Ethnikós Le Pirée

Ethnikós Le Pirée
Ethnikós Le Pirée
Logo du Ethnikós Le Pirée
Généralités
Nom complet PAE Ethnikós Le Pirée
ΠΑΕ Εθνικός Πειραιώς
Fondation 1923
Statut professionnel depuis 1979
Couleurs Bleu et blanc
Stade(s) Elliniko Stadium
(10 800 places)
Siège Le Pirée
Championnat actuel Beta Ethniki (2e division)
Président Flag of Greece.svg Nikos Pirounias
Entraîneur Flag of Portugal.svg Eurico Gomes
Site web www.ethnikos-fc.com
Palmarès principal
National[1] Coupe de Grèce 1933
Maillots
Couleurs de l’équipe
Couleurs de l’équipe
Couleurs de l’équipe
Couleurs de l’équipe
Couleurs de l’équipe
Domicile
Couleurs de l’équipe
Couleurs de l’équipe
Couleurs de l’équipe
Couleurs de l’équipe
Couleurs de l’équipe
Extérieur

L’Ethnikós Le Pirée F.C. (grec moderne : ΠΑΕ Εθνικός Πειραιώς) est un club professionnel grec de football basé au Pirée, qui dispute actuellement la Beta Ethniki, le championnat de Grèce de 2e division.

Sommaire

Fondation du club

En 1923, le club de football Athletic et Football Club du Pirée (grec moderne : Αθλητικός και Ποδοσφαιρικός Σύλλογος Πειραιώς), basé au Pirée et vainqueur du championnat de la région du Pirée[2] est scindé en deux entités[3],[4].

De cette rupture, un groupe, emmené par Giorgos Chatziandreou, les frères Kostas et Dimitris Ferlemis et Christos Peppas, forme en 1924 l'Omilos Filathlon Piraeus - Faliro (grec moderne : Όμιλος Φιλάθλων Πειραιώς - Φαλήρου), ce qui signifie Club des supporters du Pirée et Faliro, et changent ensuite le nom en Ethnikos OFPF en 1925[3],[4]. L'autre groupe, emmené par Yiannis Andrianopoulos et ses cinq frères, forme le club qui deviendra par la suite l'Olympiakos Le Pirée en 1925[5].

L'Ethnikos OFPF, souvent appelé Ethnikos le Pirée, est une association omnisports avec des équipes de football[6], water-polo [7], volleyball[8] et basket-ball [9].

Les plus grandes équipes, en termes d'histoire et de palmarès, sont celle de football et celle de water-polo, bien que le football soit, de loin, le sport le plus populaire en Grèce.

La rivalité avec l'Olympiakos

Depuis que les deux clubs se sont installés dans le paysage footballistique grec dans les années 1920, le rival local traditionnel d'Ethnikos a toujours été l'Olympiakos, un des deux clubs les plus populaires et les plus titrés du sport en Grèce, avec le Panathinaikos[10],[11].

Alors qu'une vraie rivalité continue à exister entre Ethnikos et l'Olympiakos en water-polo (Ethnikos est le club le plus titré en Championnat de Grèce de water-polo, devant l'Olympiakos) [12], ce n'est plus le cas en football.

Dans les années 1920 et 1930, Ethnikos et Olympiakos étaient de niveau comparable et ont souvent livré de beaux duels pour la suprématie en championnat régional du Pirée[2], mais par la suite, Olympiakos est devenu rapidement plus performant et plus compétitif et a commencé à surpasser sportivement Ethnikos.

Durant cette période, l'Olympiakos a pris l'habitude de débaucher les meilleurs joueurs d'Ethnikos, comme les internationaux grecs Philippos Kourantis à la fin des années 1920, Giannis Chelmis dans les années 1930 ou Giannis Ioannou au début des années 1950[13].

En 1956-1957, l'Olympiakos semble être à l'origine d'un scandale qui a privé Ethnikos du titre national. Alors qu'Ethnikos était en tête du championnat avec 4 points d'avance à 4 journées du terme, avec un derby face aux frères ennemis de l'Olympiakos, le club a été disqualifié de la compétition pour des raisons douteuses (suspicion de professionnalisme après avoir approché Ferenc Puskás et Sándor Kocsis, le football grec est encore amateur dans les années 1950). Cette soudaine élimination du leader de la compétition a permis à l'Olympiakos de finir en tête et de remporter le titre[2].

En 1973, Ethnikos perd son plus grand joueur, Michalis Kritikopoulos, transféré à l'Olympiakos, un an avant qu'Ethnikos ne réussisse son meilleur résultat au sein de l'Alpha Ethniki; beaucoup de supporters pensent que sans cette perte, l'équipe aurait pu conserver la première place et éviter la baisse de régime observée durant la seconde partie de la saison 1974-75 [13].

L'Olympiakos est finalement devenu un club dominant en Grèce, après avoir gagné plus de championnats et de Coupe de Grèce que n'importe quel autre club[10],[11], et l'Ethnikos n'a plus été capable de rivaliser sportivement avec lui depuis des décennies. Ethnikos n'a plus battu l'Olympiakos en championnat depuis la saison 1985-86 et a toujours terminé derrière l'Olympiakos depuis 1987-88.

Dans les années 1990, alors que l'Olympiakos vivait la plus grande période sportive de son histoire et l'Ethnikos probablement la pire, Ethnikos a vu une partie de ses supporters migrer vers l'Olympiakos.

Une source de conflits récente pour les fans d'Ethnikos concerne le stade Karaiskaki. Ce stade est le terrain traditionnel à la fois de l'Olympiakos et d'Ethnikos [14], mais seul l'Olympiakos y a rejoué depuis la reconstruction de l'enceinte pour accueillir les Jeux olympiques 2004[15], Ethnikos jouant désormais au stade Elliniko.

Histoire du club

Le championnat panhellénique

Avant la saison 1959-1960, le championnat se déroulait d'abord sous forme de championnats régionaux (Athènes, Le Pirée, Thessalonique ainsi que les championnats inter-régionaux Nord et Sud). Ensuite, les meilleures équipes de chaque région se qualifiaient pour le Championnat panhellénique. Il est arrivé que, durant quelques saisons de championnat d'avant-guerre, une finale soit disputée entre deux champions régionaux, mais généralement, ce championnat national était disputé sous forme d'une poule unique, avec au moins trois équipes[2].

Entre 1920 et 1940

L'Ethnikós a été champion régional du Pirée en 1927-1928, mais a perdu le championnat national contre l'Aris Salonique. La saison suivante, Ethnikós a de nouveau remporté le titre régional, mais le championnat panhellénique n'a pas été disputé.

En 1932-1933, Ethnikos a remporté la Coupe de Grèce, le seul titre majeur du club. Ethnikós a éliminé Apollon Athènes en quarts de finale et le grand rival Olympiakos en demi-finale avant de remporter la finale face à l'Aris Salonique. Ethnikós et Aris ont d'abord fait un match nul 2-2 à Thessalonique avant qu'Ethnikós ne gagne le match d'appui 2-1 et ne remporte la Coupe.

En 1934-1935, Ethnikós a une nouvelle fois gagné le championnat régional du Pirée, ainsi que le championnat interrégional Sud, alors que l'Aris Salonique a remporté le championnat interrégional Nord. Pour une raison inconnue, on a interdit à Ethnikós et Aris de se rencontrer pour la finale du championnat national.

Ethnikós a gagné le championnat du Pirée en 1938-1939, mais a ensuite perdu le championnat interrégional Sud de 2 points, ratant l'occasion de disputer le championnat national.

Ethnikós a atteint les demi-finales de la Coupe de Grèce en 1938-1939 et 1939-1940, mais a perdu respectivement contre le PAOK Salonique et le Panathinaïkos.

Années 1950

Les formations de la fin des années 1950 sont considérées par beaucoup comme étant les plus grandes équipes de l'Ethnikós.

En 1955-1956, Ethnikós a fini le championnat national à la 2e place, à un point seulement du champion, l'Olympiakos.

En 1956-1957, un scandale a privé Ethnikos du titre national. À 4 matchs du terme, Ethnikos était leader avec 4 points d'avance, avec comme prochain adversaire l'Olympiakos, qu'Ethnikos avait déjà battu plus tôt dans la saison. Cependant, avant le match contre l'Olympiakos, Ethnikos a été disqualifié du championnat, étant accusé de professionnalisme et soupçonné d'avoir été en contact avec les vedettes hongroises Ferenc Puskás et Sándor Kocsis, bien que cela n'ait jamais été prouvé. Ethnikos a été pénalisé de 4 points et n'a pas été autorisé à disputer les 4 derniers matchs de la saison, ce qui a permis à l'Olympiakos de remporter le championnat[2].

L'Alpha Ethniki

A partir de la saison 1959-1960, le championnat grec a été transformé pour prendre la forme actuelle et la première division prend le nom Alpha Ethniki (souvent noté A' Ethniki). Depuis 1959-1960, Ethnikos est 8eex-aequo ne terme de nombre de saisons au sein de l'élite avec 36 participations, à égalité avec OFI Crete et Apollon Smyrnis. Devant eux se trouvent les clubs plus puissants comme l'Olympiakos, le Panathinaïkos, l'AEK Athènes et le PAOK Salonique (ces quatre clubs n'ont jamais connu la relégation depuis la création de l'A' Ethniki) mais aussi Iraklis Salonique, l'Aris Salonique et Panionios. (En 2006-2007, l'A' Ethniki a pris le nom de Super League mais son format est resté identique.)

Années 1960

Durant les années 1960, le meilleur classement d'Ethnikos a été une 5e place en 1962-1963 et 6e en 1960-1961 et 1967-1968. De 1960-1961 à 1968-1969, Ethnikos n'a cependant jamais terminé en dessous de la 10e place.

Ethnikos a atteint les demi-finales de la Coupe de Grèce par 2 fois dans les années 1960. En 1967-1968, Ethnikos perd face au Panathinaïkos. La saison suivante, ils ratent de peu l'accession en finale puisqu'après avoir sorti le PAOK 5-4 en quarts, ils butent sur l'Olympiakos en demi-finales (défaite 4-3 après prolongations).

Années 1970

En 1974-1975, Ethnikos réussit sa meilleure performance de l'ère moderne. Cette saison-là, Ethnikos a remporté le titre (honorifique) de champion d'hiver, sans avoir concédé la moindre défaite durant la première moitié de la saison, mais n'a pas pu garder cette cadence par la suite. Le club a terminé la saison à la 4e place, un point derrière le PAOK Salonique, dernier qualifié pour la Coupe UEFA, alors que c'est l'Olympiakos qui remporta le championnat.

Bien qu'il n'arriva plus à reproduire une telle performance en championnat, Ethnikos a toujours été compétitif durant les années 1970, en se classant toujours dans les 10 premiers en fin de saison.

Le club a eu dans son effectif le meilleur buteur du championnat à 2 reprises : en 1974-1975, l'Uruguayen Roberto Calcadera a remporté le titre avec 20 réalisations, à égalité avec le joueur du Panathinaïkos, Antonis Antoniadis et en 1976-1977, Thanassis Intzoglou finit meilleur buteur avec 22 buts.

En Coupe, les 2 meilleures campagnes de l'Ethnikos dans les années 1970 ont été stoppées par le PAOK. En 1972-73, Ethnikos est éliminé en demi-finales sur le score de 3 buts à 2 et en 1976-1977, le PAOK l'élimina dès les quarts de finale.

Années 1980

L'Ethnikos a achevé 2 saisons à la 7e place, en 1979-1980 et 1980-1981 mais l'équipe n'a pas réussi à obtenir de meilleurs résultats par la suite.

En 1984 et 1986, le club atteint les quarts de finale de la Coupe de Grèce, et se fait éliminer respectivement par le Panathinaïkos et l'éternel rival, l'Olympiakos.

Durant la saison 1986-1987, Ethnikos termine le championnat à une décevante 10e place, mais en ayant réussi une de leurs plus belles performances, en allant gagner sur le terrain du Panathinaïkos sur le score de 6 buts à 3.

En 1987-1988, Ethnikos a présenté sa dernière véritable équipe compétitive. Cette année-là, le club a tenté d'accrocher une place pour la coupe UEFA mais a finalement échoué et fini à la 7e place. Résultat suffisant (pour les supporters surtout), puisque l'Olympiakos se classe à la 8e place.

Lors de la saison 1988-1989, Ethnikos réussit un très bon parcours en Coupe, en atteignant les demi-finales, battu par le Panathinaikos. La saison suivante, les résultats ne suivent plus en championnat : le club ne parvient pas à se maintenir et est relégué en Beta Ethniki pour la première fois de son histoire.

Beta Ethniki

Années 1990

Après la relégation en Beta Ethniki en 1990, une première dans l'histoire du club, Ethnikos le Pirée a fait l'ascenseur entre Alpha et Beta Ethniki, tout au long des années 1990, sans réussir à se stabiliser. Cependant, depuis la saison 1998-1999 et une dernière place en Alpha Ethniki synonyme de relégation, Ethnikos n'a plus jamais réussi à revenir au sein de l'élite grecque.

Les équipes présentées par l'Ethnikos durant cette période comprennent plusieurs jeunes, qui quitteront le club pour devenir des joueurs majeurs, tels que Michalis Kapsis, Yannis Anastasiou et Andreas Niniadis.

Années 2000

Après la saison 1999-2000, Ethnikos est relégué en troisième division, la Gamma Ethniki, une première. La période la plus sombre du club est la relégation à la fin de la saison 2002-2003 en Delta Ethniki. Il n'y restera qu'une seule saison.

Durant l'été 2004, Ethnikos fusionne avec le club d'AO Mani. Cependant, le logo et les couleurs d'Ethnikos sont conservés et le siège est toujours au Pirée mais le nom est changé en Ethnikos Piraeus - AO Mani[4]. Les supporters d'Ethnikos ont été mécontents à cause du changement de nom, mais le problème est assez vite résolu puisque le club reprend l'appellation d'Ethnikos Piraeus en 2007[16].

A la fin de la saison 2005-2006, Ethnikos est de nouveau promu en Beta Ethniki, à la dernière limite du dernier match de championnat. En effet, alors que le temps réglementaire était écoulé, un but sur coup franc d'Eduardo Sander Da Silva contre le club de Messiniakos permet à Ethnikos d'obtenir le nul (1-1) et offre au club le point nécessaire pour être promu[17].

Depuis la saison 2006-2007, Ethnikos a réussi à se maintenir en Beta Ethniki.

Stades

Le stade Elliniko

Fichier:Elliniko outsideview.jpg
Elliniko Stadium
October 2007
Fichier:Elliniko pitch.jpg
Elliniko Stadium, pitch view
January 2008

Ethnikos currently plays its home matches at the Helliniko Olympic Complex in Ellinikon[18], located approximately 8 kilometres south of the center of Athens, near Glyfada on the Mediterranean coast[19].

The complex was built on the site of the former Ellinikon International Airport for the staging of the 2004 Summer Olympics and 2004 Summer Paralympics[19], and consisted of the following venues: Helliniko Indoor Arena (Basketball and Team handball); Helliniko Fencing Hall; Olympic Hockey Stadium (Field hockey); Helliniko Baseball Centre; Helliniko Softball Centre; and Helliniko Slalom Centre (Whitewater slalom) [20].

In August 2007 Ethnikos President Nikos Pirounias finalized a deal with the City of Ellinikon for use of the complex for 3 years with an option for a further 3 years[21]. The Olympic Baseball Centre's main stadium underwent renovations for football use, and Ethnikos began playing matches there during the 2007-08 season; the team played its first official match in its new home on October 20, 2007[18]. The facility became known as Elliniko Stadium, and is commonly referred to as Elliniko.

The complex also includes new training pitches for both Ethnikos' first team and youth team[18].

Ahead of the 2008-09 season renovations continued and seating capacity was increased to 9,000 [18].

Le stade Karaiskaki

Karaiskakis Stadium in the Faliro area of Piraeus, commonly referred to as Karaiskaki, is the traditional home of both Olympiacos and Ethnikos[14], but only Olympiacos has played there since the stadium was leveled and rebuilt purely at Olympiacos' expenses ahead of the 2004 Summer Olympics[15].

In 2002 Olympiacos President Socratis Kokkalis, in announcing the project to rebuild Karaiskakis, said, "It is our wish that [the new stadium] will also be used by Ethnikos F.C., as Karaiskaki is the historic home of both [Olympiacos and Ethnikos]" [22].

Despite that statement, all of the new stadium's seats were painted Olympiacos' red[15], rather than a neutral color.

When the new Karaiskakis was completed in 2004, Ethnikos was struggling in Gamma Ethniki, and did not move into the stadium; the team instead continued to play most of its home matches in Korydallos Stadium, a small stadium in the Korydallos area of Piraeus, which is the traditional home of Proodeftiki F.C..

In 2005-06 Ethnikos moved to Georgios Kamaras Stadium in Rizoupoli (where Olympiacos played its home matches during the Karaiskakis renovations) [23], and played there up until the move to Elliniko in 2007.

According the official website of Karaiskakis Stadium, Ethnikos has the right to play in Karaiskakis when the team returns to "Alpha Ethniki (the Super League) or Beta Ethniki" [24], though Ethnikos has since returned to Beta Ethniki but not to Karaiskakis. Ethnikos has yet to clarify their intentions on this matter. When the team returns to the top flight, the issue of returning to Karaiskakis may be revisited.

Karaiskakis Stadium is owned by the Hellenic Olympic Committee[15].

Saison actuelle (2009-10)

Entraîneur

Drapeau : Portugal Eurico Gomes

Effectif

Au 3 février 2009 :
No. Nat. Position Nom du joueur
1 Drapeau de la Grèce G Michalis Pagoudis
2 Drapeau de la Grèce M Nikitas Tournas
3 Drapeau de la Grèce D Giannis Zaradoukas
5 Drapeau : Chili M José Luis Jerez
8 Drapeau de la Grèce D Xenophontas Moschogiannis
9 Drapeau de l'Angleterre A Mark Redshaw
10 Drapeau du Portugal M Marco Ferreira
11 Drapeau de la Grèce A Dimitris Sialmas
12 Drapeau de la Grèce M Periklis Bousinakis
13 Drapeau de la Grèce M Paolo Farinola
14 Drapeau de la Grèce M Markos Dimos
15 Drapeau de la Grèce A Stamatis Sapalidis


No. Nat. Position Nom du joueur
18 Drapeau du Portugal M Vitor Lima
19 Drapeau du Portugal M Jose Carlos Lima Santos
20 Drapeau de la Grèce M Nikolaos Nikolopoulos
21 Drapeau de la Grèce G Ioannis Terekanidis
22 Drapeau de la Grèce M Charis Syligardakis
25 Drapeau de la France D Alexandre Matejic
30 Drapeau de la Grèce G Georgios Souloganis
33 Drapeau de la Grèce D Pier Kalagkanis
50 Drapeau : Liberia D Solomon Grimes
69 Drapeau de la Grèce M Loukas Pelonis
77 Drapeau du Brésil M Marco Tulio

Palmarès

  • Championnat panhellènique (Championnat national, ancêtre de l'Alpha Ethniki)
    • Vice-champion (4) : 1927-28, 1934-35, 1955-56, 1958-59
  • Championnat régional du Pirée (Organisation antérieure à l'Alpha Ethniki)
    • Vainqueur (5) : 1927-28, 1928-29, 1933-1934, 1934-35, 1938-39
    • Vice-champion (12) : 1924-25, 1933-34, 1936-37, 1937-38, 1945-46, 1948-49, 1949-50, 1950-51, 1951-52, 1952-53, 1955-56, 1958-59

Historique du club

Championnat Panhellènique (jusqu'en 1959) : [2]
Légende : Piraeus : Championnat régional - Sud : Championnat interrégional - National : Championnat Panhellènique

  • 1924-1925: Piraeus: 2e
  • 1925-1926: Piraeus: ?
  • 1926-1927: Piraeus: ?
  • 1927-1928: Piraeus: 1er / National: 2e
  • 1928-1929: Piraeus: 1er
  • 1929-1930: Piraeus: 2e
  • 1930-1931: Piraeus: 4e / National: 7e
  • 1931-1932: National: 4e
  • 1932-1933: Sud: 4e
  • 1933-1934: Piraeus: 1er / Sud: 3e
  • 1934-1935: Piraeus: 1er / Sud: 1er
  • 1935-1936: National: 6e
  • 1936-1937: Piraeus: 2e
  • 1937-1938: Piraeus: 2e
  • 1938-1939: Piraeus: 1er / National: 3e
  • 1939-1940: Sud: 4e
  • De 1940-1941 à 1944-1945: Pas de championnat
  • 1945-1946: Piraeus: 2e
  • 1946-1947: Piraeus: 3e
  • 1947-1948: Piraeus: 4e
  • 1948-1949: Piraeus: 2e
  • 1949-1950: Piraeus: 2e
  • 1950-1951: Piraeus: 2e
  • 1951-1952: Piraeus: 2e
  • 1952-1953: Piraeus: 2e
  • 1953-1954: Piraeus: ?
  • 1954-1955: Piraeus: ?
  • 1955-1956: Piraeus: 2e / National: 2e
  • 1956-1957: Piraeus: 3e / National: Disqualifié
  • 1957-1958: Piraeus: 3e / National: 10e
  • 1958-1959: Piraeus: 2e / National: 2e

(Note: le Championnat Panhellènique n'a pas été disputé en 1928-29 et 1934-35, années où l'Ethnikos a remporté le championnat régional)

Depuis 1959 : [25]

Alpha Ethniki

Beta Ethniki

  • 1990-1991 : 1er

Alpha Ethniki

Beta Ethniki

  • 1992-1993 : 9e
  • 1993-1994 : 3e

Alpha Ethniki

Beta Ethniki

  • 1996-1997 : 3e

Alpha Ethniki

Beta Ethniki

  • 1999-2000 : 15e

Gamma Ethniki

  • 2000-2001 : 4e
  • 2001-2002 : 9e
  • 2002-2003 : 17e

Delta Ethniki

  • 2003-2004 : 7e

Gamma Ethniki

  • 2004-2005 : 4e
  • 2005-2006 : 2e

Beta Ethniki

  • 2006-2007 : 6e
  • 2007-2008 : 9e
  • 2008-2009 : 13e

Depuis 1959-60:

  • 1 saison en Delta Ethniki (4e division)

Records de matchs et de buts

Matchs disputés en Alpha Ethniki :

  • 383 Aggelos Kremmydas
  • 367 Dimitris Chatziioannoglou
  • 320 Stelios Nikiforakis
  • 300 Panagiotis Kottidis
  • 246 Kostas Moutafis

Buts inscrits en Alpha Ethniki :

  • 102 Dimitris Chatziioannoglou
  • 079 Michalis Kritikopoulos
  • 054 Andreas Antonatos
  • 054 Panagiotis Kottidis
  • 036 Kostas Batsinilas
  • 030 Giorgos Karaїskos
  • 028 Thanassis Intzoglou
  • 027 Takis Eleftheriadis
  • 025 Petros Leventakos
  • 025 Tasos Mitropoulos

Matchs disputés par un joueur étranger en Alpha Ethniki :

Buts inscrits par un joueur étranger en Alpha Ethniki :

Grands joueurs

Joueurs grecs

  • Flag of Greece.svg Giorgos Chatziandreou
  • Flag of Greece.svg Philippos Kourantis
  • Flag of Greece.svg Giannis Chelmis
  • Flag of Greece.svg Giorgos Zantiotis
  • Flag of Greece.svg Dimitris Zourntos
  • Flag of Greece.svg Kostas Choumis
  • Flag of Greece.svg Stathis Mantalozis
  • Flag of Greece.svg Giannis Ioannou
  • Flag of Greece.svg Alekos Kozompolis
  • Flag of Greece.svg Nikos Lekatsas
  • Flag of Greece.svg Manolis Karnasopoulos
  • Flag of Greece.svg Christos Karaoulanis
  • Flag of Greece.svg Manolis Klikopoulos
  • Flag of Greece.svg Stelios Nikoforakis
  • Flag of Greece.svg Manolis Papazoglou
  • Flag of Greece.svg Kostas Vallianos
  • Flag of Greece.svg Dimitris Chatziioannoglou
  • Flag of Greece.svg Aggelos Kremmydas
  • Flag of Greece.svg Andreas Antonatos
  • Flag of Greece.svg Petros Leventakos
  • Flag of Greece.svg Dimitris Eleftheriadis
  • Flag of Greece.svg Michalis Kritikopoulos
  • Flag of Greece.svg Dimitris Moutafis
  • Flag of Greece.svg Christos Chatziioannidis
  • Flag of Greece.svg Christos Arvanitis
  • Flag of Greece.svg Dimitris Stamatakis
  • Flag of Greece.svg Manolis Vamvakousis
  • Flag of Greece.svg Panagiotis Kottidis
  • Flag of Greece.svg Giorgos Karaiskos
  • Flag of Greece.svg Anastasios Mitropoulos
  • Flag of Greece.svg Thanassis Intzoglou
  • Drapeau : Grèce Dimitris Nalitzis
  • Flag of Greece.svg Ilias Armodoros
  • Flag of Greece.svg Panagiotis Katsikogiannis
  • Flag of Greece.svg Kostas Batsinilas
  • Flag of Greece.svg Yannis Anastasiou
  • Flag of Greece.svg Michalis Kapsis
  • Flag of Greece.svg Andreas Niniadis
  • Flag of Greece.svg Vassilios Tsiartas

Joueurs étrangers

Références

  1. Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
  2. a, b, c, d, e et f Greece - Final Tables 1906-1959, rsssf.com (2004-08-01).
  3. a et b History brief, Ethnikara.com.
  4. a, b et c Greece - Mergers and Name Changes, rsssf.com (2004-08-18).
  5. Olympiacos - Team History, Olympiacos Official Site (Greek).
  6. Ethnikos Piraeus FC home page, Ethnikos Piraeus FC Official Site (Greek).
  7. Ethnikos polo players, Ethnikos.gr (Greek).
  8. Ethnikos volleyball news, Ethnikos.gr (Greek).
  9. Ethnikos basketball news, Ethnikos.gr (Greek).
  10. a et b All Time Champions, Hellenic Football Federation.
  11. a et b Greek Cups Winners, Hellenic Football Federation.
  12. Olympiacos 2008 Champion, water-polo.gr (2008-05-02).
  13. a et b All time Ethnikos teams, Ethnikara.com.
  14. a et b Velodrome & Karaiskaki Stadium (1895 - 1964 - 2003), Stadia.gr.
  15. a, b, c et d Georgios Karaiskakis Stadium, Stadia.gr.
  16. New home, new name for Ethnikos, Ethnikos.gr (Greek) (2007-09-14).
  17. League, Ethnkos 1-1 Messiniakos, Ethnikos.gr (Greek) (2006-05-17).
  18. a, b, c et d Elliniko Stadium, Ethnikos.gr (Greek).
  19. a et b Helliniko Olympic Complex, BBC (2004-07-15).
  20. The stadia & arenas for 2004, Stadia.gr.
  21. ...Pirounias in Ellinikon, City of Ellinikon Official Site (Greek) (2007-09-17).
  22. Karaiskaki Stadium, Stadia.gr (2002-02-24).
  23. Rizoupoli Stadium "Georgios Kamaras", Stadia.gr.
  24. Other Teams - Ethnikos, Karaiskakis Stadium Official Site (Greek) (2006-01-24).
  25. Greece - Final Tables 1959-1999, rsssf.com (2003-08-03).

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