Julien Dray

Julien Dray
Julien Dray
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Mandats
Député de la 10e circonscription de l’Essonne
Actuellement en fonction
Depuis le 23 juin 1988
Conseiller régional d’Île-de-France
Actuellement en fonction
Depuis le 16 mars 1998
Biographie
Date de naissance 5 mars 1955 (1955-03-05) (56 ans)
Lieu de naissance Oran
Nationalité Française
Parti politique PS
Diplômé de Université Paris 13
Profession Enseignant-chercheur

Julien Dray, né le 5 mars 1955 à Oran (Algérie), est un homme politique français. Membre du Parti socialiste, il est député de la dixième circonscription de l'Essonne et conseiller régional d’Île-de-France.

Sommaire

Biographie

Origines et vie familiale

Julien Dray est né le 5 mars 1955 à Oran, alors en Algérie française[1] d’un père instituteur[2] dans une famille juive. Il est marié et père de trois enfants[3].

Études et formation

Julien Dray a entamé ses études supérieures au lycée Olympe de Gouges de Noisy-le-Sec puis au lycée Honoré-de-Balzac dans le 17e arrondissement de Paris. Il est titulaire d’une licence d’histoire-géographie obtenue à l’université Paris XIII et d’un diplôme d'études approfondies de sciences économiques[4].

Carrière professionnelle

Julien Dray exerçait la profession d’enseignant-chercheur[3] notamment en macroéconomie à l’Université Paris 13[5].

Carrière politique

Les débuts au lycée de Noisy-le-Sec

À son arrivée au lycée Olympe de Gouges à Noisy-le-Sec, l’influence de quelques enseignants le poussa à s’intéresser à la politique. Il commença par participer à l’animation du ciné-club, ce lieu de rencontre devint vite un lieu de débat[6]. Petit à petit, il se rapprocha de la Ligue communiste (LC-SFQI section française de la IVe internationale, trotskiste) à laquelle il adhéra[7]. Il se fit remarquer en 1973 lors du mouvement contre la loi Debré[8] (qui devait permettre la suppression des sursis longs) alors qu’il était au lycée Balzac où existait alors un groupe actif de la Ligue communiste.

Le militant étudiant et antiraciste

Lorsqu’il entra à l’université, Julien Dray rejoignit l'organisation étudiante de prédilection de la Ligue communiste révolutionnaire, le Mouvement d'action syndicale (MAS)[3]. S’impliquant de plus en plus dans la politique et le syndicalisme, il devint responsable du secteur jeunesse de la ligue. En 1977, lorsque la LCR devint majoritaire au MAS, Julien Dray fut élu au poste de secrétaire général. En 1980, le MAS participa à la création de l’Unef-ID[9] au Congrès de Nanterre. À l’Unef-ID, bien que sa tendance fût largement minoritaire par rapport aux lambertistes qui obtinrent, avec Jean-Christophe Cambadélis, la direction de l'association, Julien Dray occupe le poste de vice-président mais surtout organise la « Tendance Leas ».

Cependant, Dray fut exclu à l’automne 1981 de la LCR[3]. Après avoir vainement discuté avec Lambert, selon un témoignage ultérieur de Cambadélis, pour essayer d’obtenir le poste de président de l’Unef en échange de son ralliement à l’OCI [10], il rejoignit le Parti socialiste, emmenant avec lui la plupart des cadres étudiants de Leas et des trotskistes de Seine-Saint-Denis[11].

À l’Unef-ID, il rejoignit donc la Tendance pour l’unité syndicale, d’orientation socialiste. Il fut bien accueilli par Jean-Marie Le Guen, dirigeant historique de cette tendance. Pour lui, l’arrivée de nouveaux militants expérimentés devait permettre de redynamiser la Tendance plus. En outre, il comptait sur les qualités d’organisateur et l’expérience de Julien Dray. Au congrès de 1982, la Tendance plus obtint un score encourageant avec 30 % des mandats mais rapidement, la tendance atteignit ses limites[12].

En 1984, Julien Dray termina ses études et se consacre alors à d’autres combats. Il participa avec plusieurs de ses proches dont notamment Harlem Désir, à la fondation de SOS Racisme, dont il devint le vice-président de 1984 à 1988, distribuant dès décembre 1983, lors de la Marche des Beurs, des badges « Touche pas à mon pote »[11]. Le nouveau mouvement rivalisa avec les Jeunes Arabes de Lyon et banlieue (Jalb), créée aux Minguettes à l’initiative du père Christian Delorme[11], et qui avait organisé la Marche des Beurs[11].

Au Parti socialiste

Depuis qu’il a rejoint le Parti socialiste en 1981, Julien Dray a fondé, avec quelques autres, comme Laurence Rossignol, un groupe de réflexion nommé Question socialiste[3]. Ils se donnèrent alors pour objectif de construire un courant sur l’aile gauche du PS. Mais, ils commencèrent réellement à se structurer lorsqu’Isabelle Thomas, en 1987, entra dans les instances dirigeantes du parti. Cette promotion leur permit de déposer un premier texte lors du congrès de Lille[12]. Mais ce congrès fut surtout pour Question socialiste l’occasion de se faire connaître par l’aile gauche[12].

En retour du travail de sape de la droite mené par SOS Racisme, François Mitterrand le propulsa candidat du PS dans la dixième circonscription de l'Essonne. Parachuté alors qu’un candidat avait déjà été désigné par le PS, François Dupeyrat, il réussit néanmoins à s’imposer lors des élections législatives de 1988, dans une circonscription taillée sur mesure par Charles Pasqua pour le Parti communiste français, quatre des villes étant alors tenues par ce parti. L’année suivante, sa liste d’union PS/PCF aux élections municipales de Sainte-Geneviève-des-Bois connût un cinglant échec face au communiste dissident, maire sortant, Jean Ooghe. Grâce à un travail de terrain reconnu, il parvint à être réélu avec 50,36 % des voix lors des élections législatives de 1993[13], catastrophiques pour le PS. Actif dans les mouvements sociaux, il fit émerger toute une génération de jeunes militants dont Delphine Batho et Malek Boutih : « La grande force de Julien, c’est avoir du flair et faire confiance aux gens » dit Olivier Léonhardt, maire de Sainte-Geneviève-des-Bois[14].

Avec un discours très à gauche, il fonda avec Jean-Luc Mélenchon le courant Nouvelle école socialiste[2], qui devint en 1988 la Gauche socialiste, dont l’orientation était opposée à l’ouverture vers le centre du second gouvernement Rocard. Ils déposèrent une première motion complète lors du congrès de Rennes en 1990. Lionel Jospin lui garda rancune d’avoir soutenu le mouvement des lycées contre ses réformes[15]. L’année suivante, Marie-Noëlle Lienemann les rejoignit[16].

Réélu député avec un mandat unique lors des élections législatives de 1997 avec 58,55 % des voix[17], il devint en 1998, vice-président du Conseil régional d'Île-de-France. Avec la Gauche socialiste, il porta de manière très isolée dans le PS l’opposition à la Guerre du Golfe[18],[9]. Il soutint la ratification du Traité sur l'Union européenne avant d’en tirer assez rapidement un constat d’échec d’une Europe politique qui l’amena à une dénonciation des politiques libérales de la Commission européenne[19],[20].

Après dix ans de développement, l’entente s’effrita. Au début des années 2000, Julien Dray et Jean-Luc Mélenchon, lui-même ancien militant de l’Organisation communiste internationaliste (OCI) s’opposèrent de plus en plus souvent. Le 19 octobre 2000 il fut nommé au comité national de lutte contre la violence à l’école[21]. En 2002, l’onde de choc de l’échec de Lionel Jospin au premier tour des élections présidentielles se ressentit dans la Gauche socialiste. Il remporta néanmoins une nouvelle fois les élections législatives dans sa dixième circonscription avec 53,04 % des voix[22]. Plusieurs stratégies s’affrontèrent alors. Jean-Luc Mélenchon fit le choix de rejoindre Henri Emmanuelli et de fonder avec lui le Nouveau Monde. Alors que Julien Dray et ceux qui étaient restés dans la Gauche socialiste décidèrent de participer à création du Nouveau Parti socialiste avec Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Benoît Hamon[23]. Mais, dès avril 2003, une nouvelle crise éclata au sujet de la participation à la majorité conduite par François Hollande[15]. La Gauche socialiste, réduite aux soutiens proches de Julien Dray, se rallia à la majorité peu avant le Congrès de Dijon[24], mais il ne fut pas suivi Gérard Filoche et d’autres cadres restés au NPS. À la fin du Congrès, Julien Dray fut nommé porte-parole du PS par François Hollande[23].

Lors de la consultation sur le Traité constitutionnel européen Julien Dray se prononça pour le « oui »[25]. S’il continua à critiquer l’aspect libéral de la construction européenne[26], Julien Dray considéra que les mesures libérales comprises dans le TCE étaient essentiellement des reprises des traités précédents (Maastricht, Amsterdam et Nice) déjà entérinés. En outre, il releva deux points positifs : d’abord, le renforcement du pouvoir du parlement européen ; d’autre part, la Charte des droits fondamentaux. Enfin, Dray pensait que l’Europe ne pouvait se construire que par des compromis, et préférait attendre un rapport de force plus favorable à la gauche pour aller plus loin. D’ici là, il considérait que toute avancée était bonne à prendre[27].

Julien Dray s’est illustré de 1997 à 2003 en se spécialisant sur les thèmes de la sécurité au sein du PS[28], où ses prises de position « sécuritaires » ont souvent tranché avec celles de ses camarades de parti.

Ami de longue date de Ségolène Royal[29], il fut l’un de ses tout premiers soutiens lorsque celle-ci annonça, à l’automne 2005, qu’elle envisageait d’être candidate à l’investiture socialiste pour l’élection présidentielle de 2007[30]. Il a, depuis lors, affiché son soutien à la présidente de la région Poitou-Charentes. Dray a fait partie de son équipe restreinte de campagne présidentielle, en qualité de « Conseiller chargé de la coordination des portes paroles »[31]. Lors des élections législatives de 2007, il remporta à nouveau la dixième circonscription avec 53,48 % des suffrages[32]. En 2008, il posa sa candidature au poste de 1er secrétaire du PS en vue du Congrès de Reims[33] et signa la contribution de François Hollande en juin. En 2009, mis en examen, il fut un temps écarté de la liste socialiste en vue des élections régionales de 2010 par la fédération de l’Essonne[34].

Julien Dray est aussi un membre fondateur du courant proche de Ségolène Royal « L'Espoir à gauche »[35], fondé en janvier 2009 par Vincent Peillon, aux côtés de Manuel Valls, Jean-Louis Bianco, David Assouline, François Rebsamen, Gérard Collomb ou Jean-Noël Guérini. Il est franc-maçon affilié au Grand Orient de France[36] et fut un des administrateurs de l’association des amis de l’Institut François-Mitterrand[réf. nécessaire].

Synthèse des fonctions politiques

Mandats nationaux

Député de la dixième circonscription de l’Essonne

Julien Dray fut élu député le 12 juin 1988 pour la IXe législature dans la nouvelle dixième circonscription de l'Essonne[37], il fut réélu le 28 mars 1993 pour la Xe législature[38] puis le 1er juin 1997 pour la XIe législature[39], réélu le 16 juin 2002 pour la XIIe législature[40] et le 17 juin 2007 pour la XIIIe législature[41]. Le 27 novembre 2001, Julien Dray fut nommé chargé de mission temporaire près le premier ministre Lionel Jospin[42].

À l’Assemblée nationale, il occupe la place no 416 sur les bancs du groupe Socialiste, radical, citoyen et divers gauche. Il fut successivement membre des commissions des affaires culturelles, familiales et sociales de 1988 à 2000[39], des finances, de l’économie générale et du Plan de 1994 à 2002[39], des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République de 1993 à 2002[39], de contrôle de la gestion du fonds d’action sociale en 1990[39], de la commission d’enquête parlementaire sur la situation dans les prisons françaises en 2000[39], sur l’immigration clandestine et le séjour irrégulier d’étrangers en France de 1995 à 1997[39], puis membre de la commission des affaires culturelles, du groupe d’amitié France-Canada[43] et vice-président du groupe d’amitié France-Québec[44] en 2002[40]. En 2010, il est membre de la commission des lois, président du groupe d’amitié France-Koweit[45] et secrétaire du Groupe d'amitié France-Israël[41],[46]. Au cours de l’année 2010, Julien Dray fut actif durant vingt-sept semaines à l’Assemblée nationale et participa à vingt-sept séances en commission[47]. Il fit partie des députés qui saisirent le Conseil constitutionnel le 19 décembre 1996 contre la Loi de finances de 1997[48], le 19 février 2003 contre la Loi pour la sécurité intérieure de 2003[49], le 22 juillet 2003 contre la Loi de sécurité financière[50], le 14 août 2003 contre la Loi portant réforme des retraites[51], le 18 mai 2004 contre la Loi pour la confiance dans l'économie numérique[52], le 23 décembre 2004 contre la Loi de programmation pour la cohésion sociale[53], le 14 mars 2006 contre la Loi pour l’égalité des chances[54], le 5 juillet 2006 contre la Loi relative à l’immigration et à l’intégration[55], le 30 novembre 2006 contre la Loi relative au secteur de l'énergie[56], le 26 février 2007 contre la Loi relative à la prévention de la délinquance[57], le 7 août 2008 contre la Loi instaurant le service minimum d’accueil dans les établissements scolaires[58], le 13 octobre 2010 contre la Loi relative à la reconduction à la frontière des jeunes roumains[59], le 18 octobre 2006 contre la Loi relative au contrôle de la validité des mariages[60], le 2 novembre 2010 contre la Loi portant réforme des retraites[61], le 22 novembre 2010 contre la Loi de réforme des collectivités territoriales[62], le 1er décembre 2010 contre la Loi de financement de la sécurité sociale pour 2011[63].

Mandats locaux

Conseiller régional d’Île-de-France

Julien Dray fut élu conseiller régional d’Île-de-France le 15 mars 1998 sur le quota essonnien de la liste de Jean-Paul Huchon. Il devint alors vice-président du conseil régional d'Île-de-France, chargé de la Jeunesse depuis 2002. Il fut réélu le 28 mars 2004 et devint vice-président en charge de la Culture. Réélu le 21 mars 2010, il est toujours en 2010 cinquième vice-président en charge de la Culture[64].

Fonctions partisanes

Julien Dray est membre du bureau national du Parti socialiste depuis 2003[65], il fut secrétaire national chargé de la communication et de la presse jusqu’en 1996, secrétaire national chargé de la sécurité de 1997 à 2003, porte-parole de 2003 à 2008, et secrétaire national chargé des programmes et des études[Quand ?]. Il fut aussi fondateur et animateur du courant Gauche socialiste. Julien Dray a par ailleurs été candidat au poste de premier secrétaire de son parti, sans succès.

Œuvres

Julien Dray est l’auteur ou co-auteur de divers ouvrages dont :

Intégrité publique et condamnations

Affaire de la Mnef

Julien Dray fut entendu dans l’affaire de la Mnef, concernant des emplois fictifs et un enrichissement personnel des dirigeants de la Mutuelle nationale des étudiants de France. La justice n’a toutefois rien retenu à son encontre[66].

Investigations

Julien Dray fit l’objet d’une enquête préliminaire ouverte le 10 décembre 2008 par le parquet de Paris pour abus de confiance à la suite d’un signalement de TRACFIN, la cellule anti-blanchiment du ministère des Finances, portant sur des mouvements de fonds suspects à partir de comptes de l’association « Les Parrains de SOS Racisme » et de la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (Fidl) depuis janvier 2006. Les enquêteurs soupçonnaient Julien Dray d’avoir bénéficié d’une partie de ces sommes, évaluées au total à 351 027 €.

Le 13 juillet 2009, les enquêteurs de la brigade financière mirent fin à leurs investigations concernant le train de vie de Julien Dray. Ils dressèrent le bilan suivant : « entre 2005 et 2008, M. Dray a perçu 1 631 417 €, tous revenus confondus. Dans la même période, il a dépensé 2 087 678 €. »[67]

Le 15 décembre 2009, Jean-Claude Marin communiqua un avis tendant à abandonner les poursuites. Dans son rapport, le procureur de Paris suggéra de ne pas renvoyer Julien Dray devant le tribunal correctionnel. Selon le journal Le Monde du 16 décembre 2009[68], Julien Dray fit l’objet d’un rappel à la loi[69] (voie alternative aux poursuites) portant sur une somme de sept mille euros, sans commune mesure avec les sommes publiées par certains journaux. Le procureur de Paris estima que les investigations n’avaient pas mis « en évidence un train de vie personnel dispendieux de la part de Julien Dray »[70].

Pour approfondir

Articles connexes

Liens externes

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Bibliographie

Sources

  1. Fiche de Julien Dray sur le Who’s Who français. Consulté le 26/12/2010.
  2. a et b Article Julien Dray, une figure du PS issue de la génération Mitterrand paru le 19 décembre 2008 sur le site du magazine Le Point. Consulté le 26/12/2010.
  3. a, b, c, d et e Fiche de Julien Dray sur le site webeconomie.com Consulté le 26/12/2010.
  4. Article Julien Dray recalé par le Conseil de l’ordre des avocats paru le 26 janvier 2010 sur le site Actualitéfrançaise.com Consulté le 26/12/2010.
  5. Biographie de Julien Dray sur son site officiel. Consulté le 26/12/2010.
  6. Philippe, Juhem .- Entreprendre en politique. Les carrières militantes des fondateurs de SOS-Racisme.- in Revue française de science politique, vol. 51, n° 1-2, février-avril 2001, p. 131-153 : « Julien Dray – Durant les années soixante-dix, j’étais lycéen à Noisy-le-Sec. [...] À la rentrée de 1970, en seconde, ma prof de français avait organisé des débats autour de l’origine du principe d’égalité. Grâce à quoi je m’étais découvert de gauche et volontariste, je refusais les principes établis mettant en cause l’égalité. [...] Je discutais avec les profs, après les cours. [...] Tout doucement nous avons formé un petit noyau dans le lycée, à trois copains que nous étions. Djamila, une beur – avant que le terme existe –, Paprocki – pas besoin d’affirmer ses origines grecques – et moi, le juif pied-noir. La politique, pour nous, durant des semaines, a consisté à animer le lycée. [...] Nous avons pris en main le ciné-club. »
  7. Biographie de Julien Dray sur le site evene.fr Consulté le 26/12/2010.
  8. Article Les filières de la colère paru le 21 février 2005 sur le site de l’hebdomadaire L’Express. Consulté le 26/12/2010.
  9. a et b Article Julien Dray, un chef de bande désormais esseulé paru le 18 décembre 2009 sur le site du quotidien Le Monde. Consulté le 26/12/2010.
  10. Christophe Nick, Les Trotskistes, Fayard, 2002, p. 544
  11. a, b, c et d Christophe Nick, Les Trotskistes, Fayard, 2002, p. 548 sq.
  12. a, b et c Article Julien Dray : homme politique français membre du Parti Socialiste paru le 3 novembre 2008 sur le site d’information web-libre.org Consulté le 26/12/2010.
  13. Résultats de l’élection législative de 1993 dans la dixième circonscription de l’Essonne sur le site du quotidien Le Figaro. Consulté le 26/12/2010.
  14. Article Julien Dray ou l’épuisement d’un système politique en Essonne paru le 20 février 2009 sur le site d’information Mediapart. Consulté le 26/12/2010.
  15. a et b Un rêve de calife, Jean-Michel Normand, le Monde, 2 mai 2008, page 16
  16. Article Les virages de la Gauche socialiste. paru le 22 novembre 2000 sur le site du quotidien Libération. Consulté le 26/12/2010.
  17. Résultats de l’élection législative de 1997 dans la dixième circonscription de l’Essonne sur le site de l’Institut d’études politiques de Paris. Consulté le 26/12/2010.
  18. Article Apparatchic paru le 23 janvier 2009 sur le site du quotidien Libération. Consulté le 26/12/2010.
  19. Article Julien Dray ne sera pas un futur Bérégovoy paru le 28 juin 2009 sur le site d’information Come4News. Consulté le 26/12/2010.
  20. Article Comment consulter les Français? paru le 5 février 1998 sur le site du magazine L’Express. Consulté le 26/12/2010.
  21. Arrêté du 19 octobre 2000 sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  22. Résultats de l’élection législative de 2002 dans la dixième circonscription sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 26/12/2010.
  23. a et b Biographie de Julien Dray sur le site politique.net Consulté le 26/12/2010.
  24. Article Dray redoute un «accident» au PS. paru le 3 mai 2003 sur le site du quotidien Libération. Consulté le 26/12/2010.
  25. Article La soirée électorale heure par heure paru le 29 mai 2005 sur le site du quotidien Le Monde. Consulté le 26/12/2010.
  26. voir notamment son article dans Le Monde « La reculade d’Amsterdam »
  27. no 46 du magazine La tête à gauche paru le 23 novembre 2004 sur son site officiel. Consulté le 26/12/2010.
  28. Article « La sécurité reste l’impensé du Parti socialiste » JULIEN DRAY député de... paru le 24 août 2010 sur le quotidien Aujourd’hui en France. Consulté le 26/12/2010.
  29. Article Julien Dray pessimiste sur son avenir politique paru le 22 décembre 2008 sur le site du quotidien Le Figaro. Consulté le 26/12/2010.
  30. Article Julien Dray juge qu’un pacte Aubry-DSK-Royal est "le plus mauvais service" rendu aux primaires paru le 7 juin 2010 sur le site du magazine Le Point. Consulté le 26/12/2010.
  31. Biographie de Julien Dray sur le site de l’émission C à dire ! de France 5. Consulté le 26/12/2010.
  32. Résultats de l’élection législative de 2007 dans la dixième circonscription de l’Essonne sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 26/12/2010.
  33. Article Julien Dray "prêt" à devenir premier secrétaire du PS paru le 18 février 2008 sur le site du magazine L’Express. Consulté le 26/12/2010.
  34. Article Julien Dray écarté des listes aux régionales paru le 24 novembre 2009 sur le site de FranceInfo. Consulté le 26/12/2010.
  35. Liste des membres du groupe L’Espoir à gauche sur son site officiel. Consulté le 26/12/2010.
  36. Liste des signataires de l’appel Pour un nouveau combat féministe du Grand Orient de France sur son site officiel. Consulté le 26/12/2010.
  37. Fiche de Julien Dray pour la neuvième législature sur le site officiel de l’Assemblée nationale. Consulté le 26/12/2010.
  38. Fiche de Julien Dray pour la dixième législature sur le site officiel de l’Assemblée nationale. Consulté le 26/12/2010.
  39. a, b, c, d, e, f et g Fiche de Julien Dray pour la onzième législature sur le site officiel de l’Assemblée nationale. Consulté le 26/12/2010.
  40. a et b Fiche de Julien Dray pour la douzième législature sur le site officiel de l’Assemblée nationale. Consulté le 26/12/2010.
  41. a et b Fiche de Julien Dray pour la treizième législature sur le site officiel de l’Assemblée nationale. Consulté le 26/12/2010.
  42. Décret du 27 novembre 2001 sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  43. Liste des membres du groupe d’amitiés France-Canada sur le site officiel de l’Assemblée nationale. Consulté le 26/12/2010.
  44. Liste des membres du groupe d’amitié France-Québec sur le site officiel de l’Assemblée nationale. Consulté le 26/12/2010.
  45. Liste des membres du groupe d’amitié France-Koweit sur le site officiel de l’Assemblée nationale. Consulté le 26/12/2010.
  46. Liste des membres du groupe d’amitié France-Israël sur le site officiel de l’Assemblée nationale. Consulté le 26/12/2010.
  47. Activité du député Julien Dray sur le site d’études nosdeputes.fr Consulté le 26/12/2010.
  48. Fac-similé de la décision no96-385 du Conseil constitutionnel sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  49. Fac-similé de la décision no2003-467 du Conseil constitutionnel sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  50. Fac-similé de la décision no2003-479 du Conseil constitutionnel sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  51. Fac-similé de la décison no2003-483 du Conseil constitutionnel sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  52. Fac-similé de la décision no2004-496 du Conseil constitutionnel sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  53. Fac-similé de la décision no2004-506 du Conseil constitutionnel sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  54. Fac-similé de la décision no2006-535 du Conseil constitutionnel sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  55. Fac-similé de la décision no2006-539 du Conseil constitutionnel sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  56. Fac-similé de la décison no2006-543 du Conseil constitutionnel sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  57. Fac-similé de la décision no2007-553 du Conseil constitutionnel sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  58. Fac-similé de la décision no2008-569 du Conseil constitutionnel sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  59. Fac-similé de la décision no2010-614 du Conseil constitutionnel sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  60. Fac-similé de la décision no2006-542 du Conseil constitutionnel sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  61. Fac-similé de la décision no2010-617 du Conseil constitutionnel sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  62. Fac-similé de la décision no2010-618 du Conseil constitutionnel sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  63. Fac-similé de la décision no2010-620 du Conseil constitutionnel sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 26/12/2010.
  64. Présentation de l’exécutif du conseil régional d’Île-de-France sur son site officiel. Consulté le 26/12/2010.
  65. Liste des membres du bureau national du Parti socialiste sur son site officiel. Consulté le 26/12/2010.
  66. Un article de l’Humanité sur le sujet
  67. Article Les mauvais comptes de Julien Dray paru le 24 juillet 2009 sur le site du quotidien Le Monde. Consulté le 26/12/2010.
  68. Article Julien Dray ne devrait pas être renvoyé devant le tribunal correctionnel paru le 16 décembre 2009 sur le site du quotidien Le Monde. Consulté le 26/12/2010.
  69. Article Simple rappel à la loi pour Julien Dray paru le 17 décembre 2009 sur le site du quotidien La Croix. Consulté le 26/12/2010.
  70. Article Dray : le parquet recommande un simple rappel à la loi paru le 16 décembre 2009 sur le site du uotidien Le Parisien. Consulté le 26/12/2010.
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Porte-parole du Parti socialiste
De 2003 à 2008
Benoît Hamon

Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Julien Dray de Wikipédia en français (auteurs)

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