Federation des associations etudiantes du campus de l'Universite de Montreal

Federation des associations etudiantes du campus de l'Universite de Montreal

Fédération des associations étudiantes du campus de l'Université de Montréal

Fédération des associations étudiantes du campus de l'Université de Montréal
Logo officiel de la FAÉCUM

Création 31 octobre 1976
Type Association étudiante
Siège Flag of Montreal.svg Montréal (Québec Québec)
Membre(s) 33 000 membres
Secrétaire général Nicolas Descroix
Affiliation(s) FEUQ
Site web faecum.qc.ca

La Fédération des associations étudiantes du campus de l'Université de Montréal (FAÉCUM) a pour but, à travers ses associations étudiantes membres, de défendre les différents intérêts des étudiants et étudiantes de l'Université de Montréal. Elle représente plus de 33 000 étudiants par le biais de ses 80 associations membres.

Elle œuvre dans plusieurs sphères d'activités. Tout d'abord au niveau académique, la FAÉCUM promeut auprès de l'administration de l'Université de Montréal des revendications afin de favoriser un enseignement accessible et de qualité. De plus, elle soutient les étudiants dans leur démarches face aux intervenants universitaires. Sur le plan sociopolitique, la Fédération se préoccupe de toute question sociale qui touche la vie des étudiants universitaires (financement de l'éducation, politiques gouvernementales, etc.). Au niveau de la vie étudiante, la FAÉCUM organise un grand nombre d'activités afin d'améliorer les études de la population étudiante. Finalement, elle offre aussi plusieurs services à ses membres.

La FAÉCUM, fondée en 1976, est membre de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ).

Sommaire

Historique

La FAÉCUM a été fondée le 31 octobre 1976, après sept ans de vide laissé par la mort de l'Association générale des étudiants de l'Université de Montréal (AGÉUM) qui avait représenté les intérêts des étudiants pendant près de 40 ans. Fortes de cette expérience et voulant forcer la direction de l'Université de Montréal à considérer l'opinion des étudiants dans la décision d'augmenter la cotisation obligatoire aux Services aux étudiants de 63 à 103 $, dix associations du campus relançaient le mouvement étudiant à l'Université de Montréal et fondaient la FAÉCUM.

De cet événement sont nées deux volontés de la part des étudiants de l'Université de Montréal. La première était de s'organiser afin de mieux défendre les intérêts des étudiants. La seconde était de s'imposer à la direction de l'Université de Montréal pour que les étudiants puissent participer aux instances décisionnelles de l'établissement en tant que membres à part entière de la communauté universitaire.

Au fil des ans, la FAÉCUM a pris de l'expansion. Ses secteurs d'activité se sont grandement diversifiés, passant de la simple politique interne à la prestation de services et à l'implication dans des dossiers d'envergure nationale. Elle constitue aujourd'hui une force incontournable du mouvement étudiant, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du campus, et tente de répondre de plus en plus adéquatement aux besoins de ses membres.

Les quelques dates qui suivent marquent des moments importants de son histoire récente.

1989 Membre fondateur de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ), la FAÉCUM est l'une des principales instigatrices de ce qui deviendra la plus importante organisation étudiante du Québec.

Automne 1993 Les étudiants obtiennent du Parti québécois une prise de position publique en faveur d'un moratoire sur toute hausse des frais de scolarité. Le gouvernement libéral revient alors sur son engagement d'ajuster les frais de scolarité à la moyenne canadienne.

3 avril 1995 L'Université de Montréal adopte sa Politique sur les droits des étudiantes et étudiants par laquelle elle accorde à ceux-ci une reconnaissance statutaire pleine et entière.

1996-1997 Le gouvernement du Québec annonce une hausse des frais de scolarité. La FAÉCUM se lance dans une campagne de sensibilisation et de mobilisation pour faire reculer le gouvernement. Finalement, le gouvernement renonce à la hausse des frais de scolarité.

Printemps 2000 Au terme d'une vigoureuse campagne de la FAÉCUM, l'Université de Montréal consent à réduire significativement les frais de rédaction et d'administration.

Mars 2000 La FAÉCUM prend part au Sommet du Québec et de la jeunesse pour revendiquer un réinvestissement massif en éducation, ce qui conduit le gouvernement québécois à injecter un milliard de dollars additionnels dans le réseau postsecondaire (CÉGEPs et universités).

Janvier 2001 La FAÉCUM obtient un engagement de la part de la direction des services auxiliaires afin d'abaisser le coût des photocopies de 0,10 ¢ à 0,05 ¢.

Mars 2001 En matière d'aide financière, le critère d'autonomie financière de l'étudiant à l'obtention de 90 crédits est rétabli, et la double prise en compte de la contribution étudiante est annulée.

Juin 2001 La FAÉCUM lance le Programme de reconnaissance de l'implication étudiante (PRIE) qui récompense l'implication bénévole des étudiants sur le campus.

2001-2003 Faisant suite aux revendications intensives de la FAÉCUM, la direction de l'Université de Montréal consent à augmenter le salaire des auxiliaires d'enseignement.

26 novembre 2001 L'Université de Montréal adopte une politique linguistique qui affirme son caractère résolument francophone.

2001-2002 Lors de la campagne électorale municipale, la FAÉCUM obtient l'élargissement du tarif réduit pour le transport en commun aux étudiants à temps plein âges de 18 à 25 ans.

Mai 2002 La Loi sur l'aide financière aux études est modifiée pour permettre aux étudiants à temps partiel d'avoir accès au régime des prêts et bourses.

16 mai 2002 La FAÉCUM obtient que la Société de transport de Montréal (STM) allonge les heures de service sur la ligne bleue du métro.

Novembre 2003 L'Université de Montréal adopte une politique d'achats et de placements responsables suite aux pressions de la FAÉCUM.

Janvier 2005 À la demande de la FAÉCUM, l'Université de Montréal adopte une politique environnementale s'inspirant du principe du développement durable.

Mars 2005 Le mouvement étudiant obtient du gouvernement du Québec la réduction de l'endettement étudiant par l'abaissement plafond de prêts du régime d'aide financière aux études (de 3 260 à 2 400 $).

Avril 2005 Le gouvernement libéral revient sur sa décision de convertir 103 millions de dollars de bourses en prêts (réinvestissement de 482 millions sur cinq ans dès 2006).

Mai 2005 La FAÉCUM obtient de l'Université de Montréal une modification au Règlement sur le plagiat qui tient davantage compte du principe de justice naturelle et rend ainsi le règlement plus clair et objectif.

Octobre 2005 La FAÉCUM obtient le retrait de frais afférents de 25 $ par crédit imposés sur les cours de langues.

Novembre 2005 Les gouvernements provincial et fédéral ratifient une entente octroyant aux étudiants internationaux le droit de travailler hors campus partout au Québec pendant toute la durée de leurs études à temps plein.

Février 2007 La FAÉCUM fait plier l'Université qui transforme finalement ses frais technologiques en cotisation automatique non obligatoire (CANO). Les étudiants qui ne désirent pas payer ces frais afférents peuvent se retirer du programme.

Mars 2007 L'évaluation de l'enseignement aux cycles supérieurs deviendra une pratique normalisée dans les unités au cours de l'année 2007-2008.

Années 2000

Controverse Pepsi

Une entente controversée a été conclue en 1998 entre l'Université de Montréal, la FAÉCUM et la compagnie de boissons gazeuse Pepsi Cola[1],[2],[3]. L'Université de Montréal, la FAÉCUM et Pepsi Cola ont conclu une entente donnant les droits de la distribution exclusive de leurs produits non alcoolisés sur la totalité du campus universitaire en échange de diverses bourses pour les étudiants de l'Université de Montréal, de l'acti-fonds Pepsi permettant aux associations étudiantes d'avoir accès à un montant d'argent (1$ par étudiant avec un minimum de 250 $) qui leur permet d'organiser des activités pour leurs membres, et des redevances Pepsi aux cafés étudiants. Ces dernières sont importantes: elles constituent une source de revenus non négligeable pour les cafés étudiants de l'Université de Montréal.

Le retour des 103 millions

La FAÉCUM s'est impliquée lors de la grève étudiante québécoise de 2005. Avec plus de la moitié de ses étudiants membres en grève, la FAÉCUM a participé à plusieurs des mobilisations organisées lors de cette grève. Elle revendiquait « le retour des 103 millions ».

Campagne contre les frais technologiques

En 2006, elle a obtenu la transformation de frais afférents de 120 $ par année imposés par l'Université en une cotisation non obligatoire.

Hausse des frais afférents en 2008

En 2008, la direction de l'Université de Montréal a souhaité augmenter les frais afférents entre 230 $ et 570 $ par session pour les étudiants. Après une campagne de mobilisation, la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne a rendu publique une politique pour limiter la hausse des frais afférents dans les universités québécoises.

Structure

La FAÉCUM fonctionne selon une structure fédérative. Elle représente l'ensemble de ses membres par le biais des associations étudiantes.

La FAÉCUM a deux types de membres : les membres à titre individuel et les associations membres. Les membres à titre individuel, en vertu du principe de la formule Rand, sont obligés d'être membres de la Fédération et de payer leur cotisation[4]. Par contre, les associations membres peuvent se désaffilier de la Fédération. Leurs membres continuent de payer à la FAÉCUM, mais l'association étudiante ne peut plus en retirer les bénéfices (droit de vote lors des instances, services et conseils à l’association, etc.). En raison du caractère symbolique de la désaffiliation, seules quelques associations étudiantes ne sont pas affiliées à la FAÉCUM[5].

Congrès

L'instance suprême de la fédération est le congrès où siège l'ensemble des délégués représentant les associations étudiantes. Chaque association étudiante membre de la FAÉCUM peut envoyer un nombre de délégués équivalent à une grille de proportionnalité selon le nombre de membres de l'association. Le congrès a autorité sur l’ensemble des instances de la FAÉCUM : Bureau exécutif, Conseil d'administration et Conseil central).

Le congrès doit entériner les positions prises par le conseil central et entériner les politiques votés par le conseil d'administration. Il est responsable de l’élection des membres du bureau exécutif, du conseil d'administration, de même que la nomination du président et du vice-président du conseil central.

Le congrès annuel se déroule à la fin du mois de mars de chaque année. Les délégués des associations étudiantes sont appelés à faire le bilan de l'année, adopter des orientations de travail pour l'année suivante et élire les personnes mentionnées ci-dessus. De plus, les dossiers d'importance de la FAÉCUM sont souvent amenés à être discutés en congrès.

Conseil central

Le conseil central (CC) est l'instance décisionnelle responsable du discours et de la planification des actions politiques de la FAÉCUM[6]. Un représentant de chaque association membre de la FAÉCUM y siège. Se réunissant généralement une fois aux trois semaines, c'est l'endroit où les grands débats politiques de la FAÉCUM prennent place entre les Congrès. Les différents conseils de la FAÉCUM discutent, au préalable des documents et débats qui auront lieu en Conseil central.

Conseil d'administration

Le conseil d'administration supervise la gestion et administre les affaires de la FAÉCUM[7]. Il agit dans trois sphères: la gestion des ressources humaines, la supervision financière, la gestion des services.

Le conseil d'administration est composé de huit administrateurs élus par le Congrès et de trois membres du bureau exécutif (le secrétaire général, le coordonnateur aux affaires universitaires et le coordonnateur aux finances et services. Des huit administrateurs élus par le congrès, minimalement trois doivent provenir de membres de la FAÉCUM étudiant au premier cycle et trois de membres étudiant aux cycles supérieurs.

Composition
Poste 2006-2007 2007-2008 2008-2009
Président Jonathan Plamondon Julie Bouchard Francis Hogue
Secrétaire Sylvain Dubé Vincent Ranger Nicolas Descroix
Trésorier Philippe Brisson Kevin Bélanger Kevin Bélanger
Administrateurs de premier cycle Myriam Carlos Marie-Michèle Cauchy Louise Lemay
David Paradis Jonathan Lafontaine Marie-Êve Dostie
Vincent Ranger Nicolas Veilleux Mathieu Flammand
Administrateurs tous cycles confondus Héloïse Gauvin Raoul Gébert
Jocelyn Caron Louise Lemay Marie-Pier Robitaille
Administrateurs de cycles supérieurs Louis-François Brodeur (vacant) Alexandre Beaupré
Marc Julien Maxime Desmarais-Tremblay
Nicolas Lahaie Simon Gélinas

Conseils

La FAÉCUM possède quatre conseils consultatifs : Le conseil des affaires socio-politiques (CASP), le conseil des affaires académiques (CAA), le conseil de vie étudiante (CVE) et le conseil des études supérieures (CES).

Ces conseils discutent des dossiers de la FAÉCUM entre les rencontres du conseil central. Ils doivent recommander les avis, mémoires et positions au Conseil central. Les quatre conseils servent aussi à réunir autour d'une même table les délégués des associations étudiantes travaillant sur des champs spécifiques.

Bureau exécutif

Le bureau exécutif est responsable de la gestion quotidienne de la Fédération et de l’application des mandats qu’il reçoit des différentes instances de la Fédération[8]. Il s'occupe de l'ensemble des sphères d'activités de la Fédération (académique, sociopolitique, services aux étudiants, socioculturelle, etc.). Il est composé de neuf personnes élues par le Congrès. Les officiers œuvrent à temps plein pour la FAÉCUM et sont élus du 1er mai au 30 avril de chaque année.

Composition
Poste 2009-2010 2008-2009 2007-2008 2006-2007
Secrétaire général Nicolas Descroix Francis Hogue Julie Bouchard Jonathan Plamondon
Coordonnateur aux affaires universitaires Éloi Lafontaine-Beaumier Nicolas Descroix Vincent Ranger Sylvain Dubé
Coordonnateur aux affaires externes Maxime Clément Jonathan Lafontaine Jocelyn Caron Julie Bouchard
Coordonnateur aux finances et services Véronique Levert-Boyer Kevin Bélanger Kevin Bélanger Philippe Brisson*
Coordonnateur aux affaires académiques de premier cycle Xavier Fabian Mountagha Sow Eric Peters Louis-Philippe Vien
Coordonnateur aux affaires académiques de cycles supérieurs Pascal Lamblin Louis-François Brodeur Maxime Desmarais-Tremblay Martin Vézina
Coordonnateur à la recherche universitaire Laurent Karim Béland Walid Romani David Paradis (vacant)
Coordonnateur à la vie de campus Anne-Catherine Carrier Jean-Daniel Daigle Jean Grégoire Marie-Michèle Houle*
Coordonnateur aux affaires associatives Marc-André Ross Nicolas Veilleux Francis Hogue

* Ont démissionné avant la fin de leur mandat.

Comités participatifs

Il existe aussi deux comités participatifs à la FAÉCUM, soit le SCRUTÉ (Surveillance pour la Consommation Responsable Universitaire et les Transactions Éthiques) et UniVERTcité. Ces comités sont chargés, avec un budget alloué par la FAÉCUM, d'œuvrer dans leur domaine respectif.

UniVertCité

Le comité environnemental étudiant UniVertCité regroupe des étudiants membres de la FAÉCUM désireux de promouvoir le respect de l'environnement et les principes du développement durable. L'objectif du comité est, principalement, de sensibiliser la communauté étudiante aux problèmes environnementaux et d'agir afin que l'Université de Montréal devienne une institution civiquement responsable.

SCRUTÉ

Le comité Surveillance pour la Consommation Responsable Universitaire et les Transactions Éthiques (SCRUTÉ) a pour mission de favoriser l'investissement responsable et éthique à l'Université de Montréal. Le comité fait pression sur les différents acteurs universitaires pour qu'ils prennent conscience de l'importance de leurs actions. Il organise aussi plusieurs activités de sensibilisation auprès des étudiants.

Projet Campus Durable

Le Projet campus durable (PCD) à l’Université de Montréal s’inscrit dans un mouvement pancanadien visant à intégrer les principes de développement durable dans l’ensemble des activités de nos universités à une époque où une action collective envers l’amélioration des pratiques au niveau environnemental mais également social et économique est essentielle et prioritaire. Pour se faire, le PCD désire engager activement les connaissances de la communauté universitaire de façon à relever les défis écologiques, sociaux et économiques d’aujourd’hui et de demain. Sous l’égide de l’organisme Coalition Jeunesse-Sierra, plus d’une soixantaine de campus au Canada participent actuellement au Projet campus durable et nombre d’entre elles bénéficient déjà du fruit du travail consciencieux de leur PCD.

Le Projet campus durable à l’UdeM a été démarré à la session hiver 2006 sous l’impulsion des Comités participatifs étudiants UniVertCité et Scruté avec la collaboration de la FAÉCUM et l’injection d’une somme de 50 000$ par celle-ci. Formé d’étudiants, d’un membre délégué de l’Administration de l’université et d’une personne chargée de la coordination, le PCD de l’UdeM est en action depuis septembre 2006. Fort de l’appui du Vice-recteur de l’Université de Montréal et maintenant doté d’une structure et d’un plan d’action bien établi, le PCD UdeM est maintenant prêt à passer à l’action ou plutôt, à l’évaluation du campus !

Basé sur une approche participative multipartite, le PCD UdeM aspire en effet à évaluer la situation du campus de l’Université de Montréal. L’évaluation, par le biais d’une série d’indicateurs préétablis devant être mesurés, permettra de disposer de la vision globale nécessaire pour émettre des recommandations et pistes de solution pouvant améliorer, sur une base continue, les pratiques de l’Université. Le PCD vise en effet à tenir compte à la fois des incidences environnementales, sociales et économiques de tous les aspects du milieu postsecondaire. Pour réussir une telle mission, le PCD désire s’adjoindre la collaboration de membres de toutes les sphères d’activités de l’Université que ce soit les étudiants, les professeurs, les employés de soutien, les membres de la haute administration ou les gestionnaires afin de faire de l’Université de Montréal un chef de file en matière de développement durable.

Bibliographie

  • Éric Bédard, Histoire de la FAÉCUM : 1976-1994, Fédération des associations étudiantes du campus de l'Université de Montréal, Montréal, 1994 .
  • Denis Gravel, Histoire de la FAÉCUM (1976-2006) : Une fédération en marche, Archiv-Histo, Montréal, 2006 (ISBN 2-920480-95-2) .

Notes et références

  1. Jeanne Corriveau. 2002. « Bris d'un controversé contrat d'exclusivité - L'UdeM poursuit Pepsi ». Le Devoir. 5 novembre. En ligne (page consultée le 4 avril 2007).
  2. Presse canadienne. 2002. « L'Université de Montréal poursuit Pepsi ». LCN. 4 novembre. En ligne (page consultée le 4 avril 2007).
  3. [pdf] Commission d'accès à l'information. 2002. Dossier No 01 01 08. Regroupement des étudiantes et étudiants en sociologie de l'Université de Montréal contre Université de Montréal.
  4. En 2008, la cotisation était de 10,50$ pour tous les étudiants inscrits aux sessions d'automne et d'hiver et 10,25$ pour la session d'été
  5. Il s'agit de l'Association étudiante d'anthropologie de l'Université de Montréal (AÉAUM), du Regroupement des étudiantes et étudiants de sociologie de l'Université de Montréal (RÉÉSUM), de l'Association des cycles supérieurs de sociologie de l'Université de Montréal,de l'Association étudiante d'histoire de l'Université de Montréal (AEHUM), de l'Association des étudiant-e-s diplômé-e-s du département d'histoire de l'Université de Montréal (AEDDHUM) et de l'Association des étudiants au cycles supérieurs en droit.
  6. FAÉCUM. 2006. Règlements généraux. FAÉCUM: Montréal, p. 26.
  7. FAÉCUM. 2006. Règlements généraux. FAÉCUM : Montréal, p. 35.
  8. FAÉCUM. 2006. Règlements généraux. FAÉCUM: Montréal, p. 86.

Voir aussi

Articles connexes

Liens et documents externes

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