Union pacifiste de France

Union pacifiste de France
Le fusil brisé, logo de l’Internationale des Résistants à la Guerre

L’Union pacifiste de France (UPF) est une association loi 1901, section française de l’Internationale des Résistants à la Guerre (IRG), groupant les pacifistes intégraux, quelles que soient leurs convictions politiques, philosophiques ou religieuses. Elle lutte pour une France sans armée, contre toute forme de guerre, contre la production d’armes, pour abolir leur vente, et pour une société démilitarisée.

Sommaire

Héritage d’un siècle de pacifisme

Buste de Louis Lecoin.

Deux grandes figures ont largement contribué à diffuser le pacifisme en France aux débuts du XXe siècle : Jean Jaurès (socialiste patriote) et Sébastien Faure (anarchiste). Tous deux engloutis dans le vacarme de la Première Guerre mondiale. Le premier assassiné, le deuxième obligé au silence sous la menace de la pression policière exercée sur ses proches. Le pacifisme en tant que mouvement se retrouve rapidement bâillonné par les deux conflits. Pour ne prendre qu’un exemple, Louis Lecoin qui mena, à lui seul, une lutte antimilitariste, se retrouva derrière les barreaux. Il y passera au total douze ans de sa vie pour ses idées[1].

L’entre-deux-guerres connaîtra un fleurissement de mouvements pacifistes, pour la plupart nés à l’occasion de différentes conférences. En 1914 déjà, une cinquantaine de pacifistes chrétiens, dont bon nombre d’objecteurs de conscience, se retrouvent à Constance et créent le Mouvement international de la Réconciliation (MIR). Mais la guerre est déjà là et le mouvement se disperse pour se retrouver en 1919 à Bilthoven, aux Pays-Bas[2] . Le MIR est officiellement né. L’idée de détourner le service militaire voit le jour l’année suivante sous la forme d’un Service civil international (SCI). Enfin, une nouvelle et dernière conférence fondatrice se tient en 1921. Certains pacifistes se distinguent par leur athéisme et fondent autour d’Helene Stöcker et Runham Brown le mouvement PACO (la paix en espéranto), devenu l’Internationale des résistants à la guerre (IRG) en 1923. Tout le monde se convainc alors que 14-18 sera la « der des ders », et l’espoir grandit avec la Société des Nations, le MIR, le SCI, l’IRG mais aussi et surtout pour certains la Ligue internationale des combattants de la paix (LICP). Cette dernière est fondée en 1931 par Victor Méric. Elle s’exprime dans un journal bien connu à l’époque : La Patrie Humaine, et compte parmi ses membres de nombreux militants qui se retrouveront à l’UPF : Roger Monclin, Félicien Challaye, Robert Jospin… En 1933, une scission s’opère au sein de la ligue entre les anarchistes et les socialistes, ces derniers créant Le Barrage, journal dirigé par René Gérin.

La Seconde Guerre mondiale fait éclater de nouveau tous ces mouvements pacifistes. Ils en ressortent affaiblis mais prêts plus que jamais à défendre la paix. Hiroshima fera naître une peur de l'arme nucléaire et a fortiori de la guerre. Le MIR et la LICP peuvent alors se développer et voir grossir leurs rangs. Le Mouvement de la paix, mouvement affilié au Parti communiste, voit le jour. Le Comité national de résistances à la guerre et à l’oppression (CNRGO) est créé en 1951 par Émile Bauchet, déserteur de la guerre de 14-18, objecteur de conscience et membre actif de la section calvadosienne de la LICP. Le pacifisme gagne lentement mais sûrement du terrain.

Création

L’UPF doit tout d’abord son existence au CNRGO mais aussi et surtout à l’avocat des objecteurs devenu instituteur, Jean Gauchon. Lors de la guerre d’Algérie, quelques Français refusent de porter les armes soit par insoumission, soit pour objection de conscience, soit parce que cette guerre coloniale leur semblait dénuée de sens. Ils viennent alors grossir les rangs du CNRGO. Celui-ci propose alors, en 1961, de simplifier le nom de l’organisation qui devient l’Union pacifiste de France. Leurs membres font appel à cet homme qui a défendu près d’une centaine d’objecteurs de conscience, pour le nommer secrétaire de l’UPF[3] . Il quittera son poste en 1971, remplacé par Thérèse Collet. Francisca Martinez prendra la relève en 1992 pour deux ans, enfin suivi par Maurice Montet en 1994, toujours secrétaire aujourd’hui. Les membres de l’UPF, proches des autres mouvements pacifistes puisqu’ayant tous pour but la lutte pour la paix (MIR, Mouvement de la Paix…), se distinguent tout d’abord par leur refus d’être affiliés à aucune religion que ce soit (les croyants sont toutefois présents) ni à aucun parti ou syndicat (se sentant tout de même plus proches de la pensée libertaire que d’autres). Ils se distinguent ensuite et surtout par la radicalité de leur position : le désarmement unilatéral. L’UPF rassemble tous les pacifistes intégraux, à savoir ceux qui luttent contre toute forme de guerres (militaire, économique, civile, révolutionnaire…), contre toute préparation à la guerre (l’armée, la production et la vente d’armes…) et pour la démilitarisation de la société (accords armée-écoles, JAPD [Journée d’appel de préparation à la défense], plan Vigipirate, etc.). Le pacifisme intégral est la clef de voûte de l’UPF, il peut se résumer par sa déclaration de principe : « [Les adhérents de l’UPF], pacifistes intégraux, condamnent tout armement collectif, toute organisation militaire, toutes alliances groupant des pays pour une guerre possible. […] L’UPF, constatant que le surarmement n’évite pas la guerre mais au contraire en accroît les risques, affirme que le désarmement total est le seul moyen de rendre la guerre impossible.»[4]

En 1966, l’UPF fusionne avec la Ligue d’action pacifiste, alors section française de l’Internationale des résistants à la guerre. La déclaration de celle-ci était en parfait accord avec les convictions de l’UPF : « La guerre est un crime contre l’humanité. C’est pourquoi je suis résolu(e) à n’aider aucune espèce de guerre et à lutter pour l’abolition de toutes les causes des guerres.  »[5]

Elle regroupe aujourd’hui 450 adhérents dont environ 50 membres actifs.

Elle diffuse ses idées et ses actions dans les lignes du mensuel Union Pacifiste et sur les ondes de Radio Libertaire dans l’émission Si vis Pacem, modifiant l’adage latin Si vis Pacem, para bellum « Si tu veux la paix, prépare la guerre», en « Si tu veux la paix, prépare la paix ».

Les actions

Objection de conscience

Plaque dédiée aux objecteurs de conscience à Londres.

Née en pleine guerre d’Algérie, la priorité de l’UPF est alors de faire reconnaître le statut d’objection de conscience. En 1947 s’était créé un comité dans lequel Jean Gauchon était conseiller technique. Jean Gauchon, qui fut avocat et défendit un peu moins d’une centaine d’objecteurs de conscience, écrivit une thèse sur le sujet. Plusieurs propositions de loi ont été déposées. La première l’a été le premier décembre 1949, une deuxième en 1952 et enfin en 1963[6]. Le 1er juin 1962, voyant que la campagne de l’objection de conscience n’avance pas, Louis Lecoin – membre de l’UPF – décide seul, à 74 ans, d’entamer une grève de la faim. Soutenu par l’UPF, médiatisé peu à peu, notamment dans le Canard Enchaîné par le pacifiste Henri Jeanson, Louis Lecoin, hospitalisé, reçoit le 21e jour une lettre du Premier ministre, Georges Pompidou, promettant la libération de vingt-huit objecteurs de conscience et l’inscription du projet de loi en fin de l’actuelle session parlementaire. Lecoin remercie mais se refuse à arrêter sa grève sur de simples promesses. Perrier-Daville, Pierre Martin et Robert Buron, envoient un communiqué en exigeant qu’il soit publié et officiel. Ce qui est fait le 23 juin ; Louis Lecoin accepte alors de s’alimenter[7] . Il faudra cependant attendre le 21 décembre 1963 pour que la loi soit votée à l’Assemblée : 204 pour, 32 abstentions et 197 contre[8] . C’est la définition de la thèse de Jean Gauchon qui figurera dans le texte de la loi. Plusieurs amendements seront votés, notamment l’interdiction de faire connaître cette loi sous peine de sanctions – il ne sera cependant jamais appliqué. Dès lors les objecteurs de conscience peuvent faire un service civil de 36 mois, réduits plus tard à 24 mois. L’objection de conscience gardera une place importante dans les activités de l’association puisqu’il fallait désormais la faire connaître des jeunes appelés, les accueillir et les accompagner dans leurs démarches. Le statut est suspendu en même temps que le service militaire en 2001. L’étape suivante s’est faite au niveau européen. En 2000, le droit à l’objection de conscience est inclus dans la Charte de l’Union européenne et devient un des critères obligatoire pour l’entrée de nouveaux pays[9]. C’est surtout le Bureau européen de l’objection de conscience (BEOC) qui s’occupe de la défense des objecteurs européens mais il est largement appuyé par l’UPF étant donné que le secrétaire de l’UPF est co-fondateur du BEOC. Par ailleurs, l’UPF lutte encore aujourd’hui pour la défense des objecteurs de conscience (de nombreux objecteurs Grecs et Turcs, entre autres, ont pu être libérés grâce au soutien de l’UPF et d’autres organisations pacifistes dans le monde). Outre les objecteurs de conscience, elle soutient aussi tous les déserteurs, insoumis et réfractaires.

Désarmement unilatéral

L’objection de conscience aura été le plus important chantier de l’association. Elle est aussi sa fierté puisqu’elle a permis aux pacifistes de se faire entendre pour la première fois en France. Le deuxième chantier le plus important et encore actuel est le désarmement unilatéral de la France. Celui-ci se fonde sur l’idée qu’un désarmement général et simultané suppose l’accord de tous les pays à la fois. Trop utopique pour l’UPF qui soutient l’idée qu’avant de l’exiger d’un autre pays exigeons-le du nôtre. « Le salut d’un peuple ne peut résider désormais que dans le désarmement absolu de son pays. Il ne pourra ainsi susciter aucune crainte chez les autres peuples. Ceux-ci n’auront pas le moindre prétexte de lui faire la guerre. Ils ne pourront plus notamment invoquer le suprême argument employé pour mobiliser les masses trop crédules : la légitime défense.»[10] Ce chantier peut se diviser en trois axes : soutenir les pacifistes victimes des guerres actuelles, demander la suppression de l’armée française ainsi que dénoncer et exiger l’interdiction de la production et de la vente d’armes, enfin dénoncer la société militarisée.

La philosophie de l’UPF cherche à détruire la dualité vainqueurs/vaincus et l’idée même de camps. En utilisant la guerre, il ne peut y avoir de vainqueurs, nous sommes tous perdants. Lutter contre LA guerre c’est avant tout lutter contre les guerres qui existent. L’UPF a, à plusieurs reprises, défendu les pacifistes du monde confrontés à une guerre dans leur pays. Lors de la guerre du Viêt Nam, un temple bouddhiste fît appel à eux en 1966. Tentant de lutter à la fois contre ce qui est pour eux une dictature rouge au Nord et une dictature fascisante au Sud, ils reçurent le soutien immédiat de l’UPF. Des articles furent rédigés essayant de faire connaître cette « troisième force » pacifiste du Viêt-Nam. Une vietnamienne fut hébergée et un déserteur américain recueilli. Plus récemment, l’association a soutenu Red Juvenil, section colombienne de l’IRG, menacée par des groupes paramilitaires. Par ailleurs, constatant que de nos jours la guerre prend de nouvelles formes, notamment économiques, accablant principalement l’Afrique, l’UPF a lancé une campagne d’information sur les luttes pacifistes des Africains[11] . Elle a soutenu entre autres les pacifistes érythréens et à la suite de l’appel de l’association de défense des droits de l’homme Mpalabanda, dans l’enclave angolaise du Cabinda, elle a entamé un long chantier d’information et de défense de cette association. Il ne s’agit pas ici d’affrontements guerriers directs mais d’un groupe pétrolier, Chevron Texaco, ayant créé sa propre ville, munie de clôture barbelée, protégée d’une ceinture de mines antipersonnelles, les habitants d’origines en étant exclus. La population est confrontée à la violence des Forces Armées Angolaises (FAA) – force armée du MPLA (parti au pouvoir) - et du Front pour la Libération de l’Enclave du Cabinda (FLEC). On y compte le record d’un soldat pour sept habitants.

Conscients que la France est en guerre dans différentes contrées du monde et qu’il est crucial de défendre les pacifistes du monde entier, l’UPF est aussi convaincue que pour arrêter toutes ces guerres, il n’y a qu’une seule solution : le désarmement. À commencer par celui de la France, tout comme ont pu le faire quelques États (Andorre, Monaco, Luxembourg, Liechtenstein, Costa Rica, etc.)[12] . Employant des moyens pacifistes, la première action a été de proposer un texte de loi sur le désarmement unilatéral. Il a été présenté en 1993 au Sénat[13] et contient 6 articles :

« Article premier : Toute fabrication et toute exportation d’armements sont interdites sur l’étendue du territoire national. De telles productions sont interdites de transit en France.

Article 2 : Les usines, les arsenaux et les établissements divers travaillant pour les armées, et éventuellement pour la guerre, sont reconverties en vue d’intérêts civils.

Article 3 : La France autorise tout contrôle international permettant de constater la mise en application de la présente loi.

Art. 4 : La France procède à la destruction ou à la transformation progressive de tous ses armements et engins de guerre, ainsi qu’à la dissolution par étapes de toutes les armées, de terre, de mer, de l’air.

Art.5 : Le gouvernement français est chargé de l’application de la présente loi : il présente tous les quatre ans au Parlement une loi de programmation engageant le processus de désarmement et de reconversion, jusqu’à son aboutissement, tel que défini à l’article précédent.

Art.6 : Le gouvernement français est chargé d’entamer le processus de fédération avec tous les autres gouvernements qui adopteraient une loi similaire. »


Il a été signé par 24 personnalités : Michel Ragon, Jean-Jacques de Felice, Théodore Monod, Serge Utge-Royo, Jean Cabut, Francesca Solleville, Philippe Val, Albert Jacquard, Claude Vinci, Marcel Amont, René Dumont, Denis Langlois, Louis Lippens, Michel Auvray, Jean Ziegler, Mireille Jospin, Claude Confortès, Pierre-Valentin Berthier, Bernard Baissat, Dorothée Piermont, Solange Fernex, Rolland Hénault, Andrée Michel, François Cavanna[14] . Le projet sera vite oublié au milieu d’une pile d’autres propositions de loi.

Le désarmement unilatéral implique aussi l’arrêt de production et de vente d’armes. Tous les deux ans, se tient un salon de l’armement, Eurosatory, au parc des expositions de Paris-Nord, Villepinte. L’UPF s’invite au banquet des marchands d’armes, devant le Louvre, pour demander sa fermeture et proposer la reconversion des usines d’armement. Luttant contre toutes les armes, l’association prend également une part active au désarmement nucléaire, en adhérent au Réseau Sortir du nucléaire. Enfin, exigeant la suppression de toutes les armées, elle condamne l’Otan en adhérant au collectif Anti-Otan.

Le troisième axe consiste à dénoncer la société militarisée. Tout d’abord, en demandant de purger l’école des manuels scolaires bellicistes et en dénonçant le racolage de l’armée dans les écoles et universités, ainsi que les journées d’appel de préparation à la défense (JAPD). L’UPF a notamment fait quelques interventions dans les écoles afin de diffuser le pacifisme. Elle dénonce également les ordonnances de 59, instituées par le général De Gaulle qui permettent la réquisition des biens et des civils en cas de menace extérieure ou intérieure, même en cas de paix, ainsi que des contrats d’affectation dans les usines de défense. Chaque année elle milite contre les jouets guerriers qui apprennent à tuer. Enfin, elle prend parti contre le fichage de la population par les gendarmes et les policiers.

Notes

  1. Cf. Lecoin Louis, Le cours d’une vie, Union pacifiste de France.
  2. Cf. http://www.sci-france.org/pages/Histoire.htm
  3. Cf. Ratz Albert, Jean Gauchon le roman d’un pacifiste, éditions du cherche midi P.118.
  4. Cf. Statuts de l’Union pacifiste de France.
  5. Cf. http://www.wri-irg.org/fr/node/3691
  6. Cf. Ratz Albert, Jean Gauchon le roman d’un pacifiste, p.62.
  7. Ibid. P.129-130.
  8. Ibid. P.133.
  9. Cf. http://www.quaker.org/qcea/coreport/fr%20ver.pdf
  10. Cf. Brochure Le pacifisme intégral, Union Pacifiste de France.
  11. Cf. Brochure L’autre Afrique, Union Pacifiste de France.
  12. Cf. Barbey Christophe, La non-militarisation et les pays sans armée : une réalité, Éditions Pour de Vrai, 2001.
  13. Cf. Ratz Albert, Jean Gauchon le roman d’un pacifiste, p. 214.
  14. Cf. Brochure Pourquoi ? Union Pacifiste, Union Pacifiste de France.

Bibliographie

  • COT, Un monde au pas les nouveaux visages de la militarisation, APPEL, 2007.
  • Michel Valette, Robert Porchet De Verdun à Cayenne, Les Indes savantes, collection cannibale, 2007.
  • Xavier Renou, La privatisation de la violence, Agone, Collection Dossiers Noirs, 2005.
  • Jean Bacon, Les saigneurs de la guerre, Éditions Phébus, 2003.
  • Christophe Barbey, La non-militarisation et les pays sans armée : une réalité, Éditions Pour de Vrai, 2001.
  • Albert Ratz, Jean Gauchon, Le Roman d’un pacifiste, Le Cherche midi éditeur, collection documents, mars 1994.
  • Roger Monclin, Quelque part ailleurs…, UPF, 1990.
  • Roger Monclin, Les damnés de la guerre, UPF, 1978.
  • Louis Lecoin, Le cours d’une vie, UPF, 1965.

Liens externes


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Union pacifiste de France de Wikipédia en français (auteurs)

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