Couëron

Couëron

47° 12′ 56″ N 1° 43′ 22″ W / 47.215556, -1.722778

Couëron
Le port sur la Loire.
Le port sur la Loire.
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Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Arrondissement de Nantes
Canton Canton de Saint-Étienne-de-Montluc
Code commune 44047
Code postal 44220
Maire
Mandat en cours
Jean-Pierre Fougerat
2008-2014
Intercommunalité Nantes Métropole
Site web http://www.ville-coueron.fr/
Démographie
Population 18 373 hab. (2008)
Densité 417 hab./km²
Gentilé Couëronnais
Géographie
Coordonnées 47° 12′ 56″ Nord
       1° 43′ 22″ Ouest
/ 47.215556, -1.722778
Altitudes mini. 0 m — maxi. 74 m
Superficie 44,03 km2

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Couëron, est une commune française située dans le département de la Loire-Atlantique et la région Pays de la Loire.

Sommaire

Géographie

Situation de la commune de Couëron dans le département de Loire-Atlantique

Situation

Couëron est situé sur la rive nord de la Loire, à 16 km à l'ouest de Nantes.

Ses communes limitrophes sont Saint-Étienne-de-Montluc, Sautron, Saint-Herblain, Indre, Saint-Jean-de-Boiseau et Le Pellerin.

Selon le classement établi par l’INSEE en 1999, Couëron est une commune urbaine, une des 19 communes de banlieue de l’unité urbaine (ou « agglomération ») de Nantes (la seconde par la superficie) ; elle fait donc partie de l’aire urbaine de Nantes et de l’espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Communes de Loire-Atlantique).

Géographie physique

Géologie

La commune de Couëron est traversée par le sillon de Bretagne.

Hydrographie

La partie sud de la commune longe la Loire.

Le nord est arrosé par la Chézine, petit affluent de la Loire.

Le marais Audubon couvre la moitié des 4 000 hectares de la commune. Il communique avec la Loire par les étiers du Dareau, de la Musse et de la Bouma.

Géographie humaine

Accès et transports

Couëron est desservie par la TAN.

  • Ligne 84
  • Ligne 91
  • Ligne de nuit J
  • Ligne Express' Mairie de Couëron - Gare Maritime

Couëron dispose également d'une gare desservie par les TER des Pays de la Loire.
Un bac permet de relier Couëron (nord Loire, rive droite) au Pellerin (sud Loire, rive gauche)

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Habitat

La population de la commune est répartie entre deux secteurs principaux :

  • Couëron Bourg, qui s'étend d'une part au bord de la Loire, d'autre part sur le versant du Sillon de Bretagne.
  • La Chabossière, un quartier de développement récent, qui est plus proche de Nantes. C'est là qu'ont été installées, au début du XXe siècle, plusieurs cités ouvrières.

Histoire

Moyen Âge

Au début du XVe siècle, Couëron passe au moins en partie dans le domaine des ducs de Bretagne. C'est là que le duc François II de Bretagne a signé avec les représentants du roi Charles VIII le traité mettant fin à la guerre franco-bretonne et cédant au roi le contrôle sur la succession de Bretagne. François II meurt à Couëron le 9 septembre suivant, ne laissant qu'une fille : la duchesse Anne.

Époque moderne

Durant cette période, Couëron devient un des nombreux points de transbordement des armateurs nantais, grâce au site de Port-Launay. L'apogée de l'activité portuaire se situe de 1620 à 1740 ; à Port-Launay, il y a outre la cale (encore visible, mais désormais en retrait du fleuve) et un sémaphore, une capitainerie, un poste des douanes et une station de pilotes de Loire.

Il existe aussi une activité de verrerie, qui prend de l'importance à la fin du XVIIIe siècle avec la création de la verrerie de Jean Nicolas de La Haie Dumény. Elle commence à fonctionner en 1781 et le roi Louis XVI signe le 31 mars 1784 les lettres patentes l'autorisant à fonctionner à condition d'utiliser du "charbon de terre" et non pas de bois. Quelques vestiges de cet établissement, transformé par la suite en savonnerie, subsistent dans la commune.

Époque contemporaine

XIXe siècle

Au XIXe siècle, Couëron est fortement marqué par l'industrialisation, d'une part par les entreprises locales, mais aussi en raison de la proximité d'Indre qui compte deux très grandes usines : l'arsenal d'Indret (1777) et les Forges de Basse-Indre (1822).

Outre la verrerie, on trouve à Couëron vers 1860 quelques petites entreprises : briqueterie, biscuiterie, etc.[1] ; un changement important est introduit par l'implantation de l'usine métallurgique construite en 1861 le long des bords de Loire par la Société des fonderies et laminoirs de Pontgibaud[2]. Elle traite d'abord le minerai de plomb d'Espagne et de Sardaigne et installera ensuite des laminoirs à laiton et cuivre.

Environ 25 % de la population de Couëron sont alors liés à l'industrie. En 1896, des militants socialistes créent une coopérative ouvrière, "La Fraternité"[3].

XXe siècle

Pendant et après la Première Guerre mondiale, les besoins en main-d'œuvre de Couëron et d'Indre entraînent un afflux de travailleurs coloniaux ou étrangers pour lesquels sont construites les cités de la Chabossière (1920), de Bessonneau (avec des maisons en bois), du Bossis. En 1934, on recense environ 1500 étrangers, principalement des Polonais (850)[4].

Les années 1920 sont aussi marquées par l'équipement de la ville en lieux publics, notamment la bibliothèque (1927) et le vélodrome (1928), sur le modèle du Vélodrome d'hiver de Paris, remplaçant des pistes de fortune utilisées depuis 1894, c'est-à-dire peu après l'apparition du cyclisme.

L'usine métallurgique continue de fonctionner jusque dans les années 1980, en passant sous le contrôle d'autres entreprises : La Vieille vers 1935, puis Pontgibaud (Fonderie de Pontgibaud), et enfin Tréfimétaux. Elle cesse son activité en décembre 1988. La tour à plomb de Couëron est un vestige spectaculaire de ce complexe industriel ancien.

Durant les années 1990, Couëron est un site de l'entreprise automobile Venturi ; environ 700 véhicules de cette marque ont été construits ici.

Économie

La ville de Couëron est dotée d'une bonne activité de commerces de proximité portée par l'association des commerçants et artisans de Couëron (le CAC2000).

On y trouve plusieurs zones d'activités et quelques entreprises, notamment :

  • NGK Berylco, entreprise métallurgique, spécialisée dans l'alliage du cuivre et du béryllium, qui est un reliquat de l'ancienne activité Tréfimétaux. Cette entreprise a en effet été créée en 1971 comme une filiale de Tréfimétaux et de la société américaine Kawecki Berylco Industries sous le nom de Tréfimétaux Berylco SA (TMB) ; en 1978-79, TMB devient filiale d'une autre société américaine Cabot Corporation, puis en 1986 de la société japonaise NGK (de Nagoya). En 1996, le siège social est transféré de Paris à Couëron[5]

Administration

Liste des maires de Couëron

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1791 Charles Leray    
1791 1793 Jean Rouaud    
1793 1797 Charles Leray   président de l'administration cantonale de 1794 à 1797 (canton de Couëron)
1795 1797 Jean-César Martin-Daviais (agent municipal)    
1797 1797 Louis Charles (agent municipal)    
1797 1799 François Babin (agent municipal)    
1799 1800 Gabriel Loyen du Puigaudeau (agent municipal)    
1800 1800 François Babin (maire provisoire)    
1800 1800 Germain Vallin    
1806 1816 Jean-César Martin-Daviais    
1816 1817 François Martin Rivière de L'Artusière    
1817 1822 Auguste-Domitite Palis    
1822 1830 Pierre Pailler    
1830 1833 André Loyen du Puigaudeau    
1834 1834 Jacques Ollivier (intérim)    
1834 1836 Donatien Poisson    
1836 1838 Jean-Germain Bignon    
1839  ? Athys Pouponneau Républicain  
1848 1848 Athys Pouponneau (refusé par le préfet) Républicain  
1848 1865 François Olivier    
1865 1870 Jean-Marie Ricordel   conseiller général de 1848 à 1891 (canton de Saint-Etienne-de-Montluc)
1871 1874 Athys Pouponneau Républicain  
1874 1881 Charles Balézy    
1881 1888 Gaston Trolley des Longchamps    
1888 1898 Marcel Esnoult de la Provôté    
1898 1904 Julien Cholet Républicain  
1904 1908 Émile Cormier Conservateur  
1908 1931 Alexandre Olivier Républicain  
1931 1934 Henri Normand SFIO  
1934 1935 Jean-Baptiste Gautreau    
1935 1940 Jules Perrin    
1940 1944 André Montpied (nommé par le préfet)    
1944 1945 Fernand Doceuil SFIO  
1945 1964 Henri Normand SFIO  
1964 1971 Cyr Grave SFIO puis PS  
1971 1977 Claude Gilardin PS  
1977 1983 Jean-René Morandeau PS  
1983 1993 Robert Morin PS  
1993 1995 Serge Ricordeau DVD  
1995 en cours Jean-Pierre Fougerat PS Conseiller général depuis 1998 (canton de Saint-Etienne-de-Montluc)

Député suppléant

Toutes les données ne sont pas encore connues.


Dirigée depuis 1995 par Jean-Pierre Fougerat et un conseil municipal de gauche (PS-PCF-PRG), elle adhère en 2001 à la communauté urbaine de Nantes Métropole dont Jean-Pierre Fougerat est vice-président (délégué depuis 2008). Entre 2001 et 2008, un groupe d'opposition Vert constituait la particularité de ce conseil municipal. Les Verts ont rejoint la liste de la majorité lors des élections de 2008, et sans adversaire, la liste conduite par Jean-Pierre Fougerat a été reconduite avec 100 % des suffrages exprimés.

Jumelage

Couëron est jumelée avec :

Drapeau de la Belgique Fleurus (Belgique) ;
Drapeau de l'Irlande Wexford (Irlande).

Démographie

L'histoire populaire de Couëron fait de cette commune une des plus cosmopolites du département. On y trouve entre autres tout un « quartier polonais », on trouve aussi beaucoup d'Espagnols à la Chabossière où ils sont venus s'installer pour fuir la guerre d'Espagne.

Évolution démographique

En 2008, Couëron comptait 18 373 habitants (soit une augmentation de 3 % par rapport à 1999). La commune occupait le 495e rang au niveau national, alors qu'elle était au 493e en 1999, et le 8e au niveau départemental sur 221 communes.

L'évolution du nombre d'habitants depuis 1793 est connue à travers les recensements de la population effectués à Couëron depuis cette date. Depuis le début du XXIe siècle, pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006[N 1],[6],[7].

Le maximum de la population a été atteint en 2006 avec 18 657 habitants.

Évolution démographique
Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 3 834 3 273 3 735 4 062 4 053 3 972 4 214 4 522 4 338
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 4 493 4 709 4 508 4 450 4 343 4 841 4 942 5 377 5 947
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 6 005 5 862 6 055 6 293 8 271 8 627 8 886 9 954 11 092
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
Population 11 641 12 276 13 273 14 113 16 319 17 821 18 657 18 392 18 373
Notes, sources, ... Sources : pour le recensement de 1836, archives départementales de la Loire-Atlantique[8], base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusque 1962[9], et à partir de 1968 : Insee (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[10],[11],[12].
Histogramme

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19,4 %) est en effet inférieur au taux national (22,1 %) et au taux départemental (20,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,5 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

  • 48,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,7 %, 15 à 29 ans = 16 %, 30 à 44 ans = 22,5 %, 45 à 59 ans = 22,1 %, plus de 60 ans = 16,7 %) ;
  • 51,5 % de femmes (0 à 14 ans = 20,5 %, 15 à 29 ans = 14,6 %, 30 à 44 ans = 22,2 %, 45 à 59 ans = 20,9 %, plus de 60 ans = 22 %).
Pyramide des âges à Couëron en 2008 en pourcentage[10]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,1 
90 ans ou +
0,6 
4,6 
75 à 89 ans
8,1 
12,0 
60 à 74 ans
13,3 
22,1 
45 à 59 ans
20,9 
22,5 
30 à 44 ans
22,2 
16,0 
15 à 29 ans
14,6 
22,7 
0 à 14 ans
20,5 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2008 en pourcentage[13]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,3 
90 ans ou +
1,0 
5,5 
75 à 89 ans
9,0 
11,7 
60 à 74 ans
13,0 
20,2 
45 à 59 ans
19,9 
21,4 
30 à 44 ans
20,3 
20,3 
15 à 29 ans
18,7 
20,5 
0 à 14 ans
18,3 

Patrimoine

  • L'espace de la tour à plomb : C'est l'une des rares installations industrielles du XIXe siècle qui subsiste. La tour a été en service de 1878 à 1988. Classé monument historique en 1993, l'espace de la tour à plomb fait aujourd'hui partie du patrimoine de la commune et a été reconverti en espace culturel (incluant notamment la maison des associations et une future médiathèque).
  • Le Marais Audubon est un vaste espace naturel s'étendant sur 2000 hectares entre les communes de Couëron et Saint-Étienne-de-Montluc. Il fait partie des zones marécageuses des bords de l'estuaire et est alimenté par un réseau hydraulique important ainsi que des canaux. C'est un espace naturel très riche avec plus de 230 espèces d'oiseaux et environ 700 espèces de plantes, dont de nombreuses sont protégées. Cette zone tire son nom du naturaliste Jean-Jacques Audubon, qui travailla dans ce marais.
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Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Bibliographie

Histoire, généralités
  • Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, Flohic Editions, Charenton, 1999. "Couëron" : tome 2, pages 1041-1046.
  • Raymond Briant, Histoire de Couëron, Couëron, 1970.
  • Raymond Briant, Histoire de Couëron et de la Loire armoricaine, Couëron, 1982.
  • Jules Spal, Histoire de Couëron, Res Universis, Paris, 1991.
Histoire, Sujets particuliers
  • Marie-Madeleine Le Naire, « La métallurgie lourde dans l’estuaire de la Loire » in Norois, 1955, disponible en ligne : [2].
    Cet article évoque les usines de Basse-Indre et de Couëron au début des années 1950.
  • De Pontgibaud à Tréfimétaux, Couëron, coll. « Une tour, une histoire », 1997 ;
  • Des machines et des hommes, Couëron, coll. « Une tour, une histoire », 2002
  • L’Usine,1975-1976. La grève : quand les femmes ont pris la colère, Couëron, coll. « Une tour, une histoire », 1999.
  • Gaston Boucault, La Chabossière de Couëron et ses environs du début du siècle, Nantes, 1986.
  • Peter Dontzow, La Citouche : regard sur la « Navale », Centre d’histoire du travail, Nantes, 1997
Environnement
  • Guy Lorcy, Atlas des arbres, arbustes, arbrisseaux de Couëron, Couëron, 1996

Liens internes

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Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Par convention, les chiffres de la population légale publiés par l’Insee depuis 2006 sont présentés.

Références

  1. Patrimoine, page 1044.
  2. Cf. Le Naire, 1955.
  3. Patrimoine, page 1046.
  4. Ibidem.
  5. Cf site NGK Berylco : [1]
  6. Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V des « opérations de recensement »
  7. Calendrier de recensement sur insee.fr. Consulté le 19 juillet 2011
  8. Couëron 1836 sur Archinoë portail d'indexation collaborative. Consulté le 19 juillet 2011
  9. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur Base Cassini de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 19 juillet 2011
  10. a et b Évolution et structure de la population sur Résultats du recensement de la population - 2008. Consulté le 19 juillet 2011
  11. Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur insee.fr. Consulté le 19 juillet 2011
  12. Recensement de la population au 1er janvier 2007 sur insee.fr. Consulté le 19 juillet 2011
  13. Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique en 2008 sur insee.fr. Consulté le 19 juillet 2011

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Couëron de Wikipédia en français (auteurs)

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