Histoire de la Colombie

Histoire de la Colombie
Évolution territoriale de la Colombie
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Sommaire

Civilisations pré-colombiennes

Article détaillé : Civilisation précolombienne.

On trouve les premières traces d'établissements sédentaires sur le territoire colombien datant du Ve siècle av. J.‑C.. Ces reliques, d'une civilisation quasiment inconnue, ont été découvertes à San Augustín dans les Andes colombiennes. Avant l'arrivée de Christophe Colomb en Amérique, l'actuelle Colombie était occupée principalement par des chasseurs et des agriculteurs nomades. Les Chibchas, qui vivaient dans la région de Bogotá, dominaient les différents groupes autochtones.

La colonisation espagnole

Ce fut l'espagnol Alonso de Ojeda qui découvrit pour la première fois en 1499 la Colombie. Arrivèrent ensuite des aventuriers espagnols (conquistadores) qui avaient vendu leur bien en Espagne afin de financer leur expédition. Ils étaient à la recherche d´or. Rapidement les espagnols fondèrent des villes : Darien (1510), Santa Marta (1525), Santa Fe de Bogota (1538).

Les Amérindiens furent réduit en esclavage pour extraire de l´or et des émeraudes échangés ensuite contre des produits manufacturés et des céréales venus d´Espagne. Les tribus indiennes qui résistèrent militairement furent massacrées. Les Amérindiens furent diminués par les maladies importées d´Europe (rougeole) et l´esclavage. Les colons espagnols eurent recours à la traite négrière dès 1511. Les Noirs, échangés en Afrique contre fusils, poudre à canon, verroterie ou habits furent rebaptisés et christianisés. Leur taux de fécondité sera le plus bas à cause des conditions de vie, le nombre d´esclave n´augmenta que par l´importation de nouveaux esclaves. Les maîtres surveillent leurs mines par le moyen d´armées privées. Le viol systématique des femmes indiennes ou africaines donne lieu à un intense métissage. Les métis de Blancs et d´Amérindiens constituent la majorité de la population.

Bogotá devint la capitale de la vice-royauté de Nouvelle-Grenade, qui comprenait aussi les actuels Venezuela, Équateur et Panama. Bogotá, tout comme Lima et Mexico, devint l'une de principales villes sur le continent américain pour l'administration espagnole.

Le 10 juillet 1810, les habitants de Bogotá instaurèrent la première assemblée représentative à défier l'autorité espagnole. L'indépendance ne fut proclamée qu'en 1813 et le 17 décembre 1819, la République de la Grande Colombie fut créée.

La République

Article détaillé : Grande Colombie.

La République de la Grande Colombie regroupait les territoires de la vice-royauté. Simón Bolívar fut élu président et Francisco de Paula Santander, vice-président. Chacun de ces deux hommes est à l'origine d'un parti politique. Ainsi les partisans de Bolívar formeront le parti conservateur tandis que ceux de Santander constitueront le parti libéral[réf. nécessaire]. Ces deux partis dominent l'histoire de la Colombie. Les conservateurs désiraient un État très centralisé, et l'appui de l'Église catholique tandis que les libéraux voulaient un État décentralisé et la prééminence de l'État dans le domaine de l'enseignement et des affaires civiles, et désiraient aussi un suffrage plus élargi.

Les deux partis alternèrent au pouvoir tout au long des XIXe et XXe siècles. Ils occupèrent le pouvoir durant à peu près la même durée. Contrairement, à la plupart des pays d'Amérique latine, en Colombie, il y eut relativement peu de dictatures militaires et les élections étaient organisées régulièrement et étaient libres. Les militaires s'emparèrent du pouvoir en 1830 - lorsque l'Équateur et le Venezuela quittèrent la République -, en 1853 et 1854. La dictature militaire dura moins d'un an en 1830 et en 1854, dans le dernier cas, elle se maintint durant 4 ans entre 1853 et 1857. L´esclavage fut aboli en 1851.

Le 1er janvier 1880, le Français Ferdinand de Lesseps, commence les travaux du canal de Panama, encore partie intégrante de la Colombie.

La guerre civile surnommée « guerre des Mille Jours » (1899-1902), entre conservateurs et libéraux, coûta la vie à environ 100 000 personnes[réf. nécessaire]. Immédiatement après cette guerre, le Panama fut séparé de la Colombie en 1903 suite à une rébellion du groupe indépendantiste Amador Guerrero appuyé par des navires de guerre des États-Unis.

Entre 1932 et 1933 a lieu la guerre avec le Pérou.

1948-1978 : de La Violencia au Front National

Articles détaillés : La Violencia et Front national.

La période de La Violencia commence par le Bogotazo de 1948, déclenché par l'assassinat de Jorge Eliécer Gaitán le 9 avril 1948. Cette période d'intense affrontement entre libéraux et conservateurs, d'abord à Bogotá puis surtout dans les zones rurales du pays aurait fait entre 100 000 et 300 000 victimes. En 1953, le général Gustavo Rojas Pinilla organise un coup d'État. Il bénéficie au début d'un important soutien populaire, en raison de son succès à apaiser dans une certaine mesure « La Violencia ». En 1957, les militaires soutenus par les deux partis le renversèrent car il n'avait pas restauré la démocratie. Un gouvernement provisoire fut mis en place, qui déboucha en 1958 sur un accord de partage du pouvoir dit Front National, selon lequel libéraux et conservateurs alterneront au pouvoir pendant seize ans, jusqu'en 1974, soit deux mandats présidentiels pour chacun des deux partis majeurs. Ce système permit une stabilisation du pays, une croissance économique relativement forte ainsi que des investissements dans les infrastructures publiques et l'éducation. les inégalités restèrent toutefois importantes.

À partir de 1957 se créent des mouvements agraires d'inspiration communiste, en particulier dans le sud du Tolima. L’État colombien s'attaque à ces zones, dont l’éphémère «République de Marquetalia», à partir de 1964. À la suite de ces combats, les FARC, emmenées par Manuel Marulanda Velez sont fondées en 1966 comme bras armé du Parti communiste colombien. Deux autres guérillas marxistes apparaissent à la même époque : L’Armée de libération nationale (ELN), fondée en 1964 dans le département de Santander suit une ligne castriste et l'EPL (Ejército Popular de Liberacion, Armée populaire de libération), maoiste, qui commence ses opérations en 1967. Ces guérillas rurales reculent pendant les années 1970, qui voient par ailleurs naître une guerilla urbaine, le Mouvement du 19 avril suite aux élections supposément frauduleuses du 19 avril 1970 qui voient la défaite du général Rojas Pinilla.

Les années 1980-1990

L'essor du narcotrafic

Carrefour géographique et seul pays d'Amérique du Sud à posséder une double façade maritime, la Colombie dispose en outre de capacités entrepreneuriales fortes, d'une diaspora en réseau et des moyens techniques nécessaires à l'élaboration et à la synthèse de drogues. La diversité de son relief ainsi que l'existence de zones reculées favorisent la culture potentielle de marijuana, de coca ou de pavot. De plus, la Violencia a contribué au développement de contrebandes diverses (alcool, tabac, émeraudes, précurseurs chimiques, produits manufacturés, stupéfiants…).

Entre 1974 et 1982, la Colombie est un important producteur de marijuana. La cocaïne est alors essentiellement produite au Pérou et en Bolivie et n'est que convoyée et transformée en Colombie pour ensuite prendre la route des Caraïbes ou du Mexique [citation nécessaire].

C'est à cette époque que le cartel de Medellin de Pablo Escobar fait irruption sur la scène politique, en assassinant en 1984 le Ministre de la Justice Rodrigo Lara Bonilla. Les attentats se multiplient alors à Bogota, Medellin et Cali. En 1991, Pablo Escobar est finalement arrêté et, en fuite, abattu deux ans plus tard. Cette mort met un terme à une décennie de conflit ouvert. Le cartel de Cali reprend alors le contrôle du trafic de drogues. Le président Ernesto Samper se voit en 1994 accusé d'avoir reçu six millions de dollars de la part du cartel de Cali pour financer sa campagne, ce qui provoque une crise politique interne et un grave incident diplomatique avec les États-Unis qui parviennent à faire voter la loi autorisant l'extradition de nationaux colombiens en 1997. La même année, la Colombie devient le premier producteur mondial de coca, de pâte base et de cocaïne [citation nécessaire]. La transformation de la Colombie en plaque tournante du trafic international de stupéfiants a donné aux acteurs armés un moyen de financement puissant.

Les mandats de Belisario Betancur (1982-1986) et Virgilio Barco (1986-1990)

Après le mandat de Turbay Ayala qui avait répondu au M-19 par la militarisation du pays, le président conservateur Belisario Betancur (1982-1986) entame une politique de dialogue avec les guérillas, faisant voter une loi d'amnistie, légalisant un organe politique des FARC, l'Union Patriotique (UP), et faisant passer plusieurs réformes sociales. Betancur négocie principalement avec les FARC et le M-19, multipliant les trêves et les cessez-le-feu, mais le processus de paix échoue finalement. Au final, ces trois années de va-et-vient auront aussi permis aux guérillas de s'implanter plus fortement[réf. nécessaire], tandis que sont créés les milices d'autodéfense (notamment le MAS, Muerte a los Secuestradores) et les groupes paramilitaires liés aux services de sécurité de l'État. Lors de cette période de « guerre sale », de nombreux membres de l'Union Patriotique sont assassinés entre 1984 et 1990. Cette expérience politique traumatisera les FARC, rétifs dès lors à toute négociation.

L'élection du libéral Virgilio Barco (1986-1990) ne change que peu de choses au conflit qui s'aggrave du fait de la présence des narco-terroristes. Cependant, le M-19, entame des pourparlers de paix et finit par se démobiliser massivement le 9 mars 1990 pour entrer en politique sous le nom AD/M-19 (Alliance Démocratique). C'est durant le mandat de Barco qu'est lancée l'idée d'élire une Assemblée constituante comme solution au problème des guérillas. En effet, nombreux sont ceux qui imputent au Front National et à la vieille Constitution de 1886 une part de responsabilité dans le violent conflit armé qui a lieu.

La Constitution de 1991

Il revient au successeur de Barco, le libéral César Gaviria Trujillo (1990-1994), de mener à bien ce nouveau projet de Constitution. Le 4 juillet 1991 est adoptée une nouvelle Constitution particulièrement progressiste et moderne : la Colombie est déclarée « État social de droit, organisée en République unitaire, décentralisée […], démocratique, participative et pluraliste, fondée sur le respect de la dignité humaine ». (art1) Elle supprime la notion d'état de siège, remplacé par celui d'état de commotion interne, beaucoup plus restrictif et protecteur des droits de l'homme. En outre, elle va vers une décentralisation de l'État, les départements acquérant une relative autonomie, l'État central leur déléguant les responsabilités administratives et entérinant les élections directes des maires et gouverneurs de départements. D'autre part, elle reconnaît les droits linguistiques, culturels et politiques des minorités amérindiennes et afro-colombiennes. Enfin, elle ouvre le jeu politique à tous les partis.

Ce projet est adopté massivement par plébiscite et permet la démobilisation et l'entrée politique de l'EPL et d'autres mouvements guérilleros minoritaires (Movimiento Armado Quintín Lame, PRT…). Le parti créé suite à l'entrée en politique du M-19 remporte 26% des suffrages lors de l'élection pour la Constituante (et a donc largement contribué à sa rédaction) et son principal représentant, Antonio Navarro, arrive à la troisième place de l'élection présidentielle de mai 1990 (qui voit la victoire de Gaviria) devant le candidat conservateur.

Les efforts de paix du président Gaviria débouchent sur une série de négociations à Caracas (juin 1991) puis à Tlaxcala, Mexique (mars 1992) avec les FARC et l'ELN mais les négociations échouent et la situation devient tellement troublée que Gaviria déclare l'état de commotion interne durant près de neuf mois (90 jours renouvelables deux fois) et renforce les pouvoirs des militaires, tout en recentralisant le pouvoir.

Le mandat d'Ernesto Samper (1994-1998)

Le mandat du nouveau président libéral Ernesto Samper qui débute en 1994 ne modifie pas radicalement le conflit. En effet, comme c'est le cas depuis Betancur, Samper commence par vouloir négocier avec les guérillas dans le but « d'humaniser la guerre » et lance un programme social, voyant en la pauvreté et en le manque d'opportunités sociales et économiques une des racines du conflit. Mais le cycle de violence ne peut être stoppé et la méfiance réciproque entre gouvernement et guérillas ne s'estompe pas.

Entre 1996 et 1998, les FARC attaquent plusieurs bases militaires des départements amazoniens. Le 30 août 1996, la base de Las Delicias est prise à partie par 400 guérilleros. Le 2 mars 1998, à El Billar, les FARC écrasent une unité anti-guérilla de l'armée et tuent 62 soldats (et font prisonniers 43 militaires).

D'un autre côté, c'est sous le gouvernement de Samper que les milices paysannes CONVIVIR, créées par un décret de son prédécesseur et travaillant en étroite coopération avec les forces de l'armée, prennent leur essor[1].

Samper est éclaboussé par un scandale ayant trait au financement de sa campagne électorale, le procès 3 000, ce qui contraint à la démission plusieurs de ses ministres, tandis que lui-même, jugé par l'Assemblée, est dédouané de toute responsabilité.

Des concessions extrêmes à la guerre à outrance

Le conservateur Andres Pastrana Arango est élu de justesse en juin 1998. Ayant rencontré personnellement le leader des FARC, Manuel Marulanda Vélez, avant son investiture, il cherche dès le début de son mandat à se concilier les faveurs des FARC [citation nécessaire].

Pastrana concède le 9 octobre 1998 aux FARC une zone démilitarisée dans la région du Caguan (départements de Meta/Caqueta) de 42 000 km2. La politique de négociation dure jusqu'en 2001 à un rythme imposé par les FARC et débouche sur la libération de 300 otages de la guérilla. Ces négociations prennent fin en février 2002. Le mandat de Pastrana correspond également à une grave période de récession économique et au développement considérable du phénomène paramilitaire[2]. Les paramilitaires sont aussi responsables, pendant la même période, de la plupart des 3 millions de réfugiés internes[2].

Andrés Pastrana renoue diplomatiquement avec Washington et lance en août 2000 le plan Colombie avec le soutien des États-Unis. Il s'agit d'une aide de 1,3 milliard de dollars destinés à la lutte anti-drogue, au renforcement des capacités militaires de l'armée colombienne et à des réformes sociales, dans la droite ligne de la doctrine de sécurité nationale et de la guerre contre-insurrectionnelle qui combine réformes politiques et actions militaires.

Période récente

Le mandat d'Álvaro Uribe (2002-2010)

Article connexe : Gouvernement Álvaro Uribe.

C'est un candidat indépendant, issu du Parti libéral, qui gagne très largement au premier tour (avec 53% des voix) les élections de 2002. Dès son élection, Alvaro Uribe se lance dans une politique offensive (« de sécurité démocratique ») dans le but de réduire l'emprise territoriale des guérillas. Uribe fait adopter la loi « justice et paix » de juillet 2005, offrant aux paramilitaires des Autodéfenses unies de Colombie (AUC) des conditions favorables pour leur réinsertion dans la société colombienne[3]. Cette loi a permis la démobilisation de plusieurs milliers de paramilitaires.

Selon la Commission colombienne des juristes, pendant le premier mandat du président Uribe (2002-2006), onze mille trois cents civils auraient été exécutés pour motif politique dont 14 % par des agents de l’État, 60 % par des paramilitaires « tolérés par l’État[3] ». Elle souligne que, pendant cette période, « la responsabilité directe de l'État dans les exécutions extrajudiciaires ou arbitraires aurait augmenté de 60%. Quand les auteurs d'assassinats ou de disparitions sont démasqués, la responsabilité incomberait à l'État dans 74,5% des cas[4]. »

Il n'en reste pas moins vrai que Uribe est crédité de plus de 70 % d'opinions favorables, grâce à la forte amélioration tant de la sécurité que de la situation économique (qualifiée parfois à l'extérieur de la Colombie de politique populiste). Uribe s'est fait le chantre de la lutte contre la production de drogue (dans le cadre du plan Colombie puis du Plan Patriote), devenant de ce fait le soutien numéro un en Amérique du Sud de l'administration Bush et l'ennemi personnel de Hugo Chavez, le président du Venezuela.

Par l'acte législatif 02 de 2004, l'article 197 de la Constitution de 1991 a été modifié pour permettre la réélection du président sortant. C'est par une victoire écrasante (62 % des voix au premier tour) que le 28 mai 2006, le président Uribe est réélu pour quatre ans.

Le second mandat Uribe a été marqué par une intensification de la lutte contre les FARC, avec notamment le bombardement, en mars 2008, d'un camp militaire en Equateur, aboutissant à la mort de Raúl Reyes, n°2 de l'organisation. En juillet 2008, quinze otages, dont la franco-colombienne Íngrid Betancourt, ont été libérés lors d'une opération spéciale de l'armée colombienne.

Par ailleurs, la démobilisation des paramilitaires a largement été entachée par le « scandale de la parapolitique », aboutissant en 2006 à la détention de sénateurs proches d'Uribe puis de celle d'un des ex-chef des services de renseignement Jorge Noguera Cotes[3].

Le mandat de Juan Manuel Santos (depuis 2010)

Après le rejet par la Cour constitutionnelle d'une loi permettant à Álvaro Uribe de briguer un troisième mandat, son « dauphin » Juan Manuel Santos remporte l'élection présidentielle de 2010, avec 69,13 % des voix au second tour. Son adversaire, le candidat du Parti vert, Antanas Mockus, recueille 27,47 %.

Notes et références

Voir aussi

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Articles connexes

Bibliographie

  • François Buy, Histoire de la Colombie, Paris : Éditions municipales, 1976
  • Jean-Pierre Minaudier, Histoire de la Colombie de la conquête à nos jours, coll. : Horizons Amériques latines, L'Harmattan, Paris, 1997, (ISBN 2-7384-4334-6)
  • Collectif, Manual de historia de Colombia, Procultura S. A. : Tercer Mundo ed., cop. 1992, (ISBN 958-601-362-6)
  • Collectif, Historia de Colombia: Todo Lo Que Hay Que Saber, Taurus, Bogota, 2006

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Histoire de la Colombie de Wikipédia en français (auteurs)

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