des dons du premier Collège de la Légion du Christ, qui se concentrera sur la formation de l'éducation, et plus tard aux élites. Suite aux accusations quatre « visiteurs » du Vatican mènent alors une enquête canonique contre le père Marcial suite à ces accusations. Ils interdisent au père Marcial tout contact avec les légionnaires du Christ à partir de 1956 et pendant deux ans et demi[31]. En 1959, les visiteurs du Vatican concluent l'enquête et conduisent au blanchiment complet du père Marcial de tous les chefs d'accusations[32] et le père Marcial est rétabli dans ses fonctions de supérieur général[33].

Regnum Christi

Le père Marcial commence en 1959 à rédiger les premiers statuts du "Regnum Christi", mouvement catholique pour les laïcs, des familles, ou des laïcs consacrés, afin de donner une formation apostolique aux laïcs. Le père Marcial voit alors dans le concile Vatican II, qui donne une place importante aux laïcs, notamment dans le décret conciliaire "Apostolicam Actuositatem"[34] publié en 1965, un appui dans ce projet[35].

Reconnaissance officielle

Decretum Laudis

Le 6 février 1965, suite à de nombreuses années d'enquête, et des années développement, la Légion du Christ étant alors présente au Mexique, en Espagne, Italie, Irlande et États-Unis et ayant déjà ses premiers collèges et l'université Anahuac[36],[37], reçoit la concession du Decretum laudis[38]. La congrégation est alors officiellement reconnue, et elle ne dépend plus alors du diocèse, mais du Saint-Siège, et est donc sous l'autorité du Pape[39].

Prélature du pape

Le pape Paul VI confie aux légionnaires du Christ, le 23 mai 1970, une prélature territoriale de Chetumal-Cancun, au Mexique. Il nomme un légionnaire évêque, pour un territoire de 52 000 km² et plus d'un million d'habitant[40]. La Légion du Christ construira plus de 230 Églises, des écoles, et le territoire sera un lieu de refuge pendant la guerre civile guatemaltèque, dans un milieu souvent hostile du fait de la Jungle, et des Ouragans. Le pape Paul VI demanda aux légionnaires du Christ en 1974, d’être " des combattants au nom de Jésus " : « Il faut être conquérants, être légionnaires pour combattre et défendre »[41].

Pontificat de Jean-Paul II

L'élection du pape Jean-Paul II, conduit à un pape qui demande à faire sa première visite papale au Mexique. Le père Marcial et la Légion du Christ participeront activement à cette visite papale au Mexique, et contribuera à rapprocher le père Marcial et le pape Jean-Paul II.

Le 29 juin 1983[42], de nouveau suite à une relecture de la constitution de la congrégation suite au Concile Vatican II, par la Congrégation pour les religieux. Cette relecture conduit à l'« approbation définitive » des constitutions des Légionnaires du Christ par le Vatican.

En 1992 lors de la Conférence des évêques d'Amérique latine, le pape Jean-Paul II demande au père Marcial de l'accompagner[43]. En novembre 1992, le père Marcial Maciel Degollado est réélu supérieur général de la Légion du Christ lors du deuxième chapitre général. Le pape Jean-Paul II demande au père Marcial de participer au "synode des évêques sur la vie consacrée et sa mission dans l'Église et dans le monde" à Rome entre le 2 et le 29 octobre 1993. Il devient « consultant permanent » de la Congrégation pour le clergé à partir de 1994, et membre de l'"assemblé spéciale du synode des évêque pour l'Amérique" de Rome en 1997.

Le pape soutenant de nombreuses fois la Légion du Christ, rendant des visites aux légionnaires à Rome, écrivant une lettre au père Marcial pour les 40 ans de son ordination [44], ordonnant même certains légionnaires dans la basilique Saint-Pierre de Rome lors du cinquantenaire de la fondation. Le 26 novembre 2004 Le "Regnum Christi" reçoit une approbation définitive des statuts par le Vatican. La Légion du Christ fonde en 1993, avec l'accord du pape, un Athénée pontifical[45], L'Université pontificale Regina Apostolorum[46],[47] créant une université de théologie, philosophie, et de bioéthique. C'est la première université au monde de bioéthique.

Retraite de la direction de la congrégation

Le 20 janvier 2005 le père Marciel Après avoir dirigé la congrégation des légionnaires du Christ pendant plus de 64 ans, ne souhaite pas être réélu comme supérieur de la congrégation[48]. Le chapitre général de la congrégation de la Légion du Christ décide alors d'élire un nouveau directeur général, le père Alvaro Corcuera Martinez del Rio[49], qui devient le nouveau supérieur de la Légion du Christ.

Nouvelles accusations contre le père Marcial

De nouvelles accusations touchent Marcial Maciel. En 1997 un quotidien américain The Hartford Courant publie des accusations de pédophilie contre lui[50]. En 1998, le Saint-Siège est officiellement saisi.

Malgré les dénégations du fondateur des Légionnaires du Christ et après une longue enquête, la Congrégation pour la doctrine de la foi retient les accusations de pédophilie contre le P. Marcial Maciel[51].

Le Saint-Siège réagit officiellement en publiant le 19 mai 2006, soit plus d'un an après le retrait de la vie public du père Marcial, un communiqué : « En 1998 la Congrégation pour la Doctrine de la Foi a commencé à recevoir des accusations, déjà en partie rendues publiques, contre le père Marcial Maciel Degollado, fondateur de la Congrégation des Légionnaires du Christ, pour des délits réservés à la compétence exclusive du dicastère. En 2002, le père Maciel a publié une déclaration niant les accusations et exprimant sa peine pour l’offense faite par quelques anciens Légionnaires du Christ. En 2005, en raison de son âge avancé, le père Maciel s’est retiré de la charge de supérieur général de la Congrégation des Légionnaires du Christ. Tous ces éléments ont été l’objet d’un examen attentif de la part de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, et en vertu du Motu Proprio « Sacramentorum sanctitatis tutela » promulgué le 30 avril 2001 par le serviteur de Dieu Jean-Paul II, Son Eminence le cardinal Joseph Ratzinger, alors préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi a autorisé l’ouverture d’une enquête sur les accusations. Entre temps est survenue la mort du pape Jean-Paul II et l’élection du cardinal Ratzinger comme nouveau Pontife. Après avoir soumis les résultats de l’enquête à un examen attentif, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, sous la conduite du nouveau préfet, Son Eminence le cardinal William Levada, a décidé – en tenant compte aussi bien de l’âge avancé du père Maciel que de sa santé fragile – de renoncer à un procès canonique et d’inviter le père à une vie réservée de prière et de pénitence, en renonçant à tout ministère public. Le Saint-Père a approuvé ces décisions »[52].

Certains journalistes voient dans ce communiqué une sanction[51] ou une culpabilité du père Marcial Maciel[53]. Si la Légion du Christ, tout en accueillant toutes les dispositions du Saint-Siège avec un profond esprit d’obéissance et de foi, réaffirme l'innocence du père Marcial, qui a toujours nié les accusations portées contre lui[54], la conférence des Evêques mexicains réaffirme elle son soutien uniquement à l'œuvre de la Légion du Christ[55].

Le 5 février 2009, Jim Fair - porte-parole des Légionnaires du Christ aux États-Unis, confirme que le P. Marcial Maciel avait eu une liaison avec une femme dont il a eu une fille. « Nous sommes peinés et attristés pour toutes les souffrances que certains actes du P. Maciel ont provoquées à l'Église et à ses membres. Nous présentons nos excuses pour le scandale que cela entraîne »[56]. La Croix rapporte, le 9 février, que « les Légionnaires du Christ admettent la double vie de leur fondateur »[57].

Décès et funérailles

Suite à la décision de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi communiquée le 19 mai 2006[52], le père Marcial Maciel se retire de toute vie publique et s'installe aux États-Unis. Il meurt de maladie à Houston[58]. Son corps est alors emmené au Mexique, à Cotija où ont lieux les funérailles[59]. Ces funérailles sont célébrées en privé, conformément aux souhaits du Vatican, acceptés par le père Marcial Maciel Degollado[60]. Une visite apostolique ( dénomination de l'Eglise romaine pour les enquètes ou inspections) auprès des Légionnaires du Christ en Juillet 2009 est annoncée dans "la Croix" du 10 juillet

Voir aussi

Biographies

  • Ma Vie, C'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003 (ISBN 2-7289-1106-1)
  • Un Oui inconditionnel, la vie du père M. Maciel, de Gonzague Monzon LC, Édition Pierre Téqui, 2005 (ISBN 2-7403-1192-3)
  • (es) Marcial Maciel: Los Legionarios De Cristo : Testimonios Y Documentos Ineditosde Fernando M. Gonzalez, Édition TusQuets, 2007 (ISBN 9-7069-9150-6)

Bibliographie

  • La Formation sacerdotale de Marcial Maciel, Édition Mame, 1999 (ISBN 2-7289-0806-6)

Liens internes

Liens externes

Notes et références

  1. Ma Vie, c'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Edition Mame, 2003, p11-12
  2. Un Oui inconditionnel, la vie du père M. Maciel, édition Pierre Téqui, Gonzague Monzon, LC p17
  3. http://fr.mailarchive.ca/soc.religion/2006-04/2462.html Extrait de l'article du journal Le Monde du 19 avril 2006, « Hussards noirs de la papauté »
  4. Ma Vie, C'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003, p17
  5. Béatification de José Luis Sanchez del Rio sur le site officiel du Vatican
  6. Entretient du père Marciel à l'agence ZENIT, http://www.zenit.org/article-11573?l=french
  7. Ma Vie, c'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003, p21-22
  8. Ma Vie, c'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003, p22-23
  9. Ma Vie, c'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003, p24
  10. Un Oui inconditionnel, la vie du père M. Maciel, édition Pierre Téqui, Gonzague Monzon, LC p26
  11. Un Oui inconditionnel, la vie du père M. Maciel, édition Pierre Téqui, Gonzague Monzon, LC p39
  12. http://www.marcialmaciel.com/fra/nfundador_biografia.htm, Biographie du père Marcial Maciel faisant état de la fête du Sacré-Cœur
  13. Un Oui inconditionnel, la vie du père M. Maciel, édition Pierre Téqui, Gonzague Monzon, LC p43 à 46
  14. Ma Vie, C'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003, p24-25
  15. http://www.monde-diplomatique.fr/1996/12/ARSENEAULT/7490 Article du Monde diplomatique sur les légionnaires du Christ, décembre 1996 page 3
  16. Ma Vie, C'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003, p26 à 29
  17. Ma Vie, C'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003, p29-30
  18. Ma Vie, C'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003, p29 à 35
  19. http://www.legionduchrist.org/rubrique.php3?id_rubrique=1 Site officiel des légionnaires du Christ affirmant la date du 3 janvier 1941 comme fondateur
  20. Ma Vie, c'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003, p37 à 44
  21. http://www.legionduchrist.org/article.php3?id_article=222 Biographie du fondateur sur le site de la Légion du Christ
  22. http://www.monde-diplomatique.fr/1996/12/ARSENEAULT/7490 Article du journal Monde diplomatique citant le pape Pie XII
  23. Extrait latine du Cantique des cantiques 6, 4 "comme des troupes sous leurs bannières"
  24. Ma Vie, c'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003, p50
  25. Ma Vie, C'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003, p56
  26. Ma Vie, c'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003, p56 à 59
  27. http://fr.mailarchive.ca/soc.religion/2006-04/2462.html Extrait de l'article du journal Le Monde du 19 avril 2006
  28. Ma Vie, c'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Edition Mame, 2003, p59 à 63
  29. Construite au 677 Via Aurélia, 00165 Rome, Italie
  30. http://www.regnumchristifrance.org/Fondation-et-histoire-de-la Historique de la Fondation sur le site du Regnum Christi
  31. Ma Vie, c'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003, p67 à 70
  32. http://fr.mailarchive.ca/soc.religion/2006-04/2462.html Extrait de l'article du journal Le Monde du 19 avril 2006
  33. Ma Vie, C'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003, p69
  34. Décret conciliaire Apostolicam Actuositatem sur le site du Vatican
  35. Ma Vie, c'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003, p130
  36. http://www.uax.edu.mx/ev2/1062.html (es) Site officiel de la première Université fondé par Marcial Maciel
  37. http://www.que-onda.com/article642.html?var_recherche=mexicaines Courte présentation en français de l'université
  38. http://fr.mailarchive.ca/soc.religion/2006-04/2462.html Extrait de l'article du journal Le Monde du 19 Avril 2006
  39. http://www.regnumchristifrance.org/6-fevrier-2005-quarantieme Site du Regnum Christi parlant du 50e anniversaire du "Décretum Laudis"
  40. Ma Vie, c'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Edition Mame, 2003, p146 à 149
  41. http://www.monde-diplomatique.fr/1996/12/ARSENEAULT/7490 Article du Monde diplomatique sur les légionnaires du Christ, décembre 1996 page 3
  42. http://www.regnumchristifrance.org/Fondation-et-histoire-de-la Date sur le site officiel
  43. Ma Vie, c'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003, p170
  44. Lettre du Pape Jean-Paul II au Père Marcial sur le site du Vatican
  45. Ma Vie, c'est le Christ de Marcial Maciel et Jesus Colina, Édition Mame, 2003, p196 à 200
  46. http://www.upra.org/, site officiel de l'université pontificale Regina Apostolorum
  47. http://www.sacerdoce.fr/page-10032-athenee-pontifical-regina-apostolorum.html Présentation française de l'UPRA
  48. http://www.legionduchrist.org/article.php3?id_article=292 Biographie sur le site de la Légion du Christ
  49. http://fr.mailarchive.ca/soc.religion/2006-04/2462.html Extrait de l'article du journal Le Monde du 19 avril 2006
  50. (en) Head of Worldwide Catholic Order Accused of History of Abuse, By Gerald Renner and Jason Berry, The Hartford Courant, February 23, 1997, résumé seulement, accès payant pour l'article ; article complet
  51. a  et b Le Vatican sanctionne le fondateur des Légionnaires du Christ, La Croix, 21/05/2006, par Jean-Marie Guenois
  52. a  et b http://www.zenit.org/article-12837?l=french Communiqué du Saint-Siège
  53. http://www.lefigaro.fr/international/20060520.FIG000000631_le_vatican_condamne_le_fondateur_des_legionnaires_du_christ.html, Le Figaro parle de condamnation
  54. http://www.zenit.org/article-12836?l=french Communiqué de la Légion du Christ suite à la réaction du Saint-Siège
  55. http://www.zenit.org/article-12871?l=french Communiqué de la Conférence des Evêques mexicains suite au communiqué du Saint-Siège
  56. http://www.zenit.org/article-20098?l=french ZF09020603 - 06-02-2009 La Légion du Christ regrette la conduite de son fondateur
  57. http://www.la-croix.com/article/index.jsp?docId=2364703&rubId=4078 La Croix, 9 février 2009, Les Légionnaires du Christ admettent la double vie de leur fondateur
  58. http://www.legrandjournal.com.mx/actu-mexique/religion-marcel-maciel-fondateur-des-legionnaires-du-christ-est-decede, dépêche du site Legrandjournal.com faisant état de la mort du père Marcial
  59. http://www.legionduchrist.org/article.php3?id_article=293 Communiqué officiel de la Légion du Christ lors du décès du P. Marcial
  60. http://photos.regnumchristifrance.org/v/Deces_Maciel/ Site du Regnum Christi montrant des photos des funérailles de Marcial Maciel Degollado
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