Les Juifs et l'esclavage

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Les allégations principalement aux États-Unis dans les années 1990, et depuis 2004 en France, que les Juifs dominaient le marché de l'esclavage dans l'Europe médiévale, en Afrique et/ou dans les Amériques, sont largement sujettes à caution.

L'esclavage est un phénomène social et historique complexe souvent traduit juridiquement dans la législation ou les coutumes des peuples et nations organisant le commerce des esclaves. L'esclavage antique n'est comparable ni à la condition servile des campagnes médiévales, ni à la condition des Noirs capturés pour être employés à des travaux forcés, ni à celle des travailleurs immigrés clandestins des sociétés contemporaines. Les causes de la servitude sont variées : abandon volontaire de la condition libre pour entrer sous la protection et au service d'un puissant, débiteur insolvable faisant l'objet d'une prise de corps par son créancier, peuple vaincu dont les membres qui ne sont pas passés par les armes sont vendus comme esclaves, populations capturées par des pirates ou des barbaresques. Les conditions de vie des esclaves ou serfs étaient également variées : on les retrouve à tous les niveaux de l'échelle sociale.

Selon la loi mosaïque, les esclaves juifs avaient le droit à l'émancipation la septième année (ou année sabbatique) et tous les esclaves devaient être libérés après sept cycles sabbatiques (année jubilaire)[1],[2]. Un esclave qui était emmené en Terre sainte, devenait libre dès qu'il en avait touché le sol[3].

Sommaire

Les Juifs et l'esclavage au Moyen Âge

En 492 le pape Gélase Ier autorise les Juifs à introduire des esclaves de Gaule en Italie, à condition que ceux-ci ne soient pas chrétiens[4].

Ibn Khordadhbeh au IXe siècle, décrit les deux routes utilisées par les marchands juifs d'esclaves, celle d'Est en Ouest et celle d'Ouest en Est[4]. Selon Abraham ibn Yakub, les marchands juifs byzantins achetaient des esclaves slaves à Prague pour les revendre comme esclaves. Louis le Pieux accorde des chartes aux Juifs visitant son royaume, les autorisant à pratiquer le commerce d'esclaves, pourvu que ceux-ci n'aient pas été baptisés. Agobard de Lyon prétend que les Juifs ne respectaient pas les accords et gardaient des Chrétiens comme esclaves, citant l'exemple d'un réfugié chrétien de Cordoue qui déclare que ses coreligionnaires étaient fréquemment vendus aux Maures, comme ce fut le cas pour lui. En effet, plusieurs Juifs espagnols tirent leur fortune de la traite d'esclaves slavons achetés en Andalousie[5]. De même, des Juifs de Verdun, vers l'an 949, achetaient des esclaves dans les environs et les revendaient en Espagne[6].

Les moyens utilisés par les Juifs pour gagner leur vie, étaient largement déterminés par les restrictions imposées par les autorités.

L'Église chrétienne proteste régulièrement contre la vente de Chrétiens aux Juifs, la première protestation connue remonte à 538. Au troisième Concile d'Orléans, un décret était émis, interdisant aux Juifs de posséder des serviteurs ou des esclaves chrétiens. Cette interdiction sera répétée, encore et encore, lors de différents conciles, comme à Orléans (541), Paris (633), Tolède (quatrième concile en 633), Szabolcs (1092), Gand (1112), Narbonne (1227), Béziers (1246). Après cette date, la nécessité d'une telle interdiction semble avoir disparue.

En conséquence, au XIIIe siècle, il n'y avait à Marseille, que deux commerçants d'esclaves juifs contre sept chrétiens[7].

En dépit des lois, de nombreux chrétiens trafiquaient des esclaves avec les Juifs, et les dignitaires de l'Église de Bavière reconnaissaient même ce trafic en insistant pour que les Juifs et les autres marchands payent une taxes sur les esclaves[8].

Allégations et réfutations en Amérique

Les allégations que les Juifs dominaient la traite des esclaves dans l'Europe médiévale, en Afrique et /ou dans les Amériques sont souvent apparues dans des discours et articles antisémites comme faisant partie du complot juif de "domination du monde".

Aux États-Unis, une telle accusation est réapparue en 1991 dans les discours de la Nation of Islam et le livre de Louis Farrakhan: The Secret Relationship Between Blacks and Jews (La Relation Secrète entre Juifs et Noirs)[9]. Ces accusations ont été très largement réfutées par les historiens[10].

Marvin Perry, Frederik Schweitzer affirment en 2002: « Les Juifs n’ont jamais eu de rôle prédominant dans la traite des esclaves »[11].

De même Wim Klooster, de l'Université du Maine, confirme: « A aucune période, les Juifs n’ont joué de rôle majeur en tant que financier, propriétaires de bateaux ou commissionnaires dans les traites transatlantiques ou caribéennes d’esclaves. Ils possédaient nettement moins d’esclaves que les non-Juifs dans les territoires britanniques d’Amérique du Nord et des Caraïbes. Même quand des Juifs dans un petit nombre de lieux possédaient des esclaves en quantité légèrement supérieures à leur représentation parmi les familles d’une ville, ces cas ne peuvent en aucun cas corroborer les assertions du livre de la Nation de l’Islam. » [12].

Le professeur David Brion Davis de l'Université de Yale insiste: « Les Chrétiens du Moyen Âge ont grandement exagéré le contrôle supposé des Juifs sur la traite et le financement de l’esclavage, et sont devenus obsédés avec le complot présumé des Juifs pour asservir, convertir et vendre des non-Juifs…La plupart des Juifs européens vivaient dans de pauvres communautés en marge de la société chrétienne; ils enduraient la plupart des interdictions légales associées à l’esclavage… Que quelques réfugiés juifs du Brésil aient pu contribuer à l’expansion vers le nord-ouest de la culture de la cane à sucre et de l’esclavage, il est clair que les Juifs n’avaient aucun impact majeur ou continu sur l’histoire de l’esclavage du Nouveau Monde. » [13].

Le professeur Jacob Marcus fait remarquer que: « Les Juifs de Newport ne semble pas avoir poursuivi de façon consistante la traite des esclaves…Quand on compare le nombre de vaisseaux employés dans ce trafic par l’ensemble des marchands avec le nombre envoyé vers les cotes africaines par les négociants juifs.. on constate que la participation juive était minimale. On peut admettre de façon sûre que sur une période donnée, la participation des hommes d’affaires juifs américains représentait moins de deux pourcents des importations d’esclaves dans les Antilles. [14].

Le rabbin Bertram Korn dans son livre Jews and Negro Slavery in the Old South, 1789-1865, (Les Juifs et l'esclavage des Noirs dans le Vieux Sud de 1789 à 1865) indique: « Aucun des principaux marchands d’esclaves était juif, et nulle part, les négociants juifs ne se trouvaient en grande proportion… il peut être établi que la totalité des trafiquants juifs dans toutes les villes et villages du Sud réunis, n’ont jamais acheté ou vendu autant d’esclaves que la société Franklin and Armfield, les plus gros trafiquants d'esclave du Sud. » [15] et complète: « Il y avait des propriétaires juifs de plantations, mais à eux tous, ils ne constituaient qu’une très petite proportion des Sudistes…Seul un Juif essaya de devenir contremaître dans une plantation, mais il ne le fut que pendant une courte période. » [16]

Selon un compte rendu des articles d'Eli Farber Jews, Slaves, and the Slave Trade: Setting the Record Straight (Les Juifs, les esclaves et la traite des esclaves: Remettons les chose d'Aplomb) et de Saul S. Friedman Jews and the American Slave Trade (Les Juifs et la traite des esclaves en Amérique) dans le The Journal of American History:

« Eli Faber prend une approche quantitative des Juifs, des esclaves et de la traite des Noirs dans l'Empire Atlantique britannique, débutant avec l'arrivée des Juifs séfarades et leur installation à Londres dans les années 1650, calculant leur participation dans les sociétés de négoces de la fin du XVIIe siècle, puis en utilisant une série importante des sources quantitatives sérieuses (les listes des navires de la Naval Office, les recensements, les enregistrements de taxes etc..) pour déterminer l'importance de la traite des esclaves et de la possession d'esclaves par les marchands et les planteurs identifiables comme Juifs en Barbade, en Jamaïque, à New York, Newport, Philadelphie, Charleston et dans d'autres ports coloniaux anglais plus petits. Il a poursuivi sa stratégie dans les Caraïbes jusqu'aux années 1820; Sa couverture de l'Amérique du Nord se termine véritablement en 1775. Faber admet qu'il y a un petit nombre de marchands d'origine juive importants localement dans la traite des Noirs durant la seconde moitié du XVIIIe siècle, mais à part cela, confirme la petite, voire minuscule taille des communautés juives coloniales et les présente engagé dans la traite et la possession des esclaves à des degrés similaires à ceux de leurs concurrents anglais[17].  »

La France et le Code Noir

En France et dans les colonies françaises, les marchands juifs n'ont légalement plus pu participer à la traite atlantique, appelée aussi commerce triangulaire, entre l'Europe, l'Afrique et les Amériques, après 1685, date à laquelle Louis XIV promulguait le « Code Noir ». Ce texte rassemble toutes les dispositions réglant la vie des esclaves noirs dans les colonies françaises () ; son premier article[18] prévoit l'expulsion rapide des Juifs de ces mêmes colonies et la suite du Code demande que les maîtres d'esclaves soient exclusivement chrétiens et que tous les esclaves soient baptisés catholiques.

Le premier article de ce texte qui réglementait l’esclavage aux Antilles, en Guyane et en Louisiane excluait donc explicitement les Juifs des territoires concernés :

« Enjoignons à tous nos officiers de chasser hors de nos îles tous les Juifs qui y ont établi leur résidence, auxquels, comme ennemis déclarés du nom chrétien, nous commandons d’en sortir dans trois mois, à compter du jour de la publication des présentes, à peine de confiscation de corps et de biens[19]. »

Ceci n'empêche cependant pas l'existence de négriers juifs dans l'histoire, et ceci pour trois raisons :

  • L'esclavage a commencé avant le Code Noir ;
  • Le Code Noir ne s'applique qu'aux colonies françaises (mais les Juifs avaient été précédemment expulsés des colonies espagnoles et portugaises)  ;
  • Un ordre du roi promulgué le 1er septembre 1688 appelait à la conciliation et dérogeait l’expulsion des Juifs prévue dans le premier article du Code Noir.[réf. nécessaire]


Ainsi d'après Rosa Amelia Plumelle-Uribe, avocate :

« Malgré la jalousie et les nombreuses tracasseries qu’on leur opposait à cause de leur réussite, les négriers juifs (commerçants, armateurs, banquiers ou planteurs) n’étaient pas à plaindre. Pluchon rappelle avec bonheur que plusieurs parmi eux furent même anoblis par le Roi. Ce fut le cas de Joseph Nunès Pereyre un banquier à qui le Roy donne en 1720 les titres de vicomte de la Ménaude et de baron d’Ambès. Un autre négrier, Abraham Gradis, obtient des lettres de noblesse en 1751. Celui qui voudrait mieux connaître la trajectoire esclavagiste de ces familles, peut consulter le livre d’Eric Saugera « Bordeaux, port négrier ». Ceci étant dit, il ne faut pas oublier que le monopole sur le prosélytisme religieux demeurait la chasse gardée des Chrétiens. Le christianisme étant, avec la supériorité de la race blanche, le pilier idéologique sur lequel reposait la politique génocidaire dans l’univers concentrationnaire d’Amérique[20]. »

Les esclaves juifs

Les communautés juives habituellement payaient les rançons des captifs juifs, selon la mitzvah du rachat des captifs (pidyon shvuyim) [21]. Sachant cela, les trafiquants d'esclaves se focalisaient souvent sur les Juifs[22] Dans son A History of the Jews (Une Histoire des Juifs), Paul Johnson écrit:

« Les Juifs étaient des captifs d'une valeur toute particulière, car on estimait, de façon quasi certaine, que même s'ils étaient eux-mêmes pauvres, une communauté juive quelque part pourrait se décider à payer leur rançon. Si un Juif était pris par des Turcs sur un bateau chrétien, sa libération était habituellement négociée à Constantinople. A Venise, les communautés juives levantines et portugaises avaient mis en place une organisation pour libérer les captifs juifs pris par les Chrétiens sur des bateaux turcs. Les commerçants juifs payaient à la communauté une taxe spéciale sur toutes les marchandises, destinée au paiement des rançons. Cette taxe pouvait être considérée comme une assurance, car ces marchands étaient potentiellement de futures victimes[23].  »

Notes et références

Cet article comprend du texte provenant de la Jewish Encyclopedia de 1901–1906, une publication tombée dans le domaine public.

  • (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu d’une traduction de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Jewish slave trade ».
  1. (en): Mishpatim: Jewish Tradition and Slavery By Rabbi Jeffrey Schein, citing Parashat Mishpatim, Exodus 21:1 - 24:18
  2. (en): Mishnah: The Oral Law by Harry Gersh. Behrman House, Inc. 1984. ISBN 0874413907 p.49
  3. (en): "Responsa of Geonim," section 12, cité dans Slave Trade, (Jewish Encyclopedia, 1906).
  4. a  et b (en): Slave Trade. (Jewish Encyclopedia)
  5. (de): Grätz, "Gesch." vii.
  6. Aronius, "Regesten," No. 127
  7. "R. E. J." xvi.
  8. ib. No. 122
  9. (en): Anti-Semitism. Farrakhan In His Own Words. On Jewish Involvement in the Slave Trade and Nation of Islam. Jew-Hatred as History. ADL 31 decembre 2001
  10. (en): Reviewed Work: Jews, Slaves, and the Slave Trade: Setting the Record Straight par Eli Faber par Paul Finkelman. Journal of Law and Religion, Vol. 17, No. 1/2 (2002), pp. 125-128
  11. (en): Refutations of charges of Jewish prominence in slave trade. Marvin Perry, Frederick M. Schweitzer: Antisemitism: Myth and Hate from Antiquity to the Present. Palgrave Macmillan, 2002. ISBN 0312165617. p.245
  12. (en): Wim Klooster (University of Southern Maine): Review of Jews, Slaves, and the Slave Trade: Setting the Record Straight. par Eli Faber. Reappraisals in Jewish Social and Intellectual History. William and Mary Quarterly Review of Books. Volume LVII, Number 1. par Omohundro Institute of Early American History and Culture. 2000
  13. (en): Professor David Brion Davis of Yale University in Slavery and Human Progress (New York: Oxford Univ. Press, 1984), p.89 (cité dans Shofar FTP Archive File: orgs/american/wiesenthal.center//web/historical-facts)
  14. (en): Professor Jacob R. Marcus de l'Hebrew Union College dans The Colonial American Jew (Detroit: Wayne State Univ. Press, 1970), Vol. 2, pp. 702-703 (cité dans Shofar FTP Archive File: orgs/american/wiesenthal.center//web/historical-facts)
  15. (en): Rabbi Bertram W. Korn, Jews and Negro Slavery in the Old South, 1789-1865, dans The Jewish Experience in America, ed. Abraham J. Karp (Waltham, MA: American Jewish Historical Society, 1969), Vol. 3, pp. 197-198 (cité dans Shofar FTP Archive File: orgs/american/wiesenthal.center//web/historical-facts)
  16. (en): Rabbi Bertram W. Korn, Jews and Negro Slavery in the Old South, 1789-1865, dans The Jewish Experience in America, ed. Abraham J. Karp (Waltham, MA: American Jewish Historical Society, 1969), Vol. 3, p. 180. (cité dans Shofar FTP Archive File: orgs/american/wiesenthal.center//web/historical-facts)
  17. (en): Compte rendu de livres de Jews, Slaves, and the Slave Trade: Setting the Record Straight par Eli Faber et Jews and the American Slave Trade par Saul S. Friedman The Journal of American History Vol 86. No. 3; Décembre 1999
  18. Texte intégral du Code Noir
  19. Tribune dans Libération du 23/02/2005 « Nous sommes tous des juifs noirs » par Emmanuel MAISTRE, Tristan MENDES-FRANCE et Michel TAUBE ; ou sur le site liceolocarno.ch
  20. Rosa Amelia PLUMELLE-URIBE est une conférencière et ce texte est tiré de Première Conférence Européenne sur le Racisme anti-Noir, Genève, 17 et 18 mars 2006
  21. (en): Ransoming Captive Jews. An important commandment calls for the redemption of Jewish prisoners, but how far should this mitzvah be taken? par le rabbin David Golinkin
  22. (en): Jewish involvement in the slave trade. From a post to Kulanu's listserv by Anne Herschman December 2001
  23. Paul Johnson: A History of the Jews. 1987. p.240

Annexes

Bibliographie

  • (en): Eli Faber: Jews, Slaves, and the Slave Trade: Setting the Record Straight. New York: New York University Press, 1998. ISBN 0-8147-2638-0
  • (en): Saul S. Friedman: Jews and the American Slave Trade. (New Brunswick: Transaction, 1998. ISBN 1-56000-337-5
  • (en): Roth, Norman: Medieval Jewish Civilzation
  • Tertullianus, Qunitus Codex Agobardinus

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