Jef Elbers

Jef Elbers

Jef Elbers, né à Ixelles le 19 septembre 1947, est un chanteur, écrivain de scénarios et homme et activiste politique flamand. Il a également travaillé comme scénariste indépendant de films publicitaires et de formation pour des entreprises.

Sommaire

1947-1973

Enfance, Études, chasse aux talents

Jef Elbers est le fils d'un père bruxellois et d’une mère ukrainienne. Son père a travaillé comme chef de secteur à la Régie des Télégraphes et des Téléphones (RTT) et sa mère était femme au foyer. Ses parents sont des rescapés des camps de concentration nazis: son père s’y est retrouvé comme prisonnier de guerre belge et sa mère, dans le cadre de la politique raciale nazie, en tant qu’Üntermensch.

Jef Elbers a fait ses études Latin-Sciences au collège des Jésuites. Il a été marié et est aujourd'hui divorcé. Il est père de 5 enfants : Iris, Xenia, Soetkin, Dietwin et Karloman. En 1973, il remporte un concours de talent de la Radio et Télévision belge, organisé par Omroep Brabant. C’est le début d'une carrière de chansonnier qui mène à la production, entre 1973 et 1984, de 6 disques microsillons[1].

Débuts d’activisme politique pour le mouvement flamand

L’attitude condescendante et humiliante de la bourgeoisie francophone à Bruxelles, méprisant les Flamands bruxellois comme les ouvriers étrangers, a raffermi le penchant flamingant d’Elbers.

Son engagement politique et sa compréhension de l’enjeu, sont analogues à ceux de son ancêtre, Ferdinand Elbers, secrétaire de la fédération bruxelloise du Parti Ouvrier Belge (POB-BWP) qui, en raison des problèmes linguistiques au sein de cette fédération, pose la question en 1901: « Camarades, ne penseriez-vous pas qu’un représentant parlementaire flamand devient nécessaire dans notre arrondissement, composé de 125 communes dont 112 sont exclusivement néerlandophones. Nous croyons faire notre devoir en signalant que, hors de la capitale, on nous demande de désigner un représentant flamand, et que la Fédération agirait de façon très judicieuse en désignant pour l'avenir un représentant qui sait parler et écrire la langue des gens hors de l’arrondissement bruxellois. » [2],[3]

Elbers, qui se profile dans ses chansons comme bohémien et anti-bourgeois, devient à l'âge de 16 ans membre de l’association des militants flamands VMO, un groupe d’action, afin de participer d’une manière plus structurée à la résistance. À l'âge de 19 ans, il part pour le Canada pour récolter du tabac. À son retour, il ranime avec son frère Wim le département peu actif du parti politique la Volksunie à Schaerbeek. En 1969, un militant du Front démocratique des francophones (FDF) à la santé fragile souffre d’une crise cardiaque au cours d'une action du VMO ; à la suite de cet incident, la Volksunie (VU) semble se désolidariser de ses activistes. Deçu, Elbers se retire alors de la vie politique active[4].

1973-1992

Chanter en bruxellois et en néerlandais

À partir de 1974, Elbers commence à se faire apprécier en tant que chansonnier avec un répertoire en patois bruxellois. Des thèmes récurrents dans ses textes deviennent alors la disparition de la vieille ville de Bruxelles et sa sympathie pour le prolétaire flamand. Sa chanson la plus célèbre a d’ailleurs été Léopold II, une chanson dans laquelle il traite ces deux sujets. La chanson parle d’une part d’un sans-abri errant à Bruxelles, qui ressemble physiquement au second roi de la Belgique ; d’autre part, le chansonnier saisit l’occasion pour regretter le déclin de sa ville natale. Entre-temps, le pacte d'Egmont de 1977, qui fut un pacte politique entre les partis de la majorité du gouvernement Tindemans II, renforce encore son aversion pour la VU, puisque ce parti s’avérera disposé à faire des concessions inacceptables afin d’obtenir la transformation de la Belgique en un État fédéral. Elbers passera au Parti populaire flamand de Lode Claes, qui se manifeste à cette époque surtout dans la région bruxelloise. Pour le Vlaams Blok, successeur de ce parti (et du Parti national flamand de Karel Dillen puisque ce parti formait un cartel avec le premier), il deviendra candidat aux élections municipales de 1988 à Schaerbeek[4].

Entre-temps en 1978, le chansonnier passe du dialecte bruxellois au néerlandais. En 1983, il lance son disque vinyle In ‘t midden van ‘t gewoel (Au milieu de l'agitation). « Très ardent pour ne pas dire virulent dans ces protestations flamingantes, a été le chanteur bruxellois Jef Elbers, qui s’est toujours profilé comme un adversaire notoire de la Belgique », comme l’écrit Peter Notte dans son mémoire inédit (à part sur Internet), tout en notant que, de tous les chansonniers engagés pour la cause flamande, c’était probablement lui le flamingant le plus prononcé, alors que des chansonniers tels que Wannes Van de Velde représentaient plutôt une tendance plus indulgente, et qu’un groupe comme De Elegasten incarnait le superlatif sur lequel Elbers pouvait enchérir[5]. La même année, Jef Elbers écrit un poème en hommage au dirigeant du VMO, Bert Eriksson.

Scénario pour une série télévisée pour les jeunes

À partir des années 1980, Jef Elbers est également collaborateur de la Radio et Télévision belge, émissions néerlandophones (BRT). Sous le pseudonyme Dick Durver, il écrit des scénarios de programmes télévisés pour les jeunes, tel que Merlina,Postbus X et Interflix. Merlina est une série de détective pour enfants. Initialement, l'intention était de ne faire que vingt épisodes, mais finalement on en crée 95[6]. Pour la radio, il travaille sur le programme In ’t lieg plafon, diffusé dans le dialecte de Bruxelles.

Au milieu des années 1980, Elbers abandonne sa carrière de chansonnier.

1992-2000

Le conseil d'administration de la BRT

À partir d'avril 1992, en tant que premier représentant du Vlaams Blok, le parti pour lequel il a été candidat aux élections municipales de 1988 à Schaerbeek, Elbers siège au conseil d'administration de son ancien employeur, la BRTN. Après l’avoir désigné comme leur représentant au sein du conseil d’administration, le Vlaams Blok précise en février 1992, que le parti politique veut contribuer de manière constructive à la gestion de la BRTN, « une institution qui s’est montrée dans le passé l’un des opposants les plus amères du Vlaams Blok. » Le parti veillera à ce que la BRTN ne se livre plus à la désinformation, la manipulation ou l'interprétation et souhaite la stimuler à promouvoir le civisme flamand et à mettre l'accent sur la culture flamande[7]. Jef Elbers lui-même, déclare vouloir œuvrer pour « une diffusion publique de radio et télévision plus proche du peuple, qui impose le respect, fait preuve de joie au travail et donne la priorité à sa propre culture néerlandaise. »[8] Elbers est un des rares artistes que le parti ait pu attirer jusqu’ici[9].

À une époque d’affolement politiquement correct et d’hypercorrection, non peureux d’émettre une opinion différente, il s’attaquait aussi à ‘l’agence de l'émancipation’ de la BRTN : « Ce service a été mis en place afin de faire plaisir à Miet Smet et s’occupe soi-disant ‘d’actions positives’ pour les femmes de la Maison » (NDLR: la BRTN). « Cet agence d’émancipation ferait mieux d’investiguer pourquoi les femmes de la BRTN sont en moyenne malades quatre jour de plus que leurs collègues masculins, plutôt que d'étudier avec Paula D'Hondt la façon dont un étranger pourrait obtenir un petit poste dans la BRTN. »[10]

Knokke-Heist et une nouvelle série de programmes pour les jeunes

Après avoir vécu de nombreuses années à Schaerbeek, Jef Elbers déménage, et s’installe dans la ville côtière Knokke-Heist où en décembre de cette année, il devient (temporairement) président du département du VB de Knokke-Heist.

En 1994, la BRTN lance une nouvelle série pour jeunes, Interflix ; une production de la BRTN faite avec un petit budget et beaucoup d'enthousiasme, selon un article du journal Het Belang van Limburg. Comme Postbus X, Interflix est un feuilleton léger à la fois passionnant et relaxant pour des jeunes entre 10 et 14 ans. Les histoires écrites par Dick Durver/Jef Elbers sont aussi simples et fort structurées que celles des bandes dessinées populaires. « Quelques héros, l’un un peu plus malin que l’autre, sont confrontés à une situation qui cause quelques petits problèmes. À la fin de l'épisode, les problèmes sont résolus : les héros sont les vainqueurs et les coupables éventuels courbent la tête en remords. » « S’il s’agissait encore dans Merlina d’une véritable agence de détectives et dans Postbus X de la rédaction d’un journal, Interflix est l’histoire d’une agence intérimaire organisée de façon un peu chaotique, qui tombe dans les problèmes de différentes manières. »[11]

Quand Elbers prend la décision de réorienter ses activités sur les programmes de télévision, il quitte le conseil d’administration, puisque cela n’aurait pas été compatible avec sa fonction au sein de la direction de la BRTN[12]. En 1996 le Vlaams Blok le remplace comme représentant du parti au sein du conseil d’administration par Inge Vanpaeschen, photographe et conseillère municipale à Knokke, qui avait raté sa cooptation comme sénatrice[13]. Sous le sobriquet Telemacho Elbers écrit encore pour la rubrique TV du magazine 't Pallieterke.

2000 et après

La liberté d'expression et la liberté artistique mises en cause

Lors des élections municipales de 2000, Jef Elbers, étant candidat inéligible sur la liste du VB déclare : « Knokke-Heist est une ville touristique. Nous sommes donc pleinement conscients qu'il existe une grande colonie d’allophones. Malgré cela, Knokke-Heist ne peut pas être une commune à facilités. L'hospitalité et la courtoisie ne sont pas identiques à la servilité commerciale … » [14]

Cette même année, Jef Elbers est convoqué devant le tribunal correctionnel à cause de sa chanson Mohammed Ambras, qui a été immédiatement déclarée de tendance raciste dans le journal De Morgen. La chanson avait été écrite en réponse aux émeutes causées par des immigrés en novembre 1997 ; elle commence par les mots : « J'ai vu récemment à Anderlecht la réalité de l’Intifada ; une bande de racaille brune s’y livrait aux pires excès ». Des phrases telles que « Les défavorisés ont de nouveau fait une course à Schaerbeek dans leur BMW » et « On a volé dans de nombreux magasins ; la police n’y a que tout mouillé » furent considérées comme étant offensant et une incitation à la haine raciale. Le Procureur Kathleen Desaegher prétendait qu'Internet était accessible à tout le monde et que la chanson pouvait être lue et écoutée sur le site Web de l’organisation des jeunes (VBJ) du parti Vlaams Blok en 1997. Elbers affirme qu’on ne l’avait pas demandé son autorisation pour mettre la chanson sur le site, mais qu'il aurait certainement accordé son consentement si on le lui avait demandé au préalable[15]. Philip Claeys, lui aussi, se trouvait sur le banc des accusés, parce qu’en tant que président de la VBJ, on le tenait responsable du contenu du site. L’Affaire avait commencé avec un procès-verbal par la brigade nationale de la police judiciaire, suite a une plainte déposée par un visiteur du site. Elbers, qui ne nie pas être l'auteur de la chanson incriminée, propose au juge de lui chanter la chanson. Le juge ne juge cela pas nécessaire. Le procureur estime qu’écrivain et éditeur (Claeys) violaient la législation sur le racisme en utilisant des phrases telles qu’« une bande de racaille brune à tout démoli ».

Comme la chanson aurait connu une distribution large via le site Web, le procureur Desaegher considère l’intention d’inciter à la xénophobie être prouvée. Elle exige une peine d’emprisonnement effective de cinq mois. La défense demande la suspension du procès. L'avocat qui plaide en faveur de Claeys, allègue que le tribunal pénal n'est pas compétent pour un délit de presse datant de 1997. Ce n’est qu’en 1999, que l’on a fait exception à la règle qui stipulait que les délits de presse - aussi ceux teintés de racisme - devraient comparaître immédiatement devant la cour d'assises. Appliquer rétroactivement cette exception, serait porter atteinte au principe de l’égalité. La chanson avait entre-temps disparu du site Web[16]. Les avocats demandent alors l’acquittement de leurs clients. L’avocat Verreycken peigne l’image d’un Elbers qui, depuis les années 1970, fait des chansons très polémiques : « Il a écrit une ballade des rats dans laquelle il compare les francophones bruxellois dans toute leur arrogance à ces animaux. Elbers appartient à cette génération de Boudewijn de Groot, Mikis Theodorakis et Jacques Brel qui produisaient des chansons contestataires. Ce dernier n’a - à juste titre – jamais été poursuivi pour son tube contre les flamingants. La liberté artistique permet qu’on s’exprime de façon rude sur les Belges, mais pas sur les étrangers. La loi contre le racisme est donc discriminatoire. Le tribunal doit donc renvoyer la loi contre le racisme à la Cour d'Arbitrage. On ne peut pas abuser de cette loi pour restreindre la liberté artistique. »[17]

Fin de l’année 2000, Jef Elbers et l’ex-président du VBJ, Philip Claeys, sont acquittés. Le procureur avait pourtant exigé cinq mois d’emprisonnement effectif. Le tribunal a suivi le point de vue du chansonnier qui avait soutenu que la chanson de protestation critiquait l'échec de la politique migratoire de Paula D'Hondt[18] : « Il ne s’agissait que d’une chanson et non pas d’un ouvrage scientifique, ce qui fait qu’il n’y a que peu de place pour des nuances. On peut discuter de l'absence de valeur artistique ou de bon goût, mais le tribunal n'en a rien à voir. Le racisme n’y est pas », disent les juges[19]. « On m’a toujours appris à l'école : lis ce qui est écrit. C'est ce que le procureur aurait dû faire aussi. Ce verdict, je ne trouve ça pas une victoire. Ce procès n’aurait jamais dû avoir lieu. N’ont-ils vraiment rien d'autre à faire ? », avait répondu Jef Elbers[20].

Le CPAS, les élections législatives et un nouveau livre

À l’occasion de l’installation en 2001 du conseil d'administration du Centre public d’action sociale à Knokke-Heist, le Vlaams Blok exprime son mécontentement par l’intermédiaire de son représentant, le conseiller Jef Elbers, pour le fait que, bien que le parti soit le plus grand de l’opposition, celui-ci est exclu de tous les comités. Les représentants des différents partis politiques au sein de ces comités devaient être nommés lors de la réunion du conseil, mais dû à l’accord entre le parti socialiste flamand, le SP, et RAAK, le VB est exclu de tous ces comités. Elbers déclare alors que le conseil est une bande d’hypocrites et refuse à la fin de la séance de figurer sur la photo du groupe. Il continue à siéger comme membre du conseil jusqu'en janvier 2007[21].

Jef Elbers, un écrivain assidu de lettres de lecteurs, donna son analyse des élections législatives du 10 juin 2007 pour son parti dans une lettre de lecteur dans 't Pallieterke : « Le Vlaams Belang a perdu les élections. [...] Ce cercle vicieux ne peut être arrêté a moins que le Vlaams Belang devient ce que le Vlaams Blok a été auparavant : un parti contre l’ordre établi. » [22]

En avril 2008, à Knokke-Heist, Elbers présente son dernier livre : De poorters van Babel (les bourgeois de Babel).

Discographie sélective

  • World Trade Center, LP Album vinyle - 1974, Omega International - 163 030
  • Er zijn geen bomen in mijn straat (il n'y a pas d'arbres dans ma rue), LP Album vinyle - 1975, Omega International - 163 016
  • De donderdagman (l’homme du jeudi), LP Album vinyle - 1976, Omega International - 143001
  • Met de dood in het hart (la mort dans l’âme), LP Vinyle Album - 1978 Philips - 6320 038
  • De zevende dag (le septième jour), LP Vinyle Album - 1979 Philips - 6320 049
  • In ‘t midden van ‘t gewoel (au milieu de l'agitation), LP Vinyle Album - 1982 Dureco - 88052
  • Afspraak met haar (rendez-vous avec elle), Vinyle 7 Single - 1981, Tami - 230 655

Une discographie complète (avec davantage de simples) est disponible pour consultation sur le site Web du Muziekarchief (archives musicales)

Une vidéo avec une chanson d’Elbers est actuellement sur Youtube : Eer Vlaanderen vergeten (avant que la Flandre périsse)

Séries télévisées

  • Merlina (1983-1988)
  • Mik, Mak et lundi (1986-1988)
  • Postbus X (début des années 1990)
  • Interflix (1994)

Littérature d'enfance et de jeunesse

  • Merlina’s mysterieboek (le livre des mystères de Merlina, 1984)
  • Marsmannen van Venus (les Martiens de Vénus,1986)
  • Mik, Mak & Mon : de gezanten van Galacton (Mik, Mak & Mon : les ambassadeurs de Galacton, 1986)
  • Het geheim van Sardonis (le secret de Sardonis, 1990)
  • De dossiers van postbus X (les fichiers de la boîte X, 1991)

Romans

  • Chorwon (1986)
  • De poorters van Babel (les bourgeois de Babel, 2008)

Notes et références

  1. Matthias Vandezande, Rechts-radicalisme tussen Noordzee en Leiestreek: een analyse van het Vlaams Blok in West-Vlaanderen, mémoire de licence inédit, année académique: 2001-2002, Université de Gand
  2. lvd dans Het Nieuwsblad, 15 novembre 2002
  3. Jean Trembloy/Guido Van Cauwelaert, Historisch onderzoek naar het ontstaan van het socialisme in Wambeek, Lombeek en Ternat (recherche historique sur les origines du socialisme à Wambeek, Lombeek et Ternat) (site Internet)
  4. a et b Matthias Vandezande, Rechts-radicalisme tussen Noordzee en Leiestreek : een analyse van het Vlaams Blok in West-Vlaanderen, mémoire de licence inédit, année académique: 2001-2002, Université de Gand
  5. Peter Notte, De Vlaamse Kleinkunstbeweging na de Tweede Wereldoorlog, Een historisch overzicht (La nouvelle vague de cabaretiers et chansonniers après la Seconde Guerre mondiale. Une aperçue historique), mémoire de licence, faculté des Sciences et Lettres, groupe de la philologie germanique de l’Université de Gand, année académique 1991-1992
  6. vdb dans De Standaard du 8 avril 2008
  7. NN dans De Tijd, 28 février 1992
  8. NN dans De Tijd du 7 avril 1992
  9. Stijn Tormans dans Knack du 2 novembre 2005
  10. Blog du Front Anti-Fasciste (AFF), 17-04-2008
  11. mcr dans Het Belang van Limburg du 5 octobre 1994
  12. Belga, Het Belang van Limburg, 3 juillet 1995
  13. NN dans De Tijd du 6 mars 1996
  14. PPK dans Het Nieuwsblad/Bruges du 2 septembre 2000
  15. ADC dans Het Nieuwsblad/Brabant/Louvain du 31 octobre 2000
  16. Guy van Vlierden dans De Morgen du 31 octobre 2000
  17. John De Wit dans la Gazet van Antwerpen/Metropolis, 31 octobre 2000
  18. Het Volk/Algemeen du 7 décembre 2000
  19. JOWI dans Het Belang van Limburg du 7 décembre 2000
  20. Pascal Jacquemyn dans Het Laatste Nieuws/De Nieuwe Gazet » du 7 décembre 2000
  21. PPK dans Reuters/Bruges du 5 avril 2001
  22. Blog du Front anti-fasciste (AFF), 17-04-2008

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Jef Elbers de Wikipédia en français (auteurs)

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