L'Enfer, c'est les autres robots

L'Enfer, c'est les autres robots
L’Enfer, c’est les autres robots
Épisode de Futurama
Titre original Hell Is Other Robots[1]
Numéro d’épisode Saison 1 Épisode 9
Code de production 1ACV09
Invité(s) Michael Diamond
Adam Horovitz
Dan Castellaneta
Réalisation Rich Moore
Scénario Eric Kaplan
Durée 22 min
Diffusion originale 18 mai 1999
Diffusion en français 6 mai 2000
Gag du sous-titre Condamné par le pape sidéral
Chronologie
link= Un gros tas d'ordures Un gros tas d'ordures
Tianic II Tianic II  link=Tianic II
Liste des épisodes

L’Enfer, c’est les autres robots (Hell Is Other Robots) est le neuvième épisode de la première saison de la série télévisée américaine Futurama. Il est diffusé pour la première fois le 18 mai 1999 en Amérique du Nord sur le réseau Fox, et clôture la première saison de diffusion de la série. L’épisode est écrit par Eric Kaplan et réalisé par Rich Moore. Plusieurs célébrités sont présentes : les Beastie Boys[2] jouent leur propre rôle et Dan Castellaneta prête sa voix au Diable Robot[3]. Il s’agit du premier épisode centré sur le personnage de Bender, qui développe au cours de l’épisode une dépendance à l’électricité. Quand cette dépendance devient problématique, Bender rejoint le temple de la Robotologie, avant d’être tenté par Fry et Leela avec de l’alcool et des prostituées.

Cet épisode introduit le Diable Robot, le Révérend Lionel Preacherbot et la religion du Temple de la Robotologie, satire de la Scientologie. L’épisode reçoit de bonnes critiques, et est l’un des quatre à être inclus dans le coffret DVD des épisodes préférés de Matt Groening, le Monster Robot Maniac Fun Collection.

L’épisode fut diffusé à partir du 6 mai 2000 sur Canal+, en France.

Sommaire

Synopsis

Après un spectacle des Beastie Boys, Bender se rend à une fête avec Fender, un ami de longue date. Lors de cette fête, Bender et les autres robots abusent de l’électricité, dont il devient rapidement dépendant. Lorsque ses amis le confrontent à ce sujet, Bender admet qu’il a un problème et se décide à chercher de l’aide. Il rejoint alors les rangs du Temple de la Robotologie, et consent à la damnation éternelle dans l’enfer des robots au cas où il viendrait à pécher. Il est baptisé par le Révérend Lionel Preacherbot (« le Robot Prêcheur »), qui soude le symbole de la Robotologie sur son enveloppe externe.

Bender, transfiguré par la religion, est désormais vertueux, affable et prosélyte. Ses amis Fry et Leela, excédés, se rendent compte qu’ils aimaient mieux l’ancien Bender. Ils décident de le pousser à violer les règles de sa nouvelle religion. À l’occasion d’une livraison fictive à Atlantic City, ils le soumettent à la tentation : alcool, prostituées, proies faciles à voler le font finalement succomber. Il arrache et jette au loin le symbole de la Robotologie, qui se met à biper de façon inquiétante.

Alors que Bender est à l’hôtel en compagnie de trois femmes robots, on frappe à la porte. Il ouvre et se fait assommer par une figure terrifiante armée d’une fourche. En se réveillant, il se retrouve en présence du Diable Robot, dans l’enfer des robots. Le Diable Robot rappelle à Bender qu’il a accepté d’avance d’être châtié s’il venait à pécher, lors de sa conversion à la Robotologie.

Lorsqu’ils se rendent compte que Bender a disparu, Fry et Leela se mettent à sa recherche en faisant appel à l’odorat de Nibbler. Ils finissent par arriver dans un parc d’attractions abandonné du New Jersey, où ils découvrent l’entrée de l’enfer des robots.

Un morceau musical commence pendant que le Diable Robot entreprend de détailler le châtiment de Bender. Au moment où s’achève la chanson, Fry et Leela arrivent et tentent de persuader le Diable Robot de libérer Bender. Il leur dit alors que le seul moyen de reconquérir l’âme de Bender est de le vaincre dans un concours musical, en jouant sur un violon d’or massif. Quelques notes suffisent à montrer que le jeu de Leela est consternant ; elle décide alors d’utiliser le violon pour en frapper le Diable Robot.

Alors que le trio s’échappe des griffes du Diable Robot, Bender dérobe les ailes d’un robot volant chargé de le torturer. Il les attache à son dos, et s’enfuit à tire d’aile en emportant Fry et Leela à l’abri. Celle-ci lâche le lourd violon d’or sur la tête du Diable Robot, ce qui les allège suffisamment pour qu’ils puissent s’échapper. Bender promet alors de n’être jamais ni trop bon ni trop méchant, mais de rester celui qu’il était avant de rejoindre le Temple de la Robotologie.

Production

Pour travailler avec les Beastie Boys, David X. Cohen et Ken Keeler se rendent à New York[4]. Ils attendent un appel du groupe pendant trois jours, afin de pourvoir procéder aux enregistrements. Ils finissent par renoncer et retournent aux studios de Los Angeles[4]. Les pistes audio sont enregistrées plus tard[4]. Adam Yauch est indisponible au moment de l’enregistrement. Seuls Adam Horovitz et Michael Diamond prêtent leurs voix à leurs personnages[4],[5]. Les Beastie Boys interprètent leur succès de 1998 Intergalactic, et Super Disco Breakin, la première piste de leur album Hello Nasty[5]. Il leur est au départ demandé de jouer Fight for Your Right, mais ils refusent[6]. L’épisode contient également le premier morceau musical original de Futurama[5]. Les paroles de Robot Hell sont écrites par Eric Kaplan et Ken Keeler et la musique est composée par Keeler et Christopher Tyng[4]. En réponse à l’éloge de sa prestation dans le commentaire audio, John DiMaggio, le doubleur de Bender, a fait remarquer que le plus difficile a été de chanter une octave plus bas plutôt que de garder le rythme rapide de la chanson[7].

L’épisode parodie la toxicomanie et la conversion religieuse. Dans le commentaire DVD pour l’épisode, David X. Cohen, Matt Groening et Eric Kaplan ont déclaré qu’ils se sentaient suffisamment à l’aise avec chacun des personnages de Futurama pour commencer à explorer avec eux des idées de scénario nouvelles et étranges[5],[8]. Cohen a souligné que la dépendance de Bender est un parfait exemple de quelque chose qu’ils pourraient faire avec un personnage de robot, mais pas pour un personnage humain[4]. Une personne au studio a refusé de travailler sur cet épisode, car elle n’était pas d’accord avec la présentation de certains éléments religieux[6]. Cohen a également noté que l’équipe de rédaction a commencé à se détendre au cours de cet épisode, ce qui lui donne une atmosphère similaire aux épisodes suivants[4]. Kaplan affirme qu’avant le montage, il y avait suffisamment d’éléments pour faire un épisode en trois parties[9].

Thèmes

Cet épisode est l’un des rares qui met l’accent sur les aspects religieux de l’univers de Futurama. Dans la plupart des épisodes, il est indiqué que l’équipe de Planet Express, ainsi que la plupart des êtres en l’an 3000, sont « remarquablement non religieux »[10],[11]. Il introduit deux des figures religieuses de Futurama, Le Diable Robot et le révérend Lionel Preacherbot, qui font des apparitions dans les épisodes suivants. Preacherbot, qui parle d’une manière typique du stéréotype du pasteur Afro-américain du centre-ville, Bender convertit à la religion de la Robotologie[10]. Cela conduit à une série d’événements qui sont semblables à bien des égards à l’expérience du monde réel de la conversion religieuse[10]. Mark Pinsky indique que l’épisode est un « représentation à double tranchant de la religion », car il dépeint une amélioration du caractère de Bender, mais « certain traits les moins plaisants des nouveaux religieux »[10]. Le Robot Diable est présenté après la chute dans le péché de Bender[10]. Selon The Gospel According to the Simpsons, en expliquant à Bender ses prétentions sur son âme, le Diable Robot utilise une rhétorique similaire à celle utilisée par de nombreux baptistes du Sud[10]. À la fin de l’épisode, Bender est revenu à ses anciennes habitudes et déclare qu’il n’essaiera plus d’être ni trop bon ni trop mauvais, une contradiction et une parodie du livre de l’Apocalypse selon lequel on ne devrait pas être mitigé dans sa foi[10].

Références culturelles

Un violon, l’instrument du Diable Robot.

Cet épisode comporte de nombreuses parodies religieuses, avec des références à plusieurs œuvres de fiction portant sur la religion. Le titre de l’épisode est lui-même une parodie de la célèbre phrase « L’Enfer, c’est les autres » (« Hell Is Other People ») tirée de la pièce de Jean-Paul Sartre Huis clos, même si l’épisode n’a pas d’autre ressemblance avec la pièce[10],[11]. Le système de peines infligées dans l’enfer des robots est similaire à celui décrit dans l’Enfer de Dante[10]. Le « code de Justice infernale » (« Fairness in Hell Act », littéralement « La loi sur l’équité en enfer »), qui permet aux damnés de s’engager dans un duel au violon pour sauver leur âme, est tiré de la chanson de The Charlie Daniels Band, The Devil Went Down to Georgia[10]. L’épisode inclut plusieurs moqueries du New Jersey, car l’écrivain David X. Cohen et l’acteur John DiMaggio ont tous deux grandi dans cette région[5].

Le Temple de la Robotologie est une parodie de l’Eglise de Scientologie[12],[11]. Le créateur de la série Matt Groening a affirmé avoir reçu un appel de l’Eglise de Scientologie préoccupée par l’utilisation d’un nom similaire[8]. Les Simpson de Groening avait déjà parodié certains aspects de la Scientologie dans l’épisode de la saison 9 Un coup de pied aux cultes[13],[14]. Dans une critique de l’épisode, TV Squad se demande : « Est-ce que le Temple de la Robotologie est une moquerie de l’Eglise de Scientologie ?[15] »[5]. Lorsque TV Squad a posé la question à l’acteur Billy West, il a éludé la question en plaisantant[5].

Réception

L’Enfer, c’est les autres robots est l’un des quatre épisodes figurant dans le coffret DVD Monster Robot Maniac Fun Collection, la sélection des épisodes favoris de Matt Groening[16]. Le DVD inclut des commentaires audio de Groening et de John DiMaggio, le doubleur de Bender, ainsi que le story-board de l’épisode[17],[18],[19]. Dans un article consacré à la parution du DVD, le Winston-Salem Journal affirme que L’Enfer, c’est les autres robots est l’un des meilleurs épisodes de Futurama[20]. La prestation de Dan Castellaneta en tant que Diable Robot dans cet épisode et La main du diable dans la culotte d’un Zouave ont été décrits comme des « passages très hardis »[11]. Dans une critique de la première saison de Futurama, le South Wales Echo relève que cet épisode et Terreur sur la planète robot sont des « des épisodes formidables»[21]. Brian Cortis de The Age décerne à l’épisode une note de trois étoiles sur quatre[22].

Dans une critique de Futurama, publiée dans The Observer avant la diffusion au Royaume-Uni, Andrew Collins complimente la série, et encense tout particulièrement L’Enfer, c’est les autres robots et Victime de l'amour, perdue dans l'espace[23]. Il note que les blagues « fusent de toutes parts »[23]. John Nettles de PopMatters a écrit : « L’Enfer, c’est les autres robots est une excellente initiation au personnage de Bender et à l’humour irrévérencieux, la satire sociale sournoise et les passages musicaux de Futurama[24] »[25]. TV Squad a écrit que les passages les plus drôles de la série se passent « dans l’Enfer des robots, après la renaissance de Bender dans le Temple de la Robotologie »[5]. David Johnson, de DVD Verdict, a déclaré que L’Enfer, c’est les autres robots n’est « pas un de ses épisodes préférés », et lui a donné la note de B[26]. L’épisode a donné naissance à un livre publié par Dark Horse Comics, Futurama Pop-Out People: Hell Is Other Robots[27].

Crédits

Eric Kaplan, scénariste de l’épisode
Dan Castellaneta, un des invités de l’épisode

Ces informations sont issues de l’Internet Movie Database (IMDb)[1].

Court-métrage

Le court-métrage dans le générique d'ouverture est Betty Boop and Grampy (en noir et blanc), qui est réalisé par Dave Fleischer. Sa date de sortie est le 16 août 1935[28].

Notes et références

  1. a et b L'Enfer, c'est les autres robots sur l’Internet Movie Database - Version plus complète en anglais
  2. Seuls Mike D (Michael Diamond) et Ad-Rock (Adam Horovitz) jouent leurs propres rôles alors que MCA (Adam Yauch) est indisponibe au moment de l’enregistrement de l’épisode. Alors Horovitz double aussi la voix de Yaunch.
  3. Le Diable Robot peut aussi s’appeler Beelzebot.
  4. a, b, c, d, e, f et g David X. Cohen. (2003). Futurama : L’intégrale saison 1 : Commentaires audio pour l’épisode « L’Enfer, c’est les autres robots » [DVD]. 20th Century Fox.
  5. a, b, c, d, e, f, g et h (en) Joel Keller (30 juillet 2006), « Futurama: Hells Is Other Robots » sur TV Squad. Consulté le 16 mai 2009
  6. a et b Rich Moore. (2003). Futurama : L’intégrale saison 1 : Commentaires audio pour l’épisode « L’Enfer, c’est les autres robots » [DVD]. 20th Century Fox.
  7. John DiMaggio. (2003). Futurama : L’intégrale saison 1 : Commentaires audio pour l’épisode « L’Enfer, c’est les autres robots » [DVD]. 20th Century Fox.
  8. a et b Matt Groening. (2003). Futurama : L’intégrale saison 1 : Commentaires audio de l’épisode « L’Enfer, c’est les autres robots » [DVD]. 20th Century Fox.
  9. Eric Kaplan. (2003). Futurama : L’intégrale saison 1 : Commentaires audio pour l’épisode « L’Enfer, c’est les autres robots » [DVD]. 20th Century Fox.
  10. a, b, c, d, e, f, g, h, i et j (en) Mark Pinsky, The Gospel According to the Simpsons. Bigger and possibly even Better! edition, Louisville, Gardners Books, 2007, 2e éd. (ISBN 978-0-664-23265-8) (LCCN 2007006909), p. 229-235 
  11. a, b, c et d (en) M. Keith Booker, Drawn to Television: Prime-Time Animation from the Flintstones to Family Guy, p. 115-124 
  12. (en) Mark Pinsky, The Gospel According to the Simpsons, Louisville, Westminster John Knox Press, 2001, 1re éd., poche (ISBN 978-0-664-22419-6), p. 158-159 
  13. David Mirkin. (2006). Les Simpson : L’intégrale saison 9 : Commentaires audio pour l’épisode « Un coup de pied aux cultes » [DVD]. 20th Century Fox.
  14. (en) Chris Turner, Planet Simpson: How a Cartoon Masterpiece Documented an Era and Defined a Generation, Cambridge, Da Capo Press, 2005, 1re éd., poche (ISBN 978-0-306-81448-8) (LCCN 2004351662), p. 269 
  15. (en) « Is the Temple of Robotology a poke at the Church of Scientology? »
  16. (en) Gord Lacey (11 mai 2005), « Futurama - Do the Robot Dance! » sur TV.com. Consulté le 14 juin 2009
  17. (en) Joshua Lane (7 février 2005), « Futurama: Monster Robot Maniac Fun » sur AnimatedBliss.com. Consulté le 14 juin 2009
  18. (en) Staff (25 août 2005), « This week in DVDs: Also New This Week » sur Eye Weekley. Consulté le 14 juin 2009
  19. (en) Anna Johns (1er janvier 2007, « Holiday loot spending guide: DVDs » sur TV Squad. Consulté le 14 juin 2009
  20. (en) Staff : Adam 12 and Emergency Keep Los Angeles Safe In New DVD Sets, Winston-Salem Journal, Factiva de Dow Jones (27 août 2005).
  21. (en) Staff : Win Futurama box set, South Wales Echo, Tritiny Mirror (2 février 2002), p. 9.
  22. (en) Cortis, Brian : Waging words on mediocrity - Highlights, The Age (16 janvier 2000), p. 5.
  23. a et b (en) Collins, Andrew : Screen: Television: Futurama looks bright: Where do you go after The Simpsons, the TV triumph of the decade? Into the 30th century, as creator Matt Groening unveils his new show, Futurama. Andrew Collins applauds, The Observer, Guardian Newspapers Limited (22 août 1999), p. 2.
  24. (en) « Hell is Other Robots' is a terrific introduction to Bender and Futurama's irreverent humor, sly social satire, and damn catchy musical numbers. »
  25. (en) John G. Nettles (29 août 2005), « Futurama Monster Robot Maniac Fun Collection » sur PopMatters. Consulté le 14 juin 2009
  26. (en) David Johnson (22 août 2005), « Futurama: Monster Robot Maniac Fun Collection » sur DVD Verdict. Consulté le 14 juin 2009
  27. Dark House Comics, Futurama Pop-Out People: Hell Is Other Robots, Diamond Comic Distributors, mars 2002 (ISBN 978-1-56971-672-4) 
  28. Betty Boop and Grampy sur l’Internet Movie Database - Version plus complète en anglais

Voir aussi

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