Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace

Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace
Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir ISAE.
Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace
Logo ISAE.jpg
Devise L'excellence, passionnément
Informations
Fondation 2007 rapprochement de l'École nationale supérieure de l'aéronautique et de l'espace (1909) et l'École nationale supérieure d'ingénieurs de constructions aéronautiques (1945)
Type École d'ingénieurs
Localisation
Coordonnées 43° 34′ 00″ N 1° 28′ 30″ E / 43.5665729, 1.475103943° 34′ 00″ Nord
       1° 28′ 30″ Est
/ 43.5665729, 1.4751039
  
Ville Toulouse
Pays Drapeau de France France
Région Midi Pyrénées
Campus Rangueil et La Roseraie
Direction
Président Olivier Fourure
Chiffres clés
Personnel 420 (en 2010)
Enseignants 106 (en 2010)
Enseignants-chercheurs 41 en 2010[1]
Étudiants 1 488 (en 2010)
Doctorants 200 (en 2010)[2]
Niveau Bac+5 à bac+8 (école doctorale)
Diplômés/an 297 ingénieurs diplômés en 2009[1]
Divers
Site web www.isae.fr

Géolocalisation sur la carte : France

(Voir situation sur carte : France)
Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace

L’Institut supérieur de l’aéronautique et de l’espace ou ISAE est un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel sous tutelle du Ministère de la Défense[3].

L'ISAE a notamment pour mission de former des ingénieurs dans les domaines aéronautique et spatial et les domaines connexes, de dispenser des formations doctorales et de conduire des travaux de recherche scientifique et de développement technologique. L'ISAE a été créé par décret 2007-1384 du 24 septembre 2007[4] et résulte du rapprochement de l’École nationale supérieure d'ingénieurs de constructions aéronautiques (ENSICA) et de École nationale supérieure de l'aéronautique et de l'espace (SUPAERO). L’établissement est placé sous la tutelle du ministère de la Défense, tutelle exercée par la DGA. L’École délivre deux diplômes d’ingénieur distincts (ingénieur ENSICA et ingénieur SUPAERO) et sous son propre sceau des mastères spécialisés, masters (professionnels et recherche) et doctorat.

Ce rapprochement s’inscrit dans le dynamisme du pôle de compétitivité Aerospace Valley au sein duquel l’ISAE aura une partie de ses locaux (Aerospace Campus)[5].

L’ISAE est une école d’application de l’École polytechnique (par sa filière ingénieur SUPAERO) et forme une partie des ingénieurs du corps de l’armement et des études et techniques de l'armement comme spécialité sur le concours de l'ENSIETA militaire.

En 2011, l'ENSMA à Poitiers adopte la marque ISAE et prend le nom ISAE-ENSMA.

Sommaire

Mission

La mission de cet institut est d’accroître la visibilité et l’attractivité[6], en France et surtout à l’étranger, des divers cursus qu'il rassemble, et en particulier l'ENSICA et SUPAERO. Il a également pour but de mutualiser les ressources financières et humaines, et d'accentuer les coopérations avec les centres de recherches (en particulier avec l’Office national d'études et de recherches aérospatiales (ONERA).

Statut et organisation

Cet institut sous tutelle du ministère de la Défense, a le statut d’établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPCSCP) dans la série des grands établissements et est régi par les articles R.3411-1 à R.3411-28 du code de la défense[7]. Il est habilité par la commission des titres d’ingénieur à délivrer deux diplômes d’ingénieur sanctionnant les deux formations initiales qui conservent leurs spécificités. L’ISAE délivre sous son sceau des diplômes nationaux (doctorat et master) et des diplômes propres d'établissement (mastères spécialisés).

La gestion de l'institut est confiée à un conseil d'administration de 27 membres et à un directeur général. Le directeur et le conseil sont assistés d'un conseil de la formation, d'un conseil de la recherche et d'un conseil de perfectionnement ayant un rôle consultatif.

Campus

L’ISAE est situé à Toulouse et s’étend sur deux campus (le campus de l’ENSICA et celui de SUPAERO).

Campus ENSICA

Pendant les premières semaines après le rapprochement, il a également été appelé Campus Jolimont. Il est situé dans le quartier de la Roseraie, le campus est desservi par la ligne A du métro. Ce campus comporte deux immeubles d’habitation, un restaurant universitaire, le foyer des élèves ENSICA, ainsi que des installations sportives[8].

Campus SUPAERO

Situé dans le complexe scientifique de Rangueil, le campus est entouré par l’ONERA, le CNES, le CREPS, l’ENAC, l’INSA, et l’université Paul-Sabatier. Il est situé le long du canal du Midi (avec un accès direct au canal). Outre les bâtiments enseignements regroupant les trois amphithéâtres, des salles de cours, un centre informatique, une bibliothèque ainsi que de nombreux laboratoires de recherche, le campus dispose de trois résidences, soit 470 chambres (d’environ 9 m² chacune) et 24 studios (18 T1 et 6 T1bis), qui accueillent la plupart des étudiants. Il offre aussi aux étudiants de très nombreuses installations sportives[9].

La filière Ingénieur ENSICA

Enseignement

Cette filière pratique l’enseignement par la recherche[réf. nécessaire]. Elle dispense un enseignement supérieur dans le domaine aéronautique et spatial à des élèves ingénieurs civils ou militaires.

Le cycle ingénieur a pour objectif la formation d’ingénieurs pluridisciplinaires aptes à conduire des projets techniques complexes dans un contexte international.

Les études se déroulent en trois ans et sont profondément ancrées dans les réalités industrielles aéronautiques et spatiales de pointe. Tout au long des trois années, l’élève complète sa formation aux sciences et techniques de l’ingénieur en suivant des cours d’économie et de gestion, de communication, de langues vivantes ; il apprend à gérer des projets, pratique l’assurance qualité, se forme à la conduite de la recherche, notamment pendant les PIP (Projets d’initiative personnelle) effectués en seconde année.

La scolarité se termine par la réalisation d’un projet effectué en milieu industriel ou en laboratoire, sur une durée de 4 à 6 mois, en France ou bien à l’étranger. Les élèves ont de plus la possibilité, sous réserve d’avoir monté un projet cohérent soutenu devant un jury de sélection, d’effectuer une année intercalaire complémentaire, dite d’immersion en entreprise, pour introduire une première alternance dans leur formation.

La promotion Ingénieur ENSICA 2010 comprenait 112 diplômés[10].

Recrutement sur concours

Le recrutement pour un cycle complet de trois ans s’effectue sur le concours commun polytechnique après deux (ou trois) années de classes préparatoires[11].

Recrutements parallèles

Un nombre limité de places en première année est réservé à des élèves de Prépa INP en fonction de leur classement final lors de leur scolarité en Prépa INP.

L’admission sur titre en deuxième année d’élèves titulaires d’une maîtrise ou d’un diplôme d’ingénieur est prononcée par un jury interne à l’École. L’admission des ingénieur des études et techniques de l'armement se fait au niveau de la seconde année après l'ENSIETA.

Quelques anciens élèves notoires

L'ENSICA a formé de nombreux ingénieurs dont[12] :

La filière ingénieur SUPAERO

SUPAERO a célèbré son centenaire en 2009[13]. Elle fait partie des cinq formations d'ingénieur les plus sélectives[14] et les plus prisées par les élèves de Classe préparatoire aux grandes écoles[15]. Le prestige de SUPAERO dépasse les frontières de l'Hexagone[16]. SUPAERO forme des ingénieurs généralistes et polyvalents aptes à exercer dans un large spectre d'activités.

Enseignement

La scolarité dure trois ans. Les deux premières années sont principalement constituées d’un tronc commun obligatoire complété, les derniers mois de l’année, par une majeure (ou option) et un projet d’initiation à la recherche (PIR) qui permettent aux étudiants d’explorer un nouveau domaine de compétence ou d’approfondir un enseignement de tronc commun. Au cours des deux premières années dans le cadre de la formation humaine, les étudiants suivent des séminaires de culture générale, à raison de trois heures toutes les deux semaines.

Le tronc commun de première année comporte des enseignements de mathématiques et de physique, et se veut également une initiation aux techniques de l'ingénieur et à la gestion d'entreprise. Après environ 9 mois de tronc commun la première année s'achève par le choix d'un enseignement parmi les suivants : mathématiques, économie, astrophysique (physique statistique, relativité, planétologie), nanosciences, aérodynamique - dynamique du vol, informatique.

Ces enseignements ont vocation à enrichir la culture générale des élèves, et n'ont pas de rapport direct avec le métier d'ingénieur. En première année, les élèves ont une liberté quasi-totale dans le choix de leur sujet de projet de fin d’année (PIR).

La scolarité de seconde année est orientée vers les sciences de l’ingénieur (automatique, mécanique des structures, dynamique du vol, aérodynamique, électronique, traitement du signal…). À partir du mois de mars, les élèves ont également à monter un avant-projet d'avion ou de fusée par exemple. À partir du mois d’avril, les élèves choisissent à nouveau leurs sujets d’étude (PIR et majeure). Les majeures de seconde année sont: économie (macro, micro, économie industrielle, relations internationales), modélisation pour l’aide à la décision, énergétique et propulsion, commande des systèmes, aérodynamique, informatique, matériaux - structure, méthodes - modèles mathématiques, ondes - signaux et physique - espace.

La troisième année est une année de spécialisation dans différents domaines, au choix, de l’ingénierie mais aussi en finance. Grâce aux accords avec des universités étrangères (MIT, Stanford, KTH, Polytechnique Montréal, Cranfield, Imperial College, Politécnica de Madrid, Technische Universität de Berlin...), les élèves ont la possibilité d’effectuer cette troisième année à l’étranger (dans le cadre d’une substitution) ou bien d’effectuer un double diplôme. Chaque élève a l’obligation d’effectuer une partie de son cursus à l’étranger en stage et/ou en études d'au moins 2 mois. Plusieurs approfondissements sont possibles en troisième année: aérodynamique, automatique, ingénierie financière, imagerie, systèmes informatiques, logistique, architecture mécanique et thermique des véhicules spatiaux, propulsion, physique spatiale et imagerie, structures, télécommunication / navigation.

À la fin de leur troisième année, une soixantaine d'élèves sélectionnés a la possibilité de suivre les cours du diplôme d'études supérieures en ingénierie des affaires pour compléter leur enseignement par une formation en management[17].

Recrutement

Le recrutement pour un cycle complet de trois ans s’effectue sur le concours Mines-Ponts après deux (ou trois) années de classes préparatoires. Une procédure d’admission sur titre est aussi ouverte aux étudiants français et étrangers pour une entrée en première ou seconde année.

Quelques anciens élèves célèbres

Voir la catégorie : Élève de l'École nationale supérieure de l'aéronautique et de l'espace.
  • Raoul Badin 1910, inventeur du « badin », instrument permettant de mesurer la vitesse d’un avion
  • Henri Coandă 1910, roumain, physicien et créateur du premier avion à réaction. On lui doit la découverte de ce que l'on appelle aujourd'hui l’effet Coandă
  • Henry Potez 1911, constructeur d’avions et inventeur de l'hélice portant son nom
  • Marcel Dassault 1913, constructeur d’avions, fondateur de Dassault Aviation
  • Mikhail Gurevich 1913, constructeur d’avions, fondateur du bureau MIG
  • Maurice Hurel 1921, constructeur d’avions
  • René Couzinet 1925, créateur de "l'Arc-en-ciel", l'avion mythique de Mermoz. Il inventa également le "manche à balai" moderne et le train d'aterrissage escamotable
  • François Hussenot 1935, inventeur de l'hussonographe, mondialement connue connue sous le nom de « boîte noire », qui est d'ailleurs... orange
  • Jean-Pierre Petit 1961, ancien directeur de recherche au CNRS, l’un des pionniers en recherche expérimentale sur la magnétohydrodynamique, en théorie de la "bi-gravité" (cosmologie), défenseur de théories sur les OVNI
  • Jean Laurent 1967, président du Crédit agricole et du Crédit lyonnais
  • Bernard Ramanantsoa 1971, directeur général d’HEC
  • Charles Champion 1978, ancien directeur du programme Airbus A380, chef des opérations d’Airbus
  • Thomas Pesquet 2001, ingénieur CNES, pilote de ligne et astronaute

anciens X-Supaero

Formations doctorales

Plusieurs thèses de doctorat sont préparées dans les différents départements de l’institut.

Masters et Mastères spécialisés

L’institut est habilité à délivrer, conjointement avec d’autres établissements d’enseignement supérieur, les masters recherches (ex DEA) suivants : économie des transports, télécommunications et réseaux, génie mécanique, dynamique des fluides, signaux, images et acoustique, systèmes informatiques, systèmes automatiques.

L'ISAE propose par ailleurs 20 mastères spécialisés parmi lesquels : astronautique, maintenance aéronautique et production, navigabilité des aéronefs (conjointement avec l’ENAC et l'Ecole de l'air[19]), support logistique intégré, techniques de l’hélicoptère, aerospace project management (conjointement avec l'ENAC[20] et l'École de l'air[21]), etc.

Formation continue

L'école réalise une importante activité de formation continue par le biais de sa filiale EUROSAE commune avec l'ENSTA.

Les clubs et les associations

L’ISAE regroupe une soixantaine de clubs. Parmi eux, on retrouve un club montagne (escalade et randonnées), de nombreux clubs de sports ou encore des clubs à vocation plus technique comme le club Eco Marathon Shell participant à la course du même nom ou le Club Robotique participant à la Coupe de France et d’Europe et figurant régulièrement aux premières places (2e de la Coupe de France en 2006, 2e de la Coupe de France et 1er de la Coupe d’Europe en 2004). Toutes ces activités sont en très grande partie financées par l’école et les partenaires des clubs.

Via ses clubs et associations, ISAE organise aussi de nombreux événements : Supaerowing (plus grande régate universitaire d’aviron française, organisée sur la Garonne), lRaid ISAE (raid nature multisports : VTT, canoë, course à pied, course d'orientation, etc); Airexpo (meeting aérien organisé en collaboration avec l'ENAC)[22]), la convention de jeux de rôles de SUPAERO (une des plus anciennes d’Europe et une des rares à proposer des jeux de rôle sans règles), le forum toulouse technologies (salon visant à mettre en contact étudiants et entreprises (en partenariat avec d’autres écoles)[23]), IsaeSpace (association visant à promouvoir les activités des élèves dans le domaine spatial/astronomique, à informer les élèves et organiser des événements comme des conférences, enfin à rechercher des partenariats).

SUPAERO Junior Conseil

SUPAERO Junior Conseil est la Junior-Entreprise de l’école. Elle s’appelait GERSA (Groupement d’études et de recherche de SupAéro) jusqu’en 2005[24].

La Junior-Entreprise est une société de conseil qui encadre tout au long de leur réalisation, des projets sur lesquels travaillent des étudiants de l’école, pour le compte de sociétés clientes.

Activités aéronautiques

L’institut propose tous les ans aux élèves motivés des structures et un soutien financier pour s’initier aux activités aéronautiques suivantes : vol à voile, parachutisme, parapente, et vol moteur. Des cours théoriques sont dispensés en option, validés par un examen qui donne accès aux activités.

Vol à voile

Les élèves peuvent pratiquer le vol à voile à Saint-Rémy-de-Provence. L’institut subventionne les heures de vol effectuées durant la scolarité.

Parachutisme

Ce sport peut être pratiqué dans le cadre des activités aéronautiques, après obtention de 50% de bonnes réponses à l’examen cité plus haut. Le paraclub est celui de Pamiers, situé à moins d’une heure de Toulouse. Le saut revient à 10 € au lieu de 25 € grâce à la subvention de l’école.

Parapente

Le club Les Voiles Caïennes s’est donné pour objectif de faciliter la pratique du parapente pour les élèves et pour le personnel de l’école. Les élèves peuvent être subventionnés jusqu’à l’obtention du brevet dans le cadre de la formation aéronautique. Un parc d’équipements de vol peut être prêté aux membres brevetés et assurés. L’adhésion du club à la Fédération française de vol libre permet de participer à l’effort de développement de la pratique et d’assurer un cadre à celle-ci : informations, réglementation, licence-assurance. Les élèves peuvent suivre des cours menant au brevet de pilote de la fédération. Ces cours étant en partie subventionnés par l'ISAE. Les élèves et personnels disposant du brevet de pilote peuvent ensuite emprunter gratuitement les voiles du club. Cette philosophie est axée sur la découverte et la pratique d'un sport qui serait sans ce club difficilement accessible aux étudiants, en raison du coût du matériel.

Vol moteur

Les cours suivis à l’école permettent d’obtenir la partie théorique de la licence de pilote privé (PPL). Les leçons pratiques se déroulent à l’aérodrome de Lasbordes (à 15 minutes en vélo du campus de Rangueil), au sein de l’aéroclub Claude-Chautemps qui gère son propre parc d’avions et celui de l’ISAE en commun. L’école subventionne plus des deux tiers de la licence, et cette aide peut se cumuler avec les bourses aéronautiques.

Réseaux

L’ISAE est partie prenante d’organisations telles que : le GIFAS, le Groupement des écoles d'aéronautique, l'Institut sino-européen d'ingénierie de l'aviation, le réseau Pegasus, l’association étudiante européenne SSETI (Student Space Exploration and Technology Initiative[25]) et l' Aerospace Valley, etc.

Ces réseaux permettent notamment aux élèves de l'ISAE d'effectuer une année dans une université partenaire, parmi lesquelles : Imperial College of London (Royaume-Uni), Université de Cranfield (Royaume-Uni) - au sein de laquelle les élèves peuvent suivre l'ensemble des masters proposés, en particulier ceux de la School of Engineering, proposant des masters en Flight Dynamics, Aerospace Vehicle Design (AVD), Astronautics, Crash, Automotive, etc-, Université polytechnique de Madrid, KTH Stockholm (SWD), Université de Glasgow (Royaume-Uni), Université de Buffalo (États-Unis), etc.

Par ailleurs, les anciens élèves des cursus SUPAERO et ENSICA, ainsi que ceux des autres formations supérieures délivrées par l'ISAE, ont constitué une association commune, l'Amicale ISAE. Cette association, reconnue d'utilité publique, rassemble le patrimoine, les ressources et les réseaux spécifiques des deux associations antérieures, l"association SUPAERO et l'association des ingénieurs ENSICA.

Cette évolution a été approuvée par le Ministre de l'Intérieur par arrêté du 10 juillet 2009, publié au Journal officiel du 21 juillet. Cette nouvelle association, dont le siège est à Paris, regroupe les diplômés des deux filières, qu'ils l'aient été avant ou après la création de l'ISAE, ainsi que les titulaires des autres diplômes délivrés sous sceau ISAE.

Cette association est membre du CNISF.

Lien externe

Notes et références

  1. a et b Chiffres clés de l'Institut sur ISAE.fr
  2. Jean-Claude Lewandowski, « L'Isae se rêve en « Harvard de l'aéronautique » » sur lesechos.fr, 22 juin 2010
  3. Fiche d'identité, consulté sur site www.isae.fr le 30 octobre 2011
  4. [PDF]Décret no 2007-1384 du 24 septembre 2007 portant création de l’Institut supérieur de l’aéronautique et de l’espace, consulté sur site www.isae.fr le 30 octobre 2011
  5. Site de l'Aerospace Valley
  6. ISAE, Les ambitions
  7. Code de la défense, art. R. 3411-1 et suivants.
  8. Campus ENSICA, consulté sur site www.isae.fr le 30 octobre 2011
  9. Campus SUPAERO, consulté sur site www.isae.fr le 30 octobre 2011
  10. Retour sur les cérémonies de remise de diplômes et des prix 2010, consulté sur site www.isae.fr le 30 octobre 2011
  11. Le recrutement, consulté sur site www.isae.fr le 30 octobre 2011
  12. Ouvrage Cinquantenaire de l'ENSICA, préface de Charles Millon, LSP-EDITO, Toulouse 1995
  13. SUPAERO fête ses 100 ans à Toulouse, 11 septembre 2009, consulté sur site www.esa.int le 30 octobre 2011
  14. Statistiques des concours http://www.scei-concours.fr/
  15. L'Institut (très) supérieur de l'aéronautique et de l'espace, Christian Bonrepaux, 15 décembre 2010, consulté sur site www.lemonde.fr le 30 octobre 2011
  16. YANNICK D'ESCATHA : "LES FORMATIONS FRANÇAISES SONT RECONNUES DANS LE MONDE ENTIER ", 30/11/2007, consulté sur site www.usinenouvelle.com le 30 octobre 2011
  17. Le DESIA, consulté sur site www.isae.fr le 30 octobre 2011
  18. a, b et c Des anciens célèbres (Supaéro)
  19. Mastère Spécialisé : Aviation safety aircraft airworthiness, consulté sur site www.cge.asso.fr le 30 octobre 2011
  20. [PDF]Plaquette de présentation des Mastères Spécialisés de l'ENAC, consulté sur site www.enac.fr le 30 octobre 2011
  21. [PDF]Mastère Spécialisé Aerospace Project Management, consulté sur site www.isae.fr le 30 octobre 2011
  22. Bienvenue sur le site d'Airexpo, consulté sur site www.airexpo.org le 30 octobre 2011
  23. Forum Toulouse Technologies, 21ème édition, consulté sur site www.forum-toulouse.fr le 30 octobre 2011
  24. [PDF]Supaero Junior conseil, consulté sur site www.supaerojuniorconseil.com le 30 octobre 2011
  25. SSETI

Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace de Wikipédia en français (auteurs)

Игры ⚽ Нужен реферат?

Regardez d'autres dictionnaires:

Share the article and excerpts

Direct link
Do a right-click on the link above
and select “Copy Link”