Death Guard

Death Guard

Death Guard

Numérotation XIV
Fondation M29 (1ère)
Couleurs de Chapitre gris sale, vert pourri
Primarque Mortarion
État du Primarque Prince Démon
États des Gènes Corrompus (Nurgle)
Monde Natal Barbarus (détruite)

Liste des Chapitres


La Death Guard est une Légion de Space Marines du Chaos dans l'univers de fiction de Warhammer 40,000, le jeu de figurines développé par la société Games Workshop.

Sommaire

Origine

Au début de la Grande Croisade cette légion Space Marine était connue sous le nom des Dusk Raiders (blanche avec le bras droit et les épaules rouges), et attaquait alors au crépuscule. Lorsque l'Empereur de l'Humanité atteint Barbarus où vivait Mortarion leur primarque, ce dernier renomma la légion la Death Guard changeant alors certaines traditions de ses marines ainsi que les couleurs (blanc et vert).

L'Hérésie d'Horus

Mortarion fut un des premiers à suivre son frère Horus dans sa trahison. Cependant dans un voyage dans le Warp, sa légion fut coincée, incapable de retrouver l'univers matériel. Alors se déclencha une peste qui décima ses rangs et toucha même Mortarion. Ce dernier alors invoqua les Puissances de la Ruine pour sauver sa légion. Nurgle répondit à sa demande et transforma ses marines en marines de la peste.
En réalité, tout avait été planifié par Typhus, le premier capitaine de la Death Guard qui était déjà en secret un adorateur de Nurgle[1].

La faction rebelle

Cependant toute la légion n'était pas prête à suivre Mortarion dans son œuvre. Ainsi la plupart des éléments préférant suivre l'Empereur furent envoyés et massacrés sur Istvaan III. Quatre Légions participèrent à cet assaut contre ce monde hostile l'Empereur: les Sons of Horus, les World Eaters, les Emperor's Children et la Death Guard. Horus y envoya toutes les escouades risquant de ne pas le suivre dans sa trahison[2]. Pendant les combat il nettoya toute vie sur cette planète, y compris celle des Space Marines loyalistes a l'Empereur, en larguant une arme virale dévoreuse de matière organique, puis en enflammant la planète avec des missiles nucléaires grâce au gaz échappé lors de la décomposition des corps. Mais certains éléments étaient par obligation (ou grâce au hasard) en orbite dans un vaisseau, l' Eiseintein. Ces éléments, dirigés par le capitaine de bataille de la 7eme compagnie Nathaniel Garro, fuirent à bord du vaisseau (accompagné d'un capitaine de compagnie Sons of Horus, Iacton Qruze, qui refusait de suivre Horus sans que ce dernier s'en méfie assez pour l'envoyer sur Istvaan III et qui réussi a transporter Euphrati Keeler ,alors considérée comme "La Sainte", dans le vaisseau). Ils parvinrent difficilement a s'échapper du système D'Istvaan III et l'Eisenstein n'en ressortit pas indemne. Après un périlleux voyage dans le Warp dû à leur saut ou il durent affronter des démons de Nurgle et des Marines pestiférés, ils réussirent miraculeusement à prévenir les Imperial Fists de la trahison[3]. Ce qui leur arriva après est incertain même s'il est dit que Garro est devenu le 1er Grand Maitre des Grey Knights (Chevaliers Gris)[réf. nécessaire].

La planète de la Peste

Après l'Hérésie d'Horus, la Death Guard se réfugia dans l'Œil de la terreur où Nurgle leurs donna un monde. Il éleva Mortarion au rang de Prince Démon. La planète est peuplée d'adorateurs qui espèrent pouvoir intégrer les rangs des marines. À partir de cette base, la Death Guard attaque régulièrement l'univers matériel[4].

Les marines de la Peste

La légion suit les préceptes de son primarque et utilise donc plus de bolters que les autres légions, arrivant à s'en servir comme arme de corps à corps. De plus, ils sont une légion comportant beaucoup d'infanterie, éventuellement dans des Rhinos.

Durant les voyages Warp, leurs vaisseaux se remplissent de mouches qui une fois débarquées sur une planète se répandent pour contaminer les habitants.

Notes et références

  1. Lexicanum, « Typhus ». Consulté le 27 décembre 2009
  2. Ben Counter, La Galaxie en Flammes, Bibliothèque Interdite, 2007 (ISBN 2-915-98956-7) 
  3. James Swallow, La Fuite de l'Eisenstein, Bibliothèque Interdite, 2008 (ISBN 2915989699) 
  4. Lexicanum, « Death Guard ». Consulté le 27 décembre 2009