Finlandais (cheval)

Finlandais (cheval)
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Finlandais
Finnhorse stallion.jpg
Étalon finlandais de type trotteur

Espèce Cheval (Equus caballus)
Région d’origine
Région Drapeau de Finlande Finlande
Caractéristiques
Taille 1,50m à 1,70m en moyenne
Robe Généralement alezane, parfois baie ou noire, plus rarement
Caractère Énergique, intelligent, amical

Le finlandais ou cheval finnois (en finnois suomenhevonen) est une race chevaline à la fois de selle et de trait. Elle porte également le nom de finnois universel en anglais, car cette race est réputée répondre à tous les besoins équestres en Finlande, aussi bien les travaux agricoles et forestiers que les courses de trot et l'équitation. C'est la seule race chevaline native de Finlande. En 2007 elle a reçu la nomination officielle comme la race chevaline nationale de la Finlande[1].

Le finlandais est parmi les races de chevaux à sang froid les plus rapides et les plus polyvalentes dans le monde. En Finlande l'appellation « cheval universel » comprend aussi bien le finlandais qu'autres chevaux comme par exemple la fjord qui ont une taille relativement petite et un corps lourd pour l'équitation mais léger pour les traits. Dans le registre d'élevage du finlandais il existe quatre sections séparés avec objectifs différents : de développer un cheval de trait plus lourd, un trotteur plus léger, un cheval de selle polyvalent et un type poney de proportions plus petits. Le standard de race commun pour les quatre sections définit le cheval finlandais comme puissant, polyvalent et de disposition agréable. La taille moyenne du finlandais est de 155 cm et la robe typique est alezan, souvent avec crins blancs et marquages.

Bien que l'histoire du cheval en Finlande est connu jusqu'à la fin de l'age néolithique, il est impossible de préciser l'origine exact du cheval finlandais. Car ce type de cheval, comme ses prédécesseurs, a été le seul en Finlande depuis des siècles, l'histoire de chevaux finlandais en général est presque identique avec l'histoire du cheval finlandais. L’histoire documenté comme une race distincte commence avec le tournant du XIIIe siècle. À partir les années 1500 les documents témoignent l’impact qui ont fait plusieurs races légères et demi-sang : un cheval plus grand et mieux adapté. Le registre d’élevage pour le cheval finlandais a été fondée en 1907 et pendant longtemps il encourage l’élevage signifiant en sang pur. À cause de la mécanisation de l’agriculture finlandaise et le développement de la cavalerie finlandaise vers l’infanterie pendant la seconde moitié des années 1900, le stock de chevaux finlandais a chuté de plus de 400 000 chevaux à moins de 20 000 environ. La race, cependant, est restée à l'utilisation grâce aux courses de trot populaires et sa polyvalence comme cheval de selle.

Sommaire

Standard de la race

Un des étalons fondateurs,"Jaakko" (Tt 118), photographié en 1882

Le standard de la race définit le finlandais comme un cheval polyvalent de taille moyenne, et d'une conformation robuste. Le cheval idéal est facile à manipuler, une combinaison de force, agilité, vitesse et endurance[2],[3]. Le finlandais est vif, d'un tempérament à la fois fiable et alerte. Le standard encourage un cheval qui est « honnête et sincère » ; désireux de coopérer avec les êtres humains, obéissant, et disposé à travailler[2]. Ils sont endurants, de santé robuste et ont généralement une bonne longévité. Le standard décrit la tête comme sec et de profil rectiligne, pas longue ou convexe, avec oreilles courtes bien espacées. L'encolure doit être bien formé sans aucune forme de « S »[2]. Le corps plutôt sur côté long mais rond et bien proportionné et la croupe ne doit pas être trop rectiligne ni la queue attachée trop haut[2]. Les finlandais sont fortement musclés, avec des membres de bonne qualité « sec » et des sabots solides[2].

Les finlandais ont d'une manière caractéristique des crinières et des queues épaisses et les jambes décorés par fanons légers[4]. La taille moyenne est de 155 centimètres[5]. Il existe aussi des finlandais type poney, de taille moins de 147 centimètres, licenciés pour élevage dans leur section séparé du registre d’élevage[5],[6]. Le pas du finlandais est régulière avec l'élasticité[2] et son pas relativement bas avec une action régulière[3]. Le finlandais est rapide pour une race à sang-froid[4],[5] connu comme un bon trotteur et utilisé aussi pour les courses en harnais[7].

En plus de ces traits généraux, le stud-book du finlandais contient quatre sections séparées d'élevage à l'intérieur de la race. Pour l'inscription la conformation générale du cheval devrait être typique de la section dans laquelle il est enregistré[2], mais certains chevaux peuvent entrer dans des sections multiples.

Robe

Aujourd'hui plus de 90 % de la race finlandais porte la robe alezane. Crins lavées aussi bien que les marques sur la face et les pieds les décorent fréquemment[8],[9]. Depuis 2007, seulement une petite minorité des finlandais portent une couleur de robe autre que l'alezan : 6 % sont baies et 1,2 % noires. Il existe également quelques rares animaux rouans, palominos, isabelles et silvers[10]. Les gènes qui produisent des robes crème et rabicano sont également présents dans leur ressource génétique. Un type de robe distinctif sabino - non-SB1- est assez fréquent, mais à cause du développement sélectif de la robe au cours des années 1900 se trouve souvent seulement difficilement exprimé. Pendent l'histoire moderne de la race finlandais un seul étalon a été né de robe blanche, enregistré pie et généralement regardé « blanc du sabino »[11],[9],[12],[13]. Le nombre des chevaux de robe autre que alezan est en croissance grâce aux efforts dédiés dans cette direction et depuis 2009, on peut trouver quelques dizaines de finlandais de robe noir et gris[14].

La robe noire est parmi les plus rares chez le finlandais.

Pendant les années 1700 et 1800 la robe alezane avec plusieurs variations de ton était la couleur dominante mais il y avait beaucoup plus de robes baies, noires et grises qu’aujourd’hui. On compte environ 40 à 50 % des animaux de cette époque-là alezans, 34 % bais, 16 % noirs et un total de 3 % pour robes gris, palomino ou tacheté. Contrairement à la situation actuelle les larges fenêtres et des chaussettes de haute étaient rares ; on ne trouve pas de marques définis avant les années 1900[8],[9],[15],[16].

La prévalence de changement de couleur a eu lieu grâce à l'élevage sélectif. Aux vagues de l’esprit nationaliste du tournant duXXe siècle ces chevaux sont tenues en Finlande comme un symbole national et les sélections en race pure ont été très populaires[9],[17]. La robe alezan est choisi l'objectif d’élevage comme la robe originale suprême pour la race officielle et la robe a été appelée « robe Hippos » d'après Hevoskasvatusyhdistys Hippos, le nom du prédécesseur de « Suomen Hippos », l’association nationale d’éleveurs récemment créé à cette époque-là. L'ambition était de faire du finlandais une race de robe uniquement alezane ; toute autre robe a été considérée du sang étranger. Ainsi le règlement du 1909 a stipulé qu’aucun étalon de « robe blanche, gris, palomino ou tacheté » ne puisse entrer le registre d’élevage. Les chevaux bais et noirs ont perdu de leur popularité et au moins une jument a été retiré du studbook pour nul raison autre que sa robe baie.

La reproduction spécifique pour couleur et l’exportation d’animaux de robes non-officielles mais populaires dans des pays voisins - en particulier les exportations des baies vers la Suède - ont résulté par faire d’alezan la robe dominante : la liste d’étalons dans la première section du tout premier studbook du cheval finnois contient 105 alezans et seulement 8 bais[9]. Le résultat : moins de cent ans plus tard plus de 96 % des chevaux finnois ont porté la robe alezane[9].

Cette reproduction sélective vigoureuse pendant le début des années 1900 et le goulot d’étranglement génétique produit par le nombre très bas de chevaux de cette race dans les années 1980 ont eu comme effet que seulement quelques petits établissements d’élevage ont gardé les robes palomino. Ce temps-la il y avait seulement un total de moins de dix chevaux finnois porteurs de robe grise ou palomino[9]. Tous les finlandais qui portent actuellement le gène crème sont descendants d’une seule lignée de juments depuis/fondée par Voikko (dont le nom finnois signifie littéralement Palomino), une jument palomino active dans les années 1920[18].

Bien que les dilutions crème et noire sont toutes les deux rares, quelques animaux noir réglisse sont reconnus. Le premier une pouliche née en 2009 identifiée comme noir réglisse dès sa naissance. Un test ADN vérifie sa robe en 2010[19],[20],[21]. Cet animal est considérée « si non pas le premier jamais, au moins le premier après un très long temps »[19]. En avril 2010 est née une deuxième pouliche de robe rare. Descendent d'un étalon de robe isabelle et une jument palomino elle portait l'apparence d'une double dilution crème. Avec ses yeux bleus et la « peau rose et une robe très pâle », elle reçoit plus tard la reconnaissance officielle de double dilution crème[6],[22],[23],[24],[25],[26].

La robe rouan est également rare et de nos jours supportée elle aussi par une seule lignée de juments. Celle-ci descend de Sonja, née en 1939 et de robe aubère[9],[27],[28]. En 2010, il y existait seulement six finlandais rouans vérifies, tous descendants de Taika-Tyttö née en 1987, l'arrière-petite-fille de Sonja. L'avant dernière lignée rouan s'est terminé avec l'étalon Jesper Jr, né en 1981, qui est mort sans descendance[29]. La robe grise est présent dans deux lignée de juments, dont une ne couvre que Iiris 2275-88R, qui vit toujours mais au moins jusqu'en 2009 n'a pas eu de descendants gris. La deuxième lignée est issu de jument Pelelaikka, particulièrement par son petit-fils maternel E.V. Johtotähti 1726-93Ta, un étalon décoré de la section traits[30],[31],[32].

Le gène silver est resté pour deux raisons. Premièrement, il ne touche que la robe noire et ainsi se « cache » dans une alezane. Deuxièmement, quand il prend effet sur robes de base noire ou bai, il produit un phénotype de type alezan/ Le deuxième est de changer la noire et la baie en phénotype de type alezan. Ce qui suit et que pendant longtemps le bais silver ont été registré comme « alezans cannelier », et le noirs silver comme « brûlé alezans avec crins lavés ».

Quatre lignes d'élevage

Étalon de type traits Murron-Ryhti 3531 lors d’une compétition de traits des années 1930 tirant un char de pierres dans la position basse et effective typique de la race.

Le registre d’élevage pour le finlandais a été créé en 1907. Depuis 1971 tous les chevaux finlandais sont enregistrés dans l'une des quatre sections de la race : la section travaillant (T; le type traits), la section de trotteur (J), les chevaux d'équitation (R) et la section pour chevaux de grandeur de poney (P)[5],[2]. Cette division s’est développée peu à peu : la première a été créé en 1924 mettant les chevaux de travail ou le type traits (työlinja) dans une section[8], et les chevaux plus légers « tout-autour » ou « universels » dans une autre[8]. En 1965, cette section a été rebaptisée la section trotteur. Alors, en 1971, cette section de chevaux de types plus légers a été divisée en trois : le J pour trotteurs (juoksijalinja), le R pour chevaux de selle (ratsulinja) et le P pour chevaux de type poney (pienhevoslinja). Aujourd'hui, la majorité de finlandais sont du type trotteur[5].

Type de trait

Le type travailleur ou le type de trait est la section la plus ancienne du finlandais. Chevaux de ce type ont été inscrits dans leur propre section depuis 1924 lors de la première division du registre d’élevage de la race[8]. Bien que le type de finlandais le plus ancien, le type de traits est devenu rare de nos jours et en 2004 cette section comptait seulement 1 000 chevaux enregistres[5].

Les chevaux de traits finlandais sont plus robustes et ont un dos plus long que les autres types de finlandais. Même s’ils sont relativement petits en comparaison avec d’autres races de type traits, les finlandais ont une capacité de tire remarquable : ils peuvent traîner des poids extrêmement lourds[8] grâce à leur technique qui combine un départ très puissant avec une basse position du corps efficace pendant le tir actuel[33]. Les chevaux de type traits finlandais sont - kilo pour kilo - plus puissants que beaucoup d’autres races de même de taille plus grand.

Un cheval de traits tire en moyen environ 80 % de son propre poids, tandis qu’un finlandais peut tirer même 110 %[4]. Dans des compétitions les meilleurs chevaux de travail finlandais puissent faire encore mieux tirant des poids plus de 200 % du poids de leur propre corps[33],[34]. Avant qu'il ne puisse servir dans un haras un cheval de tirs finlandais doit passer deux tests : un test du pas et puis soit un test de maniabilité général. L’accomplissement du cheval dans ces tests est ajouté avec ses points pour le caractère et les mouvements résultant comme le score final pour sa capacité travailleur. Le cheval reçoit aussi des points pour sa morphologie[35]. Après avoir passé avec au moins le score minimum les tests pour la capacité travailleur et l’inspection morphologique, pour être inscrit dans le section de tirs du registre d’élevage, un étalon finlandais doit pouvoir trotter une distance de 1 000 mètres dans moins de 2 minutes et 30 secondes[36].

Type trotteur

L'étalon Murto 2306 (n. 1917) était en avance sur son temps aussi bien pour la vitesse et le type. Son aspect « étranger » avec le marquage distinct l'ont presque tenu hors du registre d'élevage, mais une fois entré au haras il a réussi extrêmement bien : son influence génétique est fort puissant, notamment par son fils Eri-Aaroni.

Le type trotteur est le type le plus léger du finlandais[4]. Un cheval de cette section devrait avoir de la conformation légère encore musclée, avec un corps relativement long et des membres longues[37]. À l'évaluation pour le registre d’élevage, un cheval de type de trotteur doit passer les normes dans ses résultats de courses et/ou dans son index de valeur reproduction déterminés par le haras national finlandais Suomen Hippos[38]. La disposition d’un trotteur est évalué pendant un test de maniabilité[39]. Contrairement aux autres types de finlandais, aucun morphologie typique n’est détermine pour l’évaluation – si les temps sont sous les limites du standard, le trotteur est entré dans le stud-book[40].

Le type de trotteur a existé comme une section de reproduction séparée depuis 1965, quand le « cheval universel » la section du stud-book pour le finlandais a été rebaptisé et remplacé par la section de trotteur. Pendant que le nombre total des finlandais est tombé pendant le XXe siècle, la popularité de courses de trot a tourné les nombres de natalité du finlandais autour des dépressions historiques des années 1970 et des années 1980. Aujourd'hui, environ 2 000 finlandais sont dans l'entraînement et 3000 compètent dans les courses hippiques[41]. Le championnat annuel officiel finnois Kuninkuusravit ou les Courses royales, a débuté en 1924 et est organisés depuis. Il est suivi par des dizaines de milliers de spectateurs[5].

Le finlandais est plus lent pour mûrir que les races plus légers et entre ainsi d'habitude dans le courses à l'âge de quatre ans[42]. Pourtant, son sa construction résiste aux inconvénients de la compétition mieux que les trotteurs légers et la carrière de compétition efficace de la race peut être très longue[41]. Les règlements intérieurs de course en Finlande permet au finlandais d'entrer des âges 3 à 16[43].

Pour un cheval à sang froid le finlandais est assez rapide. Le record officiel pour chevaux à sang froid en Finlande de 2010 est de 19,9aly fait par l’étalon Viesker, champion quintuple du championnat Kuninkuusravit[44],[45],[46]. Le record mondial de courses de trot pour les chevaux à sang froid était tenu par les finlandais pour des années jusqu'à ce qu'en 2005 le record n'ait été battu par Järvsöfaks, un trotteur à sang froid suédois (suédois : Svensk Kallblodstravare)[5],[47].

Le record officiel finlandais pour les juments, et au même temps le record mondial pour les juments à sang froid, est de 20.2aly, tenu par I.P. Vipotiina, la double championne du championnat Kuninkuusravit[45],[48]. Le record absolu des finlandais est de 19.4aly par l’étalon Sipori mais comme le résultat n'a pas été accompli d'une victoire, le temps n'est pas un record finlandais officiel[45],[49]. Les finlandais ont réussi si bien contre d'autres races de trotteur à sang froid de Scandinavie que, depuis le XXIe siècle, ils ont été admis aux courses suédoises et norvégiennes seulement par l'invitation[50].

Le succès d'un trotteur finlandais peut être entravé par quelques défauts de conformation communs dans la race. Ceux-ci sont par exemple poids excessive dans l’avant du corps et membres de derrière surangulés[51],[52]. Un autre problème est le tendance des finlandais de trotter les membres d’avant et de derrière directement len us directement en ligne avec les autres, ce qui crée des hautes chances de « falsification », où les sabots de derrière frappent les phalanges proximales de front, qui peut provoquer la démarche cassante. On peut l'aider quelque peu avec ferrure prudente[53]. Il y a aussi une tendance vers l'ossification des cartilages de sabot des pieds de devant[54], qui a tendance à augmenter avec l'âge et a l'air d'être transmissible[55]. Cette condition est commun dans les races de trait[56]. Pourtant, une étude de finlandais affecté a aussi noté que les chevaux avec de longs orteils et des talons bas étaient communs et l'ossification a corrélée avec la longueur des talons[57].

Type de selle

Un étalon finlandais dans une compétition de dressage

Le type d’équitation du finlandais est un mont capable et sûr. Il manque de quelques traits exigés pour exceller dans des competition d ’équitation de plus hauts niveaux internationaux[58], mais sa combinaison de taille et de bon tempérament le rend monture convenable aussi bien pour les adultes que pour les enfants[8],[59]. Pour se qualifier pour la section équitation, un finlandais doit se porter bien, et avoir un long cou, une petite tête, des épaules obliques et garrots bien définis. Le corps ne doit pas être trop long[37]. Ces objectifs de sélection ont produit des finlandais de construction universellement plus légère, avec cou plus long, meilleurs allures et moins de défauts de conformation, permettant le type moderne d’équitation du finlandais de travailler plus facilement rassemblé. En même temps aussi le tempérament des finlandais type de selle semble être devenu plus vivant[60]. Pour réussir l'évaluation pour le régistre d’élevage, un cheval de ce type doit passer les tests suivants: 1)soit se placer dans un dressage de grade IV ou dans l'attelage, soit passer un test dressage 2) passer un test de saut, 3) un test d'equitabilité, et posseder des allures propres. Juments peuvent être qualifiées uniquement sur des motifs d'un test de equitabilité et une évaluation du gait[38].

Malgré l'image du Finlandais comme un cheval de ferme et de travail, la race a été utilisé comme mont de cavalerie de la XVII siècle jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale[58],[59],[60],[61],[62]. Après la mécanisation de l'agriculture finlandaise dans les années 1960 et 1970, cependant, il n'était pas clair si le finlandais ferait la transition vers équitation, même si l'utilisation à long de la race par la cavalerie finlandaise l’avait prouvé bien adapté pour ce travail. Le finlandais avait une image forte comme un cheval de travail en harnais, associé à la vie rurale et des temps anciens. Quand l’équitation comme un passe-temps s’est émergée et devenu plus établie dans les villes finlandaises pendant les années 1960, des chevaux et des poneys importés ont été préférés comme montures[59],[62] ; les chevaux de demi-sang représentant les temps modernes, les loisirs et la richesse en forte contraste à l'association robuste et peu sophistiqué collée au finlandais[62]. Le progrès de la section d’équitation du studbook créée en 1971 vient lentement: comme l’idée du finlandais sous selle semblait presque ridicule ce temps-là[60]cette section ne contient que quelques douzaines de chevaux au cours de sa première décennie[63].

En 1974 l'association registrée Suomenratsut (SuoRa) a été fondée pour promouvoir l'utilisation du finlandais sous selle. Son action directe et la croissance de la popularité de l'équitation de loisirs ont pour résultat que le type du finlandais mieux adapté pour l’equitation commence à s'implanter en Finlande[63], bien que l’association elle-même estime que par le fin des années 1970 seulement 300 finlandais de ce type soient dans l’usage active. Cependant, la popularité de cources attélees et l’élevage du type trotteur finlandais ont développé une race généralement plus légère et plus rapide, un fait qui a également contribué aux objectifs du type équitation.

Le haras de l'état finlandais à Ypäjä a été le premier à produire et à entraîner les chevaux d’équitation en quantités importantes dans les 1970. Leur performance de haute qualité a augmenté la popularité et la crédibilité du finlandais sous selle [64] faisant de la race de plus en plus apprécié sous selle. Aujourd'hui on compte plus de 5 000 finlandais d’equitaiton et le type est en demande croissante, tandis que la direction trotter souffre de surproduction[59],[60].

Type petit finlandais

Malgé ses mesures mineures le type de petit finlandais n'est point un poney: ses proportions et ses allures sont les mêmes que chez les types plus grands du finlandais.

Le petit finlandais (finnois : suomenpienhevonen) de taille poney élevé dans sa propre section de petits chevaux peut mesurer jusqu'à 148 cm de haut au garrot ou à la croupe. Le cheval doit aussi passer soit le test de maniabilité soit celui d’équitation[6],[26]. De plus, sa généalogie doit être bonne: les petits individus descendants de lignées de chevaux plus grands ne sont pas acceptés[65]. Un finlandais de taille poney doit être bien proportionné partout et porter les caractéristiques semblables à ceux des chevaux plus grands de la race[3],[66]. La nature de petits chevaux, leur obéissance et leur volonté de coopération reçoivent une attention particulière[67].

Le petit cheval finlandais est adapté à presque tout ce que les chevaux finlandais plus grands font. La seule exception est faite pour les traits lourds en raison de la petite taille et les forces mineures du type de taille poney finlandais. Certains individus de ces petits chevaux, cependant, sont capables de rivaliser sur un pied d'égalité et ont même battu les plus grands spécimens dans des competitions de travail. De multiples petits chevaux portent double acceptance dans le régistre de race : d’abord comme type poney et puis pour élevage trotteur. Le raison en est que les chevaux minuscules finlandais sont plus ou moins égaux avec les trotteurs finlandais plus grands. En competition combiné la petite taille leur donne d’avantage d’agilité. Les petits finlandais sont également populaires dans les écoles d'équitation et comme montures thérapeutiques[33],[65],[68].

Fondée en 1971 la section du type poney est la section la plus récente du registre d'élevage du finlandais[5]. Lors de sa création il n’y restait en Finlande que quelques râres lignées de petite taille après des siècles d'élevation pour une taille plus importante[65]. Avec seulement environ 80 étalons et 420 juments acceptés dans le régistre d’élevage, elle reste en 2010 le type plus râre du finlandais[68].



Evaluation pour le régistre d’élevage

Pour être enregistré comme un finlandais, un cheval doit, soit avoir des parents inscrits comme des finlandais, soit être vérifié pour être descendu d'au moins trois générations de finlandais.[69] Pour se qualifier pour le régistre d’élevation comme un animal d'élevage, un cheval doit prouver lui-même atteignant ou dépassant la norme fixée pour les différentes qualités de cette race: capacité de performance, la conformation, l'attitude, et dans certains cas, la qualité de la descendance.[70][71] Tout cheval offert pour le régiste d’élevation du finlandais doit être d'au moins 4 ans, un étalon ou une jument, et a été enregistré comme un finlandais.[67] Le comité d'évaluation pour le régistre considère d’abord les performances des chevaux dans leur discipline souhaitée: courses attelées, équitation , l'attelage, ou événements pour chevaux de travail. Chevaux à être enregistrés dans le régistre d’élevage sont testés pour des performances à l'inspection de l'inscription du régistre.[70] À l'exception de la section trotteur, ils sont également évalués sur "type"; l'aptitude du cheval pour la section pour laquelle il est offert.[40] Les individus qui ne se qualifient pas pour le régistre sur leurs propres mérites peuvent être acceptées plus tard, sur la base des réalisations de qualité et de leur progéniture. Pour ce faire, la progéniture d'un cheval est évalué par son histoire concurrentiel ou son évaluation pour le régistre d’élevage, et si d'assez bonne qualité, ses parents sont alors également accordés l'acceptation dans le régistre.[71] À l'inverse, un cheval peut être retiré du régistre d’élevage, si sa progéniture porte une faille ou condition héritée. Un étalon peut également être retiré si sa progéniture est nettement en dessous du niveau moyen en évaluations concurrentielles ou celle pour le régistre d’élevage.[71]


Test du pas

Le test du pas est donné uniquement aux filandais de type trait et il mésure l'endurance du cheval tout en tirant une charge. Le cheval tire un charge de 500 kg pour 500 mètres, en pas de marche. Le temps calculé par kilomètre ne doit pas être plus de dix minutes pour se qualifier. Un cheval qui le fait sera donné quatre points. Des points supplémentaires sont donnés pour temps plus courts à l'intervalle de 30 secondes. Le maximum de points donnés est de 10, qui signifie un temps ne dépassant huit minutes et 30 secondes.[35]

Test de traits

Etalon finlandais au cours d'un test de traits conduit à l'aide d'une charge voiture. Comme exeption aux règlements, on voit son éleveur assis sur la voiture. Ce type de test fut part de sélections pour le régistre d'élevage de 1936 jusqu'au 1970.

Le test de traits ou le test en résistance à la traction, est aussi un test uniquement pour les chevaux de trait, et il mesure la capacité de tirer par rapport à la taille du cheval. Le test est effectué en plusieurs étapes progressives, avec une augmentation de la charge à chaque fois. Le cheval sera testé tirant un traîneau sur sable. La friction entre le traîneau et le sable est pris en compte et elle est mesurée avant le test. Le traîneau est chargé en fonction du poids du cheval; à la première tentative, la charge est égale à 36 pour cent du poids estimé du cheval. À chaque étape de l'essai, la charge est augmenté de 6 pour cent du poids du cheval.[35] Le cheval doit tirer le traîneau 10 mètres à chaque poids. Si le cheval s'arrête lors d'un test et ne reprend pas dans une minute, ou s'arrête quatre fois avant d'atteindre la distance requise, le test est interrompu. Deux points sont attribués pour chaque phase terminée avec succès du test, qui donne un score total maximum de 20. Le style de traction est également évalué, et accordé de 4 à 10 points.[35][67] Pour réussir le test, le cheval doit compléter avec succès au moins cinq étapes du test. [36] Cela correspond à une capacité de traction de 60 pour cent du poids du cheval. Une récompense de 20 points signifie que le cheval tire une charge qui vaut 90 pour cent de son propre poids.

Test de maniabilité

Le test de maniabilité générale est effectué par des étalons trotteurs. Il est facultatif pour les chevaux de type tirs en lieu de l'épreuve de traction, et pour petits finlandais de taille des poneys en lieu de l'épreuve de équitabilité.[6][26] Le cheval est entraîné par deux différents membres de la commission d'évaluation régistre d’élevation lors de ce test, et il est demandé de travailler à un pas et au trot. Sa coopération et sa disposition sont évaluées sur une échelle de 4 à 10 points.[40] Pour chevaux de type traits le test de maniabilité évalue la disposition: l'adaptabilité, la fiabilité, et le calme du cheval. Il se compose de quatre parties, et 0-5 points sont donnés pour chaque. Pour réussir le test, le cheval doit marquer au moins un point pour chaque partie du test, et son score combiné pour l'essai doit être d'au moins 10 points. La première partie Mésure le comportement du cheval pendant qu'il est attelé et chargé, déchargé et dételés, et les trois autres parties évaluent la façon dont le cheval se comporte quand on le dirige.Ces parties comprennent souvent la régulation de la vitesse de marche, des arrêts, tours autour des obstacles, et des reculs autour d'un coin avec une charge.[72]



Test d'équitablité

Dans le test d’équitabilité, le cheval est évalué par un membre du comité d'évaluation étant monté au pas, trot et galop. Le mouvement du cheval, l'équilibre et la disposition sont évalués et donné de 4 à 10 points. Le cheval doit exprimer la coopération, la douceur, l'écoute, la sensibilité aux signaux, et des efforts actifs.[40][73] Cet essai est exigé pour chevaux de type équitation,[38] et facultative pour petits finlandais en lieu de l'épreuve de maniabilité.[6][26]



Histoire

Le finlandais est un descendant du cheval d'Europe du Nord, qui a donné des races comme l'estonien, mais son ascendance exacte n'est pas claire. Les premières traces de ce cheval remontent à l'âge du bronze, et son histoire connue est d'environ mille ans. Il a joué un rôle important dans tous les évènements de l'histoire finlandaise et fut utilisé à des fins militaires comme bête de somme. Le stud-book de la race a été ouvert en 1907 et aucun croisement extérieur n'a été autorisé depuis. En 1924, le programme d'élevage du cheval finlandais a été divisé en deux branches, le cheval de trait et le cheval plus léger à tout faire. En 1971, quatre branches (trait, trotteur, cheval d'équitation et poney) ont été créées.

Les années 2000

Il y a actuellement environ 20 000de ces chevaux en Finlande[74][75], qui représente environ un tiers de la population chevaline totale du pays avec 1 000 poulains environ naissent chaque année[8]. Depuis 1971 presque tous les chevaux finlandais nées ont été enregistrés[8]. Pour reussir l'objectif d'assurer la continuité de la race on a besoin annuellement au minimum de 200 étalons et de 2 000 juments dans l'élevage, 3 000 chevaux pour les courses attelées, et 6 000chevaux pour l'équitation et autres types d'utilisation[76]. Au XXIe siècle, la plupart des finlandais sont élevés pour une vie de trotteur, mais la race est appreciée aussi aux écoles d'équitation et parmi ceux qui font l'équitation de loisirs[8],[77].

Dehors de la Finlande le finlandais est une race chevaline relativement inconnue pour laquelle point de grands efforts promotionnels de niveau international ont été organisés. Même le nom anglais de la race «finlandais» (anglais : Finnhorse) n’a été inventé que très récemment, et il a seulement devenu le nom standard après 1990[78]. Cependant, après avoir été importés en petites quantités dans certains pays prochains comme l'Allemagne et la Suède, il y a toujours quelques représentants de la race en dehors de la Finlande[4],[8]. En 1985 et en 1987, au cadre d'un projet d'échanges équestres réalisées dans les années 1980, un certain nombre de finlandais a été vendu en Autriche et en Allemagne.

En Allemagne, ces chevaux ont été utilisés comme fondateurs génétiques du haras Freund, qui a produit plusieurs douzaines de finlandais plus tard vendus en Allemagne et en Autriche. Quelques chevaux ont également été exportés vers les Pays Bas[79]. Cependant, la population de finlandais allemande de 150 chevaux reste la plus forte à l'exterieur de la Finlande[80].

Outre le projet d’échanges déjà mentionné, seulement des râres effors d’exportation ont été realisés[79]. Cependant, une enquête de 2008 suggère la promotion du connaissance du finlandais et une augmentaton de sa demande internationale comme moyens d'assurer la survie de cette race[78]. A cette fin, dès 2008 les objectifs de la programme nationale d'élevage contiennent articles pour l'avancement du reconnaissance international de la race et ceux pour la création de sa demande en usages loisirs et enseignement, (comme par exemple chez les clubs poney); de faire du finlandais la race standard en Finlande pour le tourisme équestre et d’amériorer les possibilités des trotteurs finlandais de participer aux courses hippiques suédois et norvégiens[79].

En Finlande le finlandais est consideré précieux comme le cheval national sans liens culturels et la race est supportée par une multitude d’organisations. D'autre part, le progrès dans le fait d’augmenter son popularité est compliqué dans le monde entier par la sa faible population et le manque de reconnaissance internationale[81]. On considère que les forces de cette race dans les disciplines internationales sont sa bonne santé et sa qualité travaillant, son adaptabilité et sa valeur de nouveauté à l'extérieur de la Finlande[81]. L'adaptabilité du type de cheval 'universel' de la race, une notion finlandaise, a des avantages et des désavantages : il crée un défi dans le marketing à cause de son statut vague aux acheteurs qui ont actuellement tendance à chercher des types conventionnels et par conséquent il manque d'un fort avantage sur les races spécialisées. Pourtant, l'adaptabilité du finlandais peut le servir; les races plus spécialisées peuvent être limitées à une plus petite gamme d'activités[79],[81].



Contribution aux autres races

Un cheval de Viatka porte une expression générale similaire au finlandais.

Du XIVe au XVIe siècle, des chevaux finlandais ont été exportés vers la Russie et l'Allemagne en quantités telles qu'une suite des restrictions sur le nombre d'exportations ont été fixés[61],[82],[83]. Les exports vers la Russie au début du XIXe siècle ont influencé le développement du cheval de Viatka. Au XIXe siècle et au début du XXe siècle, les chevaux d'origine finlandaise ont été utilisés dans la création de nombreuses races baltes et russes tels que le cheval de Tori et le Tirant loud lituanien, des chevaux de type traits pour des travaux agricoles. Dans la plupart des cas, ces races ont été développées par croisements entre les chevaux finlandais et les petits chevaux locaux, ainsi augmentant leur taille. Dans les années 1920 et 1930, le finlandais a également été utilisé dans l'élevage du cheval estonien. Le lourd cheval de Mezen a été croisé aussi bien avec le finlandais et le cheval estonien, jusqu'à son stud-book a été fermé dans les années 1950. Des traces de l'influence du finlandais se montrent aussi dans d'autres races de travail soviétiques et russes; au milieu du XXe siècle, la Finlande a exporté 15 000 chevaux vers la Russie soviétique dans le cadre de son indemnité de guerre. Dans les années 1960 et 1970, petits chevaux de taille poney finlandais ont également été utilisés pour améliorer la qualité et pour élargir la base génétique du cheval Norwegien Nordlandshest/Lyngshest, qui était devenu hautement consanguin dans les années 1960[83],[79].

Tori - une race estonienne

Article détaillé : Tori (cheval).

Au milieu du XIXe siècle, les propriétaires des quelques manoirs en Estonie ont trouvé le cheval indigène estonien trop petit pour leurs besoins agricoles, et vint à la conclusion que la population bénéficierait de croisements. Chevaux finlandais ont été parmi les races considérées comme de bonne qualité pour le travail[84]. En 1856 le haras d’état de Tori a été fondée comme la base centrale pour la nouvelle race estonienne, et dix juments finlandais et trois étalons ont été achetés pour ses besoins. Bien que certains chevaux de race pure finlandaise ont été produits, ils étaient principalement utilisés pour les croisements; mais plus tard, quand les descendants partie-finlandais croisés ne se sont pas prouvés aussi bons que prévu, le haras de Tori a progressivement cessé d'utiliser des chevaux finlandais. Cepedant, un étalon finno-arabe, Orro, a eu une influence notable sur le cheval moderne Tori par son arrière petit-fils Haroun 42 T qui a eu une multitude de descendants[84].



Utilisations

Aujourd'hui, environ 75 % des finlandais sont utilisés dans les courses attelées, l'équitation étant la deuxième utilisation. Beaucoup des finlandais sont utilisés à des fins multiples, commençant leur carrière dans les courses de trot et, plus tard, passant à l'équitation, parfois avec un succès considérable. Les finlandais ont leurs propres compétitions de dressage, saut d'obstacles et concours complet, ils sont également utilisés en endurance, équitation western, et - avec succès - attelage. Environ 1 000 chevaux sont utilisés pour l'équitation et l'équithérapie. Ils sont très populaires comme chevaux de loisir

Courses de trot

La jument B. Helmiina, vainqueur du titre de Ravikuningatar (« Reine du Trot » ), ici en trot attelé sur l'hippodrome de Vermo.

Le finlandais n'est pas seulement l'un des chevaux les plus polyvalents du monde, mais aussi l'une des races de chevaux à sang froid les plus rapides du monde. Des courses réservées à ces chevaux ont lieu en Finlande depuis la seconde moitié du XIXe siècle, avec le championnat annuel officiel finnois (Kuninkuusravit) à partir de 1924 qui continue d'être un spectacle populaire.

L'étalon le plus célèbre de la race à ce jour est Viesker[44],[45],[46], qui a remporté le championnat annuel des étalons et le titre de « Roi du Trot » cinq fois de suite de 1996 à 2000, puis fut le premier trotteur finnois à passer la barre des 1.20, (1.19,9 en 2002). L'actuel record des courses de trot finnoises, 1.19,4, est détenu par l'étalon Sipori[85]. La plus célèbre jument estIP Sukkula[86] qui a gagné le « championnat annuel des juments » et le titre de « Reine du Trot » trois fois en 1996, 1999 et 2000.

Équitation

Cheval finlandais en saut d'obstacles

Bien qu'à l'origine, cette race soit destinée à la traction et au travail, le finlandais est un bon cheval à tout faire, populaire pour l'équitation de manège et de loisirs. Ils sont particulièrement bien adaptés aux parcours d'équitation de randonnée et d'endurance, la jument finlandaise Uusi-Helinä[87], montée par Ritva Lampinen, a terminé avec succès le parcours d'endurance du championnat du monde d'équitation à Stockholm (Suède) en 1990, à la 28e place. Certains de ces chevaux ont connu le succès dressage tels que les étalons Kelmi[88] et Jaime[89]. Quelques finlandais concourent en saut d'obstacles sur des barres de 130 cm, la plupart sont fiables. Les finlandais sont aussi bons pour l'attelage de compétition. Jehun Viima[90], sous l'impulsion d'Heidi Sinda, a été membre de l'équipe finlandaise d'attelage à un cheval qui a terminé deuxième aux championnats du monde à Conty en France en 2002.

Notes et références

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Annexes

Article connexe

Liens externes

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Bibliographie

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