Etival-Clairefontaine

Etival-Clairefontaine

Étival-Clairefontaine

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Étival-Clairefontaine

La Meurthe
La Meurthe

Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Lorraine
Département Vosges
Arrondissement Saint-Dié-des-Vosges
Canton Raon-l'Étape
Code Insee abr. 88165
Code postal 88480
Maire
Mandat en cours
Cécile Marchal
2008 - 2014
Intercommunalité Communauté de communes du Ban d'Étival
Site internet www.etival.fr
Démographie
Population 2 405 hab. (2006)
Densité 89 hab./km²
Gentilé Stivalien(e)s
Géographie
Coordonnées 48° 21′ 53″ Nord
       6° 51′ 32″ Est
/ 48.3647222222, 6.85888888889
Altitudes mini. 285 m — maxi. 591 m
Superficie 27,12 km²

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Étival-Clairefontaine est une commune française, située dans le département des Vosges et la région Lorraine. Ses habitants sont appelés les Stivaliens.

Sommaire

Géographie

Étival-Clairefontaine se situe sur la rive de la Meurthe, à ses confluences avec le Rabodeau et la Valdange. Quatre formes montueuses et forestières sont remarquables aux alentours : la côte de Repy proche, les Jumeaux derrière Nompatelize au sud et, sur l'autre rive de la Meurthe, le Grand Fays au-dessus de Saint-Blaise et le massif de la Haute-Pierre à Moyenmoutier.

Un bras de la Meurthe

La petite ville prospère, qui tend à former agglomération avec Moyenmoutier, est distante de 7 km de Raon-L'Étape, de 13 km de Saint-Dié-des-Vosges, de 45 km d'Épinal, de 75 km de Nancy et de 87 km de Strasbourg par le col du Hantz (641 m). On rejoint Rambervillers à 20 km par le col de la Chipotte.

Histoire

Les origines de Sanctivagium, altéré en latin médiéval sous la forme de Stivagium, puis Estival en ancien français, remontent au milieu du VIIe siècle. C'est le vœux de Leudinus Bodo, patron du ban d'Etival et connu sous le nom de saint Bodon ou ou saint Leudin d'ériger et peupler un monastère, dans la vallée à quelques distance d'une île sur la Meurthe nommée Chiarafontana, devenu Clairefontaine. On ne sait s'il y parvint[1].

Par contre, les hommes du ban d'Étival en révolte, après avoir été repris en main par les troupes de Charles le Gros, passe en 880 sous l'autorité de sa femme Richarde. Elle accroît par une charte le territoire du ban restant car le ban primitif s'est déjà scindé en plusieurs entités autonomes. L'impératrice Richarde y installe douze chanoines et un prévôt. Léguant ce vaste domaine à l'abbaye des chanoinesses d'Andlau qu'elle a fondée en 881, elle devient la patronne et bienfaitrice féminine du monastère.

Entre 912 et 920, l'abbaye est dévastée par les Hongrois.

Au tiers du XIIe siècle, les religieux refusent rattachés à l'ordre des Prémontrés. Ils sont forcés de s'enfuir à Autrey lorsque les Prémontrés venu de Flabémont prennent pied sur le ban entre 1146 et 1147. Le corps des bâtiments ont des allures de fortification que renforçent les pièces d'eau qui l'entourent. On peut se faire une idée de cet agencement en parcourant la cour des moines et en découvrant l'ancien logis abbatial. Cet ensemble est malmené pendant la Révolution de 1789 et lors de la seconde guerre mondiale.

En 1309, Thiébaut II, duc de Lorraine, accorde les droits de haute, moyenne, et basse justice dans tout le ban. L'historien Hugo a prétendu que l'abbé d’Étival était évêque in partibus, ce qui lui donne des droits quasi épiscopaux dans son territoire et quelques paroisses de sa dépendance.

L'église romane en grès rose et l'abbaye

L'église en grès rose est un chef-d'œuvre et un fleuron de l'art roman dans les Vosges, classé monument historique en 1986. Bâtie par les moines vers 1200 sur l'emplacement d'une chapelle, elle possède un portail de l'époque Renaissance et une façade du début du XVIIIe siècle. Après les dégâts occasionnés par l'occupant allemand qui le dynamita le 9 novembre 1944, l'église fut reconstruite.

Elle n'en reste pas moins l'un des plus remarquables édifices romans du département. Au cours des travaux de reconstruction, la tour unique qui se trouvait à gauche du portail en façade avant la destruction de 1944, fut placée à droite, à la place d'une petite tour.

Archéologie

D'autres vestiges du passé témoignent des activités qui ont marqué la contrée d'Étival.

Fréquenté au cours du Halstatt moyen, au VIe siècle, puis à la Tène, aux IIIe et IIe siècles av. J.-C., le site de la Pierre d'Appel à Étival — promontoire d’un plateau surplombant de 200 mètres la vallée de la Meurthe et contrôlant les chemins de vallée — est occupé à partir du Ier siècle av. J.-C., peut-être à cause de la destruction du village par l'armée romaine au temps de la seconde phase de la conquête des Gaules[2].

Les objets trouvés lors des fouilles de la Pierre d'Appel dans les habitations occupées à La Tène et à l’époque gallo-romaine se trouvent au musée de Saint-Dié. Sur ce domaine de la côte de Repy occupés pendant un laps de temps continu de moins de deux siècle, des traces de demeures celtiques sont encore observables. Un camp fortifié à la Pierre d'Appel a notamment été mis au jour lors de fouilles archéologiques. Alain Deyber a été l'archéologue responsable de la fouille. Ses rapports et observations peuvent être lues au musée de Saint-Dié. Il a notamment mis au jour les substructures d'un pont en bois gaulois qui franchissait la Meurthe.

Sur les hauteurs avoisinantes, quelques amateurs trouvent des pierres à cupules, dont la finalité n'est pas entièrement avérée : construction pour la réalisation de sacrifices, destinées à recueillir le sang lors de sacrifices, ou récupérateur d'eau de pluie, ou encore plus prosaïquement érosion différentielle des grès triasiques.

Certains historiens ont écrit que l'ancienne voie romaine de Langres à Strasbourg passe par Étival et le Donon[3]. Beaucoup moins prestigieux, et peut-être à l'origine de la précédente confusion, une via salinatorum qui provient à l'origine de Charmes et Grand et franchit l'ancien ban de Nossoncourt, laisse plusieurs diverticules sur le ban d'Etival. En particulier la portion centrale la plus directe surplombait le col de Trace et descendait droit sur les Châtelles et franchissait la Meurthe pour faire halte à Saint-Blaise sur l'autre rive. La fréquentation de ce passage entre occident et orient du massif vosgien n'a fait que glisser vers le sud avec le temps, pour finalement la route actuelle du col de la Chipotte[4]. Par Saales puis Steige dans le Val de Villé, la voie se reliait après Schervillé au voie de piémont de la plaine d'Alsace.

Industrie du papier

La première papelerie fut créée en 1512 par l'abbé Fagnozel, préfigurant une activité papetière qui ne cessera de se développer.

L'histoire de la commune est aussi liée à celle de l'industrie papetière. Dès 1512, un moine prémontré créa une première papellerie (c'est le fait qu'en cette année s'est créé un moulin à papier qui a donné l'idée de créer des papeteries à cet emplacement. En 1858, Jean-Baptiste Bichelberger fonde les Papeteries de Clairefontaine qui se caractériseront au XXe siècle par leur couverture pelliculée et demeurent aujourd'hui celles qui fonctionnent le mieux des quatre de l'arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges et est même une des meilleures de France du point de vue des ventes. Et Étival-Clairefontaine possède même aujourd'hui une partie du territoire des papeteries des Châtelles qui ont été créées en 1871.

Légende et blason

Une légende affirme que Sainte Odile aurait été baptisée à Étival.

Blason Blasonnement
Parti : au premier d'azur au chef d'argent chargé de deux merlettes de sable, au second de gueules semé de billettes d'argent, au dextrochère de carnation vêtu d'argent mouvant de sénestre et tenant une crosse d'or mise en pal, brochant sur le tout.
Commentaires : La commune utilise le blason de Charles-Hyacinthe Hugo, abbé d’Étival en 1722. Selon l’usage, le blason est parti des armes de la famille Hugo, les merlettes, et des armes de l’abbaye d’Étival, le dextrochère et la crosse.

Sites remarquables

  • Roche de la Pierre d'Appel (492 m) à l'extrémité de la côte de Repy qui abrita un camp celtique.
  • Roche du Bouc (autre lieu de la côte de Repy) offrant un panorama d'Étival-Clairefontaine.
  • Célèbre abbaye fondée par l'évêque de Toul, saint Leudin, au VIIe siècle.
L'orgue de l'abbaye
  • Église romane à trois nefs appelée "Église Notre-Dame", du XIIe, remaniée au XVIe siècle. Dynamitée par l'occupant en 1944, elle fut reconstruite, mais son unique tour fut placée de l'autre côté de la façade avec un étage de moins. Il s'agit d'une des plus belles églises romanes de la région ayant été restaurée après la seconde guerre mondiale où les Allemands l'avaient à moitié détruite. Son style est semblable à la cathédrale de Saint-Dié-des-Vosges qui a d'ailleurs elle aussi été détruite pendant la seconde guerre mondiale. Autrefois c'était une chapelle qui déjà était d'une beauté très séduisante. Désormais une pancarte en face de l'église permet d'en savoir un peu plus sur elle.
  • Ruine du moulin à papier datant de 1512 sur les rives de la Valdange.
  • Nombreux étangs, dont le lac de Beaulieu bordé d'un camping.
  • Parcours de santé dans les prés de la côte de Repy, autrefois "parcours Vitta-Vittel" et désormais rénové.
  • Jusque vers la fin des années 1970, chemin de fer touristique à vapeur de la Vallée du Rabodeau.
  • De 1972 à 1999, restaurant-dancing de Beaulieu-Park.

Économie

Étang de pêche familiale

Créées en 1858, les papeteries Clairefontaine sont implantées près de la gare et des bras de la Meurthe et sont le premier employeur de la localité.

Parmi les autres grandes entreprises figurent Gedimat Derrey (matériaux de construction) et Sommin (montage et maintenance industrielle).

Une pisciculture exploite sur 10 hectares plusieurs étangs, dont l'un est réservé à la pêche familiale[5]. Elle produit 10 tonnes de truites par an et développe plats cuisinés et conserves.

En 2006 quatre nouvelles entreprises se sont créées : Jean-François Boileau, Top Games, Café de Pajailles (nouveauté : alimentation animalière) et Christophe Brusseaux (adresse : 9, avenue de Bellefontaine).

Animation

Étival-Clairefontaine comporte une école de musique associée avec Moyenmoutier. Mais il faut aussi noter que cette ville possède la particularité d'avoir des ateliers d'arts plastiques, un atelier d'arts créatifs dans la bibliothèque municipale et des cours de langues pour adultes.

Il y a aussi une ferme musée à la rue de sainte-Odile.

À compter de 2004 une sorte de marché appelée "foire aux écrevisses" est organisée tous les ans sur le Champ de Foire qui borde la salle polyvalente.

Cette ville présente deux salles de spectacles : la salle des fêtes et la salle polyvalente. C'est à la salle polyvalente qu'est organisé le CAJS (Cercle d'Animation Jeunesse Stivalienne) et autrefois qui servait pour la fête de carnaval qui proposait un défilé. Le concert du nouvel an se déroule aussi à la salle polyvalente (il y en a également un à Noël dans l'église). Aux alentours de cette salle de spectacle il y a un stade de football, un stand de tennis et un stand de tir.

Deux boutiques ont pris naissance en 2008 : l'institut de beauté Paloma et le Goupilou (commerce associé avec le "Croq' et Pizz'" spécialisé dans la viande, la charcuterie, les pizzas et la restauration).

Le sport est particulièrement représenté par l'équipe féminine de tennis de table, jouant au niveau national.

Démographie

Évolution démographique
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
2265 2305 2240 2231 2328 2401 2405
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes
  • Étival-Clairefontaine compterait 2466 habitants en janvier 2007 selon une information transmise par la mairie.

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
mars 2008 2014 Cécile Marchal DVD
1989 2008 Daniel Mathieu DVD Ingénieur
1983 1989 Michel Vogelweit SE
1977 1983 François Georgel SE
1960 1977 Paul Voinson SE
1947 1960 Edmond Cunin SE
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Personnages célèbres

Notes

  1. Avant de devenir évêque de Toul, il fonde Bonmoutier pour les femmes vers 650.
  2. La destruction est moins vraisemblable au temps d'Auguste.
  3. Les confusions avec les via ferrata aménagées par l'industrie du bois et charbon au douzième siècle peuvent facilement abuser les érudits ou apprentis archéologues.
  4. Le diverticule par la Haute Neuveville a toutefois subsisté jusqu'à aujourd'hui.
  5. ESAlliance, no 595, janvier-février 2007, p. 6 [1]

Voir aussi

  • L'éco-musée d'Étival-Clairefontaine, découverte des arts et traditions populaires, reconstitution d'une ferme 1900 au 11, rue Ste-Odile,

Bibliographie

  • Marcel Maulini, Le Ban d'Étival dans les Vosges : étude archéologique de la préhistoire à la Renaissance, Étival ?, s. n. 1961, 238 p.
  • André Petitdemange (et al.), Senones, Moyenmoutier, Étival : pays d'abbayes en Lorraine, Office de tourisme du pays des abbayes, Senones, 2007, 125 p. (ISBN 978-2-9529604-0-3)

Travaux archéologiques:

      • Étude fondamentale.
    • Étude sur un point particulier.
  • Références à « La Pierre d’Appel » et à d’autres sites vosgiens dans une étude générale.

Les travaux sans aucune * sont dépassés par l’état des connaissances mais sont mentionnés en tant que constituant une étape scientifique dans le processus de recherche. Classement par ordre chronologique.

1. * DEYBER (A.) : L’âge du Bronze dans le département des Vosges, 1800-750 av J.C. - Mémoire de Maîtrise d’Histoire, Université de Nancy 2, Faculté des Lettres et Sciences Humaines, Histoire et Géographie, 1972, VI et 87 p. 8 fig, 2 cartes (B.U. de Nancy 2, no 72/119).

2. DEYBER (A.) et Faure (J.J.) : Le site archéologique de l’oppidum de la Pierre d’Appel à Etival (Vosges) ; bilan de cinq années de fouilles, publication de la Section Archéologique du Club vosgien de Raon-l’Etape, juillet 1972, 17 p., 5 fig.

3. ** DEYBER (A.) : La céramique de la Tène III à l’oppidum de la Pierre d’Appel, commune d’Etival-Clairefontaine (Vosges), dans Revue Archéologique de l’Est et du Centre Est, XXIII, 1-2, 1972, Dijon, p. 55-76, 6 fig.

4. DEYBER (A.) : Le castellum d’Etival-La Pierre d’Appel, principaux résultats de cinq années de recherches, dans Bulletin de la Société Philomatique Vosgienne, St-Dié, 1972, p. 21-32, 4 fig.

5. * DEYBER (A.) : Découverte d’un site gaulois de la Tène III au terroir de Saint-Maurice aux Forges (M&M), dans Revue Archéologique de l’Est, XXIV, 1973, I, p. 129-143, 6 fig.

6. DEYBER (A.) : La Pierre d’Appel, un oppidum celtique, dans Archéologia Trésors des Ages no 71, juin 1974, p. 14-21, 2 fig. (photos).

7. * DEYBER (A.) : Le pont celtique d’Etival-Clairefontaine (Vosges) Point des connaissances, problèmes et directions de recherche, dans Revue Archéologique de l’Est, XXIX, 1978/1-2, p. 105 - 116, 7 fig.

8. * DEYBER (A.) : Du nouveau à propos du pont celtique d’Etival-Clairefontaine (Vosges), dans Revue archéologique de l’Est, XXXI/I-2, 1980 p. 57-59, 1 fig.

9. * DEYBER (A.) : Les structures d’habitat laténien des peuplades pré-romaines du Nord-Est de la Gaule. Point des connaissances, problèmes et directions de recherche, dans « L’habitat à l’âge du fer en Europe tempérée - L’évolution de l’habitat en Berry ». Actes du colloque organisé les 27-28-29 octobre 1978 à Châteauroux-Bouges-Levroux (Indre), Maison des Sciences de l’Homme, Paris, 1981, p. 89-100, 7 fig., 1 tableau.

10. * DEYBER (A.) : Les frontières des peuples préromains dans l’Est de la Gaule à la fin de l’époque de la Tène. Actes du colloque sur « Les frontières en Gaule et dans les provinces du Nord-Ouest » organisé les 14-15 juin 1980 à Paris ; Caesarodunum, Centre de recherches A.Piganiol et Institut d’Études Latines de l’Université de Tours, Paris-Tours, T.XVI, 1981 p. 28-44, 3 cartes.

11. * * DEYBER (A.) : Le réaménagement défensif de l’oppidum de la « Pierre d’Appel » à Etival-Clairefontaine (Vosges) Etudes d’architecture gallo-romaine, dans Études Lorraines d’Archéologie Nationale, T1, 1983, Presses Universitaires de Nancy, p. 105-115, 6 fig.

12. * * DEYBER (A.) : La paléométallurgie du fer et des métaux non ferreux à l’oppidum de « La Pierre d’Appel » (Etival Vosges) Diplôme d’Études Approfondies. Université de Provence, Aix-Marseille 1, Lettres, 1983, 21 p., 10 fig. (Bibliothèque du L.A.P.E.M.O., no 96907).

13. * DEYBER (A.) : avec la collaboration de DEROCHE (F.), LAGADEC (P.) : Structures et fonctions des fortifications de l’Age du fer dans le Nord-Est de la France (régions Champagne Lorraine - Alsace) N.S. de la Revue du Nord, Les Gaulois dans le Nord de la France et en Belgique. Actes du 6e colloque de l’Association Française pour l’Étude de l’Age du Fer, Mons-Bavay, 1982, p. 215-236, 13 fig., 1984.

14. * * * DEYBER (A.) avec la collaboration de DALAUT (M.), LADIER (E.), WEISROCK (A.) : L’habitat fortifié de « La Pierre d’Appel » à Etival-Clairefontaine (Vosges) Gallia, 42/I, 1984, p. 175 - 217, 28 fig., 1 tab.

15. * DEYBER (A.) : Contribution à l’étude de la guerre à la fin de l’époque de la Tène : l’emploi de l’armement celtique en Gaule au 1er siècle avant notre ère, dans Revue Aquitania, Supplément 1, 1986. Actes du 7e colloque de l’Association française pour l’ Étude de l’Age du Fer, Angoulème, 1984, p. 331-342, 2 fig.

16. * * DEYBER (A.), GUILLAUMET (Jean-Paul) : La sépulture « 14b » de l’Oppidum de « La Pierre d’Appel » à Etival-Clairefontaine (Vosges), dans l’Age du Fer en Lorraine, Musée de Sarreguemines, mai 1987, catalogue d’exposition, p. 38 - 39, 1 fig.

17. * * DALAUT (Marc), DEYBER (Alain) : Les céramiques de l’oppidum laténien de « La Pierre d’Appel » à Etival-Clairefontaine (Vosges), dans Gallia, 45/1987-1988, p. 29-47, 13 fig.

18. * * DEYBER (A.) : Plaquettes semi-circulaires biforées » pseudo - La Tène découvertes en Lorraines. Actes du XIIIème colloque de l’ A.F.E.A.F., Le Berry et le Limousin à l’Age du Fer ; Artisanat du bois et des matières organiques, Guéret, mai 1989 ; éd. Verso, Guéret, 1992, p. 105-107, 2 fig.

19. DEYBER (A.) : Étude liminaire de ratés de fabrication de potins de l’oppidum de « La Pierre d’Appel » à Etival-Clairefontaine (Vosges), dans Bull. Info, de l’ A.F.E.A.F., 1991, 2 p.

20. * DEYBER (A), en collaboration avec Ch. GUILLAUME et J.-L. COUDROT : Encyclopédie illustrée de la Lorraine (Dir. G. CABOURDIN). Histoire de la Lorraine – Les temps anciens – 1 – De la pierre au fer. Presses universitaires de Nancy et éditions Serpenoise, Nancy – Metz, 1992, 176 p., 200 ill.

21. * DEYBER (A.) et al., sous la direction de Alain DUVAL: Vercingétorix et Alésia, Catalogue d’exposition, Saint-Germain-en-Laye, Musée des Antiquités Nationales, 29 mars-18 juillet 1994, Paris, p. 211-217 (Les évènements de 52 av. J.C., l’armée de Vercingétorix, la cavalerie gauloise), p. 220-224, 232-237 (Le siège d’Alésia, 52 av. J.C.), p. 267-269 (projectiles, armes inertes), p. 291-292 (Le Cheval à Alésia), p. 385 (Bibliographie), 6 fig, 5 photos n. et b.

22. * DEYBER (A.) et SCHEERS (S.) : Le trésor de Robache, dans Archéologia Mosellana, 2, 1993, p. 411-428, 1 fig., 4 pl. Dans Actes du XIème colloque de l’A.F.E.A.F., Sarreguemines, 1987. Réed. en 1998/99 dans le Bulletin de la Société Philomatique Vosgienne.

23. * DEYBER (A.) et al. : Tombes et nécropoles en France et au Luxembourg entre le IIIème et le Ier siècle av. J.-C. Essai d’inventaire..., dans Revue Archéologique de l’Ouest, suppl. no 6, 1993, p. 175-200, fig.. Actes du XIVème colloque de l’ A.F.E.A.F., Evreux 1990. L’auteur a étudié les régions Alsace et Lorraine.

24. * DEYBER (A.) et al., sous la direction de Michel REDDE : L’Armée Romaine en Gaule, Paris, Errance, 1996, 288 p., nb.ill. au trait, photos n. et b. (Chapitre : L’Époque de la Conquête, p. 12-92).

25. * DEYBER (A.) et SCHEERS (S.) : Le trésor de Robache, dans Bulletin de la Société Philomatique Vosgienne, 123° année, 1998/99, p. 9-32, 5 fig. (réed. augmentée et mise à jour de Deyber et Scheers 1993).

26. * BROUQUIER-REDDE (V.) et DEYBER (A.), en collaboration avec SIEVERS (S.), sous la direction de Michel REDDE et de Siegmar Von SCHNURBEIN : Catalogue des armes, dans Alésia – Fouilles et recherches franco-allemandes sur les travaux militaires romains autour du Mont-Auxois (1991-1997), 2 - Le matériel, Mémoires de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres, T. XXII, Diffusion De Boccard, Paris 2001, p. 200-241, pl. 40-88.

27. * BROUQUIER-REDDE (V.) et DEYBER (A.), avec la contribution de SIEVERS (S.), sous la direction de Michel REDDE et de Siegmar Von SCHNURBEIN : Fourniment, harnachement, quincaillerie, objets divers, dans Alésia – Fouilles et recherches franco-allemandes sur les travaux militaires romains autour du Mont-Auxois (1991-1997), 2 - Le matériel, Mémoires de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres, T. XXII, Diffusion De Boccard, Paris 2001, p. 293-333, pl. 89-116.

28. *** DEYBER (A.), avec les contributions de Simone SCHEERS et Jean-Paul PREYNAT : Les monnaies gauloises de l’Oppidum de La Pierre d’Appel à Etival-Clairefontaine (Vosges) Actes de la table ronde organisée les 17 et 18 novembre 2000 par l’UPRES - université Marc Bloch de Strasbourg, le SRA de Lorraine et le Centre Albert Grenier - université de Nancy II, sous la direction de Anne-Marie Adam, Stephan Fichtl, Jean-Pierre Legrand, Yves Burnand, et Yves Grandjean. Achaeologia Mosellana 5, 2003, Strasbourg, Metz et Nancy, 2004, p. 123 - 136.

29. * * * DEYBER (A) : Etival-Clairefontaine (Oppidum de La Pierre d'Appel), dans Carte archéologique de la Gaule, les Vosges (Matthieu MICHLER et Michel PROVOST dir.), Maison des Sciences de l'Homme, Paris, 2004, p. 171 - 175, fig. 136 - 140.

30. * DEYBER (A.) : Autour de l’exposition Sur les traces de César : enquête archéologique sur les sites de la Guerre des Gaules, coprésidence avec le professeur Michel REDDE’ de la table ronde organisée le 17 octobre 2002, au Centre Archéologique Européen à Glux-En-Glenne, sur les « Militaria césariens en contexte gaulois » Titre de l’article : Des pointes de traits en fer de type « Numance » (Espagne, Soria) à Alésia (Côte d’Or) et à Montmartin (Oise).

31. * DEYBER (A.) : En Gaule à La Tène finale: stratégies, tactiques et techniques celtiques de la guerre (De La Tène D1 à la romanisation : IIe ‑ Ier siècle av. J.-C.). Doctorat d’État en Histoire ancienne, Université de Paris – Sorbonne – Paris IV (Professeur André Laronde, membre de l’Institut, dir.), dactylographié, 2008.

32. * Bibracte - Centre Archéologique Européen du Mont-Beuvray (CAE). Fonds Alain DEYBER. Don initial du 19.6.2000*, complété par les dons du 9.5.2002*, 11.12.2002**, 29.1.2003** et 19.12.2005.

33. * JOLY (R.). – Inventaire du fonds A. DEYBER. Glux-en-Glenne – Paris, CAE / Collège de France, novembre – décembre 2002, dactylographié, 106 p. ; ** Id., Ibid., additif dans la base de données Bibracte (Fichier « Documentation annexe »).

Sites Web : http://archeovosges.blogspot.com/ http://www.paris-sorbonne.fr/fr/spip.php?article6675 http://www.archeophile.com/rw-bibliographie-deyber.htm

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