Cordemais

Cordemais

47° 17′ 28″ N 1° 52′ 40″ W / 47.2911111111, -1.87777777778

Cordemais
La centrale électrique de Cordemais.
La centrale électrique de Cordemais.
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Arrondissement de Nantes
Canton Canton de Saint-Étienne-de-Montluc
Code commune 44045
Code postal 44360
Maire
Mandat en cours
Joël Geffroy (DVD)
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Estuaire
Site web http://www.cordemais.fr/
Démographie
Population 2 864 hab. (2008)
Densité 77 hab./km²
Gentilé Cordemaisiens
Géographie
Coordonnées 47° 17′ 28″ Nord
       1° 52′ 40″ Ouest
/ 47.2911111111, -1.87777777778
Altitudes mini. 0 m — maxi. 91 m
Superficie 37,15 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Cordemais est une commune française, située dans le département de la Loire-Atlantique et la région Pays de la Loire. Ses habitants s'appellent les Cordemaisiens.

Sommaire

Géographie

Localisation

Situation de la commune de Cordemais dans le département de Loire-Atlantique

La commune de Cordemais est située sur la rive nord de l'estuaire de la Loire, à 34 km à l'ouest de Nantes et 36 km à l'est de Saint-Nazaire.

Selon le classement établi par l’INSEE en 1999, Cordemais est une commune rurale monopolarisée qui fait partie de l’aire urbaine de Nantes et de l’espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Communes de Loire-Atlantique).

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Bouée, Malville, Le Temple-de-Bretagne, Vigneux-de-Bretagne et Saint-Étienne-de-Montluc au nord de la Loire. Au sud, sur le fleuve, Cordemais a une limite commune avec Le Pellerin qui se situe pourtant très en amont. Cela s'explique par la présence dans cette dernière commune des domaines immenses de l'abbaye de Buzay, démembrés et partagés avant et après la Révolution. De cette période dite des afféagements, au XVIIIème siècle, Cordemais conserve néanmoins l'île Bernard et une partie de l'île de la motte Binet, du côté de Saint-Étienne-de-Montluc[1].

Accès et transport

La commune est traversée dans le sens est-ouest par la route départementale 17. Le centre de Cordemais est traversé dans le sens est-ouest par la route départementale 93 et dans le sens nord-sud par la route départementale 49. Une ligne de bus du Réseau Lila (réseau du Conseil Général de la Loire-Atlantique) passe à Cordemais. La gare de Cordemais est située sur la Ligne Tours - Saint-Nazaire.

Relief

L'origine de Cordemais se trouve dans trois îlots de roche dure dans le lit du fleuve. Ces trois îles sont: la Bazillais (la basse île des îles de Pullan ou des retraits de Pullan [2]), Cordemais et la Peille [3]. L'étymologie de la Peille serait pré-romaine (JC Chassagne) et voudrait dire, comme Venez en breton, éminence. Pullan est un nom de lieu[4] fréquent sur tout le rivage de la pointe atlantique et signifie trous d'eau. Deux îlots plus petits complètent l'île de Cordemais: la Haie des Bouillons (Launay des Bouillons sur la carte Cassini) et l'Audiais. La hauteur significative quoique modeste de ces îlots par rapport au fil de l'eau leur a permis de ne pas être submergés lors des variations du niveaux des eaux atlantiques. Lors des 3 transgressions dunkerquiennes, du troisième au douzième siècle environ, le niveau des eaux a monté en effet de manière importante, puis est revenu à son niveau actuel. Plus tard après le XIIème siècle, le colmatage, les alluvionnements du fleuve ainsi que les assèchements agricoles ont fini de modifier cet environnement initial. La Bazillais a été rattachée à Bouée. Les îles de Pullan ont été transformées par leur raccordement à Cordemais (le pont au-dessus de l'écluse de la Chaussée). Il ne reste que peu de choses sur Cordemais de cette île qui était au moyen âge la limite territoriale entre la puissante abbaye de Buzay et la petite abbaye de Blanche Couronne. Le paysage cordemaisien est varié :

  • Un terre plate en légère pente, petit plateau bocager « les hauts de Cordemais » en piémont du Sillon.
  • « Le coteau du Sillon », portion du Sillon de Bretagne comprend une falaise abrupte coupée de valleuses très encaissées d'où dévalent des "coulées"; le point culminant en est le mont Tiéber en crête de falaise[5].
  • Des prairies humides sont bordées ou traversées par des cours d’eau qui sont de deux natures: les coulées dévalant du sillon et les étiers, en fait des canaux conduisant les eaux à la Loire. Ces étiers subissent les marées et drainent des marais par leurs douves. Les prairies humides correspondent à la plaine alluviale, le lit majeur du fleuve. Auprès de l'étier de Cordemais, on trouve un ancien manoir de Loire[6], le Goût ou Goust, ruiné, au piedroit de la falaise. Une autre de ces coulées ne débouche plus après la Haimeriais[7], trace d'un remblaiement ancien correspondant à la création de la Forgerie[8]. Cette coulée débouchait au moyen-Age, puisqu'il y avait un port (d'échouage) avec tonlieu à la Girarderie qui faisait sens avec l'étymologie scandinave avérée du village de la Herguenais.

Hydrographie

Cordemais se situe sur rive nord de l’Estuaire de la Loire de La Loire. Des cours d’eau provenant du Sillon parcourent la commune. Le « plan d'eau de la Côte » a été créé en 2001 pour recréer les conditions d’une zone humide propice à l’essor de la faune et la flore.

Climatologie

Le climat de Cordemais est semblable à celui du reste de la Loire-Atlantique, est de type tempéré océanique. L'influence de ce climat est largement facilitée par l'estuaire de la Loire et l'absence de relief notable[9]. Les hivers sont doux (min -5°C / max 10°C) et pluvieux et les étés relativement beaux et doux également (min 17°C / max 451C). Les pluies sont fréquentes mais peu intenses. Les précipitations annuelles sont d'environ 820 mm[10] et peuvent fortement varier d'une année à l'autre. Les chutes de neige y sont exceptionnelles.

Toponymie

Le nom de Cordemais viendrait du gaulois Corbilo, ou bien de l'expression latine Cor Maris : « Cœur de Mer »[10]. On peut lire Cordemes en 1060 dans le Cartulaire de Redon.

Histoire

Antiquité

Cordemais, situé sur l'estuaire de la Loire, est un des sites envisagés pour l’ancien port gaulois de Corbilo, datant du IIe siècle.

Par ailleurs, une église dédiée à Saint-Jean, aurait été édifiée sur le territoire de Cordemais en 370, par l'évêque de Nantes Eumélius.

A une époque plus proche de nous, vers 905, Cordemais a connu une histoire singulière. Fernand Guérif[11] a écrit que Cordemais a du être la capitale du fameux royaume normand de la basse Loire. Ce royaume apparait à la fin du règne du duc de Bretagne Alain-le-grand qui tenait encore en main la situation. Il ne faut pas refaire l'histoire, de nombreuses collaborations existaient entre Bretons et Vikings et les Scandinaves étaient installés le long de la Vilaine et sur les îles. Les Francs, dépassés préfèraient partout traiter, payer ou abandonner des territoires . Ils laissent donc les vikings s'installer là où ils étaient déjà présents. Fernand Guérif faisait sans doute allusion au début du Xème siècle où les Normands de la Loire et de la Seine étaient sous commandement unifié de Rollon, futur ou déjà earl[12] de la Normandie de Seine. Les lieutenants de Rollon Basset[13] (Bathet) et Erik mirent en coupe réglée la Loire moyenne, territoires francs et aquitains, riches domaines et abbayes. Ohtor et Hroald, des scandinaves de la mer d'Irlande vont leur succéder, puis ils repartiront d'où ils étaient venus . Après leur départ Reginald, un viking qui avait fait des expéditions avec Rollon se verra confier la basse Loire en titre, avec la ville de Nantes. Les derniers chefs[14] établis à Nantes et dans le Mobihan seront battus par Alain barbetorte, le premier duc de la nouvelle époque. Il est possible que l'établissemnt viking capitale de la Normandie de Loire était situé au Migron qui devait être à cette époque une des îles de Cordemais.

Moyen Âge

L'agglomération actuelle peut remonter au XIe siècle, peut-être aux années 1040-1051. Cordemais est un des cinq premiers bourgs du Nantais avec Frossay, Prigny, Rouans & Savenay (études archives Zadora-Rio). Une église nommée « Saint-Jean-Baptiste de Cordemais » est mentionnée en 1051 dans la donation de Matz à l'abbaye de Redon ; elle se trouvait à l'emplacement de l'église actuelle. L'importance de Cordemais à cette époque est liée à la route stratégique du sel de la Baie qui passe par le Tenu et l'Acheneau. Il s'agit bien sûr de petites cargaisons, mais de grandes valeur, même taxées par les abbayes locales. Cordemais est, d'ailleurs, le seul bourg du Nantais qui ne s'abrite pas derrière une forteresse féodale. On trouve toutefois cette forteresse de l'autre côté de la Loire, au Migron sur la commune de Frossay.

Le seigneur du lieu est alors Tutual de Cordemais. Vers 1050, sont mentionnées des rivalités entre Tutual, Escomar de Lavau et les moines de Savenay pour la possession de terres. La famille bretonne des de Cordemais semble avoir partie liée avec les seigneurs du Migron, qu'on soupçonne d'une origine scandinave. On les retrouve en présence conjointe sur de nombreux actes de propriété établis par les moines.

Les moines de Redon obtiennent un fief au nord de l'église. Sur ce terrain, ils bâtissent le prieuré de Saint-Samson qui subsistera jusqu'à la Révolution française. À présent, seule une croix demeure sur le site ainsi que les murs appelés « murs aux moines » qui entouraient autrefois la chapelle et le cimetière. Les moines fondent le port Saint-Nicolas dès le XIe siècle, par où le commerce du sel va se développer.

Le château de Tutual devait se trouver sur la hauteur, à l'entrée de Cordemais, où l'on voit maintenant un calvaire. Le bâtiment existait encore au XVIe siècle et appartenait à la famille d'Acigné. Un autre château appartenait à la famille de Rohan, c'était celui de « Guémené-Guingamp » sur le sillon de Bretagne. Il en restait encore quelques vestiges au XIXe siècle, au village de la Hurette.

Au point de vue féodal, Cordemais dépendait de la Vicomté de Donges et parmi les fiefs il y avait celui du vicomte, ceux d'Acigné pour le bourg, de la Bessardaie et de la Mériais.

Période moderne

Pendant la seconde moitié du XIXe siècle, afin de remédier l'envasement du premier port, le port du lieu-dit « La Côte » est construit . On y pratique la pêche (saumons, aloses, civelles, etc.) et le transport des récoltes (blés, roseaux, bois, etc.)

XXe siècle

Le port subissant lui aussi de l'envasement progressif de la Loire, un nouvel embarcadère baptisée « quai neuf » est aménagé en 1923 sur les rives de la du fleuve.
A la fin de la Seconde Guerre mondiale, Cordemais fait partie zone de résistance allemande connue sous le nom de Poche de Saint-Nazaire. Ces derniers signeront d'ailleurs leur reddition sur le territoire de la commune dans la maison de Francis Moisan, au lieudit « Les Sables », le 8 mai 1945 à 13h, le jour même de la capitulation de l'Allemagne.
En 1970, la centrale thermique d'EDF s'implante sur la commune. Elle a participé dans l'urgence au refroidissement de la centrale nucléaire de Saint-Laurent lors de l'hiver 1987 dû fait que la Loire eu été gelée. Son refroidissement est assuré in extremis par le réseau électrique de l'Ouest de la France, qui s'effondrera vers midi suite à une panne de la centrale thermique de Cordemais.

Héraldique

Blason Blasonnement
De sinople à l'éclair d'or mouvant du chef et soutenu d'une mer d'azur ; au chef d'hermine.
Commentaires : Le chef d'hermine évoque le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. Blason conçu par l'héraldiste Michel Pressensé.

Administration

Administration municipale

Le conseil municipal de la commune de Cordemais est composé de 23 membres : le maire, 6 adjoints et 16 conseillers municipaux[15]. La mairie se situe avenue des Quatre Vents 44360 Cordemais.

Les maires de Cordemais

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1900 1911 Louis Mabilais
1911 1916 Narcisse Rousseau
1916 1928 Louis Chevallier
1928 1939 Pierre Simon
1939 1947 Francis Champeil
1947 1971 Louis Fairand
1971 1989 Jean Doucet
1989 2003 Jacques Fairand
2003 Aujourd'hui Joël Geffroy
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique

En 2008, Cordemais comptait 2 864 habitants (soit une augmentation de 14 % par rapport à 1999). La commune occupait le 3 551e rang au niveau national, alors qu'elle était au 3 697e en 1999, et le 100e au niveau départemental sur 221 communes.

L'évolution du nombre d'habitants depuis 1793 est connue à travers les recensements de la population effectués à Cordemais depuis cette date. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Cordemais, cela correspond à 2004, 2009, etc. Les autres dates de « recensements » (2006, 2008, etc.) sont des estimations[16],[17],[N 1].

Le maximum de la population a été atteint en 2008 avec 2 864 habitants.

Évolution démographique
Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 2 346 2 175 2 389 2 511 2 738 2 637 2 576 2 542 2 575
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 2 652 2 625 2 684 2 559 2 506 2 511 2 502 2 261 2 164
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 2 042 2 048 1 909 1 625 1 653 1 614 1 540 1 211 1 466
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2008
Population 1 360 1 439 1 817 2 004 2 374 2 518 2 704 2 790 2 864
Notes, sources, ... Sources : pour le recensement de 1836, archives départementales de la Loire-Atlantique[18], base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusque 1962 et pour le recensement 2004[19], et à partir de 1968 : Insee (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[20],[21].
Histogramme

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16,4 %) est en effet inférieur au taux national (22,1 %) et au taux départemental (20,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,5 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

  • 49,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 24,1 %, 15 à 29 ans = 16,8 %, 30 à 44 ans = 23,6 %, 45 à 59 ans = 21,5 %, plus de 60 ans = 14 %) ;
  • 50,5 % de femmes (0 à 14 ans = 23,5 %, 15 à 29 ans = 16,6 %, 30 à 44 ans = 23,2 %, 45 à 59 ans = 17,9 %, plus de 60 ans = 18,8 %).
Pyramide des âges à Cordemais en 2008 en pourcentage[20]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,3 
90 ans ou +
1,4 
5,6 
75 à 89 ans
8,4 
8,1 
60 à 74 ans
9,0 
21,5 
45 à 59 ans
17,9 
23,6 
30 à 44 ans
23,2 
16,8 
15 à 29 ans
16,6 
24,1 
0 à 14 ans
23,5 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2008 en pourcentage[22]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,3 
90 ans ou +
1,0 
5,5 
75 à 89 ans
9,0 
11,7 
60 à 74 ans
13,0 
20,2 
45 à 59 ans
19,9 
21,4 
30 à 44 ans
20,3 
20,3 
15 à 29 ans
18,7 
20,5 
0 à 14 ans
18,3 

Économie

Emploi

En 2004, on comptait 45,8 % d'actifs (dont, parmi eux, 6,2 % de chômeurs), 14,1 % de retraités, 29,3 % de jeunes scolarisés et 10,7 % de personnes sans activité.

L'emploi des cordemaisiens en 2004
Type d'emploi Agriculteurs Artisans, commerçants, chefs d'entreprise Cadres, professions intellectuelles Professions intermédiaires Employés Ouvriers
Langourla 3,9 % 5,7 % 7,1 % 21,9 % 27,6 % 33,9 %
Moyenne Nationale 2,4 % 6,4 % 12,1 % 22,1 % 29,9 % 27,1 %
Sources des données : INSEE[23]

Activités

Cordemais dispose de trois parcs d'activités[24] :

  • Zone d'activités de la Croix Morzel
  • Zone d'activités de la Loire
  • Zone d'activités des Petites Landes

La centrale thermique d'EDF fonctionnant au charbon et au fioul est un élément incontournable de l’activité industrielle de Cordemais. L'élevage de bovins constitue la principale activité agricole de la commune[25].

Vie locale

Cordemais dispose d’une médiathèque et de plusieurs salles municipales.

Santé

La commune dispose d'un médecin et d'un dentiste. La résidence du Prieuré offre un hébergement aux personnes âgées.

Écologie et recyclage

La collecte des ordures ménagères est organisée par la Communauté de communes Cœur d'Estuaire. La commune possède une déchèterie.

Éducation

Cordemais est rattachée à l' Académie de Nantes.

Écoles maternelles et primaires

La commune possède deux écoles (à la fois maternelle et primaire) :

  • Ecole publique Pierre et Marie Curie
  • Ecole privée Sainte-Anne

Collèges

La commune possède un collège :

  • Collège public Paul Gauguin

Sport

La commune dispose d’un complexe sportif comprenant notamment une salle omnisport, 2 terrains de football. 3 courts de tennis, 1 pas de tir à l'arc un centre aquatique « Aquamaris » et une maison des sports

Culte

Cordemais fait partie de la paroisse catholique Saint Luc de Bretagne qui comporte d'autres communautés : Saint-Étienne-de-Montluc, Le Temple-de-Bretagne, Vigneux-de-Bretagne et La Pâquelais (commune de Vigneux de Bretagne).

Lieux et monuments

Châteaux et demeures

  • le château de la Haie-Meriais, XVe siècle

Patrimoine religieux

  • L'église Saint-Jean-Baptiste, XIXe siècle dont la cloche est un objet classé daté de la fin du XVIe siècle qui présente un sarcophage utilisé comme bénitier extérieur. Elle renferme de nombreux objets remarquables dont une croix de procession en argent et émail datée du XVe siècle[26]
  • La croix de Saint-Samson, XIe siècle, vestige du prieuré de Saint-Samson,

Patrimoine civil

Personnalités liées à la commune

  • L'artiste Jules Paressant,
  • le peintre Serge Doceul,
  • le peintre Yvon Labarre.

Jumelage

La ville est jumelée avec:

Notes et références

Notes

  1. Afin de permettre une comparaison entre communes, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999, de présenter :
    * pour 2004 et 2005 la population réelle publiée dans la base Cassini (attribuée par convention à l'année 2006 par l'EHESS) si elle existe ;
    * la population 2006, première population légale connue post-1999 publiée par l’Insee ;
    * les populations suivantes correspondant aux années réelles de recensement publiées par l’Insee ;
    * la dernière population légale publiée par l’Insee.

Références

  1. Les limites administratives sont visibles sur Géoportail (IGN), leur évolution peut être observée sur les archives numériques départementales à la rubrique plans pour retrouver les cadastres départementaux de 1853, par exemple.
  2. chartes Eudon de Pontchateau, confirmées par la duchesse Ermengarde
  3. terre de Venez sur les cartulaires de Buzay
  4. il s'agit du plus ancien nom de lieu de Cordemais hormis le nom de cette très ancienne paroisse
  5. mention Manébert lue sur la carte Cassini
  6. du type dit "les pieds dans l'eau"
  7. ou la Haie Meuriais
  8. on lit Lorgeril sur la carte de Cassini, ce qui semblerait plus cohérent, les forges étaient sur l'île de la Peille au bord de l'eau
  9. Climat de Loire-Atlantique sur MétéoFrance. Consulté le 14 avril 2010.
  10. a et b Climat et végétation de Nantes et sa région. sur nantes.fr
  11. héritier des historiens archivistes par bien des côtés, il incarne le meilleur de l'histoire locale en recueil de la tradition populaire, musicale en particulier; il est le fondateur des cahiers de l'APHRN, centrés sur l'histoire de la région nazairienne
  12. earl, en fait chef viking équivalent comte plus tard duc historique
  13. on dit que ces Basset sont les ancêtres des Basset d'Ouilly dans le Calvados qui auront d'immenses domaines dans la conquête de l'Angleterre
  14. ils ont peut-être réussi à survivre en nous laissant les noms de famille Rouaud, Eder, Basset, Redor etc...
  15. Conseil municipal sur www.cordemais.fr Consulté le 31 juillet 2009
  16. Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V des « opérations de recensement »
  17. Calendrier de recensement sur insee.fr. Consulté le 7 juillet 2011
  18. Cordemais 1836 sur Archinoë portail d'indexation collaborative. Consulté le 7 juillet 2011
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur Base Cassini de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 7 juillet 2011
  20. a et b Évolution et structure de la population sur Résultats du recensement de la population - 2008. Consulté le 7 juillet 2011
  21. Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur insee.fr. Consulté le 7 juillet 2011
  22. Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique en 2008 sur insee.fr. Consulté le 7 juillet 2011
  23. L'internaute, « Données compulsées par linternaute d'après l'INSEE » sur http://www.linternaute.com, L'internaute, 2004. Consulté le 6 août 2009
  24. Nom des parcs d'activités et zones industrielles sur www.zones-activites.net Consulté le 31 juillet 2009
  25. L'agriculture sur www.cordemais.fr Consulté le 31 juillet 2009
  26. Base Palissy

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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