- Connage
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Chémery-sur-Bar 
Vue du village de Connage depuis la route départementale reliant Omicourt à Malmy (Ardennes).Administration Pays France Région Champagne-Ardenne Département Ardennes Arrondissement Arrondissement de Sedan Canton Canton de Raucourt-et-Flaba Code commune 08115 Code postal 08450 Maire
Mandat en coursJean-Marie Hanin
2008-2014Démographie Population 451 hab. (2007) Géographie Coordonnées Altitudes mini. m — maxi. m Superficie km2 
Connage est un village français situé dans les Ardennes (département) et la région Champagne-Ardenne. Il est rattaché à la commune de Chémery-sur-Bar depuis 1964.
Sommaire
Géographie
Vue de la rivière Bar depuis le pont à Connage, en direction d'Omicourt
La rivière Bar à proximité de ConnageConnage se situe sur la rive droite de la Bar (rivière). Cette rivière, affluent de la Meuse (fleuve), a creusé par le passé une vallée importante qui porte aujourd'hui son nom : la vallée de la Bar. Le village a été construit sur les premières pentes du versant, un peu au-dessus de la rivière. La vallée est large d'un peu plus de 1000 mètres à cet endroit. Proche du versant opposé, se trouve le canal des Ardennes. 400 mètres environ séparent le canal et la Bar au niveau du village. Cet espace, réservé essentiellement aux prairies, est régulièrement inondé l'hiver par les eaux de la Bar en crue.
La Bar forme de nombreux petits méandres libres dans sa vallée. Elle serpente en direction du nord, vers Omicourt, puis contourne dans un large méandre encaissé le Bois de la Queue. Passant ainsi à Chéhéry et Cheveuges, elle rejoint le village de Saint-Aignan (Ardennes) où elle retrouve sa direction sud-nord, pour aller finalement se jeter dans les eaux de la Meuse, sur le territoire de Vrigne-Meuse.
Connage est à 14 kilomètres au sud-ouest de Sedan. La route départementale D977 qui relie Sedan à Châlons-en-Champagne passe à proximité du village.
Administration
Connage n'est plus une commune depuis 1964, année de sa fusion avec Chémery-sur-Bar. Le maire actuel de la commune est M. Jean-Marie Hanin.
Connage fait partie du Canton de Raucourt-et-Flaba, dont le conseiller général actuel est Mme Véronique Duru[1].
Connage est dans la Communauté de communes des Trois Cantons (Carignan, Mouzon, Raucourt)[2]. M. Jean-Luc Warsmann est le président de cette communauté de communes.
Démographie
Évolution démographique 1693 1846 1886 1946 1962 2007 196 236 215[3] 106 hab[4]. ? ? Connage aurait compté 247 habitants en 1859. Cette population maximale est attestée par l'instituteur du village dans un formulaire d'enquête qu'il a rempli le 10 septembre 1859[5].
Événements
Pour le Mardi gras, les enfants se déguisent et font le tour des maisons du village en réclamant bonbons et gâteaux. La journée se termine par un goûter préparé par les parents.
La fête patronale du village se déroule tous les ans, le premier weekend du mois de mai. Un bal est organisé le samedi soir par la jeunesse de Connage. Les festivités se poursuivent ensuite le dimanche avec de la musique, des activités pour les enfants (manège) et les aubades de la jeunesse. L'aubade (musique) est une tournée du village au rythme d'airs festifs joués à l'accordéon. Les jeunes sont accueillis dans les maisons et collectent un peu d'argent.
Cette fête patronale organisée le premier dimanche de mai est ancienne : Albert Meyrac la signale déjà en 1900 dans sa Géographie illustrée des Ardennes.
Histoire
Au Moyen Age, Connage apparaît dans la liste des terres et seigneuries détenues par les Coucy-Vervins (Maison de Coucy).
Le premier Coucy à détenir Connage est Thomas II. Fils de Raoul Ier de Coucy, Thomas II épouse Mahaut de Rethel, fille de Hugues II comte de Rethel. Thomas reçoit alors les terres et seigneuries de Brie et de Montaguillon. Il les échange avec Gaucher de Rethel (comte) contre les "terres et seigneuries de Chemeri, Stonne, la Besace, Chastillon, Bulson, Villers sur le Mont, Balevre, Sapongne, St Aignan, Glaire, Torci, Cheveuge, Conange, Quatre champs, Marcellon, Brieule sur Bar, Moulin de Tholongne, le Fief d'Aisnel, les bois de Marphaie et Artaise[6]". Thomas II de Coucy décède vers 1253, laissant la succession à ses deux fils : Thomas et Jean.
Au début du XVIe siècle, la seigneurie de Connage appartient toujours aux Coucy-Vervins. Elle se trouve en effet dans la liste des biens de Raoul II de Coucy ; liste que François de Lalouëte nous rapporte. Raoul II ( -1515), chambellan du roi Louis XII de France, est le père de Jacques Ier de Coucy (1487-1549)[7]. Un autre de ses fils, prénommé Raoul comme lui, a fait bâtir le château de Rocan, non loin de Connage, sur le territoire actuel de la commune de Chéhéry.
Connage est acheté en 1740 par Auguste Louis Hennequin d'Ecquevilly. Ce dernier possède également la terre de Grandpré par son mariage avec Honorée de Joyeuse (Maison de Joyeuse) ; et c'est en qualité de comte de Grandpré qu'il apparaît en 1789 à l'assemblée de la noblesse du bailliage de Vitry-le-François. Lieutenant général des armées du Roi, Louis-Auguste Hennequin marquis d'Ecquevilly est promu chevalier de l'ordre du Saint-Esprit par Louis XVI le 1er janvier 1784. Il meurt à Amiens, le 24 ventôse an II (14 mars 1794), à l'âge de 73 ans[8].
Le neuf mars 1789, les principaux membres de la communauté de Connage se réunissent pour rédiger leur cahier de doléances[9]. Jean Sulpice Gromaire, procureur fiscal du marquisat de Chemery et Connage, faisant fonction de juge, préside cette assemblée.
Sous le Premier Empire (1804-1815), cinq hommes nés à Connage, engagés dans les guerres napoléoniennes, disparaissent à jamais[10]. Jean-Baptiste Moreau est tué à la bataille de Friedland en 1807 (Prusse orientale). Cette bataille est une victoire majeure des armées de Napoléon face aux Russes. Jean-Baptiste Moreau appartenait au 3e régiment de cuirassiers (France) qui était commandé alors par le colonel Jean-Louis Richter.
Robert Tavenau et Robert Husson décèdent quant à eux en Espagne, des suites de maladie (guerre d'indépendance espagnole). Jean-Baptiste Créton, chasseur au 5e régiment d'infanterie légère, et Jean-Pierre Créton, fusilier au 18e régiment de ligne, meurent l'un et l'autre à l'âge de vingt ans : le premier à Cherbourg en 1807, le second à Magdebourg en 1813.
En 1859, l'instituteur décrit l'activité économique de Connage en ces termes : Ce pays produit toutes les sortes de céréales : blé, seigle, orge, avoine, pommes de terre, fourrage et plantes fourragères et du foin en abondance dans ses prairies ; aussi nourrit-il une grande quantité de moutons et de bêtes à cornes dont les produits s'écoulent aux marchés de Sedan. Il y a des carrières de pierres de taille et de moellons fort estimés pour leur résistance à l'eau[11].
Liste des maires successifs (XIXe siècle)[12] Période Identité Étiquette Qualité 1802 François Desban 1802 1806 Claude Créton arpenteur forestier 1806 1809 Pierre-Joseph Rivet négociant 1809 1813 Claude Créton arpenteur forestier 1813 1817 Nicolas-Charles Rivet fabricant-négociant 1818 1825 Antoine Créton 1826 1832 Nicolas Tuot charron (métier) 1832 1863 Jean-Guillaume Grosselin 1863 1876 Pierre Bourgerie 1876 1888 Antoine-Joseph Caillet 1888 1901 François Adolphe Créton cultivateur (métier) Toutes les données ne sont pas encore connues. Liste des maires successifs (XXe siècle)[13] Période Identité Étiquette Qualité 1901 1903 François Blanchemanche 1903 1912 Pierre Bourgerie 1912 1920 Pierre Pierrard 1920 Fernand Vaillant cultivateur 1964 Henri Caillet Toutes les données ne sont pas encore connues. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, Connage, comme une grande partie du département des Ardennes, se retrouve en zone interdite. L'exploitation des terres agricoles est alors contrôlée par la W.O.L. (abréviation de Wirtschaftsoberleitung).
Lieux et monuments
L'église Saint-Barthélémy (XVIe siècle)
L'église du village est dédiée à Saint Barthélemy (apôtre). Elle est, selon Alain Sartelet, un bon exemple du style gothique tardif de la fin du XVIe siècle[14].
Vitrail situé dans le choeur de l'église, côté sud. Il représente Saint Pierre et Saint Paul[15].
Côté sud de l'église Saint-Barthélémy de ConnageEn 1859, l'instituteur du village indique les dimensions de l'église : "sa longueur totale est de 18 mètres 33, sa largeur aux deux chapelles de la Sainte-Vierge et de Saint-Barthélémy 13 mètres et sa hauteur 6 mètres 30". L'instituteur ne prend pas en compte le clocher néo-gothique qui pourtant aurait été édifié dix ans plus tôt, en 1848[16].
L'église a, semble t-il, possédé jusqu'à 3 cloches. Alain Sartelet signale en effet l'existence avant 1914 d'une cloche bénie en 1662 et pesant environ 250 kilogrammmes. A cette cloche ancienne, sont ajoutées deux autres, en 1777 puis en 1778. La première est baptisée "Honorée" en l'honneur de sa marraine, Honorée de Joyeuse marquise d'Ecquevilly. Pour la seconde, prénommée Cécile, Armand François Hennequin comte d'Ecquevilly et son épouse Cécile de Durfort sont les parrain et marraine. Aucune indication ne précise le poids et la taille de ces deux nouvelles cloches. Signalons par ailleurs qu'en 1859, l'instituteur ne les mentionne pas. A cette date, l'église de Connage ne semble donc posséder que son ancienne cloche du XVIIe siècle, celle-ci disparaissant à son tour au cours de la première guerre mondiale.
Le lavoir
Lavoir de ConnageIl existait deux lavoirs sur le territoire de Connage : le premier est situé dans le bas du village, le long de la Bar, tandis que le second se trouvait sur la route de Champeaux en direction de Chémery-sur-Bar. L'histoire de ces lavoirs n'est pas connue et il est difficile de dater précisément leur date de construction. Le lavoir (bassin public) qui se trouve dans le bas du village, est le mieux préservé. Son bassin long de 5,8 mètres et large de 2,5 mètres, est pratiquement intact. Il a néanmoins perdu les toits qui protégeaient son pourtour ainsi que la hauteur d'origine de ses murs extérieurs. La source qui l'alimentait semble tarie. Les inondations de la rivière chaque hiver, les périodes de gel et de dégel, la végétation envahissante, le dégradent un peu plus tous les ans.
À Champeaux, sans doute là où se trouvent les ruines de l'ancien lavoir, il aurait existé une fontaine visitée par les malades. "On y faisait des pèlerinages en l'honneur de Sainte Agathe"[17]. Agathe de Catane est une sainte chrétienne qui a vécu au IIIe siècle de notre ère. Une dévotion particulière lui a été rendue dans les siècles qui ont suivi. Ainsi à Corbigny (dans le département de la Nièvre), les chrétiens font de la "Fontaine Sainte-Agathe", un lieu de pèlerinage important à partir du XIIe siècle. Les eaux de cette fontaine "passent pour procurer du lait aux nourrices". Cette dévotion a pu se développer également à Connage, même si les preuves qui l'attestent restent très fragiles pour le moment. Hannedouche signale que cette fontaine a disparu en 1810. Le lavoir de Champeaux serait donc postérieur à 1891, date d'édition du Dictionnaire historique.
L'ancienne mairie-école
Ce bâtiment remarquable aurait appartenu à la famille Déliars jusque dans les années 1830. La commune le rachète en deux fois (en 1818 puis le 22 juillet 1836) à Madame Charlotte Ninnin-Déliars. C'est à partir de cette période, et ce, pour plus d'un siècle, que le bâtiment fait office de mairie et d'école communale. En 1964, après le rattachement de Connage à Chémery-sur-Bar, et la fermeture de l'école, il n'est plus utilisé. Une commission nommée par le conseil municipal le 11 février 1967, est alors chargée de lui trouver une nouvelle affectation[18].
Le bâtiment est finalement rénové pour devenir un logement intercommunal au début des années 2000.
Le tilleul
Le tilleul sur la place du village a plus de 400 ans. Des trois tilleuls plantés en 1598 pour célébrer la paix de Vervins, il est le seul à subsister[19]. Ces arbres commémoratifs ont été plantés à l'initiative de Maximilien de Béthune duc de Sully et ministre du roi Henri IV. On trouve à Blagny (Ardennes), devant l'église, deux marronniers fort anciens, qui célèbreraient eux aussi cette paix de Vervins.
Le monument aux morts
Sept noms sont inscrits sur ce monument aux morts : ils appartiennent aux sept hommes nés à Connage et morts pour la France au cours de la Première Guerre mondiale. Six d'entre-eux étaient du même âge ou presque (entre 29 et 33 ans), le septième, lui, n'avait que 22 ans[20]. Chaque 11 novembre, en souvenir de l'Armistice de 1918 et des hommes disparus, le maire de la commune dépose une gerbe de fleurs devant le monument.
Personnalités liées à la commune
Jean-Antoine Déliars.
Jean-Antoine Déliars, "avocat en Parlement, conseiller du Roi, maître particulier des eaux et forêts de la Principauté de Sedan et dépendances", est présent à Connage au cours de la seconde moitié du XVIIIe siècle. Ainsi le 21 août 1764, il fait baptiser l'une de ses filles par Pierre-Germain Labbé, le prêtre de la paroisse.
Mais les Déliars résident alors à Mézières, et ne vivent à Connage qu'une partie de l'année. Ils seraient installés dans la "maison d'habitation" qui sera par la suite "transformée en presbytère et en maison d'école"[21]. La présence des Déliars à Connage ne se limite pas à la "belle saison". C'est en plein coeur du mois de décembre 1773 que Pierre-Germain Labbé bénit le mariage du "sieur Louis Genin" et de "demoiselle Marie Magdeleine Deliars fille mineure de maître sieur Jean-Antoine Deliars [...] et de Dame Marguerite Raulin". Et c'est au mois d'octobre 1777 que Jean-Antoine Déliars participe à la bénédiction d'une nouvelle cloche pour l'église Saint-Barthélémy.
La période révolutionnaire semble mettre un terme à la présence des Déliars à Connage.
Jacques-Augustin Déliars (1754-1833), 3e enfant de Jean-Antoine Déliars, est certainement né à Sedan[22]. Il signe le registre des baptêmes de Connage en 1764 en tant que parrain de sa petite sœur. Juge au tribunal de Sedan avant d'être député à l'Assemblée nationale en 1791[23], il devient ensuite maire de Sedan. Il décède à Paris en 1833.
Les frères Rivet
Originaires de Saint-Dizier, Pierre-Joseph (1771-) et Nicolas-Charles Rivet (vers 1774-1842) ont tour à tour exercé les fonctions de maire de la commune de Connage, où ils résident dès le 4 messidor an XI (23 juin 1803). A cette date, Marie-Claude Borin, l'épouse de Nicolas-Charles, donne naissance à un fils prénommé Jean-Charles. L'acte de naissance nous apprend que les frères Rivet sont "fabriquants d'étoffes" et plus précisément de serge (tissu). A leur activité de production, s'adjoint une activité commerçante puisque Nicolas-Charles est qualifié de "négociant".
Grâce à leur fortune, les frères Rivet ont, semble t-il, acheté à la famille Déliars le bâtiment qui est devenu plus tard la mairie-école. Il est certain qu'ils sont amis avec Jean-Baptiste Prégnon, le prêtre desservant de la paroisse, dont le presbytère est voisin de ce bâtiment. Ils peuvent également compter sur l'appui de Guillaume François Louis Rivet (leur frère ou leur oncle) qui est receveur principal des douanes impériales à Coblence en 1808.
Pierre-Joseph Rivet occupe la fonction de maire entre 1806 et 1809. Après 1809, les registres de l'état civil ne font plus mention de lui. Cette "disparition" laisse penser qu'il aurait quitté Connage avec son épouse et ses deux enfants (Louis-Hippolyte et Scholastique). Le six août 1817, Pierre-Joseph Rivet de Chaussepierre est décoré de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis.
Son frère Nicolas-Charles devient "propriétaire" à Connage et premier représentant de la commune en l'année 1813. Il occupe cette fonction jusqu'en 1817. Le 12 mai 1817, il acquiert le "domaine de Flamanville" à Balaives-et-Butz. Il y décède le 19 septembre 1842, âgé de 68 ans.
- Louis Hippolyte Rivet. Né le 6 juin 1806 à Connage, il est le fils de Pierre-Joseph Rivet et de Marie Rose Dehault. Il atteint le grade de colonel dans l'armée (6e de ligne) et reçoit la légion d'honneur (commandeur)[24]. Il décède à Troyes le 29 janvier 1893[25].
- Jean-Baptiste Alphonse Gency (1824-1878). Né à Connage le 18 juin 1824, il a fait carrière dans l'armée (sous-lieutenant de cavalerie) et a été nommé chevalier de la légion d'honneur le 26 décembre 1864.
- Hubert Berthelemy (1843 Connage - 1934 Rethel). Hubert Berthelemy était marbrier-sculpteur de profession et a résidé une grande partie de sa vie à Rethel. Le jour de son enterrement en septembre 1934, M. le docteur Drapier, maire de cette ville, lui a rendu un vibrant hommage pour "ses bons et dévoués services". Hubert Berthelemy a siégé plusieurs années au conseil municipal de Rethel et a montré de "grandes qualités d'administrateur" pendant 18 ans à la Caisse d'Epargne (de 1912 à 1929). A l'âge de 91 ans, peu de temps avant sa mort, le Gouvernement lui décerne la médaille d'argent de la Prévoyance sociale[26].
Notes et références
- http://www.raucourt.com/?rub=15 Raucourt.com : portail Internet du canton de Raucourt.
- Communauté de Communes des 3 Cantons
- Source : Hannedouche, A. Dictionnaire historique des communes de l'arrondissement de Sedan. 1891.
- Direction régionale de l'INSEE. Recencement de population 1946. Liste nominative des habitants de la commune de Connage. Document conservé aux Archives départementales des Ardennes : http://archives.cg08.fr/arkotheque/inventaires/inventaires_archives_resultats.php
- Fonds Gourjault de la Médiathèque municipale de Sedan
- LALOUETE, François de. Maison de Coucy-Vervins marquis de Chémery. Traité des nobles et des vertus dont ils sont formés. Paris : 1577. Fonds Gourjault de la Médiathèque municipale de Sedan.
- BELLOY, Pierre-Laurent Buyrette de. Œuvres Complettes. Volume 4. Paris : 1778.
- SENEMAUD, Ed. "La noblesse des Ardennes à la Cour, dans les écoles militaires et dans l'ordre de Malte" dans Revue historique des Ardennes. 1864.
- ILLAIRE Martine, CART Michel, DELAHAYE Jean-Paul et al. Les cahiers de doléances ardennais. 1789. Charleville-Mézières : 1989.
- Registres de l'Etat civil. Documents conservés aux Archives départementales des Ardennes.
- Fonds Gourjault de la Médiathèque de Sedan. Notice historique et archéologique sur la commune de Connage
- Registres de l'Etat civil. Naissances, Mariages, Décès. Archives départementales des Ardennes.
- Registres de l'État civil. Naissances, Mariages, Décès (1891-1920). Document référencé sous la cote 2MIEC/129R2 aux Archives départementales des Ardennes.
- SARTELET, Alain. Les églises anciennes des cantons de Sedan et de Raucourt. 1976.
- Wikisource, Dictionnaire raisonné française
- SARTELET, Alain. Les églises anciennes des cantons de Sedan et de Raucourt. 1976. Page 52.
- HANNEDOUCHE, A. (inspecteur de l'enseignement primaire). Dictionnaire historique des communes de l'arrondissement de Sedan. 1891.
- Chémery - Info 2008. Numéro 11. Rubrique "Informations diverses".
- CONGAR Pierre, LECAILLON Jean et ROUSSEAU Jacques. Sedan et le pays sedanais. Vingt siècles d'Histoire. 1978.
- http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/ Ministère de la Défense et des anciens combattants, SGA Mémoire des hommes
- Enquête auprès des instituteurs. Réponse de J. Leclère, instituteur à Connage. Fonds Gourjault de la Médiathèque municipale de Sedan. Mi43, carton 122.
- ROUY, Henry.Jacques-Augustin Déliars.
- http://www.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche.asp?num_dept=14625 Assemblée nationale, base de données des députés français depuis 1789
- Ministère de la Culture, base Léonore
- HENRY, E. "Quelques hommes de guerre nés à Sedan" dans Almanach Matot-Braine 1900. Page 243.
- Coupure de presse. "Rethel - Echo d'obsèques". 1934. Document conservé aux Archives départementales des Ardennes.
Catégorie :- Ancienne commune des Ardennes
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