Neptune (planete)

Neptune (planete)

Neptune (planète)

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Neptune.
Neptune Neptune : symbole astronomique
Neptune photographiée par la sonde Voyager 2 durant l'été 1989.

Neptune photographiée par la sonde Voyager 2 durant l'été 1989.
Caractéristiques orbitales
(Époque J2000.0)
Demi-grand axe 4,498 253×109 km
(30,06896348 ua)
Aphélie 4,536874325×109 km
(30,32713169 ua)
Périhélie 4,459631496×109 km
(29,81079527 ua)
Circonférence orbitale 28,142×109 km
Excentricité 0,00858587
Période de révolution 60 224,9036 d
(164 a 323 d 21,7 h)
Période synodique 367,4857 d
Vitesse orbitale moyenne 5,4317 km/s
Vitesse orbitale maximale 5,479 km/s
Vitesse orbitale minimale 5,385 km/s
Inclinaison 1,76917°
Nœud ascendant 131,72169°
Argument du périhélie 273,24966°
Satellites 13
Caractéristiques physiques
Rayon équatorial 24 961 km
(3,883 Terres)
Rayon polaire 24 287 km
(3,829 Terres)
Périmètre équatorial 155 597 km
Superficie 7,6408×109 km²
Volume 62,526×1012 km³
(57,74 Terres)
Masse 102,43×1024 kg
(17,147 Terres)
Masse volumique moyenne 1,638×103 kg/m³
Gravité à la surface 11,15 m/s²
(1,14 g)
Vitesse de libération 23,5 km/s
Période de rotation
(jour sidéral)
0,671 25 d
(16 h 6,6 min)
Vitesse de rotation
(à l’équateur)
9 660 km/h
Inclinaison de l’axe 29,58°
Albédo moyen 0,41
Température de surface
  • Min. : 50K= -223 °C
  • Moy. : 53K= -220 °C
  • Max. : 59K= -214 °C
Caractéristiques de l’atmosphère
Pression atmosphérique Pa
Dihydrogène H2 > 84 %
Hélium He > 12 %
Méthane CH4 2 %
Ammoniac NH3 0,01 %
Éthane C2H6 0,00025 %
Acétylène C2H2 0,00001 %



Découverte
Découvreur Johann Gottfried Galle sur les indications d'Urbain Le Verrier. John Couch Adams avait aussi calculé sa position.
Date 23 septembre 1846

Neptune est la huitième et la plus lointaine[1] planète du système solaire. C'est également la dernière des géantes gazeuses.

Elle a été découverte par l'astronome allemand Johann Gottfried Galle le 23 septembre 1846 en suivant les indications données par Urbain Le Verrier, qui, tout comme l'astronome anglais John Couch Adams, avait prévu par calcul la région du ciel où on pourrait la trouver.

Son nom vient du dieu romain des océans, Neptune.

Neptune n'est pas visible à l'œil nu[2] et n'apparaît comme un disque bleu-vert qu'à travers un télescope. Planète la plus éloignée de la Terre, Neptune n'a été visitée que par une seule sonde, Voyager 2, qui passa près de la planète le 25 août 1989. Son plus grand satellite naturel est Triton.

Sommaire

Caractéristiques physiques

Composition interne

La composition interne de Neptune serait similaire à celle d'Uranus. Elle possède très probablement un noyau solide de silicates et de fer d'à peu près la masse de la Terre. Au-dessus de ce noyau, là encore à l'instar d'Uranus, Neptune présenterait une composition assez uniforme (roches en fusion, glaces, 15 % d'hydrogène et un peu d'hélium) et non pas une structure « en couches » comme Jupiter et Saturne.

Atmosphère

Article détaillé : Atmosphère de Neptune.
Détail de Neptune.

L'atmosphère de Neptune, épaisse de plus de 8 000 km, est composée principalement de dihydrogène (H2) pour 85 %, d'hélium (He) pour 13 % et de méthane (CH4) pour 2 %. Des traces d'ammoniac (NH3), d'éthane (C2H6) et d'acétylène (C2H2) ont également été détectées.

La couleur bleue de Neptune provient principalement du méthane qui absorbe la lumière dans les longueurs d'onde du rouge. Cependant, un autre composé donne aux nuages de Neptune leur couleur bleue caractéristique, mais il n'a pas encore été identifié.

Neptune, comme les autres géantes gazeuses, possède un système éolien composé par des vents rapides confinés dans des bandes parallèles à l'équateur et d'immenses orages et vortex. Les vents de Neptune sont les plus rapides du système solaire et atteignent 2 000 km/h.

Grande tache sombre

Article détaillé : Grande tache sombre.

Lors du passage de Voyager 2 en 1989, la marque la plus distinctive de la planète était la « Grande tache sombre » qui présentait à peu près la moitié de la taille de la « Grande tache rouge » de Jupiter. Les vents y soufflaient vers l'ouest à 300 m/s (1 080 km/h) ou encore, jusqu'à 2 500 km/h. Cette tache était un gigantesque ouragan sombre qui pouvait se déplacer à plus de 1 000 km/h[3].

Cette tache avait disparu lorsque Neptune fut observée par le télescope spatial Hubble en 1994. D'autres taches sombres à d'autres endroits ont été détectées depuis, ce qui indique que l'atmosphère de Neptune change rapidement.

Anneaux planétaires

Article détaillé : Anneaux de Neptune.

Neptune possède des anneaux planétaires peu visibles. Ceux-ci sont sombres et leur composition, ainsi que leur origine, sont inconnues.

Les anneaux de Neptune furent détectés sur Terre au Chili, en 1984 grâce à des observations conduites d'une part à l'ESO par Patrice Bouchet, Jean Manfroid, et Reinhold Haefner pour André Brahic, Bruno Sicardy, et Françoise Roques de l'Observatoire de Meudon, et d'autre part par William Hubbard à partir d'observations conduites par Faith Vilas à l'Observatoire Inter-américain de Cerro Tololo (AURA, Inc.), lors d'occultations d'étoiles; on pensait alors que ceux-ci n'étaient pas « complets » mais n'étaient que des « arcs » autour de la planète. Cinq ans plus tard, le passage de Voyager 2 a permis de clarifier les connaissances : les anneaux de Neptune sont bien « entiers », il en existe plusieurs et l'un d'entre eux, l'anneau Adams, possède quatre « arcs » (nommés Liberté, Égalité, Fraternité et Courage), qui sont en fait des parties plus brillantes que le reste de l'anneau. La stabilité de ces arcs est un mystère, mais on pense que la lune Galatée, située juste un peu plus près de Neptune, les confine.

Anneaux de Neptune
Nom Distance (km) Largeur (km)
Galle 41 900 15
Le Verrier 53 200 15
Lassell 53 200 5 800
Arago 57 000  ?
Adams 62 930 < 50

L'anneau Lassell est bordé par les anneaux Le Verrier et Arago. Une partie des arcs d'Adams est torsadée mais aucune explication n'a été trouvée à ce jour. L'épaisseur des anneaux est inconnue.

Champ magnétique

Le champ magnétique de Neptune, comme celui d'Uranus, est très incliné par rapport à l'axe de la planète. Il est incliné de 47° et décalé du centre physique de près de 13 500 km (la moitié du rayon). On pense que cette orientation viendrait de courants internes à la planète.

Lunes de Neptune

Article détaillé : Satellites naturels de Neptune.

Neptune possède au moins 13 satellites naturels dont le plus important est Triton, découvert par William Lassell 17 jours seulement après la découverte de Neptune.

Satellites de Neptune
Nom
Diamètre
(km)
Masse
(1016 kg)
Demi-grand axe
(km)
Période de révolution
(d)
Naïade 66 19 48 200 0,294
Thalassa 82 37 50 100 0,311
Despina 150 210 52 500 0,335
Galatée 176 370 62 000 0,429
Larissa 193 (208 × 178) 490 73 500 0,555
Protée 418 (436 × 416 × 402) 5 000 117 600 1,122
Triton 2 706,8 2 140 000 354 800 -5,877
Néréide 340 3 100 5 513 400 360,14
Halimède 48 9 15 686 000 -1 874,83
Sao 48 9 19 345 000 2 405,98
Laomédie 48 9 20 723 000 2 674,87
Psamathée 28 1.5 46 738 000 -9 136,11
Néso 60 9 48 387 000 -9 373,99

Les périodes de révolution négatives indiquent que l'orbite de la lune est rétrograde.

Astéroïdes troyens de Neptune

Comme Jupiter et Mars, Neptune possède des astéroïdes troyens, partageant son orbite autour du Soleil. Cinq ont été confirmés à ce jour (janvier 2008) :

Tous occupent le point de Lagrange L4 (précèdent Neptune de 60°)[4].

Découverte de Neptune

Neptune n'est pas visible à l'œil nu et comme Uranus, elle n'a été découverte qu'après l'invention du télescope. Pourtant, cette découverte se démarque de celle des autres planètes : elle a été faite uniquement par le calcul à partir de la trajectoire et des caractéristiques d'Uranus. Le télescope ne servira qu'à la confirmation de la découverte.

Plusieurs astronomes ont manqué de faire la découverte par les moyens traditionnels (observation au télescope). Les dessins astronomiques de Galilée montrent qu'il a observé Neptune le 28 décembre 1612 alors qu'il regardait Jupiter. La planète est alors répertoriée comme une simple étoile de magnitude 8. Il la remarque de nouveau dans le ciel un mois plus tard, le 28 janvier 1613, et constate même qu'elle a bougé par rapport à une étoile voisine. Ce ne peut donc être une étoile, mais Galilée ne tire aucune conclusion et n'en reparlera plus par la suite. Comme il pensait qu'il s'agissait d'une étoile, il ne peut alors être crédité de sa découverte.

Neptune est également observée par Joseph Jérôme Lefrançois de Lalande (1732-1807) le 10 mai 1795 et par John Herschel, fils de William Herschel (qui a découvert Uranus), sans rien noter de particulier. La planète semblant échapper aux astronomes, la découverte reviendra à deux mathématiciens.

Déjà en 1788, la planète Uranus récemment découverte, ne semblait pas se conformer au modèle d'orbite que les astronomes avaient prédit. Plus le temps passait et plus l'erreur entre la position annoncée de l'astre et celle relevée augmentait. Le mouvement d'Uranus pouvait être prédit pour des observations anciennes, ou récentes, mais pas pour les deux à la fois. Jean-Baptiste Delambre tenta d'expliquer les anomalies en ajoutant l'influence gravitationnelle de Jupiter et Saturne dans ses calculs. Ses tables étaient plus précises, mais ne permettaient toujours pas de prévoir le mouvement de la planète sur un long terme. En 1821, l'astronome français Alexis Bouvard publia de nouvelles tables. Il utilisa 17 observations étalées sur les 40 années qui se sont écoulées depuis sa découverte pour tenter, en vain, d'expliquer l'orbite d'Uranus.

Lors d'une réunion de la British Association for the Advancement of Science, George Biddell Airy rapporta que les tables de Bouvard étaient erronées de plus d'une demi minute d'arc. Cet écart inquiétant devait absolument être résolu. Deux hypothèses s'opposèrent, celle proposée par Bouvard lui-même de l'existence d'une autre planète encore inconnue, et qui pourrait affecter les mouvements d'Uranus, ou celle d'une remise en cause de la loi universelle de la gravitation, proposée par Airy. Selon Airy, la loi de gravitation perdrait de sa validité au fur et à mesure que l'on s'éloigne du Soleil. Cependant, dès 1838, la plupart des astronomes étaient d'accord sur l'existence d'une nouvelle planète trans-uranienne pour expliquer les perturbations du mouvement d'Uranus.

Étudiant à Cambridge, John Couch Adams tomba le 26 juin 1841 sur le rapport d'Airy concernant le problème de l'orbite d'Uranus et fut intéressé par la question. Ne pouvant se pencher sur le problème immédiatement, il le nota sur un bout de papier en guise de pense-bête afin de le reprendre une fois ses études finies. En 1843, Adams se mit au travail. Il s'appuya sur la loi de Titius-Bode pour obtenir une première approximation de la distance de cette nouvelle planète au Soleil. Dans la mesure où la plupart des planètes avaient une orbite faiblement excentrique, il supposa également que son orbite était circulaire, afin de simplifier les calculs. Il termina ses travaux deux ans plus tard en ayant déterminé la position de Neptune avec une erreur de moins de deux degrés. Il ne lui manquait plus qu'à les confirmer par observation. Se tournant vers James Challis, directeur de l'observatoire de Cambridge, celui-ci le renvoya à l'astronome royal Sir George Biddell Airy. Adams transmit ses résultats à Airy par courrier le 21 octobre 1845, et obtint une réponse le 5 du mois suivant. Airy émit des doutes sur les travaux de son jeune collègue. Découragé par le comportement d'Airy, Adams ne lui répondra qu'un an après.

Au même moment en France, François Arago, directeur de l'observatoire de Paris, encourage le mathématicien Urbain Le Verrier, spécialisé en mécanique céleste, à déterminer les caractéristiques de cette huitième planète dont l'influence gravitationnelle se faisait sentir sur la trajectoire d'Uranus. Le Verrier travaillait alors sur les comètes de courte période. Il commence ses travaux sur Uranus en 1845, ignorant totalement ceux d'Adams, et publie ses premiers résultats le 10 novembre 1845 dans Premier Mémoire sur la Théorie d'Uranus, puis dans Recherche sur les Mouvements d'Uranus le 1er juin 1846.

Airy, remarquant les travaux de l'astronome français, fait le parallèle avec ceux d'Adams et entre en contact avec Le Verrier. Celui-ci lui demande à son tour d'effectuer les recherches de la planète à l'aide des calculs qu'il vient de publier, mais Airy refuse. Finalement, sous la pression de George Peacock, Airy demande à Challis le 12 juillet 1846 d'entreprendre la recherche du nouvel astre au télescope. Adams, informé par le directeur de Cambridge, fournit de nouvelles coordonnées à Challis en précisant que l'objet serait de magnitude 9, mais Airy proposa à Challis d'observer une large portion du ciel et jusqu'à magnitude 11. Cette méthode demandait à Challis beaucoup plus de temps d'observation, d'autant plus qu'il ne disposait pas de cartes fiables de la zone à observer. Challis commença ses recherches le 1er août 1846.

Le Verrier communique ses résultats définitifs à l'Académie des sciences le 31 août 1846. Devant le peu d'enthousiasme des astronomes français, il décide de faire alors appel à une de ses connaissances : l'astronome prussien Johann Gottfried Galle de l'observatoire de Berlin. Galle reçoit la position de Neptune par courrier le 23 septembre 1846. Le soir même, il pointe son télescope de 23 cm vers l'endroit indiqué et passe au peigne fin toutes les étoiles de la région, pendant que son assistant Heinrich Louis d'Arrest vérifiait si l'astre observé était répertorié sur les cartes stellaire récentes de Bremiker. Vers minuit, Galle trouva Neptune, à moins d'un degré de l'emplacement calculé. Il attendit quelques heures pour vérifier si l'astre a bien bougé, avant de confirmer qu'il s'agissait bien de la planète recherchée.

Outre-Manche, la déception est grande. Challis apprend la découverte en lisant le Times. En revoyant ses notes, il découvre même qu'il avait observé Neptune deux fois depuis le 1er août. Une vive polémique s'ensuit jusque dans la presse. Les Britanniques ressortent les papiers d'Adams s'écriant que la découverte leur revient. De leur côté, les Français réfutent en rappelant que seule une publication officielle peut valider la découverte, et refusent de pied ferme que le nom d'Adams figure à côté de celui de Le Verrier dans les livres d'histoire. En juin 1847, Adams et Le Verrier se sont rencontrés pour la première fois à la British Association for the Advancement of Science et ont entretenu par la suite une relation amicale.

Lors de nouveaux calculs sur les caractéristiques orbitales de Neptune, on s'aperçut que ceux de Le Verrier et Adams étaient faux, bien que tous deux aient annoncé la position de la planète non loin de sa position réelle. Le premier avait déterminé un rayon de 36,154 ua et une excentricité de 0,107 tandis que le second avait trouvé un rayon de 37,25 ua. Le rayon réel de l'orbite de Neptune est 30,1 ua et son excentricité inférieure à 0,009. Par ailleurs, des historiens ont trouvé des éléments qui tendent à montrer que les solutions d'Adams ne convergeaient pas mais variaient par plus de 35 degrés de longitude.

Avec une période orbitale de presque 165 ans, Neptune ne retournera qu'en 2011 au point où Galle l'avait observée.

Notes et références

  1. Selon la définition d'une planète approuvée le 24 août 2006 en clôture de la 26e Assemblée Générale de l'Union astronomique internationale. La nouvelle nomenclature reclasse en effet Pluton, dont l'orbite était plus grande que celle de Neptune, comme une planète naine.
  2. Avec une magnitude apparente de 8,0 Neptune est environ quatre fois moins brillante que les étoiles visibles à l'œil nu les plus faibles (magnitude apparente de 6,5).
  3. Gaétan Morissette, Astronomie Premier Contact 3e édition, p. 201.
  4. List Of Neptune Trojans

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens internes

Liens externes

Bibliographie

  • Neptune: The Planet, Rings, and Satellites, Ellis D. Miner et Randii R. Wessen, 2002. ISBN 1-85233-216-6
  • Neptune and Triton, Dale P. Cruikshank, 1995. ISBN 0-8165-1525-5
  • The case of the pilfered planet - Did the British steal Neptune?, William Sheehan, Nicolas Kollerstrom and Craig B. Waff, Scientific American December 2004.


Satellites naturels de Neptune
Naïade · Thalassa · Despina · Galatée · Larissa · Protée · Triton · Néréide · Halimède · Sao · Laomédie · Psamathée · Néso
Voir aussi : Neptune · Anneaux de Neptune
  • Portail de l’astronomie Portail de l’astronomie

Ce document provient de « Neptune (plan%C3%A8te) ».

Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Neptune (planete) de Wikipédia en français (auteurs)

Игры ⚽ Нужен реферат?

Regardez d'autres dictionnaires:

  • Neptune (planète) — Pour les articles homonymes, voir Neptune. Neptune …   Wikipédia en Français

  • Planete X — Planète X La planète X est le nom donné à une planète hypothétique du système solaire située au delà de Neptune. Elle est parfois appelée Perséphone. Son existence fut postulée à la fin du XIXe siècle sur la base d anomalies dans l orbite de …   Wikipédia en Français

  • Planete — Planète Pour les articles homonymes, voir Planète (homonymie). « Planètes » redirige ici. Pour le manga de Makoto Yukimura, voir Planetes …   Wikipédia en Français

  • Planéte — Planète Pour les articles homonymes, voir Planète (homonymie). « Planètes » redirige ici. Pour le manga de Makoto Yukimura, voir Planetes …   Wikipédia en Français

  • planète — [ planɛt ] n. f. • 1119; bas lat. planeta, gr. planêtês « errant » 1 ♦ Vx Astre errant, étoile errante (opposé à étoile fixe). On comptait sept planètes : le Soleil, la Lune, Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne (les cinq dernières sont des… …   Encyclopédie Universelle

  • Planete naine — Planète naine Dimensions relatives des huit plus grands objets transneptuniens connus par rapport à la Terre. Parmi eux, les quatre plus grands Éris, Pluton, Makemake et Haumea (2003 EL61) sont considérés comme des planètes naines. En astronomie …   Wikipédia en Français

  • Neptune (mythologie latine) — Neptune (mythologie) Pour les articles homonymes, voir Neptune. Neptune …   Wikipédia en Français

  • Planete ocean — Planète océan Vue d artiste d une planète océan Une planète océan est une variété hypothétique de planète intégralement recouverte d un océan d eau d une profondeur d une centaine de kilomètres. Initialement proposé par David J. Stevenson de l… …   Wikipédia en Français

  • Planete tellurique — Planète tellurique Les quatre planètes telluriques (à l échelle) du système solaire : Mercure, Vénus, Terre et Mars. Les planètes telluriques (du latin tellus, la terre, le sol), en opposition aux planètes gaz …   Wikipédia en Français

  • Planète terrestre — Planète tellurique Les quatre planètes telluriques (à l échelle) du système solaire : Mercure, Vénus, Terre et Mars. Les planètes telluriques (du latin tellus, la terre, le sol), en opposition aux planètes gaz …   Wikipédia en Français

Share the article and excerpts

Direct link
Do a right-click on the link above
and select “Copy Link”