République khmère

République khmère

12°15′N 105°36′E / 12.25, 105.6

République khmère
សាធារណរដ្ឋខ្មែរ

19701975

Drapeau

Drapeau

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Informations générales
Statut République, dictature militaire
Capitale Phnom Penh
Langue Khmer
Superficie
Superficie 181 035 km2
Histoire et évènements
18 mars 1970 Coup d'État contre Norodom Sihanouk
9 octobre 1970 Proclamation officielle de la République
17 avril 1975 Les Khmers rouges entrent dans la capitale
Chef de l'État
(1e) 1970-1972 Cheng Heng
1972-1975 Lon Nol
Premier ministre
1970-1971 Lon Nol
1971-1972 Sisowath Sirik Matak
1972 Son Ngoc Thanh
1973 In Tam
1973-1975 Long Boret

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La République khmère (1970 - 1975) se situe dans l'histoire du Cambodge après le Royaume du Cambodge et avant le Kampuchea démocratique du régime khmer rouge.

Sommaire

Contexte historique

Officiellement déclarée le 9 octobre 1970, après le coup d'État du 18 mars 1970 contre le Prince Norodom Sihanouk, la République khmère était dirigée par des militaires pro-américains sous les ordres du général Lon Nol et du prince Sisowath Sirik Matak

Le coup d'État avait été motivé par la tolérance de Norodom Sihanouk vis-à-vis de l'activité nord-vietnamienne aux frontières du Cambodge. Les communistes vietnamiens, lourdement armés, avaient pris de facto le contrôle de vastes zones de l'est du Cambodge. Par ailleurs l'économie cambodgienne était dans un état désastreux, victime de sa politique de neutralité dans le conflit américain au Vietnam[1].

Avec l'éviction de Sihanouk, le Royaume du Cambodge est devenu une république, bien que le trône ait été officiellement vacant depuis la mort du roi Norodom Suramarit en 1960. Le nouveau régime mis en place était de droite nationaliste, pro-américain. À ce titre ce gouvernement stoppa toute coopération clandestine avec le régime nord-vietnamien et les Viêt-congs, et apporta au contraire le soutien du Cambodge au Sud-Vietnam dans le cadre de la guerre du Vietnam. La République khmère entra alors en guerre, à l'intérieur même de ses frontières, contre le Front uni national du Kampuchéa (FUNK), une alliance assez large entre les partisans de Sihanouk et le Parti communiste du Kampuchéa. L'insurrection elle-même a été menée par le CPNLAF, les « Forces Armées de Libération Nationale du Peuple Cambodgien ». Elle était à la fois soutenue par l'Armée populaire vietnamienne (PAVN) et le FNL (ou Viet Cong), qui occupaient déjà une partie de Cambodge dans le cadre de sa guerre contre les Sud-Vietnamiens.

La junte qui fonda la République khmère, pourtant massivement soutenue, financièrement et militairement, par les États-Unis, échoua à mener son armée mal formée (la « Force Armée Nationale Khmère », ou FANK) à la victoire face au CPNLAF et aux forces vietnamiennes du PAVN et du FLN. La République est finalement tombée le 17 avril 1975, quand les communistes cambodgiens, les Khmers rouges, ont pris Phnom Penh.

Le coup d'état

Sihanouk a lui-même affirmé que le coup d'état était le résultat d'une alliance entre son ennemi de longue date, Son Ngoc Thanh, nationaliste d'extrême droite exilé, le Prince Sisowath Sirik Matak (présenté par Sihanouk comme un autre prétendant mécontent au trône cambodgien) et la CIA, qui souhaitait installer un régime plus explicitement « ami » des États-Unis d'Amérique dans la région[2]. Il faut cependant noter que l'implication de la CIA n'est pas établie dans ce coup d'état, bien qu'il semble que des sections de l'establishment militaire des États-Unis - notamment les forces spéciales de l'armée américaine - ont eu une certaine implication, au moins en offrant un accompagnement et une formation aux conspirateurs qui furent approchés par Lon Nol[3].

Le 11 mars 1970, alors que Sihanouk était en France, officiellement pour raison de santé, des émeutes anti-vietnamienne ont éclaté à Phnom Penh, au cours desquelles les ambassades Nord-Vietnamiennes et du FNL furent saccagées[4]. Il semble probable que cette émeute ait été au moins tolérée, et éventuellement activement organisée par Lon Nol, alors Premier ministre, ainsi que par son adjoint le Prince Sirik Matak. Le lendemain, le premier ministre a fait fermer le port de Sihanoukville - alors utilisé pour introduire clandestinement des armes destinés aux Nord-Vietnamiens (FNL) - et lance un ultimatum aux Viet-Congs : toutes les forces du FNL étaient sommées de se retirer du sol cambodgien dans les 72 heures (c'est-à-dire le 15 mars au plus tard) ou devraient faire face à une action militaire[5].

Malgré ces actions, en contradiction explicite avec la politique de tolérance partielle de l'activité nord-vietnamienne pratiquée par Sihanouk, il apparaît que Lon Nol eut une grande réticence à destituer le chef de l'état : il a d'abord probablement simplement voulu appliquer plus de pression sur les Nord-Vietnamiens. Sirik Matak - qui semble avoir eu, pour sa part, l'idée d'un coup d'état à l'esprit dès le début - lui fit entendre un enregistrement audio d'une conférence de presse de Sihanouk à Paris, conférence de presse où il menaçait d'exécuter les deux comploteurs dès son retour à Phnom Penh[6]. Cet enregistrement aurait été réalisé par le prince Sisowath Essaro et envoyé à Phnom Penh. Toutefois, le Premier ministre restait indécis. Finalement Sirik Matak, accompagné de trois officiers de l'armée, contraint Lon Nol à signer les documents nécessaires sous la menace des armes.

L'assemblée nationale vota le 18 mars, sous la direction de In Tam, la destitution de Sihanouk : Lon Nol assumerait temporairement les fonctions de chef de l'État. Les 28 et 29 mars, des manifestations populaires de grande ampleur en faveur de Sihanouk eurent lieu dans plusieurs villes de province, mais les forces de Lon Nol les réprimèrent avec une extrême brutalité, causant plusieurs centaines de morts[7]. Un certain nombre de représentants du gouvernement ont été assassinés par des manifestants, y compris Lon Nil, le frère de Lon Nol.

Les régimes étrangers (sud-vietnamien, nord-vietnamien, et américain notamment) ont d'abord été dans l'incertitude quant à l'aide à accorder au nouveau gouvernement. Les Vietnamiens du Nord ont poursuivi des pourparlers avec Lon Nol dans le but de rétablir l'accord commercial annulé, mais les événements ultérieurs y mirent rapidement fin.

Histoire politique de la république Khmère

Dès sa constitution, la République khmère fut confrontée à de considérables problèmes internes et principalement à une guerre civile, impliquant le gouvernement contre le mouvement pro-Sihanouk, les insurgés communistes et les Vietnamiens du Nord. L'hégémonie politique de Sihanouk durant les années 1950 et 1960 n'avait pas permis l'émergence de groupes politiques cambodgiens expérimentés. Presque dès sa constitution, la république Khmère fut en proie aux mêmes luttes intestines qui marquèrent le régime de Sihanouk. La plus dommageable fut celle que se livrèrent Lon Nol et Sirik Matak eux-mêmes. Sirik Matak exerça les fonctions de premier ministre temporaire durant la première année de la République, lorsque Lon Nol fut hospitalisé pour de graves problèmes de santé. Durant cette période, les jeunes citadins cambodgiens développèrent une frustration grandissante principalement liée à la corruption continue et l'inefficacité du régime en place, mais aussi à cause de ses appointances royales, et de ses défaillances administratives[8].

Le retour de Lon Nol de l'hôpital de Hawaï en avril 1971 provoqua une profonde crise gouvernementale. En démissionnant de son poste, il provoqua la dissolution du gouvernement en place. En cela, Lon Nol fut probablement encouragé par son frère Lon Non (personnage à l'influence considérable, notamment auprès des militaires de la république Khmère). Après beaucoup de chamailleries politiques, un nouveau cabinet se forma. Sirik Matak conserva finalement ses fonction de premier ministre avec le titre de « Premier ministre-délégué ». Le 16 octobre 1971, Lon Nol prit des mesures pour retirer à l'Assemblée nationale son pouvoir législatif, et lui ordonna de rédiger une nouvelle constitution, affirmant que ces actions étaient nécessaires pour empêcher l'anarchie. Cela provoqua les protestations d'In Tam et de 400 moines bouddhistes[9].

1972 : éviction de Sirik Matak

En mars 1972, Lon Nol et son frère réussirent à chasser Sirik Matak du pouvoir. Ils profitèrent du fait que Sirik Matak avait limogé Keo An, un universitaire dissident, pour organiser une série de manifestations d'étudiants qui demandèrent sa démission[10]. Sirik Matak démissionna, et fut (prétendument pour sa « protection ») placé en résidence surveillée[11]. Lon Nol utilisa aussi cette crise politique pour évincer le chef de l'État, Cheng Heng, dont il occupa les fonctions. Il nomma le vétéran anti-Sihanouk nationaliste Son Ngoc Thanh, Premier ministre[12]. Thanh, chef des Khmers Serei (ou « Khmers libres », mouvement armé anti-communiste et anti-monarchiste fondé par Son Ngoc Thanh), avait recruté des renforts parmi les Khmers Krom du sud du Vietnam. Il s'agissait de troupes entrainées par l'armée américaine, qui comparativement aux autres pouvaient passer pour des troupes d'élite. En cela le soutien des États-Unis envers le fragile gouvernement de la République restait essentiel[13].

Plus tard dans l'année, le président Lon Nol annonça qu'il organiserait des élections présidentielles. Il fut alors surpris d'apprendre qu'In Tam et Keo An - un Sihanoukiste affiché - allaient faire campagne contre lui, mais surtout qu'ils refuseraient de se retirer[14]. Les élections, en dépit d'une victoire inévitable de Lon Nol, ont révélé un mécontentement considérable de la population vis-à-vis des actions du gouvernement en place. Il est admis que ces élections furent truquées en faveur de Lon Nol, et que si elles avaient été justes, In Tam les aurait probablement emportées[14]. L'affaire fit dire à In Tam que les Américains ne pouvaient plus désormais que « mariner dans du jus de Lon Nol »[13].

La situation politique a continué à se dégrader tout au long de l'année 1972 : les deux partis d'opposition (le Parti démocratique d'In Tam et le Parti républicain de Sirik Matak) refusèrent de participer aux élections législatives, qui eurent lieu le 3 septembre. Il s'ensuivit une victoire écrasante du parti socio-républicain de Lon Non (Sangkum Sathéaranak Rath). Il y eut un nombre croissant d'attaques terroristes dans la capitale, dont l'une dirigée contre Son Ngoc Thanh[15]. Thanh - dont le dernier acte politique a été d'interdire les journaux de Sirik Matak - a ensuite été contraint de démissionner et de s'exiler au Sud Vietnam. Il fut remplacé par Hang Thun Hak, représentant d'une gauche modérée[16]. Alors que le gouvernement de la République khmère était affaibli par des luttes internes, les forces nord-vietnamiennes ont progressivement et volontairement réduit leur présence au sein des frontières du Cambodge, laissant essentiellement des moyens logistiques et du personnel de soutien. Leur place a été prise par les forces communistes cambodgiennes de la CPNLAF, qui s'étaient considérablement développées lorsque Sihanouk donna son appui à l'insurrection, les Cambodgiens ruraux restant majoritairement pro-Sihanouk.

1973 : Cessez-le-feu et suspension de l'assemblée nationale

Les Accords de paix de Paris, signés au début de l'année 1973, semblent offrir un répit temporaire dans cette guerre civile ; Lon Nol déclara alors un cessez-le-feu unilatéral, malgré la position délicate des forces FANK sur le terrain. Il y eut en fait quelques contacts entre certains des éléments les plus modérés des communistes Khmers rouges - notamment Hou Yuon - et la République Khmère. Les Nord-Vietnamiens faisaient en effet pression sur les communistes cambodgiens pour accepter les termes des accords de paix, leur intérêt étant plutôt dans le maintien d'une guerre active mais limitée (qui gênait les troupes sud-vietnamiennes) que dans une victoire totale pour les Khmers rouges. Les dirigeants des Khmers rouges, cependant, restèrent intransigeants.

Les combats reprirent dans la nuit du 7 février 1973, lorsque les forces communistes attaquèrent le périmètre FANK autour de la ville assiégée de Kompong Thom[17]. En avril, le régime de la République connut une période de confusion généralisée. Des troupes FANK refusaient le combat et pillaient leur propre capitale, alors même que le CPNLAF progressait dans de nombreuses régions du pays. Face à cette situation, les États-Unis menacèrent de couper toute aide à la république khmère si Lon Nol ne parvenait pas à obtenir le soutien du gouvernement et du peuple en réduisant l'influence de son frère Lon Non[18]. Plus précisément, les américains exigeaient que soit rétabli dans ses fonctions leur allié nationaliste Sirik Matak. En conséquence, le 24 avril, Lon Nol annonça que l'Assemblée nationale serait suspendue par décret, et qu'un Conseil politique formé de lui-même, Sirik Matak, Cheng Heng et In Tam gouvernait. Des bombardements américains stoppèrent alors l'avance des troupes communistes du CPNLAF sur Phnom Penh. Celles-ci subirent des pertes effroyables, et certains historiens estiment que la brutalité extrême dont les cadres Khmers rouges firent preuve par la suite, peuvent s'expliquer, en partie, par l'expérience traumatisante vécue lors de ces bombardements[19].

1974 : La chute d'Oudong

Au début de 1974, le Conseil politique avait été mis de côté, et Lon Nol fut, une fois de plus, seul au pouvoir. Durant cette période la situation militaire se détériora encore. Les forces communistes débutèrent un pilonnage à distance de Phnom Penh et s'emparèrent de l'ancienne capitale royale d'Oudong (Odongk) dès le mois de mars. A Oudong ils « évacuèrent » la population de la ville - exécutant les représentants du gouvernement et les enseignants prisonniers - et détruisirent ou brûlèrent l'essentiel des bâtiments. Au cours de l'année 1974 il y eut néanmoins une brève amélioration pour la république, notamment lorsque les FANK reprirent Oudong, et purent obtenir des itinéraires d'approvisionnement par le lac Tonlé Sap.

Fin de la république khmère

Malgré cela, la République khmère n'a pas survécu à l'offensive de la saison sèche de 1975. Les forces communistes avaient alors complétement encerclé la capitale, saturée d'une population de réfugiés fuyant les combats. Lon Nol, très superstitieux, ordonna que du sable consacrée soit dispersé par des hélicoptères autour de la capitale afin de la protéger. Bien que l'armée FANK combattît avec une ténacité extrême, alors que les soldats khmers rouges étaient atteints de paludisme, d'un moral exécrable et de pertes bien plus importantes qu'elles, de nouvelles livraisons d'armes et de munitions en provenance de Chine leur donnèrent l'impulsion nécessaire pour prendre les avant-postes de la république khmère[20]. Les négociations de paix proposées à maintes reprises par Lon Nol restèrent au point mort. Sihanouk refusait de traiter avec lui, demandant sa destitution comme condition préalable. Le plan proposé par l'ambassadeur français en Chine, Étienne Manac'h, selon lequel Sihanouk devait revenir au Cambodge en tant que chef d'un gouvernement d'union nationale (ce qui aurait été susceptible de conduire à la défection immédiate d'une proportion importante des paysans-soldats enrôlés par les Khmers rouges), n'a pas pu se réaliser.

Le 1er avril 1975, Lon Nol a démissionné et s'est exilé hors du pays : L'armée FANK s'est alors presque immédiatement dissoute. Plusieurs politiciens au nombre desquels on compte Sirik Matak, Long Boret et Lon Non restèrent dans la capitale pour tenter de négocier un cessez-le feu. Les Khmers rouges prirent la capitale le 17 avril ; en quelques jours, ils exécutèrent de nombreux représentants de l'ancien régime et la République khmère prit fin. Durant sa brève existence, massivement soutenue par les États-Unis, elle avait reçu presque un million de dollars d'aide militaire et économique par jour[21].

Le dernier domaine détenu par la République était le temple de Preah Vihear dans les monts Dangrek, que les forces FANK occupaient encore à la fin du mois d'avril 1975. Ce temple fut finalement pris par les Khmers rouges le 22 mai 1975.

Notes et références

  1. Milton Osborne, Sihanouk, Prince of Light, Prince of Darkness. Silkworm 1994
  2. Norodom Sihanouk, My War with the CIA, Pantheon, 1972, p.37
  3. Kiernan, B. How Pol Pot came to power, Yale UP, 2004, p.300
  4. Shawcross, W. Sideshow: Kissinger, Nixon, and the Destruction of Cambodia, New York: Washington Square Books, 1981, p.118
  5. Sutsakhan, Lt. Gen. S. The Khmer Republic at War and the Final Collapse Washington DC: U.S. Army Center of Military History, 1987, p. 42.
  6. Marlay, R. and Neher, C. Patriots and tyrants, Rowman & Littlefield, 1999, p.165
  7. Kiernan, p.302
  8. Leifer, M. Selected Works on Southeast Asia, Institute of Southeast Asian Studies, p.418
  9. Sorpong Peou, Intervention and Change in Cambodia, 2000, p.52
  10. Kiernan, p.347
  11. Kamm, H. Cambodia: report from a stricken land, Arcade, 1998, pp.110-112
  12. Kiernan, p.347
  13. a et b Kahin, G. Southeast Asia: a testament, Routledge, 2003, p.310
  14. a et b Clymer, K. J. The United States and Cambodia, 1969-2000, Routledge, 2004, p.55
  15. Clymer, p.65
  16. Kiernan, p.348
  17. Clymer, p.65
  18. Clymer, p.71
  19. Shawcross, p.293
  20. Shawcross, p.367
  21. Kiernan, p.413

Bibliographie


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article République khmère de Wikipédia en français (auteurs)

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