Malien

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Mali

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République du Mali (fr)
Drapeau du Mali Armoiries du Mali
(Détails) (Détails)
Devise nationale : Un peuple, un but, une foi
carte
Langue officielle Français
Capitale Bamako
12°39′N, 8°0′W
Plus grande ville Bamako
Forme de l’État
 - Président de la République
Premier ministre
République
Amadou Toumani Touré

Modibo Sidibé

Superficie
 - Totale
 - Eau (%)
Classé 24e
1 241 238 km²
1,61
Population
 - Totale (2009)
 - Densité
Classé 65e
14 517 176 hab.
8,87 hab./km²
Indépendance
 - date
de la France
22 septembre 1960


Gentilé Malien, Malienne


Monnaie Franc CFA¹ (XOF)
Fuseau horaire UTC +0
Hymne national 'Pour l'Afrique et pour toi, Mali'
Domaine internet .ml
Indicatif
téléphonique
+223

(1) (du 30 juin 1962 au 1er juin 1984, le franc malien)

Le Mali est un pays d'Afrique de l'Ouest ayant des frontières communes avec la Mauritanie et l'Algérie au nord, le Niger à l'est, le Burkina Faso et la Côte d'Ivoire au sud, la Guinée au sud-ouest et le Sénégal à l'ouest. Le point le plus haut est le Hombori Tondo (1 155 m) situé dans la partie centrale du pays.

Ancienne colonie française, le Mali (alors République soudanaise) devient indépendant en 1960. Sa capitale est Bamako, forte d'une population de 2 209 225 d'habitants en 2009 [1].

Sommaire

Histoire

Article détaillé : Histoire du Mali.

Le Mali possède une histoire riche et relativement bien connue. Cinq empires ou royaumes importants s’y sont succédé : l’empire du Ghana, l’empire du Mali, l’empire songhaï, le royaume bambara de Ségou et l'empire peul du Macina.

Suite à l'invasion par la France en 1883, le Mali devient une colonie française sous le nom de Soudan français. Le 4 avril 1959, le Sénégal et le Soudan se regroupent pour former la Fédération du Mali, qui accède à l'indépendance le 20 juin 1960. Deux mois plus tard, le Sénégal se retire de la fédération et proclame son indépendance. Le 22 septembre 1960, le Soudan proclame à son tour son indépendance sous la conduite de Modibo Keïta, tout en conservant le nom de Mali.

En 1968, Modibo Keïta est renversé par un coup d'État conduit par un groupe d'officiers ayant à leur tête Moussa Traoré, qui instaure une dictature. En 1991, celui-ci est renversé à son tour par le général Amadou Toumani Touré qui, après une période de transition, restaure la démocratie avec l'élection d'Alpha Oumar Konaré en 1992. Ce dernier est réélu en 1997.

En 2002, Amadou Toumani Touré, qui a quitté l'armée pour se présenter, est élu président de la République du Mali, et réélu en 2007.

Politique

Article détaillé : Politique du Mali.

Le Mali est une république avec un parlement unicaméral. Le pouvoir exécutif est représenté par le président et son gouvernement. Le pouvoir législatif par l'Assemblée nationale. La plus haute autorité judiciaire est la Cour suprême.

Les Présidents du Mali Chefs de l'État malien depuis l'indépendance de la France en 1960.

Géographie

Articles détaillés : Géographie du Mali et Liste de villes du Mali.
Carte du Mali

Le Mali, avec ses 1 241 238 kilomètres carrés, est le plus vaste État d'Afrique de l'Ouest après le Niger. Il est enclavé à l’intérieur de l’Afrique occidentale entre le tropique du Cancer et l'Équateur. Il est traversé par deux grands fleuves : le Sénégal et le Niger. La plus grande part de la population vit en zone rurale. La densité, très variable, passe de 90 hab./km² dans le delta central du Niger à moins de 5 hab./km² dans la région saharienne du Nord.

Le pays possède des frontières communes avec la Mauritanie, l'Algérie, le Niger, le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, la Guinée et le Sénégal.

Outre la capitale Bamako, les villes principales sont Kayes, Ségou, Mopti, Sikasso, Koulikoro, Kidal, Gao, Tombouctou,

Le pays possède trois zones climatiques :

  • les deux tiers nord du pays, entièrement désertiques, appartiennent au Sahara méridional, et prend le nom d'Azawad avec des précipitations annuelles inférieures à 127 mm. Cette région est traversée par des nomades avec leurs troupeaux ;
  • le centre : la région sahélienne, relativement sèche (aux pluies tropicales relativement insuffisantes), est couverte de steppe remplacée progressivement vers le sud par la savane. La vallée du Niger est cultivée grâce à certains travaux de mise en valeur : on y trouve du riz, du coton, de l'arachide, du mil, du sorgho. Une vaste étendue dans le centre du Mali est constitué par des marécages, dus aux nombreux bras du Niger ;
  • la région soudanaise est une zone avec des précipitations de 1 400 mm par an et des températures moyennes comprises entre 24 et 32 °C. Elle est, dans sa partie nord, de savane devenant de plus en plus dense et se transformant progressivement en forêt vers le sud.

Le relief est peu accentué. Les plaines alluviales, très vastes, sont toutefois dominées par quelques plateaux calcaires et de grès (plateaux mandingues et dogon). Le point culminant du Mali est le Mont Hombori.

Subdivisions

Article détaillé : Collectivité territoriale au Mali.

Le Mali est divisé en huit régions et un district. Ces subdivisions portent le nom de leur ville principale. Les trois régions du nord: Gao, Kidal et Tombouctou représentent les deux tiers de la superficie du pays pour seulement 10 % de sa population. Au sud le pays est divisé entre les régions de Kayes, Koulikoro, Mopti, Ségou, Sikasso et le district de Bamako.

La décentralisation est une réforme majeure en cours. Elle vise à transférer des compétences aux collectivités territoriales afin que les affaires locales soient gérées au plus près des populations.

Cette réforme a pour base une refonte complète du découpage territorial hérité de l'administration coloniale et se distingue par le processus de consultation populaire qui a permis la création des communes sur la base de regroupements volontaires de villages et de fractions suivant des critères bien définis.[2]

Il y a 703 communes au Mali, dont 684 nouvelles communes ont été créées en 1996. Une loi de 1999 confirme cette réorganisation administrative et territoriale du Mali en créant les cercles (regroupement de communes) et les régions (regroupement de cercles) [3].

L'État malien a créé une direction nationale des collectivités territoriales au sein du Ministère de l'Administration Territoriale et des Collectivités Locales (MATCL) chargée de suivre la mise en œuvre de la décentralisation et le renforcement des capacités des collectivités territoriales. Des dispositifs d'appui technique et d'appui financier sont également en place.

En 2005, un document cadre de la politique nationale (DCPN) de décentralisation (2005-2014) a été adopté et s’articule autour de quatre axes majeurs, à savoir :

  • Le développement des capacités des collectivités territoriales ;
  • L’amélioration de la déconcentration des services de l’État ;
  • Le développement de la citoyenneté ;
  • Le développement des prestations privées des services au niveau local.

En 2005, la huitième Institution de la République du Mali a été créée. Le Haut Conseil des Collectivités Territoriales assure la représentation nationale des collectivités territoriales. Son avis est requis sur toutes les questions concernant la politique de développement local et régional, la protection de l’environnement et l’amélioration de la qualité de vie des citoyens à l’intérieur des collectivités territoriales. [3]

Environnement

Économie

Article détaillé : Économie du Mali.
Marché du Mali

Le Mali est un pays en voie de développement, avec 65 % de son territoire en région désertique ou semi-désertique. L'activité économique est surtout limitée autour de la région fluviale irriguée par le fleuve Niger. Environ 10 % de la population est nomade et environ 80 % travaillent dans l'agriculture ou la pêche. L'activité industrielle est concentrée autour des activités agricoles. L'immigration constitue une très importante manne de revenu. Le Mali dépend de l'aide étrangère et est très vulnérable aux fluctuations des prix mondiaux pour le coton, son exportation principale. En 1997, le gouvernement a mis en place un programme d'ajustement structurel réclamé par le FMI qui a aidé la croissance, la diversification et les investissements étrangers. Ces réformes économiques et la dévaluation du Franc CFA en janvier 1994 ont soutenu une croissance moyenne de 4 %. Des entreprises multinationales ont développé les opérations de prospection de l'or en 1996-1998, et le gouvernement prévoit que le Mali deviendra un exportateur majeur d'or dans la région sub-saharienne. Il est d'ailleurs actuellement le troisième exportateur mondial, derrière l'Afrique du Sud et le Ghana. L'or est la première source d'exportation du pays, devant le coton et le bétail.

Le produit intérieur brut par habitant était estimé à 380 dollars en 2005 (selon World Development Indicators (WDI) database).

Le Mali est membre de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).

Suite à la chute du cours du coton sur le marché en 2005, les paysans maliens produisent aujourd'hui à perte. Les agriculteurs dégagent des marges de plus en plus étroites et sont obligés de contracter des dettes. la CMDT (Compagnie malienne du développement des textiles) achète le kilo de coton 160 francs CFA alors que la production de ce même kilo coûte 190 francs CFA. Le Mali envisage des alternatives, mais il n'est pas facile de sortir de la monoculture.

Quant à la dévaluation du franc CFA, censée favoriser les exportations, elle a surtout divisé par deux la valeur des capitaux nationaux et donc les capacités d'investissement nationales ; les exportations maliennes de produits transformés sont avant tout bloquées par des barrières administratives, et non du fait de leur prix.

En plus du coton (12e producteur mondial en 2004) et de ses dérivés (graine de coton), le Mali est un important producteur de mangues (200 000 tonnes) dont une faible partie seulement est exportée (3 000 tonnes) malgré un énorme potentiel. C'est un gros producteur et exportateur de bétail dans la région :

  • cheptel bovin 7,8 millions de têtes (comparaison : 20,7 en France)
  • cheptel caprin 22 millions de têtes (comparaison : 11,4 en France).

L'or occupe la troisième place dans les recettes d'exportation du Mali après le coton et le bétail sur pied. D'autres produits comme l'arachide (360 000 tonnes produites en 2003) s'exportent fortement.

En ce qui concerne l'immobilier, le Mali est un pays en chantier. Il existe de nombreux projets publics et privés dans le secteur des Bâtiments et travaux publics. La demande en matériaux de construction est en très forte croissance. Aussi, les créneaux suivants offrent d'énormes possibilités d'investissement : fabrique de briques, cimenteries, fabrication de chaux et de peintures, production de plâtre, fabrication de fer à béton et autres, menuiserie métallique ou de bois pour les bâtiments, fabrication d'appareils électriques (ampoules, disjoncteurs, prises, gaines).

Le tourisme, encore circonscri à quelques zones, se développe depuis quelques années.

Indicateurs de développement

Indice de développement humain (IDH) : 173e sur 177 en Classement IDH des pays, 2005

Évolution de l'IDH sur 30 ans[4] [5]
Année 1975 1980 1985 1990 1995 2000 2005
IDH 0,252 0,279 0,292 0,312 0,346 0,386 0.38

Indicateur de pauvreté humaine : 107e sur 177 (56,4 %)[6]

Le rapport national sur le développement humain 2006 porte sur les relations entre la dégradation de l'environnement et ses effets sur les conditions de vie et de bien-être des populations. Les recommandations touchent principalement la maîtrise des eaux, la diminution de la pression humaine sur les ressources forestières, le contrôle des déchets chimiques toxiques, la lutte contre l'ensablement et la désertification. Il propose notamment de renforcer les capacités de gestion des populations locales et réclame l'application de la réglementation existante[7].

Démographie

Article détaillé : Démographie du Mali.
Évolution de la démographie entre 1961 et 2003 (chiffre de la FAO, 2005). Population en milliers d'habitants.

Le Mali a 12,3 millions d'habitants, dont 50,5 % de femmes. Le taux de malnutrition des enfants de moins de 5 ans demeure préoccupant (13.3% en 2006).[8]

Le taux de mortalité infantile (enfants de moins d’un an) était de 103,83 ‰ en 2008 [9] (soit au 8° plus mauvais rang mondial).

Culture

Article détaillé : Culture du Mali.

Le Mali a su conserver les éléments importants de ses cultures traditionnelles. Les griots (ou « Djéli ») exercent toujours leurs fonctions de musiciens-poètes transmettant l’histoire du pays et des hommes sur plusieurs générations. Bakary Soumano, chef des griots du Mali de 1994 à 2003, a contribué à réhabiliter les fonctions du griot dans la société moderne.

Les mélodies traditionnelles, autrefois jouées sur la kora, continuent d'alimenter la musique d'aujourd'hui via des interprètes dignes descendants des griots tels Ali Farka Touré, Boubacar Traoré ou Toumani Diabaté. Parmi les non-griots, on peut également citer Salif Keïta, artiste et musicien malinké talentueux.

Parmi les grands écrivains maliens, on peut citer Amadou Hampâté Bâ.

Parmi les cinéastes de renommée internationale, on peut citer Cheick Oumar Sissoko et Souleymane Cissé.

Fêtes et jours fériés
Date Nom français Nom local Remarques
1er janvier Jour de l'an
20 janvier Fête de l'armée
26 mars Journée des Martyrs Chute du régime de Moussa Traoré
1er mai Fête du travail
25 mai Fête de l'Afrique Création de l'Organisation de l'unité africaine
22 septembre Jour de l'Indépendance Indépendance envers la France en 1960
25 décembre Noël Naissance de Jésus-Christ

Sont également fériées un certain nombre de fêtes dépendant du calendrier musulman : Korité (fin du Ramadan), Tabaski (commémoration du sacrifice d'Abraham), Maouloud (naissance de Mahomet), Tamkharit (nouvel an musulman).

Langues

Article détaillé : Langues du Mali.
Signalisation bilingue à l'entrée de Kidal. Sur le côté gauche du rocher, Kidal est transcrit en caractères tifinagh.

Le français est la langue officielle, mais la plus utilisée est le bambara qui est parlé par 80 % de la population [10]. Cette dernière, ainsi que douze autres (bobo, bozo, dogon, peul, soninké, songoy, sénoufo-minianka, tamasheq, hasanya, kasonkan, madenkan et le maninkakan) sont reconnues par l'État comme des langues nationales [11].

Religion

Selon les données du CIA World Factbook de 2006, l'islam est la principale religion pratiquée au Mali (90%) alors que les catholiques et protestants sont très minoritaires, à peu près 1 %. Le reste de la population est animiste (9%). La religion est omniprésente au Mali. Il est rare de trouver un village sans sa mosquée. Mais des cérémonies animistes, pourtant interdites par l'islam orthodoxe, persistent encore dans quelques villages majoritairement musulmans.

L'un des lieux célèbres du christianisme au Mali est la ville de Kita dans la région de Kayes (1re région) où se trouve la cathédrale Notre Dame de Kita où a lieu le pèlerinage catholique annuel au Mali.

Ethnies

La population du Mali est divisée en plusieurs ethnies. Les peuples nomades et semi-sédentaires se trouvent au nord. Les Maures, les Kountas et les Touaregs se partagent environ 10 % de la population. Les premiers sont traditionnellement spécialisés dans le commerce de la gomme arabique tandis que les seconds et les troisièmes sont éleveurs-nomades; ils se déplacent en permanence à la recherche de pâturages frais pour leur bétail.

Plus au sud, on trouve les Bambaras (28%) qui représentent le groupe majoritaire, autour de la capitale Bamako, ainsi que les Malinkés qui leur sont apparentés et les Soninkés, les Peuls, les Sénoufos, les Bwas, les Bozos, les Dogons les Songhai les khassonkés.

Média

Article détaillé : Média au Mali.

Les médias au Mali sont constitués par la presse écrite (en français et quelques journaux en langues nationales), par la radio de proximité, par la télévision, ainsi que par plusieurs services liés (satellite, câble, internet).

Les journaux sont concentrés dans la capitale Bamako ou dans les grandes villes régionales. Le réseau des radios libres croit à grande vitesse et atteignent la grande majorité de la population en diffusant des émissions dans les langues locales. L'accès à internet se développe tant au niveau de l'extension des infrastructures, de la réduction des coûts et de la familiarisation des usagers aux outils les plus courants. On note plusieurs collaborations de sites internet avec des journaux, des radios et des télécentres communautaires.

Musique

Amadou devant une foule enthousiaste au Parc de Choisy lors d'un concert de lutte contre la désertification du Sahel.

La diversité de la musique malienne met en valeur la diversité culturelle du Mali. On peut ainsi trouver différents styles musicaux comme les chansons de chasseurs, la musique du wassoulou, les griots, etc.

La musique malienne est surtout connue à travers des célébrités comme Amadou et Mariam Bagayogo, le "couple aveugle" qui a chanté « beaux dimanches à Bamako », Ali Farka Touré le double nominé aux grammy awards, Salif Keïta, Habib Koité, le jeune Baba Salah, Mama Sissoko qui fut même plagié par le célèbre chanteur américain Carlos Santana et dont l'affaire fut porté devant la justice américaine en 2005, Oumou Sangaré, Oumar Koïta qui est naturalisé allemand et bien d'autres

La musique Dogon est bien souvent l'oubliée de ce patrimoine très riche. Cette musique Dogon est diverse et variée. Elle est étroitement associée aux différents rites: mariages, funérailles, etc. La jeune chanteuse Déné Issébéré est l'emblème de cette culture musicale Dogon aussi bien au Mali qu'en dehors des frontières maliennes[12].

En plus d'elle, il y a le célèbre reaggaman Koko Dembélé qui a composé beaucoup de titres en langue dogon.

Voir aussi

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Lien externe

Notes et références

  1. (fr) The world’s largest cities and urban areas in 2006 - Urban areas ranked 201 to 300 sur City Mayors. Consulté le 23 mai 2008
  2. Modibo Kéita et Kò Samaké (Réseau Réussir la Décentralisation), Recherche sur l’Historique de la Décentralisation au Mali
  3. a  et b Haut Conseil des Collectivités Territoriales, Mise en oeuvre de la décentralisation au Mali : « Bilan et perspectives »
  4. Archive.org
  5. UNDP.org
  6. [pdf]Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), « Rapport mondial sur le développement humain 2007/2008 », La Découverte, (ISBN 978-2-7071-5356-2), p. 257. Consulté le 12.7.2009
  7. Lancement officiel du rapport national sur le développement humain (RNDH) édition 2006, Initiatives Mali Gateway
  8. Communiqué du Conseil des Ministres du 4 juillet portant sur la situation économique et sociale du Mali en 2006
  9. Statistiques Mondiales.com
  10. (en) CIA World Factbook - Mali, 30 juillet 2009, CIA World Factbook. Mis en ligne le 30 juillet 2009, consulté le 3 août 2009
  11. (fr) Jacques Leclerc, « L'aménagement linguistique dans le monde - Mali » sur Trésor de la langue française au Québec, 27 mai 2009. Mis en ligne le 27 mai 2009, consulté le 3 août 2009
  12. Déné Issébéré - Pays dogon
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