Lituanie

Lituanie
Lietuvos Respublika (lt)
République de Lituanie (fr)
Drapeau de la Lituanie Armoiries de la Lituanie
(Drapeau de la Lituanie) (Armoiries de la Lituanie)
Devise nationale : Vienybė težydi (Que fleurisse l’unité)
carte
Langue officielle Lituanien
Capitale Vilnius
54°41′N 25°16′E / 54.683, 25.267
Plus grande ville Vilnius
Forme de l’État République parlementaire
 - Présidente
 - Premier ministre
Dalia Grybauskaitė
Andrius Kubilius
Superficie
 - Totale
 - Eau (%)
Classé 120e
65 303 km2
Négligeable
Population
 - Totale (2011)
 - Densité
Classé 124e
3 535 547[1] hab.
52,4 hab./km2
Indépendance
 - Date
De l’URSS
11 mars 1990
Gentilé Lituaniens
IDH (2005) en augmentation 0,862 (élevé) (43e)
Monnaie Litas (LTL)
Fuseau horaire UTC +2
Hymne national Tautiška giesmė
Code ISO 3166-1 LTU, LT
Domaine internet .lt
Indicatif
téléphonique
+370


La Lituanie (en lituanien : Lietuva), en forme longue la République de Lituanie (Lietuvos Respublika), est un pays d’Europe du Nord situé sur la rive orientale de la mer Baltique, au nord-est de la Pologne, au nord de la Biélorussie et au sud de la Lettonie. La Lituanie compte environ trois millions cinq cent mille habitants. Sa capitale est Vilnius, sa monnaie le litas, sa langue officielle le lituanien, langue indo-européenne. La Lituanie est le plus méridional et le plus grand des trois États baltes. C'est aussi le plus peuplé et le plus touristique. La République de Lituanie est membre de l’Union européenne depuis le 1er mai 2004 et fait partie de l’Espace Schengen depuis le 21 décembre 2007.

La graphie « Lithuanie » (avec un « h ») est ancienne ; correcte, elle est néanmoins quasiment abandonnée : on lui préfére couramment l'orthographe « Lituanie »[2]. On retrouve encore la lettre « h » dans le nom du pays en différentes langues où sa présence est obligatoire.

Sommaire

Histoire

Article détaillé : Histoire de la Lituanie.

L'histoire de la Lituanie commence par l'unification des tribus lituaniennes par Mindaugas, au milieu du XIIIe siècle, en vue de lutter contre les chevaliers teutoniques et les chevaliers porte-glaives. Cette période est aussi marquée par la christianisation de la population, qui passe du paganisme, au catholicisme ou à l'orthodoxie, par la conversion de son élite politique. Le pays est ensuite marqué par les règne de Vytenis à partir de 1290 et de Gediminas de 1316 à 1341. Le Grand-duché de Lituanie profite du déclin de la Rus' de Kiev pour étendre fortement ses frontières vers l'est et le sud, dans tout le bassin du Dniepr, jusqu'à la mer noire.

En 1386, le grand-duc de Lituanie, Jogaila, se marie avec la princesse de Pologne, Hedwige, ce qui crée l'Union de Pologne-Lituanie qui aboutira en 1569 à la création de la République des Deux Nations. Cette union conduit à une forte acculturation de l'élite politique qui adhère à la culture et à la langue polonaise. Le Grand-duché de Lituanie perd alors peu à peu de son autonomie dans la fédération, jusqu'à être complètement intégré à la Pologne par la Constitution polonaise du 3 mai 1791. Après les trois partages de la Pologne à la fin du XVIIIe, la république cesse d'exister en 1795. L'actuel territoire de la Lituanie est alors intégré à l'empire russe, jusqu'à son indépendance le 16 février 1918. La nouvelle république disparait une nouvelle fois en 1940, par l'occupation de l'Union soviétique, durant la Seconde Guerre mondiale. Après une brève occupation par l'Allemagne nazie, la Lituanie est à nouveau absorbée par l'Union soviétique de 1945 à 1990, avant de redevenir indépendante depuis le début des années 1990.

Politique

Article détaillé : Politique de la Lituanie.

La Lituanie est une république parlementaire. Selon la Constitution, ratifiée en octobre 1992, le détenteur du pouvoir exécutif est le président de la République. Il est élu au suffrage universel direct pour un mandat de cinq ans et nomme le Premier ministre. Son choix doit être approuvé par le Parlement.

Articles connexes : Partis de Lituanie et Seimas.

L’instance législative suprême est le Seimas, Parlement monocaméral composé de 141 députés élus pour quatre ans. Les électeurs disposent de deux bulletins de vote : le premier sert à élire, dans 71 circonscriptions, des députés élus au scrutin uninominal majoritaire à deux tours (le second tour éventuel se déroulant deux semaines après le premier), tandis que le second bulletin de vote sert à exprimer la préférence partisane de l’électeur, qui doit choisir entre plusieurs listes bloquées de 70 noms pour une circonscription nationale unique. Les 70 sièges de ce second contingent sont répartis, à la proportionnelle, entre tous les partis qui atteignent ou dépassent 5 % des suffrages exprimés (le décompte total étant fait à la fois sur les votes personnels exprimés dans les 71 circonscriptions et sur le vote partisan exprimé dans la circonscription unique), le décompte étant par ailleurs compliqué par le fait qu’un électeur a la faculté d’exprimer, au sein de la liste pour laquelle il se prononce, une préférence pour au plus cinq personnes parmi celles figurant sur cette liste.

La Cour constitutionnelle vérifie la conformité des lois à la Constitution, peut être saisie pour avis sur la ratification éventuelle d'un traité, est juge des élections présidentielles et législatives. Enfin elle peut être saisie par tout tribunal dans le cadre d'une question préjudicielle de constitutionnalité (article 110 de la Constitution)

Le pouvoir judiciaire est exercé par des tribunaux indépendants ayant à leur tête la Cour suprême. Depuis 2000 des tribunaux administratifs et une Cour administrative ont été institués .

Géographie

Carte de la Lituanie

Géographie générale

Article détaillé : Géographie de la Lituanie.

La Lituanie est délimitée au nord par la Lettonie, à l’est et au sud par la Biélorussie, au sud-ouest par la Pologne et par l’enclave de l’oblast de Kaliningrad (l’ancienne Königsberg) appartenant désormais à la Russie, et à l’ouest par la mer Baltique.

La majeure partie du territoire, située dans le bassin du Niémen, ne dépasse pas 250 m d’altitude. Le pays possède également de vastes étendues de marais, en particulier au nord et à l’est, dont un grand nombre a été drainé.

Villes

Article détaillé : Villes de Lituanie.
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Économie

Article détaillé : Économie de la Lituanie.

La monnaie nationale est le litas (LTL : 3,45 litas pour 1 euro, taux de change fixe). L'inflation a atteint un pic de 12,3 % en mai 2008[3].

Première république soviétique à avoir cherché à s’affranchir des liens avec l’URSS, la Lituanie a particulièrement souffert des bouleversements économiques consécutifs à la proclamation de son indépendance et à l’effondrement du bloc de l’Est.

Depuis, et en particulier grâce à son intégration au sein de l'Union européenne en 2004, l'économie du pays a connu une forte croissance pendant les années 2000 (près de 10 % par an) : le chômage a chuté grâce au boom de la construction, les prix de l'immobilier ont grimpé en flèche. Mais de nombreux jeunes ont quitté le pays pour la Grande-Bretagne et l'Irlande. Le secteur du textile s'est bien développé ces dernières années pour des marques européennes haut de gamme. Le pays espère rentrer dans la zone euro le plus rapidement possible afin de stabiliser les institutions financières.

Avant le déclenchement de la crise économique de 2008, la croissance était de 8 % en 2007[4]. En 2008, la crise frappe durement les pays baltes, dont la Lituanie, et les difficultés rencontrées par la Lettonie, l'Estonie et la Lituanie vont jusqu'à faire craindre la faillite des trois Etats[5]. La prévision de récession atteint 10 % en avril 2009. Toutefois, grâce à la crise, l'inflation s'est fortement ralentie, et les autorités espèrent ainsi intégrer la zone euro plus rapidement. La crise balte est attribuée en particulier au comportement des banques suédoises[6].

Démographie

Évolution de la démographie entre 1992 et 2003 (chiffre de la FAO, 2005). Population en milliers d'habitants.
Article détaillé : Démographie de la Lituanie.

Tableau récapitulatif de la population selon l'ethnicité [7]:

Recensements 1923 1970 2001
Lituaniens 80,1 % 80,1 % 83,45 %
Juifs 7,1 % - 0,1
Allemands 4,1 % - 0,1
Polonais 3 % 7,7 % 6,74 %
Russes 2,3 % 8,6 % 6,31 %
Biélorusses 12 % 1,5 % 1,23 %
Ukrainiens - 0,8 % 0,65 %
Total 2 028 971 3 128 000 3 483 972
  • En 1923, la région de Vilnius, dont la ville était peuplée majoritairement de Polonais et de Juifs, faisait partie de la Pologne, qui avait annexé la République de Lituanie centrale en 1922. Aujourd'hui, dans beaucoup de fiefs de la région de Vilnius (Trakai par exemple), les Polonais restent majoritaires. À Vilnius, il existe encore beaucoup d'écoles polonaises et russes
  • Il est probable que la catégorie « Russes » en 1923 incluait des Biélorusses et des Ukrainiens (officiellement 43).
  • L'importante minorité juive de Lituanie a été totalement anéantie par les nazis, la Lituanie ayant été occupée par l'Allemagne de 1941 à 1945.
  • La minorité allemande ou germanisée (« Memelliens » dans le recensement de 1925), surtout présente à Memel (Klaipėda), a été expulsée par l'Armée rouge en 1945, à l'instar de celle de Prusse-Orientale (actuel territoire de Kaliningrad).

La religion prédominante est le catholicisme à 79 %, mais l'orthodoxie (4,07 %), le protestantisme, le judaïsme et l'islam existent aussi, en tant que religions minoritaires. On trouve également à Trakai les derniers karaïtes d'Europe. Le néo-paganisme est renaissant.

Il est à noter qu'en 2005, la Lituanie est le pays présentant le plus haut taux de suicide au monde, avec 68,1/100 000 hommes par an et 12,9/100 000 femmes par an[8],[9].

La Lituanie et l'Union européenne

Les démarches d'adhésion (1990 - 2004)

Considérée comme « un maillon indispensable entre l'Europe et le monde slave », la Lituanie manifeste depuis son indépendance en 1990, selon les termes du groupe France-Pays Baltes du Sénat français, « une volonté réelle d'ancrage à l'Europe »[10].

Le pays dépose officiellement sa demande d'adhésion à l'Union européenne le 8 décembre 1995. Elle s'efforce dès lors de satisfaire aux critères politiques et économiques qui conditionnent l'adhésion de tout nouvel Etat à l'Union européenne[11]. La fermeture exigée par Bruxelles de la centrale nucléaire d'Ignalina, de type Tchernobyl, est l'un des points sensibles de la négociation. Elle reste d'ailleurs un sujet épineux entre l'Europe et la Lituanie[12]. Les 12-13 décembre 1997, le Conseil européen de Luxembourg lance le processus d'adhésion de onze États, dont la Lituanie, et décide que la préparation des négociations avec la Bulgarie, la Lettonie, la Lituanie, la Roumanie et la Slovaquie sera accélérée. Les 10-11 décembre 1999, le Conseil européen d'Helsinki décide d'ouvrir à partir de février 2000 les négociations d'adhésion avec six pays, dont la Lituanie, et les négociations d'adhésion entre l'UE et la Lituanie commencent le 15 février 2000. Les 12-13 décembre 2002, lors du Conseil européen de Copenhague, l'Union européenne et dix pays candidats à l'adhésion scellent leur union par un accord sur les conditions économiques et financières de l'élargissement. Il est décidé que Chypre, Malte, la Hongrie, la Pologne, la République tchèque, la Slovaquie, la Slovénie et les trois Etats baltes, Estonie, Lituanie et Lettonie rejoindront l'Union le 1er mai 2004.

Le 10 mai 2003, un référendum concernant l'adhésion à l'Union européenne a lieu et aboutit à la victoire du "oui" par 89,92 % des voix, contre 8,85% d'opinions négatives (et 1,23% de bulletins invalidés).

Depuis l'adhésion (2004)

La Lituanie adhère officiellement à l'Union européenne le 1er mai 2004.

Le 6 mai 2006, la Commission propose que la Slovénie adopte l'euro au 1er janvier 2007, mais elle rejette la demande similaire de la Lituanie, constatant que les conditions économiques se sont pas encore pleinement remplies par ce pays[13]. Le taux d'inflation en Lituanie dépasse alors de 0,1 point le maximum autorisé par les critères de Maastricht[14].

En 2009, la Lituanie est vivement critiquée par l'Union Européenne lors de l'adoption au Seimas, le parlement lituanien, d'un amendement à la loi sur la "protection des mineurs" pour interdire dans le pays tout propos favorable à l'homosexualité. Cet amendement considère en effet que toute information publique évoquant favorablement l'homosexualité a des conséquences néfastes sur le développement physique, intellectuel et moral des mineurs[15]. De nombreux députés européens protestent contre cette loi qui, selon les eurodéputés Sophia in't Veld et Ulrike Lunacek, « menace les valeurs européennes, le droit européen et la liberté d'êtres humains »[16]. Le parlement européen vote alors une résolution dans laquelle il demande à la Lituanie de « réexaminer les modifications récentes de sa législation sur la protection des enfants afin d'éviter toute possibilité de discrimination fondée sur l'orientation sexuelle »[17].

Sports

Le sport numéro 1 en Lituanie est le basket-ball. Depuis son indépendance en 1990, la Lituanie est devenu une équipe de premier plan mondial. L'équipe nationale a terminé trois fois à la troisième place des Jeux olympiques, en 1992 à Barcelone, en 1996 à Atlanta et en 2000 à Sydney. C'est une des meilleures nations européennes (avec notamment un titre de championne d'Europe en 2003) avec l'Espagne, la Serbie, la Russie et la Grèce. Parmi les meilleurs joueurs actuels, Simas Jasaitis (Tau Vitoria), Robertas Javtokas (Panathinaikos), Ksystof Lavrinovic (Mens Sana Basket) et Sarunas Jasikevicius (Panathinaikos) qui fut porte-drapeau de la délégation lituanienne à Pékin et qui a longtemps évolué en NBA.

En football, l'équipe nationale lituanienne est une équipe très rugueuse et physique dont les points forts sont son bloc défensif ainsi que son jeu aérien. Elle peut poser des problèmes à un bon nombre de bonnes équipes ; lors des qualifications pour l'Euro 2008, elle a notamment réussi un match nul en Italie et lors de ses deux confrontations avec l'équipe de France, cette dernière a dû attendre à chaque fois la fin du match pour réussir à l'emporter. Ses meilleurs joueurs sont Tomas Danilevicius (Bologne FC 1909) qui est le meilleur buteur en sélection de l'histoire avec 13 buts, Edgaras Jankauskas (CF Belenenses) qui est passé aussi par le FC Porto, le FC Bruges et l'OGC Nice et Andrius Velicka (Glasgow Rangers).

En cyclisme, la Lituanie possédait deux coureurs de bon niveau au début des années 2000 avec le grimpeur Marius Sabaliauskas (passé par chez Lampre notamment), et surtout avec Raimondas Rumšas qui termina troisième du Tour de France 2002, mais déchu pour dopage quelques jours après l'arrivée de ce Tour et qui a depuis totalement disparu de la circulation. Désormais la relève est assurée par le très bon Tomas Vaitkus qui est un bon sprinteur, un bon rouleur ainsi qu'un bon spécialiste des classiques flandriennes, il a notamment remporté une étape du Tour d'Italie en 2006 et terminé sixième du prestigieux Tour des Flandres en 2007.

En hockey sur glace, l'équipe nationale lituanienne est classée 25e au classement IIFH et évolue en deuxième division mondiale. Elle a cependant un joueur de très haut niveau avec Dainius Zubrus qui évolue dans la LNH chez les Devils du New Jersey.

En athlétisme, la Lituanie est présente essentiellement à travers le lancer du disque, discipline très populaire. La Lituanie connut de grands lanceurs, comme Romas Ubartas (champion olympique en 1992 à Barcelone) et surtout Virgilijus Alekna qui est sûrement le meilleur lanceur de disque de la dernière décennie avec à son palmarès deux titres de champion olympique en 2000 et 2004 et 2 titres de champions du monde en 2003 et 2005. Cependant Virgilijus Alekna qui a dominé sa discipline de main de fer entre 2000 et 2006 est depuis deux ans un peu plus en retrait, notamment par rapport à l’Estonien Gerd Kanter, malgré une médaille de bronze au JO de Pékin.

Si le tennis lituanien est absent du haut-niveau mondial, la donne pourrait peut-être changer dans les années à venir avec Ricardas Berankis qui termina l'année 2007 à la place de numéro 1 mondial junior.

Galerie de sportifs lituaniens

Culture

Articles détaillés : Culture de la Lituanie et Musique lituanienne.
Fêtes et jours fériés
Date Nom français Nom local Remarques
16 février Fête nationale Commémorant son indépendance en 1918
11 mars Fête nationale Commémorant la restauration de son indépendance en 1990
24 juin St.Jean Rasos/Joninės Fête païenne, qui célèbre la nuit la plus courte de l'année
6 juillet Jour de l'État Le couronnement de Mindaugas en 1253

Codes

La Lituanie a pour codes :

Notes et références

  1. Central Intelligence Agency, The World Factbook, 2011
  2. cf. notamment l’orthographe utilisée (ou recommandée) par différents publications officielles, organismes internationaux et dictionnaires.
  3. Nouveau record de l'inflation en mai dans la zone euro, à 3,7 % - 16 juin 2008 - Le Monde.fr
  4. Fiche pays : Lituanie
  5. http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/acheter.cgi?offre=ARCHIVES&type_item=ART_ARCH_30J&objet_id=1057395
  6. Olivier Truc, « La Lettonie prépare des coupes budgétaires de 20 à 40 % », Le Monde, 29 avril 2009, p 9
  7. Population by ethnicity | Statistics Lithuania
  8. (en) [http://www.who.int/mental_health/prevention/suicide_rates/en/index.html Tableau de l'OMS (décembre 2005).
  9. (en) Statistiques de l'OMS (06-06-2006)
  10. http://www.senat.fr/ga/ga022/ga022.html
  11. http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/elargissement-union-europeenne/lituanie.shtml#p2
  12. http://fr.euronews.net/2008/07/14/la-lituanie-veut-retarder-la-fermeture-de-la-centrale-d-ignalina/
  13. http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/elargissement-union-europeenne/chronologie.shtml
  14. http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2006/05/llargissement_v.html
  15. http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-06-16/la-lituanie-interdit-toute-publicite-de-l-homosexualite/924/0/353020
  16. http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+CRE+20090916+ITEMS+DOC+XML+V0//FR&language=FR#creitem18
  17. http://www.europarl.europa.eu/news/expert/infopress_page/019-60714-257-09-38-902-20090915IPR60711-14-09-2009-2009-false/default_fr.htm

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

  • Suzanne Champonnois, François de Labriolle, Dictionnaire historique de la Lituanie, Crozon, Éditions Armeline, 2001. ISBN 2-910878-17-1
  • Suzanne Champonnois, François de Labriolle, Estoniens, Lettons, Lituaniens. Histoire et destins, Crozon, Éditions Armeline, 2004. ISBN 2-910878-26-0
  • Yves Plasseraud, Les États baltiques. Des sociétés gigognes. La dialectique majorités-minorités, 2e éd., Brest, Éditions Armeline, 2006. ISBN 2-910878-23-6
  • Dominique P Dubarry, Les rencontres franco-baltes. 800 ans d’histoires partagées, Romain Pages Éditions, 239 pages, octobre 2006

Article connexe

Liens externes


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Lituanie de Wikipédia en français (auteurs)

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