Institut De Recherche Et D'innovation

Institut De Recherche Et D'innovation

Institut de recherche et d'innovation

En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l'Institut de recherche et d'innovation (IRI) pour anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques. En août 2008, l'IRI a acquis un statut d'association de recherche autonome co-fondée par le Centre Pompidou, le Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB) et Microsoft France. Depuis cette date ils ont été rejoints par le Goldsmith College de l'Université de Londres, l'ENSCI, l'Institut Télécom et l'Université de Tokyo.

Sommaire

Domaines de recherche

Le programme de recherche de l’IRI se développe sur un domaine de recherche qui est principalement celui des technologies culturelles et cognitives pour l’adresse au public dans le contexte émergent du web 2.0. et des réseaux sociaux, et en vue de préfigurer des technologies du web 3.0. conçues comme dispositifs collaboratifs de production et de partage d’appareils critiques et d’espaces critiques. Le but est de constituer de tels appareils et espaces critiques au service de cercles d’amateurs. Cette hypothèse, qui est centrale pour l’avenir de toutes les pratiques culturelles, concerne cependant un champ beaucoup plus vaste. En vérité, il s’agit de faire du champ de la culture un laboratoire pour penser l’évolution de la société consumériste qui s’est mise en place au XXème siècle vers une société fondée sur de nouvelles formes d’échanges s’appuyant sur la coopération.

Dans ce contexte, la méthode de travail de l’IRI s’appuie sur trois activités :

  1. Explorer des hypothèses quant au potentiel des technologies les plus récentes des réseaux et des objets communicants, par les activités de l’Atelier, et par la mise en œuvre de groupes de recherche technologique associant étroitement ingénieurs et praticiens des technologies maquettées et prototypées par l’IRI (artistes, critiques d’arts, enseignants, amateurs, étudiants, etc.) ;
  2. Théoriser et formaliser au sein des activités du Collège les résultats de ces travaux de recherche technologique pour les confronter aux objets de la recherche en sciences humaines en revisitant depuis ce contexte les questions les plus traditionnelles de disciplines afférant à l’esthétique, à l’histoire de l’art, à la psychologie, à la philosophie, principalement sous l’angle des rapports de la vie de l’esprit avec les techniques ;
  3. Mettre en scène, en oeuvre et à l’épreuve les résultats de ces travaux, dans les espaces critiques où se forment (concentriquement) les cercles d’amateurs, qui sont des espaces coopératifs de travail soit réservés aux chercheurs, soit communs aux chercheurs, aux amateurs et à différents publics.

Cette approche s’articule autour de trois problématiques théoriques issues du champ des Sciences humaines et sociales (SHS) qui croisent trois objets de recherche technologique dans le champ des Sciences et technologies de l’information et de la communication (STIC).

Les objets et programmes de recherche théorique

L’écologie de l’attention

À l’époque des technologies culturelles et cognitives et de leur convergence, la question est abordée à la fois depuis l’héritage théorique issu de la phénoménologie (où l’attention est définie comme ce qui se forme par la composition de ce que Husserl appelait des rétentions et des protentions) et depuis les apports récents des travaux en économie et en cognition de l’attention. Sont également pris en compte des éléments cliniques dans le domaine des pathologies de l’attention aussi bien que des expérimentations menées principalement en Amérique du Nord pour articuler ce qui a été appelé la deep attention avec l’hyper attention.

PROGRAMMES 2008/2009 RELATIFS À CET OBJET DE RECHERCHE : Séminaire Écologie de l’attention : séminaire prévu en 2009 sous la direction de Bernard Stiegler avec notamment des interventions de Christian Brassac, Frédéric Kaplan (EPFL), Katherine Hayles. Séminaire Désir et technologies : séminaire animé en 2008 par Mathilde Girard (psychothérapeute) en collaboration avec l’équipe de psychopathologie de l’Université Paris Diderot - Paris 7 et l’hôpital Marmottan sur les enjeux psychothérapeutiques des nouvelles technologies et notamment les problèmes.

La figure de l’amateur

Le thème est abordé dans ses aspects historiques et sociologiques mais également sur les enjeux de jugement et ses croisements avec les problématiques muséales et le développement des nouvelles pratiques culturelles induites par les technologies numériques. Il était au coeur de la première édition des Entretiens du nouveau monde industriel qui se sont tenus au Centre Pompidou les 27 et 28 novembre 2007 en partenariat avec l’ENSCI-Les Ateliers et Cap Digital (cf. paragraphe c : Le design du nouveau monde industriel).

Programmes 2008/2009 relatifs à cet objet de recherche :

  • Séminaire Politiques et technologies de l’amateur sous la direction de Laurence Allard (MCF Sciences de la communication, Université Lille 3) (2008-2009). Ce séminaire de recherche souhaite reprendre à nouveaux frais la réflexion sur la figure de l’amateur sur le terrain des pratiques culturelles, scientifiques ou politiques s’expérimentant sur Internet ou avec les objets communicants (impensable l’un sans l’autre désormais).
  • Séminaire Muséologie, muséographie et nouvelles formes d’adresse au public avec le Ministère de la culture et de la communication (MRT) et un réseau de musées et de laboratoires intéressés par ces questions (2007-2010), en collaboration avec le projet ADONIS/CNRS Anthroponet (accès et valorisation des archives muséales) et le projet THD Cap Digital (Pratiques culturelles sur les réseaux haut débit). Confrontant à chaque séance le point de vue d’un chercheur, celui d’un conservateur et celui d’un industriel du multimédia, le séminaire explore les avancées les plus récentes tout au long de la chaîne numérique, de l’ingénierie des connaissances jusqu’aux outils de participation du public en passant par les dispositifs d’immersion, les nouvelles scénographies, le musée en ligne, la diffusion sur mobiles, la personnalisation des contenus.
  • Séminaire Histoire et figures de l’amateur coordonné par Jacqueline Lichtenstein (Université Paris IV) sur l’histoire de la figure de l’amateur de son statut officiel à l’Académie royale de peinture jusqu’à son rôle à l’avènement de la société industrielle (2008).

Sur la période 2006-2007, plusieurs programmes de recherche ont été conduits sur la question du jugement et d’attitude critique dans le contexte du théâtre avec Denis Guenoun (Paris 4), dans le contexte de l’art contemporain avec Catherine Perret (Paris 10) et dans le domaine du cinéma avec de nombreuses actions et plusieurs ateliers avec les critiques (Alain Bergala, Jean-Louis Comolli, Youssef Ishaghpour, Sylvie Lindeperg, Raymond Bellour, Marcos Uzal, Jean-Philippe Tessé, Sam Stourdzé) et des enseignants de tous les cycles (maternelle , primaire, collèges, lycées, universités).

Le design du nouveau monde industriel

Collaborations avec de nombreux partenaires au premier rang desquels il faut citer Microsoft, l’ENSCI-Les Ateliers et Cap Digital sur les défis du design à l’ère numérique mais aussi dans un contexte qui évolue irrésistiblement vers l’âge industriel des microtechnologies, des nanotechnologies et des biotechnologies, en sorte que les questions posées au design et par le design doivent être reconsidérées en profondeur – et en analysant les conséquences d’un possible renouveau de la figure de l’amateur, ou plus largement, du contributeur.

Programmes 2008/2009 relatifs à cet objet de recherche :

  • Séminaire Enjeux anthropologiques, culturels et philosophiques des nanosciences et nanotechnologies proposé depuis 2007 par Xavier Guchet, Université Paris IV et Sacha Loeve, Université Paris X. Il vise deux objectifs principaux : d’une part, prendre la mesure des questions épistémologiques, sociales et industrielles depuis la mise en œuvre de ce paradigme en physique et chimie appliquées, et en relation étroite avec la biologie, et d’autre part, poser le cadre théorique et prospectif de référence pour les projets de recherche et de développement de l’IRI dans le contexte prévisible d’une organologie naturelle et dans le contexte des objets communicants.
  • Les Entretiens du nouveau monde industriel : Depuis 2007, l’IRI, le pôle de compétitivité Cap Digital et l’ENSCI-Les Ateliers (École nationale supérieure de création industrielle) organisent une manifestation commune, Les Entretiens du nouveau monde industriel, qui ont vocation à se dérouler chaque année. La première édition qui s’est tenue les 27 et 28 novembre 2007 avait pour objectif d’engager une réflexion sur les enjeux de l’innovation dite ascendante, et liée aux technologies collaboratives, du point de vue du design et de la conception industrielle, et à l’époque où les technologies du numériques se généralisent comme les technologies cognitives et comme technologies culturelles, et au moment où émergent les technologies transformationnelles (biotechnologies et nanotechnologies).

La deuxième édition des Entretiens du nouveau monde industriel s’est tenue les 3 et 4 octobre 2008 au Centre Pompidou et a eu pour thème principal « Cultures, politiques et ingénieries des réseaux sociaux ». La prochaine édition se tiendra en décembre 2009 au Centre Pompidou sur le thème de l’Internet des objets.

La troisième édition se tiendra au Centre Pompidou les 26 et 27 novembre avec pour objectif d’aborder le contexte de l’Internet des objets dans ses enjeux socio-politiques, technologiques et de design. Cette édition a fait l’objet d’un séminaire préparatoire organisé à l’ENSCI et a motivé la mise en place d’une groupe de réflexion dans le cadre du Think Tank Cap Digital.

Intervenants en 2007 : Miguel Aubouy, CEA/Minatec ; Alain Cadix, ENSCI-Les Ateliers ; Frank Cormerais, Université de Nantes ; Roberto Di Cosmo, Université Paris Diderot-Paris 7 ; Florence Devouard, Wikipedia ; Jean-Pierre Dupuy, philosophe ; étudiants de l’ENSCI : Antoine Boilevin, Mathieu Bourel, Maya Campeseto, Olivier Paradeise, Margot Pons, sous la responsabilité d’Aurélien Lemonier ; Jean-Louis Fréchin, ENSCI-Les Ateliers ; Annie Gentes & Isabelle Garron, ENST ; Alain Giffard, Alphabetville ; Xavier Guchet, Université Paris I ; Rafi Haladjan, Violet ; Francis Jutand, GET ; Etienne Klein, CEA ; Saadi Lahlou, EDF R&D et CNRS-EHESS ; Philippe Lemoine, Laser Group ; Charles Lenay, UTC ; John Maeda, MIT Media Lab ; Jacques-François Marchandise, FING ; Jean-Marie Massaud, designer industriel ; Yann Moulier-Boutang, économiste ; François Pachet, Sony CSL; Bernard Stiegler, IRI /Centre Pompidou ; Mario Tascon, Prisa.

Intervenants en 2008 : Serge Abiteboul, INRIA Saclay – Ile-de-France ; Olivier Auber, Laboratoire culturel A+H / ANOPTIQUE ; Bernard Benhamou, Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche ; François Bourdoncle, Exalead ; Pierre-Antoine Chardel, groupe de recherche "Ethique, Technologies, Organisations, Société", Institut TELECOM ; Marc Davis, Yahoo ! Connected Life, Yahoo ! Inc ; Dana Diminescu, Telecom ParisTech ; Jean-Louis Frechin, Designer-Architecte, NoDesign.net ; Alexander Galloway, Université de New York ; Michel Gensollen, Telecom ParisTech ; Richard Harper, Microsoft Research, Cambridge ; Pekka Himanen – Philosophe ; Francis Jutand, Institut TELECOM ; Scott Lash, Goldsmiths, Université de Londres ; Antoine Masson, Centre Chapelle-aux-Champs à Bruxelles, Universités de Louvain et Namur ; Alain Mille, Silex, LIRIS, UMR 5205 CNRS ; Dominique Pasquier, CNRS; Elizabeth Rossé, Hôpital Marmottan ; Bernard Stiegler, IRI/Centre Pompidou ; Ken Wark, Collège Eugene Lang.

Intervenants du séminaire préparatoire (mars 2009) : Daniel Kaplan (FING), Bernard Benhamou, Délégué aux usages de l'internet, Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, l’internet des objets,Xavier Guchet, Université de Paris I ; Yuk Hui, informaticien, Université de Londres ; Pierre Musso, Professeur en sciences de l’Information et de la communication ; Bernard Stiegler, Directeur, IRI / Centre Pompidou ; Jean-Louis Fréchin, Designer-Architecte NoDesign.net - Directeur de Atelier de design numérique ENSCI-Les Ateliers ; Olivier Mevel, designer, Violet ; Xavier Barras, société GS1 ; Valérie Peugeot, Sofrecom ; Jacques François Marchandise, FING ; Yves-Armel Martin, Directeur du Centre d’expérimentation Erasme, département du Rhône – Musée Confluences ; Henri Verdier, Chargé de l’innovation, Lagardère Active ; Christian Verdier, Transversal Design ; Antoine Schmitt, artiste plasticien.

Partenaires de l’événement : Cap Digital et l’École nationale supérieure de création industrielle (ENSCI)-Les Ateliers.

Sites de l’événement : http://amateur.iri.centrepompidou.fr/nouveaumonde et http://digitallyours.fr/les-entretiens-du-nouveau-monde

Les objets et programmes de recherche technologique

Ingénierie des connaissances et ingénierie documentaire dans les appareils critiques

Contrairement à la conception anglo-saxonne dominante, où le terme annotation tend à désigner toute métadonnée qu’elle soit produite par un homme ou une machine, on préférera pour cet objet de recherche opérer une distinction productive entre le processus d’indexation (ou plus généralement la phase d’ingénierie des connaissances qui recouvre également la définition d’ontologies) et le processus d’annotation (plutôt relatif à l’ingénierie documentaire et à la production humaine ou assistée de métadonnées). Cette recherche se revendique empirique en ce qu’elle part de l’analyse de pratiques culturelles identifiées et notamment des chaînes opératoires d’annotation qu’il va s’agir d’instrumenter (au sens d’une organologie générale définie par B. Stiegler) pour mieux les dépasser. La recherche sur les outils d’indexation essentielle dans le domaine des appareils critiques, même si elle est étroitement liée à l’activité d’annotation, n’intervient qu’ensuite.

L’IRI étudie, conçoit et développe par conséquent des outils d'annotation et des appareils critiques d’un nouveau genre, basés sur la combinaison d’architectures documentaires et de métadonnées avec des interfaces de navigation hypermédia, des modules algorithmiques de détection du signal et des modules de représentation de données (cartographie). Le fruit de ces recherches est régulièrement intégré au logiciel Lignes de temps, plateforme d’annotation en ligne et hors ligne pour l'annotation d’objets temporels (films, enregistrements audio). Les recherches dans ce domaine sont étendues progressivement au domaine de l’annotation du langage oral et écrit et à l’annotation d'images.

Les technologies collaboratives

Pour renouveler et aller au-delà de l’actuel développement de ce que l’on regroupe sous le terme web 2.0, l’IRI mène une série de recherches et d’expérimentations notamment sur le concept de « Lectures signées collaboratives » combinant modes d’annotations hérités du livre et encore inexistants sur le web et nouveaux paradigmes pour le travail collaboratif. Un aspect important de ce thème est évidemment la mise au point de technologies de suivi et d’administration d’échanges, de débats et de polémiques appuyés sur les langages d’annotation mentionnés dans l’axe précédent. Cette approche reprend les hypothèses de constitution d’une technologie de la sémantique située, inspirée de la théorie de la cognition située, et qui avait fait l’objet d’une première exploration dans le cadre d’un programme Cognisciences en 1995. Cet objet de recherche recouvre en fait toutes les technologies d’individuation psychique et collective et couvre à la fois les technologies de lecture active (lecture / écriture), les technologies de transcription permettant de passer du discours oral au discours écrit par exemple, et les outils de gestion de cercles.

Interfaces multimodales et mobilité dans les pratiques instrumentées

L’IRI collabore avec le monde de l'enseignement supérieur et l’université dans le champ des sciences cognitives et des sciences de l’éducation pour étudier l’impact à long terme des technologies affectant le corps de manière générale et favorisant l’émergence de nouvelles pratiques amateurs, éducatives et professionnelles. La motricité est en effet un élément capital de la capacité du jugement : c’est souvent en répétant et en « gestualisant » une forme symbolique que l’on peut le mieux l’appréhender. L’oreille musicale se forme dans l’activité gestuelle et oculaire que coordonnent l’instrument et la partition, de même que l’œil du peintre ne se forme que par l’activité de ses mains manipulant et maîtrisant des techniques. C’est par de tels « circuits » entre organes que se constituent les objets esthétiques. On vise particulièrement dans cet axe l’étude et le développement de nouveaux dispositifs d’adresse au public utilisant les dispositifs mobiles en lien avec les expositions du Centre Pompidou, les interfaces multimodales (ou poly-sensorielles et notamment les techniques de détection du regard), l’utilisation des microtechnologies et des microsystèmes et plus généralement les questions de design numérique qui se posent dans ce contexte.

Lignes de temps

Dans cette optique, l'IRI développe le logiciel Lignes de temps, un outil d'annotation et d'analyse collaborative de films offrant à l'utilisateur (analyste, critique ou amateur) la possibilité d'accéder à une "cartographie" du film à partir de laquelle il peut insérer ses propres commentaires multimédia. Lignes de temps sera proposé à partir du premier trimestre 2007 dans une version en ligne.

Le logiciel Lignes de temps met à profit les possibilités d’analyse et de synthèse offertes par le support numérique. Inspirées par les « timelines » ordinairement utilisées sur les bancs de montage numérique, Lignes de temps propose une représentation graphique d’un film, révélant d’emblée, et in extenso, son découpage. Lignes de temps offre en cela un accès inédit au film, en substituant à la logique du défilement contraint qui constitue l’expérience de tout spectateur de cinéma, et pour les besoins de l’analyse, la « cartographie » d’un objet temporel. Aussi, en sélectionnant un segment d’une ligne de temps, l’utilisateur a-t-il accès directement au plan ou à la séquence correspondante dans le film, séquence qui peut être décrite et analysée par des commentaires textuels, audio, vidéo, ou documentée par des images ou des liens Internet.

À ce premier stade d’analyse permettant de parcourir le film plan par plan, peuvent s’ajouter d’autres paramètres à partir desquels il est possible de construire d’autres « lignes de temps » parallèles au déroulement du film, et d’orienter des explorations multiples, en fonction des échelles de plan, des mouvements de caméra, des entrées et sorties de champ et potentiellement de toute forme objectivable. Autant de manières de multiplier les approches, mais plus encore de visualiser, par comparaison et combinaison des critères de pertinence, des effets de sens, d’actualiser, par exemple, des récurrences et des symétries.

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