7782-49-2

7782-49-2

Sélénium

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ArsenicSéléniumBrome
S
  Hexagonal.png
 
34
Se
 
               
               
                                   
                                   
                                                               
                                                               
                                                               
                                   
Se
Te
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Informations générales
Nom, Symbole, Numéro Sélénium, Se, 34
Série chimique non-métal
Groupe, Période, Bloc 16 (VIA), 4, p
Masse volumique 4790 kg/m3
Couleur gris métallique
N° CAS 7782-49-2
N° EINECS 231-957-4
Propriétés atomiques
Masse atomique 78,96 u
Rayon atomique (calc) 115 (103) pm
Rayon de covalence 116 pm
Rayon de van der Waals 190 pm
Configuration électronique [Ar] 3d10 4p4 4s2
Électrons par niveau d'énergie 2, 8, 18, 6
État(s) d'oxydation ±2, 4, 6
Oxyde acide fort
Structure cristalline hexagonale
Propriétés physiques
État ordinaire solide
Température de fusion 220,9 °C ; 494 K
Température d'ébullition 684,7 °C ; 957,8 K
Énergie de fusion 6,694 kJ/mol
Énergie de vaporisation 26,3 kJ/mol
Température critique  K
Pression critique  Pa
Volume molaire 16,42×10-6 m3/mol
Pression de vapeur 0,695 Pa à ? K
Vitesse du son 3350 m/s à 20 °C
Divers
Électronégativité (Pauling) 2,48
Chaleur massique 320 J/(kg·K)
Conductivité électrique 1,0×10-4 S/m
Conductivité thermique 2,04 W/(m·K)
1e Énergie d'ionisation 941 kJ/mol
2e Énergie d'ionisation 2045 kJ/mol
3e Énergie d'ionisation 2973,7 kJ/mol
4e Énergie d'ionisation 4144 kJ/mol
5e Énergie d'ionisation {{{potentiel_ionisation5}}} kJ/mol
6e Énergie d'ionisation {{{potentiel_ionisation6}}} kJ/mol
7e Énergie d'ionisation {{{potentiel_ionisation7}}} kJ/mol
8e Énergie d'ionisation {{{potentiel_ionisation8}}} kJ/mol
9e Énergie d'ionisation {{{potentiel_ionisation9}}} kJ/mol
10e Énergie d'ionisation {{{potentiel_ionisation10}}} kJ/mol
Isotopes les plus stables
iso AN Période MD Ed PD
MeV
74Se 0,87 % stable avec 40 neutrons
75Se {syn.} 119,779 d ε 0,864 75As
76Se 9,36 % stable avec 42 neutrons
77Se 7,63 % stable avec 43 neutrons
78Se 23,78 % stable avec 44 neutrons
79Se {syn.} 1,13 Ma β- 0,151 79Br
80Se 49,61 % stable avec 46 neutrons
82Se 8,73 % 108×1018 a - 2,995 82Kr
Précautions
NFPA 704
Unités du SI & CNTP, sauf indication contraire.

Le sélénium est un élément chimique, de la famille des chalcogènes, de symbole Se et de numéro atomique 34.

C'est un oligoélément, mais à très faible dose. Il est toxique (voire très toxique sous certaines formes) à des concentration à peine plus élevées que celles qui en font un oligoélément indispensable.

Sommaire

Histoire

Le sélénium a été découvert par les chimistes Jöns Jacob Berzélius (1779-1848) et Johan Gottlieb Gahn en 1817 dans la matière subsistant lors de la préparation d'acide sulfurique.
Les éléments sélénium et tellure ont été découverts à la même période.

Le tellure a reçu le premier son nom par référence à la Terre (latin : tellus). Du fait de la ressemblance entre ces deux éléments toujours liés dans les minerais, comme le sont la Terre et la Lune, le sélénium a son nom dérivé de Séléné, déesse de la Lune.

Propriétés

Propriétés physiques

Le sélénium est un semi-conducteur photosensible (sa résistance électrique varie selon son exposition à la lumière).

Propriétés chimiques

Le sélénium peut réagir avec de nombreux éléments et donne des composés de propriétés voisines des composés correspondants du soufre.

Gisements

Les séléniures, comme la clausthalite PbSe et l'umagite Cu3Se2, sont des minéraux rares.
La production de sélénium provient essentiellement du retraitement des résidus de l'électrolyse du plomb, du nickel et du cuivre.

Toxicologie, écotoxicologie

Le sélénium métallique est un élément trace essentiel (qui semble notamment limiter les risques de cancer de la prostate[1]) mais nombre de ses composés sont extrêmement toxiques[2] et sa dose toxique pour l'Homme est très facilement atteignable (400 µg/jour)[3]. Il n'est donc pas recommandé d’en prendre sous forme de supplément alimentaire, mais de consommer des aliments en contenant naturellement (champignons, foie, crustacés...).

Il est plus toxique sous forme d'oxyanions séléniate (plus rare) et plus encore sous forme de sélénite (forme soluble, hautement toxique et bio-assimilable du sélénium, qui est la forme du sélénium la plus courantes dans l’environnement).

Effets environnementaux

Il est présent dans l'environnement et la biomasse sous plusieurs formes chimiques ; sous divers degrés d’oxydation ou même sous des formes complexées dans l’environnement. Hélas la forme sélénite, la plus toxique est aussi la plus fréquente.

Certaines matières résiduelles d’origines industrielles ou agricoles (engrais chimiques) en contiennent des doses suffisantes pour polluer l'environnement où le sélénium peut être bioaccumulé par la chaîne alimentaire. De plus son temps de demi-vie d’élimination dans l’organisme (dépuration) est long (19 à 42 jours).

Une pollution par le sélénium peut ainsi faire diminuer la biomasse jusqu’à 72% chez certaines espèce de poissons[4].

Il est impératif de maîtriser les techniques d’analyse du sélénium pour en identifier toutes ses formes lors d’analyse de l’eau[5], des sols[6] et de chair (tissus musculaires en général)[7] pour la santé publique et conjointement celle de l’environnement.

Seuil de toxicité

Ils varient dans l’environnement selon le contexte et l'espèce.

Un seuil est actuellement établi à environ 3-4 µg/g pour les sédiments, le sol et l’eau[8]. Ce seuil est cependant controversés parce que la toxicité du sélénium varie beaucoup selon sa forme, selon des synergies avec d'autres molécules (thiols par exemple) et parce qu'il semble inadaptés à la variabilité des espèces et des contextes (exemple : milieu statique (lac) non comparable avec des eaux à fort débit (fleuve, rivière, etc…), de plus la sensibilité variable des espèces testées en laboratoire devrait affecter la détermination des seuils). Chez les poissons, pour les tissus musculaires de poissons, les seuils varient selon la tolérance de l’espèce observée. Des bases permettent de comparer les seuils de toxicités pour quelques poisson et oiseaux étudiés[9].
Pour l’instant la recherche n'a pas été orientée vers la détermination de seuils plus précis, mais des arguments plaident pour des études approfondies ;

Importance du contexte : Les cellules de la levure saccharomyces cerevisiae tolèrent normalement quelques millimoles de sélénite. mais en présence de thiols dans leur milieu de croissance elles meurent en présence d'une dose mille fois plus faible (de l'ordre de la micromole). Le glutathion et le sélénite réagissent spontanément en produisant plusieurs composés contenant du sélénium (sélénodiglutathione, glutathiosélénol), séléniure d'hydrogène), sélénium élémentaire, ainsi que des espèces réactives de l'oxygène. Des chercheurs ont étudié la toxicité des composés issus de la réaction entre glutathion et sélénite de sodium. Ils ont conclu que le sélénodiglutathione, élémentaire, le sélénium, ou les espèces réactives de l'oxygène n'étaient pas en cause. Par contre, la formation extracellulaire de séléniure d'hydrogène peut expliquer l'aggravation de la toxicité du sélénite en présence de thiols ; la production directe de séléniure d'hydrogène avec la D-cystéine désulfhydrase induit en effet une mortalité élevée de S. cerevisiae . L'absorption de sélénium par la levure est considérablement renforcée en présence de thiols externe, très probablement par ce qu'il favorise l'internalisation du séléniure d'hydrogène. La toxicité du sélénium, dans ce modèle fongique, semble pouvoir être expliquée par la consommation de glutathion réduit intracellulaire, ce conduit à la mort des cellules via à de graves stress oxydatif[10]

Cycle et toxicité du sélénium : Certains micro-organismes extrêmophiles contribuant à son cycle biogéochimique lui résistent cependant.
C'est par exemple le cas de la bactérie tellurique Cupriavidus metallidurans CH34 (anciennement Ralstonia metallidurans, fréquemment trouvé dans les sols ou sédiments contaminés par des métaux. Elle se détoxique (et détoxique le sol) en réduisant le sélénite en précipité de sélénium élémentaire insoluble et bien moins toxique).
Des radiotoxicologues ont mis en évidence deux voies de réduction du sélénium chez cette bactérie ;

  • transformation du sélénite et/ou du séléniate en sélénium organique sous forme de sélénométhionine incluse dans des protéines bactériennes.
  • précipitation du sélénite en nanoparticules de sélénium élémentaire (procédé observé pour le sélénite, mais non pour le séléniate).

Du sélénodiglutathion est trouvé chez des bactéries exposées au séléniate en milieu limité en sulfate. Le séléniate semble moins bioassimilable : Les bactéries qui y sont exposées en accumulent 25 fois moins que de sélénium lorsqu’elles sont exposées à du sélénite.
Des bactéries mutantes (résistantes au sélénite) ont été étudiées par le CEA qui a observé qu'elles n’exprimaient pas une protéine membranaire (DedA) ; ce qui leur permet de moins accumuler de sélénium après exposition au sélénite (comparativement à la même bactérie non mutée). Le séléniate pourrait quant à lui être dégradé par la sulfate perméase de C. metallidurans CH34[11].

Utilisation

Le sélénium est utilisé pour recouvrir le « tambour » (cylindre brillant). Il est chargé électriquement, puis un rayon laser décharge plus ou moins (en rendant le sélénium conducteur) les parties blanches ou claires de l'image.

  • Colorant pour le verre et matières plastiques :

Le beau rouge profond est obtenu avec du sulfoséléniure de cadmium.

  • Il sert à améliorer les qualités de l'acier inoxydable et du cuivre.
  • L'acide sélénieux appliqué à la surface de l'acier permet de changer son aspect et de le protéger. Cette opération couramment appelée "bronzage" est souvent utilisée sur de petites pièces d'armes à feu.

Semi-conducteur industriel

La découverte des propriétés photosensibles est due à Willoughby Smith et à son assistant J. May, qui travaillaient dans une société de télégraphie, en 1873.

De nombreuses recherches ont été menées pour utiliser ces propriétés photosensibles, en particulier à la transmission d'images, sans grand succès. Elles aboutiront seulement à produire des générateurs photovoltaïques, peu performants par rapport à ceux disponibles aujourd'hui.

Toute une génération de photographes, dans les années 50 et 60 lui doit néanmoins les premiers appareils à posemètre. Reconnaissables à des plaquettes placées à l'avant du boitier, ces posemètres au sélénium convenaient seulement pour des mesures en lumière du jour. Un simple dispositif à galvanomètre recueillant le faible courant généré par la cellule.

Redresseur au sélénium - antiquité électronique

De même les premiers dispositifs de redressement « solide » affublés de multiples ailettes. Le sélénium est en effet un semi-conducteur de type « P ». Du sélénium cristallisé est déposé sur une plaque d'aluminium, puis on forme une couche de jonction par différents procédés (par exemple une forte tension inverse).

Son temps de réponse est moyen, sa tension inverse de l'ordre de 30 V maximum nécessite souvent de monter des éléments en série.

Il a été utilisé pour le redressement du courant alternatif, jusqu'à l'apparition des redresseurs au silicium (vers 1970) plus performants et surtout plus fiables. En effet de nombreux redresseurs au sélénium ont fini en une épouvantable fumée âcre !

Son usage comme semi-conducteur était devenu marginal, à l'exception de dispositifs limiteurs de tension où il reste en compétition avec les MoV (Metal-Oxyde Varistor).

Il semble retrouver une seconde jeunesse :

  • dans des capteurs d'image pour rayons « X » car il permet la conversion directe rayonnement→flux d'électrons,
  • dans la fabrication de cellules photovoltaïques dites « amorphes » de grande dimension au rendement honorable (15 %) et au coût réduit, à base de CuInSe2.
  • dans certains semi-conducteurs composites, notamment pour la formation de points quantiques.


Pharmacologie et nutrition

  • Le sélénium est un oligo-élément et le précurseur d'un antioxydant, le glutathion. On en trouve dans les rognons de porc ou de bœuf, l’ail, le poisson et les mollusques. La nutrition occidentale apporte largement les besoins quotidiens en cet élément[12].
  • Le sulfure de sélénium est employé comme traitement en dermatologie, en raison de son action fongicide, par exemple dans le traitement des pellicules grasses (Selsun®).
  • La consommation d'un peu de sélénium chaque jour (200 µg) avait été suspecté comme pouvant diminuer le risque de survenue de plusieurs cancers[13] (dont ceux de la prostate et du côlon). Cela n'a pas cependant été confirmé[14]. Par contre, un taux sanguin de sélénium trop important pourrait comporter un risque augmenté de cancer[15]. L'addition de sélénium au régime diminue la cancérogenèse induite chimiquement chez les rongeurs [16]. Dans ces études expérimentales, les composés organiques du sélénium sont plus efficaces et moins toxiques que les sels de sélénium. Les composés organiques testés sont les sélénocyanates, la sélénométhionine, la noix du Brésil (riche en sélénium), l'ail et le brocoli cultivés sur sol riche en sélénium.
  • Il existerait également une diminution de la fréquence des maladies cardio-vasculaires. Le sélénium participerait au maintien des défenses immunitaires (il diminuerait en particulier la charge virale chez les patients porteurs du HIV[17]), à la fonction thyroïdienne.

Pour résumer, à chaque fois qu'une pathologie est susceptible d'entraîner une production accrue de radicaux libres provoquant des lésions des cellules et une augmentation de médiateurs inflammatoires tels que les cytokines, le sélénium est susceptible de jouer un rôle protecteur. Cet effet serait dû à une enzyme, la glutathion-peroxydase dont certains types sont dépendants du sélénium[18]. Par contre, aucun effet sur la mortalité n'a été démontré[19].

Effets secondaires

Comme tous les éléments, le sélénium est toxique à trop forte dose. Il peut entraîner des nausées, des diarrhées, une fragilisation des ongles, la perte des cheveux ou de la fatigue. Les recommandations américaines indiquent une dose quotidienne maximale à 400 µg/jour, or la supplémentation atteint facilement 200 µg/jour, en plus de l'apport nutritionnel, ce qui expose à un risque de surdosage[12]

Les études sur les animaux semblent montrer que des personnes qui prennent de fortes doses de suppléments de sélénium, sur une longue période, voient leur risque de diabète de type 2 se majorer un peu.[20].

Détection et quantification analytique

Dans les sédiments et dans les tissus musculaires, le dosage se fait avec un spectrophotomètre [21][22]. Toutefois, un traitement préalable doit se faire sur chacun des échantillons.

Pour les sédiments, une minéralisation acide de l’échantillon transforme préalablement le sélénium en sa forme hydrure en borohydrure de sodium (NaBH4) en milieu acide. Puis le sélénium chauffé dans une cellule est réduit en sélénium élémentaire. Finalement, un étalonnage est fait par spectrophotométrie d’absorption atomique[23].

Pour les tissus musculaires, l’échantillon est traité par digestion acide des tissus biologiques en milieu très oxydant. Le nitrate de magnésium permet l’oxydation complète de la matière organique et stabilise le Sélénium. Ensuite, pour passer du Se(6) à Se(4) il faut rajouter du HCl(aq). Le Sélénium est ensuite transformé sous sa forme hydrure avec du borohydrure de sodium (NaBH4) en milieu acide. À ce point, l’hydrure est chauffé en sélénium élémentaire. Finalement, l’étalonnage est fait par spectrophotométrie d’absorption atomique[24].

Pour l’analyse du Sélénium dans l’eau, la méthode se fait par spectrométrie d’émission au plasma d’argon et la détection est faite par spectrométrie de masse (ICP-MS) [25].

Voir aussi

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Voir « sélénium » sur le Wiktionnaire.

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

Notes et références

  1. Conclusions et recommandations des études faites durant 5 ans par le WCR
  2. Fiche toxicologique du sélénium(INRS)
  3. Bleys Joachim, DIABETES CARE, APRIL 2007, 30 (4)
  4. S.J. Hamilton, Science of the Total Environment, 2004, 326, 1-31
  5. Centre d’Expertise en Analyse Environnementale du Québec, Détermination du sélénium dans les sédiments : méthode par spectrophotométrie d’absorption atomique après minéralisation et génération d’hydrure, 2003, 1-17
  6. Centre d’Expertise en Analyse Environnementale du Québec, Détermination du sélénium dans les tissus animaux : méthode par spectrophotométrie d’absorption atomique après minéralisation et génération d’hydrure, 2003, 1-18
  7. Centre d’Éxpertise en Analyse Environnementale du Québec, Détermination des métaux à l’état de trace en conditions propres dans l’eau : méthode par spectrométrie d’émission au plasma d’argon et détection par spectrométrie de masse, 2003, 1-29
  8. S.J. Hamilton, Science of the Total Environment, 2004, 326, 1-31
  9. S.J. Hamilton, Science of the Total Environment, 2004, 326, 1-31
  10. Tarze A., Dauplais M., Grigoras I., Lazard M., Ha Duong N.T., Barbier F., Blanquet S., Plateau P. Extracellular production of hydrogen selenide accounts for thio-assisted toxicity of selenite against saccharomyces cerevisiae. THE JOURNAL OF BIOLOGICAL CHEMISTRY 282 (2007)12, 8759-8767
  11. Laure AVOSCAN (thèse de Doctorat à l'Université de Grenoble « Etude de la résistance de Cupriavidus metallidurans CH34 aux oxyanions sélénite et séléniate : accumulation, localisation et transformation du sélénium », 2007, CEA de Saclay
  12. a  et b Bleys J, Navas-Acien A, Guallar E, Selenium and diabetes: more bad news for supplements, Ann Int Med, 2007;147:271-272
  13. Effects of selenium supplementation for cancer prevention in patients with carcinoma of the skin, L. C. Clark, G. F. Combs Jr, B. W. Turnbull, E. H. Slate, D. K. Chalker, J. Chow, L. S. Davis, R. A. Glover, G. F. Graham, E. G. Gross, A. Krongrad, J. L. Lesher Jr, H. K. Park, B. B. Sanders Jr, C. L. Smith, J. R. Taylor, JAMA. 1996;276:1957-1963
  14. Lippman SE, Klein EA, Goodman PJ et Als. Effect of selenium and vitamin E on risk of prostate cancer and other cancers, The Selenium and Vitamin E Cancer Prevention Trial (SELECT),JAMA. 2009;301:39-51
  15. Bleys J, Navas-Acien A, Guallar E, Serum selenium levels and all-cause, cancer, and cardiovascular mortality among US adults, Arch Intern Med, 2008;168:404-410
  16. Chimioprévention
  17. (en)Suppression of human immunodeficiency virus type 1 viral load with selenium supplementation, Barry E. Hurwitz, Johanna R. Klaus, Maria M. Llabre, Alex Gonzalez, Peter J. Lawrence, Kevin J. Maher, Jeffrey M. Greeson, Marianna K. Baum, Gail Shor-Posner, Jay S. Skyler, Neil Schneiderman, Arch Intern Med. 2007;167:148-154
  18. Rotruck JT, Pope AL, Ganther HE, et Als., Selenium: biochemical role as a component of glutathione peroxidase, Science, 1973;179:588-90
  19. (en) Goran Bjelakovic, Dimitrinka Nikolova, Lise Lotte Gluud, Rosa G. Simonetti, Christian Gluud, Mortality in randomized trials of antioxidant supplements for primary and secondary prevention, JAMA. 2007;297:842-857
  20. Stranges S, Marshall JR, Natarajan R,Effects of Long-Term Selenium Supplementation on the Incidence of Type 2 Diabetes, Annals of Internal Medicine, 2007;147:217-223
  21. Centre d’Expertise en Analyse Environnementale du Québec, Détermination du sélénium dans les sédiments : méthode par spectrophotométrie d’absorption atomique après minéralisation et génération d’hydrure, 2003, 1-17
  22. Centre d’Expertise en Analyse Environnementale du Québec, Détermination du sélénium dans les tissus animaux : méthode par spectrophotométrie d’absorption atomique après minéralisation et génération d’hydrure, 2003, 1-18
  23. Centre d’Expertise en Analyse Environnementale du Québec, Détermination du sélénium dans les sédiments : méthode par spectrophotométrie d’absorption atomique après minéralisation et génération d’hydrure, 2003, 1-17
  24. Centre d’Expertise en Analyse Environnementale du Québec, Détermination du sélénium dans les tissus animaux : méthode par spectrophotométrie d’absorption atomique après minéralisation et génération d’hydrure, 2003, 1-18
  25. Centre d’Expertise en Analyse Environnementale du Québec, Détermination des métaux à l’état de trace en conditions propres dans l’eau : méthode par spectrométrie d’émission au plasma d’argon et détection par spectrométrie de masse, 2003, 1-29


  s1 s2 g f1 f2 f3 f4 f5 f6 f7 f8 f9 f10 f11 f12 f13 f14 d1 d2 d3 d4 d5 d6 d7 d8 d9 d10 p1 p2 p3 p4 p5 p6
1 H He
2 Li Be B C N O F Ne
3 Na Mg Al Si P S Cl Ar
4 K Ca Sc Ti V Cr Mn Fe Co Ni Cu Zn Ga Ge As Se Br Kr
5 Rb Sr Y Zr Nb Mo Tc Ru Rh Pd Ag Cd In Sn Sb Te I Xe
6 Cs Ba   La Ce Pr Nd Pm Sm Eu Gd Tb Dy Ho Er Tm Yb Lu Hf Ta W Re Os Ir Pt Au Hg Tl Pb Bi Po At Rn
7 Fr Ra   Ac Th Pa U Np Pu Am Cm Bk Cf Es Fm Md No Lr Rf Db Sg Bh Hs Mt Ds Rg Cp Uut Uuq Uup Uuh Uus Uuo
8 Uue Ubn * Ute Uqn Uqu Uqb Uqt Uqq Uqp Uqh Uqs Uqo Uqe Upn Upu Upb Upt Upq Upp Uph Ups Upo Upe Uhn Uhu Uhb Uht Uhq Uhp Uhh Uhs Uho
   
  g1 g2 g3 g4 g5 g6 g7 g8 g9 g10 g11 g12 g13 g14 g15 g16 g17 g18  
  * Ubu Ubb Ubt Ubq Ubp Ubh Ubs Ubo Ube Utn Utu Utb Utt Utq Utp Uth Uts Uto  


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