Mac OS X 10.1

Mac OS X 10.1

Mac OS X

Mac-Os-X-Leopard.jpg Mac OS X
Famille BSD
Type de noyau Noyau hybride
État du projet en développement
Entreprise/
Développeur
Apple
Licence Propriétaire ; certaines parties sont disponibles sous Apple Public Source License
États des sources Source fermée (Darwin est open Source)
Dernière version stable 10.6.1 (le 11 septembre 2009) [+/−]
Site Web www.apple.com/fr/macosx/

Mac OS X[1] est une ligne de systèmes d’exploitation propriétaire développés et commercialisés par Apple, dont la version la plus récente (Mac OS X v10.6, dit Snow Leopard, depuis 28 août 2009) est installée sur tous les Mac vendus actuellement. Mac OS X est le successeur du système Mac OS, qui avait été le principal système d'exploitation d'Apple depuis 1984. Contrairement à ses prédécesseurs, Mac OS X fait partie de la famille des systèmes d'exploitation UNIX, basé sur les technologies développées par NeXT depuis le milieu des années 1980 jusqu'au rachat de la société par Apple en 1997. La première version du système fut Mac OS X Server 1.0, commercialisée en 1999, suivie par une version orientée pour le grand public en mai 2001.

La version serveur de Mac OS X est architecturalement identique à la version grand public, mais incorpore des logiciels facilitant la mise en place et l'administration de réseau informatique, de serveur de messagerie électronique et de serveur SAMBA, entre autres.

Sommaire

Historique

Malgré son nom suggérant qu’il est la « version 10 » de Mac OS, Mac OS X a un historique presque totalement indépendant des précédentes versions de Mac OS. Mac OS X est fondé sur le noyau Mach et sur l’implémentation BSD d’Unix, qui ont été incorporés à NeXTSTEP, le système d’exploitation orienté objet développé par la société fondée par Steve Jobs après son départ d’Apple en 1985, NeXT[2]. Pendant l’absence de Jobs, Apple a également tenté de constituer le système d’exploitation « nouvelle génération » avec le projet Copland, sans grand succès.

Finalement, le système d’exploitation de NeXT, jusque-là dénommé OPENSTEP, fut choisi par Apple pour former la base de son prochain système, d’où son achat de NeXT, espérant convaincre ses développeurs d’applications par sa richesse de fonctions de passer à cette nouvelle plate-forme[3]. Jobs fut ré-engagé, et plus tard retrouva la tête de la société, dirigeant la transformation du système facile d’accès aux développeurs qu’était OPENSTEP vers ce qui allait être accueilli plus tard par les utilisateurs d’Apple, un projet arborant à ce moment le nom de Rhapsody. Rhapsody évolua plus tard en Mac OS X.

Mac OS X a évolué au cours de ses différentes versions, en mettant l’accent non pas vers la compatibilité avec les versions précédentes, mais plutôt vers un « mode de vie numérique », tel que présenté avec la suite iLife, la station de travail iWork et l’intégration d’un module multimédia (Front Row).

Évolution par rapport à Mac OS 9

Mac OS 9, multitâche coopératif et héritier de tout l'historique des versions précédentes, était de fait considéré par beaucoup comme étant un système très limité. La « base » a été remplacée par un UNIX, plus précisément un micro-noyau enrichi XNU (Darwin et BSD).

L'interface graphique (désormais appelée Aqua) a été enrichie et revue ; elle garde certains principes-clé comme le menu unique, et en ajoute d'autres comme Exposé, tout en conservant le principe-clé d'ergonomie qui a fait le succès des Macintosh. De plus, l'apparition d'un Dock, la réaction de l'interface aux actions de l'utilisateur par des animations, l'utilisation de la transparence, de couleurs plus vives voire de métal brossé marquèrent considérablement le passage entre Mac OS 9 et Mac OS X. C'est également avec cette transition que trois nouveaux types d'interfaces pour créer des applications sont apparus : Classic, un environnement recréant celui de Mac OS 9 afin d'y faire fonctionner les applications qui y sont liées; Carbon, une interface C permettant un portage simple de Mac OS 9 à OS X et finalement Cocoa, une interface Objective C permettant le développement de nouvelles applications entièrement intégrées à l'aspect d’OS X (Cocoa peut également être utilisé en Java (obsolète), en Python et Ruby).

Popularité

Le système d'exploitation compte 75 millions d'utilisateurs à travers le monde, selon Phil Schiller, un dirigeant du fabricant californien[4]. Cette annonce a été réalisée lors de la présentation du 8 juin 2009 de la future version qui se nommera Snow Leopard. Avant la sortie de la version Leopard, donc à l'époque de Tiger, ce nombre n'était que de 25 millions.

En ce qui concerne la part d'utilisateurs de Macintosh (Mac OS 9 et Mac OS X confondus), elle s'élèverait à environ 6,0 % selon la plupart des statistiques[5]. Il convient néanmoins de prendre ces chiffres avec précaution, car ils sont généralement issus de rapports de fréquentation de sites web, et ne prennent donc en compte que les utilisateurs internautes.

Malgré son faible nombre d'utilisateurs, Mac OS X n'en demeure pas moins très médiatisé, et ce grâce à une communication très organisée de la part d'Apple. Le principe du teasing et une politique de secret alimentent considérablement toutes les discussions qui se rapportent à Mac OS X ou aux Macintosh. Ces discussions gravitent généralement autour d'une opposition Mac/PC Windows, où « s'affrontent » (la plupart du temps très vigoureusement) les partisans de chaque « camp » (souvent des trolls, mais pas toujours). Depuis l'adoption par Apple de processeurs Intel pour ses Macintosh, il est possible d'y installer n'importe quel système d’exploitation x86 (par exemple Windows XP grâce à Bootcamp, Windows Vista ainsi que la plupart des systèmes Linux qui étaient toutefois déjà installables auparavant), ce qui n'a pas manqué d'accroître ces mêmes discussions, favorisant ainsi la popularité du système.

Interface

L’interface reprend l’essentiel de l’environnement des systèmes d’exploitation de Macintosh : le glisser-déposer y est profondément intégré, les dossiers à ouverture automatique sont conservés, la barre de menu unique et dans celle-ci le « menu Pomme » également. Aqua intègre certains éléments repris de NeXT, comme le Dock et la navigation dans les dossiers par colonnes (même si le mode Cover Flow est maintenant beaucoup utilisé/plébiscité).

À la sortie de Mac OS X, différents groupes d’utilisateurs ainsi que certaines figures historiques du Macintosh ont émis des critiques sur la nouvelle interface, qui selon eux avait de trop importantes différences avec celle des précédentes versions du système d’exploitation.

Quelques applications fournies avec le système

  • Dashboard, tableau de bord virtuel permettant d'emménager des mini-applications appelées des widgets. On peut créer ces applications à l'aide de trois langages : XHTML pour le balisage général, CSS pour l'agencement des éléments, et ECMAScript (JavaScript) pour l'interactivité. Dashboard peut être comparé à Konfabulator, gDesklets ou SuperKaramba. Il reprend en effet les mêmes fonctionnalités que ces derniers, mais étant fourni avec le système, il est vite devenu plus populaire parmi les utilisateurs de Mac OS X.
  • Automator, permet de combiner un certain nombre d'actions prédéfinies pour effectuer des tâches répétitives. Le paramétrage de ces automatisations s'effectue de façon graphique, ce qui le rend accessible au plus grand nombre, mais au prix selon certains d'une perte de fonctionnalités. Les tâches sont effectuées par AppleScript ou Perl, de façon transparente. La plupart des possibilités offertes par Automator peuvent être obtenues par d'autres moyens, notamment des shell scripts, technique méconnue par le grand public.
  • Safari, navigateur web basé sur un dérivé du moteur de rendu KHTML.
  • Mail, Client de messagerie.
  • QuickTime X (nom donné à partir de Snow Leopard, anciennement QuickTime Player), lecteur multimédia.
  • Lecteur DVD, lecteur de DVD.
  • Aperçu, visionneuse d'images et de documents PDF.
  • iChat, client de messagerie instantanée multiprotocole.
  • Photo Booth, logiciel permettant se prendre en photo grâce à la webcam intégrée et d'effectuer des déformations dessus.
  • iMovie, logiciel permettant de faire un film à partir de vidéo, de photos, d'effets spéciaux, etc…
  • iTunes, lecteur et gestionnaire de musique, de vidéo-clips et de podcasts.
  • Transfert d'images, permet de récupérer des images depuis un appareil photo numérique, un scanner ou tout autre matériel d'acquisition.
  • iCal, agenda et calendrier.
  • Livre des polices permet de gérer des polices de caractères.
  • Front Row, interface « media center » qui peut être contrôlée par la télécommande infrarouge Apple Remote, permettant d'accéder à la discothèque d'iTunes, à la photothèque d'iPhoto, aux séquences vidéos de l'utilisateur, aux bandes-annonce de cinéma en ligne et aux DVD.
  • Xcode, Environnement de Développement Intégré, destiné à fournir une intégration et un support plus complets avec le système que les autres solutions disponibles.
  • Spaces, apportant la fonction de bureaux virtuels pour Mac OS 10.5.
  • Time machine, pouvant récupérer des fichiers perdus ou effacés.
  • Ainsi que Calculette, Carnet d'adresses, Dictionnaire, iSync (synchronisation d'appareils), Chess (jeu d'échecs).

Principales technologies

  • Cocoa, bibliothèques de programmation orienté objet (langages Objective C et Java).
  • Carbon, bibliothèques de programmation orienté objet (langages C, C++).
  • QuickTime, un ensemble de bibliothèques permettant de manipuler en lecture et en écriture des contenus vidéos. Il existe un lecteur multimédia du même nom qui s'appuie sur ces bibliothèques.
  • Spotlight (depuis Mac OS X v10.4) est un moteur de recherche de métadonnées intégré nativement au système. Cette technologie permet de retrouver le contenu des fichiers de façon quasiment instantanée, à la manière de Beagle, Kat ou Google Desktop Search. Cette technologie a permis l'apparition de fonctionnalités telles que les «  dossiers intelligent » (dossiers dont le contenu est constamment actualisé par Spotlight sur la base de critères évolutifs de recherche). L'un des avantages de cette nouvelle technologie est sa modularité (les critères de recherches spécifiques à une application ou un type de fichier peuvent être ajoutés par plug-in). En résumé, Spotlight apporte à l'utilisateur une recherche instantanée sur le contenu des fichiers, sur les fichiers eux-mêmes et la construction sous forme de listes ou de groupes dits « intelligents » de requêtes de recherche pointues. Une technologie concurrente a été intégrée par Microsoft dans Windows Vista en 2007.

Stabilité

Des statistiques obtenues grâce au logiciel Hitup[6] montrent sur un échantillon réduit la grande stabilité du système : jusqu’à 2 276 jours (plus de 6 ans) sans redémarrer sur de simples stations de travail de particuliers[7]. Ces chiffres « d'uptime » sont à relativiser : les conditions d'utilisation et de charge, le matériel et les applications utilisées étant en effet inconnues.

Sécurité

Il n'existe aucun virus connu à ce jour sous Mac OS X[8],[9],[10] . Seuls des programmes malveillants tel Opener (également nommé Renepo), qui ne se propage pas par lui-même et doit être installé par l’utilisateur pour fonctionner ont pu défrayer la chronique. Il ne s’agit donc ni d’un virus, ni d’un troyen[11]. L'un des rares virus signalés, Hacktool Underhand, était en fait une erreur dans la mise à jour d'un anti-virus commercial. En février 2006, on découvrit le troyen Leap-A (ou Oompa-A) ; il se propage via la messagerie instantanée iChat.

Plus rapidement et plus ouvertement : les mises à jour du système et des logiciels associés sont clairement et largement annoncées. De plus, les mises à jour de sécurité, moins nombreuses chez Apple, sont plus largement appliquées par les utilisateurs de Mac, ce qui limite la propagation des failles.

La sécurité évidente du système peut provenir également du faible nombre de machines Apple dans le parc informatique mondial ; la sortie d'un virus exploitant une éventuelle faille étant rendue inutile car il serait impossible à diffuser de manière efficace.

Système de fichiers local, réseau et protocole supporté

Mac OS X permet de formater les disques durs dans cinq systèmes de fichiers différents :

  • HFS : la version originale de système de fichiers de Mac OS (parfois utilisé encore dans certains CD-ROM)
  • HFS+ : une version modifiée du HFS (introduit avec Mac OS 8.1) qui permet la gestion de plus gros disques (le plus répandu actuellement).
  • HFSX : une nouvelle déclinaison du HFS (introduit avec Mac OS X v10.4), la différence étant le support de la sensibilité à la casse (différence majuscule/minuscule) dans un nom de fichier.
  • UFS
  • FAT32
  • NTFS en lecture uniquement, ou en lecture/écriture avec le pilote libre NTFS-3G. Il existe un pilote NTFS, de la société Paragon software, s'intégrant parfaitement à Mac OS X.

HFS+ et HFSX peuvent être journalisés, ce qui évite les erreurs d'écriture lors d’un éventuel plantage. Cette fonction peut être activée à la volée par l'utilitaire de disque.

Partition

Depuis l'arrivée des ordinateurs Apple équipés de processeurs Intel, les schémas de partition du disque dur utilisés par défaut ont changé (notamment afin de s'adapter au programme de démarrage EFI fourni par Intel en remplacement de l'Open Firmware utilisé sur les Mac PowerPC).

  • GPT est le nom donné au schéma de partition d'un disque dur destiné à démarrer un Mac Intel. Un tel disque ne permet pas de démarrer un Macintosh à processeur PowerPC.
  • APM est le nom donné au schéma de partition classique, lisible sur tous les types de Macintosh[12], il est possible de démarrer sur un disque partitionné ainsi avec un Mac PowerPC mais pas avec un Mac Intel.

Protocoles

  • AFP
  • FTP (en lecture seulement)
  • NFS
  • SMB/CIFS
  • WebDAV via la commande mount_webdav. C'est également le protocole utilisé pour accéder à un compte .Mac.

Architecture

Son noyau Open Source XNU, est un noyau hybride basé sur le micro-noyau Mach et une version d'UNIX issue de BSD 4.4 lui assurant la compatibilité POSIX. Au-dessus de cet ensemble, Apple a greffé d'autres technologies stratégiques dont certaines sont héritées du défunt système NeXTSTEP. Apple a joint à Mac OS X sa technologie multimédia QuickTime.

Environnements de programmation

L’affichage 2D (CoreGraphics) rassemble QuickDraw et Quartz. Ce dernier est le moteur d'affichage ultra-moderne qui gère nativement le format PDF, la transparence et la transition par-point vers le vectoriel.

Mac OS X possède une interface appelée Aqua, différente de celles des anciens systèmes Macintosh (Platinium, dont une chimère est disponible sur certaines distributions Linux), dont les programmes tournent sur le nouveau système grâce à une version améliorée de Mac OS 9, la version 9.2.2, parfaitement intégrée au système, baptisé Classic. Toutefois Classic ne fonctionne pas avec des versions de MacOS X supérieures ou égales à la version 10.5 (Leopard) ainsi que sur des Macintosh à processeur Intel.

Le portage des applications est simplifié grâce à l’environnement de programmation Carbon qui est une réécriture pour Mac OS X des API de Mac OS. Carbon est utilisé pour les applications multiplates-formes en raison de sa ressemblance avec l'API Win32 de Windows.

Enfin, l’environnement Cocoa, évolution de l’API d’OpenStep, est l’environnement natif du système. Cocoa est conçu et programmable en Objective C ou en Java (le support Cocoa pour Java a récemment été abandonné mais est toujours présent) et est orienté objet. Les applications programmées en Cocoa peuvent profiter de certains apports du système X (10, et non X Window), tels que les services, unifiés, disponibles pour toutes les applications les supportant (dictionnaire unifié, recherche Internet, etc.). De plus, Cocoa utilise des ressources de la CoreFoundation, système unifié permettant aux programmeurs de n'avoir à s'occuper que de l'interface (et encore, sa gestion est simplifiée par Interface Builder) et des fonctions essentielles du logiciel, sans avoir à s'occuper du reste. La CoreFoundation contient, tout particulièrement CoreImage et CoreData depuis Mac OS X v10.4 Tiger. D'ailleurs, à partir de sa version 4.5.0, le Toolkit Qt s'appuie sur Cocoa pour fournir des bibliothèques 64-bit, Carbon étant une interface uniquement 32-bit.

Fondé sur un environnement NetBSD, OpenBSD et FreeBSD, il permet avec Apple X11, basé sur XFree86, le portage simple des applications développées pour d’autres systèmes Unix comme GNU/Linux ou BSD. X11 utilise par défaut l'interface graphique Quartz Window Manager, à moins d'installer des environnements X11 portés sur Mac OS X, tels que GNOME, KDE, Oroborus ou Xfce.

Plusieurs projets sont dédiés au portage simple des applications Linux ou UNIX, tels que Fink (orienté Debian GNU/Linux) ou Darwinports (orienté *BSD). De plus, l'utilisation sans portage d'application Windows sera peut-être naturelle dans très peu de temps, grâce au projet Darwine (portage du projet Wine, pour UNIX avec architecture x86). Les bibliothèques sont en cours d'élaboration. L'intégration et la fluidité des applications utilisant X11 dans Mac OS X laissent cependant à désirer comparé à ce qu'a accompli Apple pour l'environnement Classic et par rapport à l'expérience qu'on peut avoir nativement sous Linux. De même, les logiciels « X11 » possèdent une interface éloignée de celle des logiciels traditionnels pour Mac OS X. Pour ces raisons, de nombreux utilisateurs de Mac OS X rejettent les applications utilisant X11.

Versions principales

Cette dernière version intègre le 64 bits, Time Machine, un utilitaire de sauvegarde, DashCode, un environnement de création de widgets pour Dashboard et Spaces, un gestionnaire de bureau virtuel. D'autres améliorations concernent le Mail, iChat, AddressBook et iCal.

Cette version inclut Grand Central Dispatch, une technologie dont l'enjeu est de mieux gérer les processeurs multiples et ayant un nombre de cœurs de plus en plus élevé, OpenCL permettant d'exploiter plus largement la puissance du processeur graphique à des fins de calculs habituellement dévolus au processeur central, une ré-écriture de QuickTime, appelée QuickTime X, une optimisation de la gestion de JavaScript et l'intégration dans plusieurs éléments du système de Microsoft Exchange 2007. Les processeurs Power PC ne sont plus supportés dans cette version du système d'Apple[14].

À chaque version de Mac OS X correspond une version de Mac OS X Server, le numéro de la version ayant été synchronisé à partir de Mac OS X 10.0. En effet, Mac OS X Server 1.0 n'était qu'un portage rapide d'OpenStep, tandis que les versions 10 sont, elles, basées sur Mac OS X.

De plus, Mac OS X a été programmé de façon à pouvoir être (très) facilement adapté à une autre architecture processeur. C'est l'ordre que Steve Jobs avoue (le 6 juin 2005 lors de la WWDC 2005) avoir donné à ses équipes dès le début de la conception de Mac OS X, tout en rajoutant « Just in case ... » (« au cas où ... ») avec un air amusé. La première version de Mac OS X pour Intel est diffusée au grand public depuis le 10 janvier 2006 en même temps que la sortie des nouvelles gammes MacBook Pro et iMac ; c'est une 10.4.4 en version Universal Binaries (compatible à la fois avec Intel et PowerPC).

Voir aussi

Notes et références

Liens externes

Histoire du système d'exploitation Apple Macintosh
Mac OS Classique : Système 5 · Système 6 · Système 7 · Mac OS 8 · Mac OS 9
Mac OS X : 10.0 · 10.1 · 10.2 · 10.3 · 10.4 · 10.5 · 10.6 · iPhone OS
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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Mac OS X 10.1 de Wikipédia en français (auteurs)

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