Ligne 1 du tramway de Montpellier

Ligne 1 du tramway de Montpellier

Tramway de Montpellier

Tramway de Montpellier
Rame du tramway de Montpellier
Situation Castelnau-le-Lez, Jacou, Montpellier, Saint-Jean-de-Védas (Hérault, France)
Type Tramway
Entrée en service 30 juin 2000
Longueur du réseau 35 km
Lignes 2
Stations 60
Rames 57
Fréquentation 200 000 passagers par jours[1]
Écartement des rails 1 435 mm
Propriétaire Montpellier Agglomération
Exploitant TAM
Vitesse moyenne 20 km/h
Vitesse maximale 70 km/h
Plan des lignes.

Le tramway de Montpellier est actuellement un réseau planifié de trois lignes, dont deux actuellement en service. Il est de la responsabilité de Montpellier Agglomération et géré par les Transports de l'agglomération de Montpellier (TAM).

La première ligne inaugurée le 30 juin 2000 est en service commercial depuis le 3 juillet 2000. L'inauguration de la deuxième ligne est intervenue le 16 décembre 2006 avec une mise en service commercial le 18 décembre 2006. La troisième dont le projet est en cours d'élaboration devrait être mise en service vers 2012.

Sommaire

Historique

Les deux premiers réseaux

Du 18 juillet 1880 à 1883, un réseau hippomobile est créé à Montpellier qui compte alors environ 55 000 habitants. Les trente-neuf chevaux et la vingtaine de voitures parcourent six lignes desservant l'Écusson et ses abords, ainsi que Castelnau-le-Lez. Les intervalles sont de trente minutes ou d'une heure selon les lignes. Il disparaît à cause d'une mauvaise gestion des rails et des chevaux[2].

Par la suite, un réseau de tramway électrique est mis en place : les deux premières lignes ouvrent en novembre 1897 et d'autres suivent début 1898[3]. Elles desservent le territoire de Montpellier et de la commune voisine de Castelnau-le-Lez, avec des cadences de 7 à 15 minutes. La place de la Comédie est le principal lieu de croisement des cinq lignes de tramway, ainsi que la gare ferroviaire et la place devant l'église Saint-Denis. Le réseau mesure 12 kilomètres. Voici les parcours[4] :

Numéro Parcours
Ligne 1 Tour de l'Écusson
Terminus : église Saint-Denis
Ligne 2 Octroi de Palavas (début de l'avenue de Palavas)
gare ferroviaire
église Saint-Denis
place de la Comédie
rue de la Loge et rue Foch
Peyrou
Faubourg Saint-Jaumes (correspondance avec la ligne 5)
Ligne 3 Place de la Comédie
Esplanade
quartier des Abattoirs au nord
cimetière Saint-Lazare
Mairie de Castelnau-le-Lez
Ligne 4 Gare de Palavas et place de la Comédie
église de Saint-Denis
cours Gambetta
octroi de Lodève
prolongée le 8 avril 1900 jusqu'à Celleneuve
Ligne 5 Champ de manœuvre au sud-est
avenue de Toulouse
branche vers la Gare Chaptal
place de la Comédie
rue de la Loge et rue Foch
Peyrou puis boulevard Henri IV
avenue du Professeur Grasset
hôpital suburbain (actuel Saint-Éloi)

Le plus grave accident connu par ce réseau a lieu le 16 décembre 1943 : une rame de la ligne 5 ne parvient pas à ralentir dans la descente du boulevard Henri IV. Elle quitte les rails et se fracasse place Albert-Ier. Il y a sept morts et 23 blessés. Sont mis en cause l'entretien des rails, de la voiture et de ses sablières automatiques[5].

Concurrencé par le développement de l'automobile et notamment de la mise en place d'un réseau de lignes de bus, ce service de tramway est fermé le 31 janvier 1949[4].

Genèse du réseau et des deux premières lignes

Rame de la ligne 1 dans le quartier d'Odysseum.

Pendant les années 1990, la municipalité de Georges Frêche propose la recréation d'un réseau de trois lignes de tramway par le district de Montpellier et sa Société montpelliéraine de transport urbain (SMTU).

Les débats d'alors se portent sur le choix du matériel roulant et sur le parcours de la première ligne. Un des principaux membres de l'opposition de droite au conseil municipal de Montpellier, Bruno Barthez, milite en faveur du tramway sur pneus suivant l'exemple du projet de transport léger guidé de Caen. Un des arguments est le coût de construction plus bas de la ligne face au tramway sur rails[6].

La première ligne doit relier La Paillade à l'ouest au nouveau quartier d'activités Odysseum à l'est, en desservant des quartiers importants de la ville : Euromédecine, Hôpitaux-Facultés, l'Écusson, la gare SNCF et la gare routière, et Antigone où sont construits une piscine olympique et une médiathèque centrale. Les désaccords vont porter sur la traversée de l'Écusson : les commerçants s'opposent au passage sur le boulevard du Jeu-de-Paume, une des principales artères automobiles, et les rues Foch et de la Loge dans la vieille ville sont piétonnes. Finalement, c'est un passage sous l'allée de la Citadelle et le passage sur la place de la Comédie qui est proposée et adoptée, malgré les réticences des cafetiers dont les terrasses vont être coupées en deux par les rames.

Ouverte en juillet 2000, la ligne 1 connaît un succès commercial réel en nombre de passagers (jusqu'à 131 655 validations de titres de transport le vendredi 6 octobre 2006).[7]

Cependant, cette ligne, ainsi que la seconde inaugurée le 16 décembre 2006, connaissent des critiques émises par les riverains et plusieurs associations montpelliéraines. Pour les riverains, une des causes est le bruit causé par le passage des rames jusque tard la nuit dans des quartiers vidés de leur circulation automobile (dans le Faubourg Boutonnet par exemple). Les associations de commerçants se plaignent des pertes causées pendant le temps des travaux, surtout lorsque le tramway bouleverse l'accès automobile à une zone commerciale dans le cas de la transformation de la route nationale 113 en boulevard urbain à Castelnau-le-Lez alors qu'elle était un axe majeur d'accès à Montpellier depuis l'est.

Des associations de citoyens critiquent les tracés choisis sous l'impulsion de Georges Frêche, notamment les courbes qui ralentissent les rames ou les détournent vers des quartiers peu densément peuplés. La surcharge possible à terme des voies communes à plusieurs lignes inquiète, comme devant la gare Saint-Roch lorsque deux puis trois lignes vont passer incessamment. La longueur du détour de la ligne 2 par la partie aval du Verdanson, les bords du Lez et le sud d'Antigone risque de provoquer une rupture de charge à la Gare ou au Corum lorsque les passagers préfèreront prendre la ligne 1 ou rallier à pied les deux stations. Le Collectif Tramway de Montpellier propose depuis le début un projet plus rapide et moins cher de desserte du centre-ville[8]. Le magazine Villes & Transports remarque cependant que Montpellier « se construit un réseau étonnamment maillé, qui pourrait permettre de multiplier les origines et les destinations, à l'exemple de ce qui se fait en Allemagne, aux Pays-Bas ou en Suisse »[9].

Les détours des deux lignes et la topographie de la ville, ainsi que le manque de voies automobiles de contournement dans l'agglomération, expliquent en partie la difficulté de trouver des tracés de lignes plus rectilignes et directs, au risque de diminuer la vitesse commerciale et l'attractivité de ces lignes. À Castelnau, le remplacement du pont submersible par le pont de la Concorde et la refonte des circulations autour de la place Charles-de-Gaulle visent tout de même à améliorer les transports automobiles.

Genèse de la ligne 3

La troisième ligne entre Juvignac et le sud de Montpellier, dont la mise en service est prévue pour 2012, pose le problème du terminus sud. Fin 2006, pour l'enquête d'utilité publique, est proposée une division en deux branches vers Lattes et Pérols. La sortie de Palavas-les-Flots de la communauté d'agglomération de Montpellier depuis janvier 2005 et la rupture des relations entre les élus des deux entités compromettent un terminus au plus près des plages. L'aéroport Montpellier Méditerranée, sur le territoire de Mauguio, n'est pas évoqué alors que la ligne 3 doit passer route de Carnon, à environ 1,5 kilomètre de là.

Les conséquences sur les autres transports en commun

Lors de l'ouverture de la ligne 1 en juillet 2000 et pour la ligne 2 le 8 janvier 2007, les réseaux de lignes de bus de l'agglomération et de cars ont été modifiés. Le plus possible, le terminus des bus urbains, suburbains (venant des communes membres de la communauté d'agglomération) et des cars départementaux sont reportés vers une station de tramway.

Jointes à des parcs de stationnement, certaines stations deviennent des « pôles d'échange » : cela concerne sur la ligne 1 les stations Mosson, Euromédecine, Occitanie et Odysseum, et sur la ligne 2 Jacou, Georges-Pompidou, Notre-Dame de Sablassou, Charles-de-Gaulle (parking réservé aux abonnés des TAM), Sabines, Saint-Jean-le-Sec et le terminus à Saint-Jean-de-Védas. Lorsque ces parkings sont payants, ils donnent droit à un ticket aller-retour par passager sur les tramways et les bus des Transports de l'agglomération de Montpellier (TAM, ex-SMTU).

Une conséquence apparaît en janvier 2007 avec les premiers essais de concertation tarifaire au profit des utilisateurs de réseaux extérieurs de l'agglomération, mais devant utiliser le tramway. Le département de l'Hérault propose aux abonnés des lignes de cars d'Hérault Transport une option payante qui étend la validité de leur abonnement au réseau des TAM. Le nouveau tarif est inférieur au cumul des deux abonnements achetés alors séparément par les clients. Le département compte étendre progressivement ce dispositif aux réseaux de transport urbain d'autres communautés d'agglomération héraultaises[10]. Avec la convention TER signée le 3 janvier 2007 par le Conseil régional de Languedoc-Roussillon et la Société nationale des chemins de fer français, ce cumul d'abonnements est permis entre le réseau TER et les réseaux urbains de Montpellier et d'autres agglomérations de la région[11].

Ligne 1

Jonction des 2 lignes (ici la ligne 2 en travaux) sur le parvis de la gare.

La ligne 1 est longue de 15,2 km, et circule sur le territoire de la commune de Montpellier depuis le 30 juin 2000. Le 24 septembre 2009, une première extension à l'est l'allonge d'environ six cents mètres et d'une station pour desservir le centre commercial Odysseum.

100 millions de passagers cumulés ont utilisés la ligne 1 entre son ouverture en juillet 2000 et février 2005. Elle est la ligne la plus fréquentée de France avec 130 000 voyageurs quotidiens pour 75 000 voyageurs quotidiens initialement projetés[12] Son record d'affluence quotidienne est effectué le vendredi 6 octobre 2006 avec 131 655 validations de titres de transport.[7].

L'aménagement urbain de la ligne ont été réalisés par l'architecte urbaniste Antoine Garcia-Diaz (quais, stations, revêtements, plantations, mobiliers urbains).

Matériel roulant[13]

Une rame en panne remorquée par une autre, constituant un convoi de près de 82 mètres de long.

Les rames de la ligne 1 sont garées et entretenues au dépôt Les Hirondelles à La Paillade ; elles sont au nombre de 30 Citadis 401 et de 3 Citadis 302. L'extérieur est décoré en bleu avec oiseaux blancs par les stylistes Elizabeth Garouste et Mattia Bonetti. Chaque rame est baptisée du nom d'une commune membre de la communauté d'agglomération ou d'une collectivité qui a contribué au financement de la ligne.

La ligne 1 est initialement dotée de 28 rames de modèle Citadis 301 d'Alstom d'une longueur de 29,8 mètres (3 caisses) qui sont livrées en 1999-2000. Deux rames supplémentaires livrées au début de l'année 2002 portent leur nombre à trente. La longueur de l'ensemble des rames est portée à 40,9 mètres (5 caisses) entre le mois de juillet 2002 et le mois de mai 2003, pour suivre la fréquentation de la ligne. Ces 30 rames, devenues Citadis 401 après leur extension, sont numérotées de 2001 à 2030.

En décembre 2006-janvier 2007, trois rames Citadis 302 (le modèle de la ligne 2) sont livrées pour renforcer le service entre Occitanie et Odysseum à partir de mai 2007. Elles sont numérotées de 2031 à 2033.

Parcours

Liste des stations (toutes sur la commune de Montpellier) et principales correspondances :

  • Mosson (correspondance lignes bus de l'ouest de l'agglomération)
  • Halles de La Paillade
  • Saint-Paul
  • Aiguillage vers la voie d'accès au dépôt les Hirondelles
  • Hauts de Massane
  • Euromédecine
  • Malbosc (ouverte le 18 novembre 2003)[14].
  • Château d'Ô
  • Occitanie (correspondance lignes bus du nord de l'agglomération et du département)
  • Hôpital Lapeyronie
  • Universités des sciences et lettres
  • Saint-Éloi (correspondance lignes bus du nord et du nord-est de l'agglomération et du département)
  • Boutonnet
  • Stade Philippidès
  • Place Albert 1er
  • Louis Blanc
  • Corum (correspondance avec la ligne 2 et, entre 2000 et 2006, avec lignes bus du nord-est de l'agglomération)
  • Comédie
  • Gare Saint-Roch (anciennement Gares, correspondance ligne 2 du tramway et lignes de bus à la gare routière)
  • Courte section de voies communes avec la ligne 2, rue Jules-Ferry
  • Hôtel de Ville
  • Antigone
  • Léon Blum
  • Section de voies communes avec la ligne 2, rue Poséidon et avenue des Droits-de-l'Homme
  • Place de l'Europe (station commune avec la ligne 2 du tramway et correspondance lignes bus de l'est et du sud de l'agglomération)
  • Fin de section commune juste avant la station Rives du Lez
  • Rives du Lez (correspondance ligne 2 du tramway)
  • Moularès
  • Port Marianne (correspondance avec lignes bus du sud de l'agglomération)
  • Mondial 1998 station projetée dont l'ouverture est reportée le temps que le quartier soit urbanisé.
  • Millénaire (ouverte le 11 octobre 2003)[15].
  • Place de France (terminus Odysseum de juillet 2000 à septembre 2009[16] ; correspondance avec lignes bus de l'est et du sud de l'agglomération et du département)
  • Odysseum (terminus de la ligne depuis le 24 septembre 2009, suite à l'ouverture du centre commercial du même nom)[16]

Œuvres artistiques

Le long de la première ligne, en 2000, ont été installés des œuvres d'art[17].

Près de la station Mosson, Constellation humaine de Chen Zhen est l'assemblage de deux disques métalliques de neuf mètres de diamètre pourvus de soixante-dix chaises[17].

Près de la station Universités, Hommage à Confucius d'Alain Jacquet composé de deux éléments rouges, moqués localement comme « une saucisse et un donut», signifiant l'importance de l'intelligence et du savoir. L'hommage est installé près de l'entrée de l'université des sciences[17].

Près de la station Corum, à l'extrémité nord de l'Esplanade Charles-de-Gaulle, Allégories d'Alain MacCollum sont des moulages réalisés d'après des statues abîmées du château Bonnier de la Mosson. Originellement peintes en couleurs, elles sont recouvertes de peinture couleur argent depuis un vandalisme[17].

Dans la rue Maguelone, entre les stations Comédie et Gare Saint-Roch, Le Voyage de Sarkis est un ensemble de trente-deux chaisesen verre et bronze. Chacune porte le nom d'un monument, de sa ville et de leur distance à Montpellier[17].

Près de la station Port Marianne, la place Ernest-Granier est ornée d'une œuvre non titrée de Ludget Gerdes composée de panneaux bleus et rouges, couleurs de la République française[17].

Projets d'extension

Le premier projet d'extension est mis en service le 24 septembre 2009 du côté oriental de la ligne : le terminus Odysseum est déplacé d'une station à l'intérieur du nouveau centre commercial du même nom. L'ancien terminus prend le nom de son adresse : Place de France.

À l'ouest, entre le terminus Mosson et une station près de l'avenue de Lodève pour assurer une correspondance avec la ligne 3 (enquête publique en novembre-décembre 2006, jointe à celle de la ligne 3[18]).

Deux prolongements plus longs ont pu être exquissé par Georges Frêche, président de la communauté d'agglomération : vers le domaine de Grammont, centre sportif, funéraire et de concerts au nord-est d'Odysseum[19] et vers l'aéroport Montpellier-Méditerranée à travers un nouveau quartier montpelliérain à construire au sud de l'autoroute A9[20],[21].

Ligne 2

Rame de la ligne 2 à Saint-Jean-de-Védas.

La ligne 2 est en service depuis le samedi 16 décembre 2006.

Longue d'environ 19,8 km, elle relie les communes de Jacou, Castelnau-le-Lez (du côté de sa limite avec Le Crès) au nord-est, Montpellier au centre et Saint-Jean-de-Védas au sud-ouest. Ses rames circulent sur des portions communes avec la ligne 1 dans Antigone et devant la gare Saint-Roch. Entre les stations Sabines et Saint-Jean-le-Sec, la ligne utilise sur 2,5 km l'emprise de la ligne Montpellier-Paulhan, jusqu'alors inutilisée[22]. La ligne est à double voie entre Sabine et Sablassou, à voie unique sur chacune des deux extrémités de 3,5 km[23].

L'amplitude du service, limitée de 7h00 à 20h00 durant les premiers jours d'exploitation, est portée de 5h00 à 0h30 dès le 8 janvier, et les fréquences sont, en journée, d'un tramway toutes les 7 minutes sur le tronçon central et tous les quarts d'heure sur les deux extrémités à voie unique.

L'aménagement urbain de la ligne a été réalisé par l'architecte urbaniste Antoine Garcia-Diaz (quais, stations, revêtements, plantations, mobiliers urbains).

Le coût de cette ligne s'élève à 400 millions d'euros, soit environ 20 millions au kilomètre. Montpellier Agglomération en finance 81,3 %, la Région Languedoc-Roussillon 5,75 %, le Département de l'Hérault 5,75 % et l'État 7,2 %[23].

Comme lors de la mise en service de la ligne 1, les lignes de bus urbaines, suburbaines et départementales ont leur tracé et leurs horaires modifiés, le 8 janvier 2007. Au cours du printemps 2007, des aménagements horaires et de parcours sont effectués pour s'adapter notamment aux horaires des établissements scolaires.

Matériel roulant[13]

Les rames de la ligne 2 sont garées et entretenues au dépôt La Jeune Parque qui est le dépôt bus de la TaM, dans la quartier d'activités de Garosud. L'accès au dépôt se fait par une voie unique qui rejoint la ligne près de la station Sabines.

La ligne 2 est équipée de 24 rames Citadis 302 d'Alstom en configuration cinq caisses (32,5 mètres). Elles ont été livrées entre le 31 mars 2006 et le 16 février 2007 et sont numérotées de 2041 à 2064.

L'extérieur des rames est orange décoré de fleurs et a été dessiné par Mattia Bonetti. Chacune est baptisée du nom d'une personnalité historique de la région montpelliéraine.

Fréquentation

De décembre 2006 à février 2007, la fréquentation est d'un peu moins de 40 000 voyageurs par jour, pour des prévisions de 50 à 55 000[24]. Le record de fréquentation est de 40 200 validations de tickets dans la journée du vendredi 9 mars 2007[25].

Nombre de validations de titre de transport, dans les deux sens :

Tronçon ou station seule (correspondance) Mars 2007[26].
Jacou - Beaux-Arts 9 700
Corum (T1) 5 800
Les Aubes - Place Carnot 7 000
dont Place de l'Europe (T1) 1 800
Gare Saint-Roch (T1) 6 300
Rondelet - Saint-Jean-de-Védas Centre 11 700

Liste des stations

Rame de la ligne 2 se dirigeant vers Jacou, dans la plaine du mas de Caylus, à Castelnau-le-Lez.

Commune de Jacou

  • Jacou (correspondance avec une ligne de bus suburbaine du nord-est de Montpellier)
  • Section à voie unique

Commune de Castelnau-le-Lez

  • Georges Pompidou (correspondance avec lignes de bus suburbain et départementaux du nord-est)
  • Via Domitia (une passerelle piétonne permet de passer au Crès)
  • Aube Rouge (anciennement Devois)
  • Fin de la section à voie unique
  • Notre-Dame-de-Sablassou (terminus partiel; correspondance lignes bus du nord-est de l'agglomération et de l'est du département)
  • Centurions
  • La Galine
  • Clairval
  • Charles de Gaulle (correspondance avec lignes de bus suburbaines)

Commune de Montpellier

  • Saint-Lazare
  • Aiguelongue
  • Jeu de Mail des Abbés
  • Beaux-Arts
Les rames des deux lignes à la station Corum.
  • Corum (correspondance avec la ligne 1 du tramway)
  • Les Aubes
  • Pompignane
  • Section de voies communes avec la ligne 1, rue Poséidon et avenue des Droits-de-l'Homme
  • Place de l'Europe (correspondance avec la ligne 1 du tramway)
  • Fin de section de voies communes juste avant la station Rives du Lez
  • Rives du Lez (correspondance avec la ligne 1 du tramway et avec une ligne suburbaine du sud à partir de septembre 2009)
  • Voltaire
  • Place Carnot
  • Courte section de voies communes avec la ligne 1, rue Jules-Ferry
  • Gare Saint-Roch (correspondance avec la ligne 1 du tramway)
  • Rondelet
  • Nouveau Saint-Roch
  • Saint Cléophas (correspondance avec une ligne de bus suburbaine du sud jusqu'en août 2009)
  • Lemasson
  • Mas Drevon (au printemps 2007, correspondance avec une ligne départementale de l'ouest)
  • Croix d'Argent
  • Villeneuve d'Angoulême
  • Sabines (terminus partiel ; correspondance avec lignes de bus suburbaine et départementales du sud, parking d'échange, voie vers le dépôt de la Jeune-Parque)
  • Début de deux sections à voie unique : une vers le dépôt Jeune-Parque, l'autre vers Saint-Jean-de-Védas
  • Les Grisettes (au niveau de la zone industrielle du Mas d'Astre ; ouverture reportée à l'urbanisation du quartier)

Commune de Saint-Jean-de-Védas

L'avenue de Librilla, dernière avenue empruntée par la ligne 2, à Saint-Jean-de-Védas.
  • Victoire 2 (ouverte le 17 avril 2007)[27].
  • La Condamine
  • Saint-Jean-le-Sec (correspondance avec lignes de bus départementales de l'ouest)
  • Amphitrite (ouverture reportée à l'urbanisation de la zone d'aménagement concerté de Roque-Fraisse[28])
  • Saint-Jean-de-Védas Centre (correspondance avec lignes de bus suburbaines de l'ouest)

Les projets

Des prolongements à la ligne 2 sont évoqués en utilisant des emprises désaffectées de Réseau ferré de France.

Vers l'ouest, au-delà de Saint-Jean-de-Védas, l'infrastructure RFF Paulhan - Montpellier peut permettre de prolonger vers les communes de l'ouest de la communauté d'agglomération : Fabrègues, Cournonterral et Cournonsec, et au-delà des limites communautaires, vers Montbazin, Gigean et Poussan, membres de la Communauté de communes du Nord du Bassin de Thau. L'extension à voie unique mesurerait 17,5 kilomètres, dont 13 dans l'emprise RFF[29]. Ce projet est lié à la fusion des deux intercommunalités[30]. Le 26 janvier 2009, une commission tramway de la communauté d'agglomération de Montpellier précise le parcours avec l'utilisation de la voie RFF dans Montpellier pour éviter une partie des stations de la ligne 2 entre Sabines et Gare Saint-Roch[30].

Vers le nord-est, au-delà de la station Notre-Dame-de-Sablassou à Castelnau-le-Lez vers Castries, en empruntant l'emprise de l'ancienne ligne de Sommières à partir de l'arrêt ferroviaire Les Mazes-Le Crès[29],[30].

Ligne 3

Prévue pour relier Juvignac à l'ouest à Lattes et Pérols au sud en passant par le centre de Montpellier, la ligne 3 devrait coûter 530 millions d'euros d'après des estimations de fin 2008[31].

Les travaux de la ligne 3 sont en cours depuis le 19 mars 2009[32].

Parcours

Suite à l'enquête publique de novembre et décembre 2006, le parcours proposé pour la ligne 3 est validé sans réserve par les commissaires enquêteurs, fin mars 2007, avec une remarque suggérant de reporter la construction de la portion de ligne entre Mosson et Juvignac jusqu'à l'urbanisation du quartier des Caunelles[33].

Sur la commune de Juvignac, le terminus ouest dessert le nouveau quartier des Caunelles au nord du village. Une fois la Mosson franchie, la ligne dessert les quartiers ouest, dont Alco, l'avenue de Lodève et le cours Gambetta au sud-ouest de l'Écusson. Après la gare Saint-Roch, un passage en voie commune avec la ligne 2 permet de rejoindre l'avenue des Prés-d'Arènes, au sud, et de desservir les quartiers de Saint-Martin, la Restanque (créée à la place de la zone industrielle des Prés-d'Arènes) et la Rauze. Après avoir fait voies communes avec la ligne 1 à Port Marianne, la ligne 3 emprunte l'avenue Raymond-Dugrand et la route de Carnon vers Lattes et Pérols.

Sur la commune de Lattes, après le passage au village de Boirargues, une section à voie unique se dirige vers Lattes-Centre. Vers Pérols, une seconde branche à voie unique longe la ville par l'Est jusqu'au sud. Le terminus Étang de l'Or se situe à environ deux kilomètres de la mer[34].

Liste des stations prévues

Commune de Juvignac

  • Juvignac
  • voie unique jusqu'à la station Mosson

Commune de Montpellier

  • Mosson (nouvelle station reprenant le nom du terminus de la ligne 1, correspondance avec cette ligne)
  • Celleneuve
  • Pilory
  • Hôtel du département
  • Pergola
  • Tonnelles
  • Jules Guesde
  • Astruc
  • Les Arceaux
  • Plan Cabanes
  • Saint-Denis
  • Observatoire
  • Gare Saint-Roch (future correspondance avec les lignes 1 et 2)
  • Rondelet (même station que la ligne 2)
  • Nouveau Saint-Roch (même station que la ligne 2)
  • Saint-Martin
  • Restanque
  • Garcia Lorca
  • La Rauze
  • Hôtel de ville
  • Port Marianne (correspondance future avec la ligne 1)
  • Pablo Picasso

Commune de Lattes

  • Pont Trinquat
  • Boirargues
  • branche vers Lattes centre, voie unique :
  • Hauts de la Lironde
  • Cougourlude
  • Lattes centre

Commune de Pérols

  • branche vers Pérols - Étang de l'Or, voie unique :
  • Pailletrice
  • Parc des expositions
  • Pérols centre
  • Pérols - Étang de l'Or

Extensions possibles

Initialement, les terminus possibles ont été l'aéroport Montpellier-Méditerranée et les plages de Palavas-les-Flots. Ces options semblent écartées depuis que Mauguio et Palavas-les-Flots ont quitté la communauté d'agglomération de Montpellier, et que les relations entre ces entités sont difficiles.

Le 26 janvier 2009, une commission tramway de la communauté d'agglomération de Montpellier propose une « extension vers la mer » à partir du terminus Pérols - Étang de l'Or, soit vers Palavas-les-Flots, soit vers Carnon et La Grande-Motte[30].

À l'issue de l'enquête publique, fin mars 2007, les commaissaires conseillent également une extension postérieure vers l'ouest de Juvignac en direction de la route nationale 109 et de l'autoroute A750[35]. Cette proposition est reprise par la commission tramway dans son bilan présenté le 26 janvier 2009[30].

Rames

La décoration des rames de la ligne 3 est confiée au couturier Christian Lacroix. L'extérieur est décoré sur un thème marin de poissons et crustacés traités comme des broderies. L'avant est conçu avec un vitrage étendu comme un masque de plongée. L'intérieur utilise une thématique sous-marine : un intérieur bleu au plafond vert pâle, avec des barres de maintien orange qui se développent comme des coraux[36].

Vingt-trois rames Citadis 402 de 40 mètres[37] sont commandés à Alstom pour un marché de 65,5 millions d'euros, avec deux tranches conditionnelles, respectivement de trois rames (8,1 millions d'euros) et de neuf rames (23,8 millions d'euros) selon l'évolution du trafic du réseau de tramway[38].

Ligne 4

Depuis 2005, Hélène Mandroux, maire de Montpellier, et Georges Frêche, président de la communauté d'agglomération, ont évoqué oralement - parfois une seule fois - des projets de nouvelles lignes ou de branches des trois premières lignes[39], principalement vers deux directions : le sud-ouest et le nord de Montpellier.

Une première de ces dessertes relierait le centre de la ville avec le stade Yves-du-Manoir. Une seconde direction, évoquée depuis juin 2008 avec la médiatisation du projet de fusion des trois universités montpelliéraines, assurerait une desserte des universités de sciences et de lettres et sciences humaines, depuis la ligne 1 à Saint-Éloi jusqu'à Agropolis[40], voire la commune voisine de Clapiers[41].

Le 26 janvier 2009, une commission tramway de la communauté d'agglomération propose de constituer une ligne 4 à partir de ces deux projets : du stade Yves-du-Manoir au boulevard du Jeu de Paume (avec un aller-retour entre ce boulevard et la gare Saint-Roch), avec contournement par l'ouest de l'Écusson pour rejoindre les voies de la ligne 1 entre les stations Place Albert-Ier à Saint-Éloi. De là, la ligne se dirigerait vers le campus fusionné des Sciences et des Lettres-Sciences humaines avant de se diriger vers Agropolis. Deux extensions sont également proposées vers le rond-point d'entrée de Montpellier en direction de Lavérune à l'ouest et jusqu'à l'entrée de Clapiers au nord-est[30], voire Lavérune même, et, au nord, Montferrier-sur-Lez et Prades-le-Lez d'après la délibération communautaire du 26 mai 2009, qui prévoit une mise en service en 2015[42].

Autres projets de lignes

Le 26 janvier 2009, une commission tramway rend publique une proposition de ligne 5 entre le quartier d'Antigone et la station Notre-Dame-de-Sablassou à Castelnau-le-Lez, à travers de nouveaux quartiers et zones d'activités du sud de cette commune[30].

Annexes

Notes, sources et références

  1. Selon le nouveau journal du tramway 135 000 (ligne 1) et 65 000 (ligne 2).[dates?, titres?, éditeurs?]
  2. Leslie Anagnostopoulos, « Le premier tram était tiré par des chevaux », article paru dans la Gazette de Montpellier n°966-967, 22 décembre 2006-4 janvier 2007, page 18.
  3. Roland Jolivet, Montpell’hier, 1996, pages 20-21.
  4. a  et b Historique et parcours de ce réseau présenté dans un dossier de Leslie Anagnostopoulos, « Tram d'hier et tram d'aujourd'hui », paru dans la Gazette de Montpellier n°966-967, 22 décembre 2006-4 janvier 2007, pages 18 et 19. La double page est illustrée d'un plan comparé des deux réseaux de tramways électriques et de cartes postales anciennes fournit par l'auteur d'ouvrages sur Montpellier, Roland Jolivet.
  5. Roland Jolivet, Montpellier secrète et dévoilée, 2003, ISBN 2951398433, pages 104-105.
  6. Éric Delhaye, « Le tramway déraille un pneu », compte-rendu du conseil municipal de Montpellier du 28 novembre 1995, paru dans Midi libre du 29 novembre 1995.
  7. a  et b D'après Montpellierplus du 11 octobre 2006, cité sur un site indépendant (voir actualité du 11 octobre 2006 ; page consultée le 16 octobre 2006).
  8. Projets alternatifs de lignes 1 et 2 du Collectif Tramway de Montpellier.
  9. François Enver, « Montpellier. Trois lignes de tram bien habillés », article paru dans Ville & Transports magazine n°419, 28 février 2007, page 31.
  10. « Car + tram = un ticket », article paru dans Le magazine du département de l'Hérault n°154, janvier 2007.
  11. Gabriel Léon, « TER-Transport urbain. La région crée sa "carte orange" », article paru dans Midi libre du 3 janvier 2007.
  12. François Enver, « Montpellier. Trois lignes de tram bien habillées », publié dans Ville &Transport magazine n°419, 28 février 2007, pages 26 et 28.
  13. a  et b Tableau synthétique du matériel roulant sur un site indépendant.
  14. Historique de la ligne 1 sur un site indépendant
  15. Historique de la ligne 1 sur un site indépendant
  16. a  et b Plan du réseau des Transports de l'agglomération de Montpellier, septembre 2009.
  17. a , b , c , d , e  et f « Ligne 1 de tramway. L'art se trame », Harmonie n°255, Communauté d'agglomération Montpellier Agglomération, octobre 2008, pages 38-39.
  18. Avis d'ouverture des enquêtes publiques par la préfecture de l'Hérault, reproduit sur le site du Collectif tramway de montpellier, page consultée le 27 décembre 2008.
  19. François Enver, « Montpellier. Trois lignes de tram bien habillées, Ville & transports magazine du 28 février 2007, pages 26 à 31.
  20. Michel-Gabriel Léon, « Le tram de Montpellier à la conquête du périurbain », Ville & transports magazine n°449, 4 juin 2008, pages 36-38.
  21. La Gazette de Montpellier n°1038, 8 mai 2008.
  22. La partie centrale du « tronçon ferroviaire » utilise la voie ferrée, reconstruite pour le tramway, sur 1,2 km. Ce tronçon du réseau ferré national pourra être réutilisé pour le fret ferroviaire, moyennant le rééquipement en signalisation ferroviaire et mise en place de sillons appropriés pour ce trafic. Le reste est une voie réservée au tramway, sur le côté de l'emprise, en occupation du domaine de RFF.
  23. a  et b Michel-Gabriel Léon, « Un 16 décembre, de Montpellier à Nice en passant par Paris », article publié dans la revue Ville & Transports magazine n°415, 3 janvier 2006, pages 12 et 13.
  24. D'après des propos de Marc Le Tourneur, directeur général de TaM, cité dans « Montpellier. Trois lignes de tram bien habillées », dans Ville & Transports magazine n°419, 28 février 2007, page 28.
  25. « Tram de Montpellier : nouveau record sur la ligne 2 », brève d'actualité publiée dans Villes & Transports magazine n°423, 25 avril 2007, page 9.
  26. D'après statistiques des Transports de l'agglomération de Montpellier, cité par Michel Gabriel Léon, « Montpellier : après l'annulation du PDU, quelles conséquences pour le tram », paru dans Villes & transports magazine n°425, 23 mai 2007, pages 18-19.
  27. Information du 17 avril 2007 dans l'historique du réseau sur un site indépendant.
  28. « Saint-Jean-de-Védas. Au sud-est, 100 hectares pour l'avenir », article faisant le point du débat municipal sur la ZAC de Roque-Fraisse, paru dans Midi libre édition Montpellier et Grand Montpellier, 24 décembre 2006.
  29. a  et b Michel-Gabriel Léon, « Le tram de Montpellier à la conquête du périurbain », Ville & transports magazine n°449, 4 juin 2008, pages 36-38.
  30. a , b , c , d , e , f  et g Conférence de présentation par Georges Frêche et carte rapportées dans Yannick Povillon, « Le tram, où en est-on ? », Midi libre, édition Montpellier, 27 janvier 2008, page 2.
  31. Michel Gabriel Léon, « Montpellier avance les travaux de la ligne 3 », Ville & transports magazine n°563, 14 janvier 2009, page 7. L'article rappelle l'estimation du coût en 2004 : 450 millions d'euros.
  32. Yannick Povillon, « Le tram, où en est-on ? », Midi Libre, édition Montpellier, 27 janvier 2009.
  33. Rapport et conclusion de la commission d'enquête sur la Création de la 3e ligne du tramway de Montpellier et extension ouest de la ligne 1 sur le site de la Préfecture de l'Hérault.
  34. Soit environ 2 centimètres en ligne directe sur la carte topographique Aigues-Mortes au 1/25 000e, n°2843 OT, Institut géographique national, 2e édition, 2000.
  35. Rapport et conclusion de la commission d'enquête sur la Création de la 3e ligne du tramway de Montpellier et extension ouest de la ligne 1 sur le site de la Préfecture de l'Hérault.
  36. François Enver, « Un tramway "Coquilles et crustacés" », article paru dans Ville & Transports magazine n°419, 28 février 2007, page 30.
  37. Jean-Jacques Sarciat, « Ligne 3 du tramway, Alstom décroche le marché des rames », Direct Montpellier Plus, 13 mai 2009, page 3.
  38. « Montpellier Agglomération attribue le marché de fourniture du matériel roulant à Alstom », communiqué de presse, Montpellier Agglomération, 12 mai 2009 ; page consultée le 13 mai 2009
  39. Historique de la ligne 3 et des autres projets de lignes sur un site indépendant listant les articles de presse correspondant aux annonces des personnalités politiques.
  40. Midi Libre, édition Montpellier et sa région, 27 juin 2008, page 2.
  41. Midi Libre, édition Montpellier et sa région, page 11, 29 juin 2008.
  42. Délibération du conseil d'agglomération rapportée dans Ollivier Le Ny, « Un tramway de Lavérune à Prades », Midi Libre, 27 mai 2009

Liens externes

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