Patronages de l'Algérie française

Patronages de l'Algérie française
Patronages de l’Algérie française
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FGSPF[A 1] bulletin hebdomadaire « Les Jeunes » nº 455 du 29 juin 1930 : le 14 juin 1930, les patronages algériens reçoivent les associations métropolitaines de la Fédération gymnastique et sportive des patronages de France pour célébrer le centenaire du débarquement de Sidi-Ferruch[1]. Photographie : A. Bienvenu

Sport représenté Tir et préparation militaire (jusqu’en 1963), gymnastique, athlétisme, football, basket-ball, volley-ball, balle au camp, natation, canotage, cyclotourisme, courses d’ânes, courses de méhara[N 1] ... séances récréatives, colonies et de camps de vacances, chant choral.
Création 1913
Affiliation Fédération gymnastique et sportive des patronages de France (FGSPF) et Rayon sportif féminin (RSF) jusqu'en 1947 — Fédération sportive de France (FSF) depuis 1947, jusqu’à l’Indépendance. Fédérations délégataires.
Clubs Union régionale oranaise, Union régionale d’Alger ... Rayon Sportif féminin algérien ... Société sportive saharienne (SSS)

Les patronages de l’Algérie française, souvent réservés aux jeunes gens européens[2], sont des patronages paroissiaux, apparus dans les grandes villes du nord de l’Algérie, au début du XXe siècle[3]. Avant la Première Guerre mondiale, certains patronages se joignent à la Fédération gymnastique et sportive des patronages de France. Les organisations féminines suivent et s’affilient rapidement au Rayon sportif féminin[4]. La diffusion du sport dans le Sud, sous l’égide parfois antérieure des Pères blancs, concerne davantage les populations autochtones[2].

Sommaire

Les patronages masculins

Les premiers patronages sportifs apparaissent à Alger, en 1913[5], à l'initiative des salésiens et des timoniens : le patronage Sainte-Croix, qui se consacre déjà à la jeunesse ouvrière, le patronage Saint-Joseph d’Hussein Dey et l’Avenir d’El Biar. Aussitôt affiliés à la Fédération gymnastique et sportive des patronages de France[A 1], ils concernent surtout la jeunesse européenne. Comme en métropole ils visent la formation morale et la préparation militaire[6] et se structurent en unions régionales où religieux et laïcs, dont des femmes, se partagent les responsabilités[N 2]. L’union oranaise est créée la première, dès novembre 1913, par l’abbé Koëger[7].

Le développement des associations se poursuit après-guerre : en 1924, l’Union régionale de la province d’Alger recense six associations[5], puis neuf en 1928. La métropole suit et soutient cette croissance avec intérêt et, à l’appel de Mgr Auguste-Fernand Leynaud [8], archevêque d’Alger[8], 70 associations venues des Bouches-du-Rhône, d’Alsace, de la Seine, du Rhône, des Landes, du Maine et Loire… passent la Méditerranée avec 3000 gymnastes et 500 musiciens pour participer, le 14  juin 1930[N 3], à un grand concours fédéral pour célébrer le centenaire de l’Algérie française[9].

Trois bateaux spéciaux partent de Marseille : le Lamoricière, le duc d’Aumale, l’Espagne. À bord du second se trouvent François Hébrard, Armand Thibaudeau et le représentant officiel du sous-secrétaire d’État à l’Éducation physique. La Ganda de Gand complète les effectifs, rejoints sur place par sept sociétés d'Alger, une de Tunis et les Spartiates d'Oran[10]. Les compétitions consacrent l’Avant-Garde de Saint-Denis et Robert Herold.

Elles sont suivies de réception chez le gouverneur général, Pierre-Louis Bordes, puis du dépôt de deux gerbes au monument aux morts : une par la FGSPF[A 1], l’autre par l’Alsace catholique reconnaissante qui a déplacé 11 associations suivie de près par la Lorraine avec 8. S'ensuit un déplacement à Sidi-Ferruch, où Mgr Leynaud pose la première pierre de l’église de cette localité : deux trains spéciaux et dix-huit autocars assurent le transfert[11]. Les bateaux sont de retour à Marseille le mercredi 18 après visites d'Alger et des gorges de la Chiffa et Tipaza[10].

En 1931, Alger dénombre une association supplémentaire et, en 1932, les Spartiates d’Eckmülh[N 4] sont créés par le père Bailly, au sein du patronage Don Bosco[N 5] fondé, dès janvier 1893, par les Salésiens. Cette association devient vite le plus grand club de basket d’Algérie, fournissant des joueurs à l’équipe de France[13]. En 1936, ses équipes remportent tous les titres d’Oranie et l’équipe première est championne d’Algérie[14].

Après-guerre, champions d’Afrique du Nord 1948-1949, les Spartiates battent l’équipe de France militaire par un écart de 22 points, puis Villeurbanne, champion de France 1949 ; le 11 juin 1949, ils sont sacrés champions de l’Union française. Grâce à eux, Oran devient la capitale du basket nord-africain. Après l’Indépendance, cette association de basket et de gymnastique poursuit ses activités[15].

Certains patronages algériens font preuve d’anticipation. Dès 1931, la Saint-Philippe d’Alger, fondée en 1922[16], où l’on pratique sport, gymnastique et préparation militaire, accepte les féminines, qui peuvent également être membres du bureau[13]. Cependant, tous les adhérents doivent être majeurs, français et jouir de leurs droits civils et politiques[N 6].

L’Olympique du Petit Séminaire (OPS) est la dernière association sportive catholique créée en Algérie, sous l’insurrection[17]. Tous ses responsables appartiennent à l’élite sociale et un seul est membre du clergé. Outre l’enseignement de la gymnastique, du tir et la préparation militaire, elle vise la pratique des sports, du chant choral, l’organisation de séances récréatives, de colonies et de camps de vacances. Les statuts précisent que les étrangers n’y sont pas admis[18].

À l’indépendance, les statuts en sont modifiés le 27 janvier 1963. La préparation militaire disparaît et l’association devient l’Olympique de Saint-Eugène (OSE), moins marquée religieusement. Mais les membres restent français et l’association disparaît en 1967[13]. Entre temps, le 1er juillet 1962, lors du championnat fédéral FSF [A 2] de gymnastique et musique à Troyes, un jeune gymnaste, représentant des Unions d’Algérie, vient remettre le drapeau des patros algériens à maître Gilbert Olivier, président de la Fédération sportive de France[A 2].

Le sport féminin

Une peinture d’Édouard Moreau, représentant une femme soldat de l’armée française, auprès d’un soldat de l’infanterie, en Algérie, en 1845.
Une chorale féminine de patronage, en Algérie, à Mascara. Il s’agit, en l’occurrence, d’une cérémonie de réception des jeunes cadettes de l’école des sœurs trinitaires, ordre religieux catholique, fondé en 1194, à Cerfroid, par les Français saint Jean de Matha et saint Félix de Valois. Cette photo date du 8 décembre 1961.

Après la Grande Guerre, ce sont les religieuses qui sont à l’origine de la création d’associations sportives féminines en Algérie[13]. Les Libellules de la Redoute, à Birmandreis, apparaissent dès 1926[13]. Mais les associations connaissent surtout une extension à la veille de la Seconde Guerre. Citons, en 1938, à Oran, les Mouettes Oranaises et, l’année suivante, à Alger, les Hirondelles de Notre Dame d’Afrique, les Mouettes, les Mimosas du champ de manœuvre, les Marguerites de Mustapha, les Capucines de Belcourt, les Glycines de Mustapha, les Coquelicots de Mustapha, le Rayon Sportif féminin[A 3] algérien, les Bleuets d’Alger, les Boutons d’Or de Kouba, les Bruyères d’Hussein Dey et les Cyclamens de Bab El Oued[4].

Toutes sont affiliées au Rayon sportif féminin[A 3] fondé, en 1919, par les filles de la Charité[4], dont les comités régionaux d’outre-mer sont apparus en 1937[4], à l’initiative de Marie-Thérèse Eyquem. Les sports pratiqués sont, outre la gymnastique : le basket-ball, le volley-ball, la balle au camp, la natation, le canotage, le cyclotourisme, etc[4]. Dans chaque diocèse, l’aumônier assure la formation spirituelle des monitrices qui reste l’apanage du clergé et des directeurs des œuvres. Le Rayon sportif féminin[A 3] insiste sur l’obligation, pour les dirigeantes et les monitrices, d’être catholiques pratiquantes : il ne s’agit pas de les faire entrer à l’église, mais de mettre l’église dans leur vie[19].

Comme pour les masculins, les unions régionales du RSF[A 3] organisent de grands concours, placés sous l’autorité des plus hautes personnalités de la colonie, avec prière à Jeanne d’Arc et lever des couleurs[20]. Elles assurent des sessions diocésaines de formation de cadres[N 7], fournissant ainsi des monitrices pour l’enseignement de l’éducation physique dans les écoles libres et l’encadrement des patronages paroissiaux[21]. Elles bénéficient, à ce titre, de l’appui et du contrôle des cadres métropolitains. C’est à l’occasion d’une de ces missions à Alger qu’Eugénie Duisit, secrétaire générale-adjointe de la FGSPF[A 1] chargée de la zone libre, rejoint la France Libre à l’automne 1942[22].

Les musulmanes, qui pratiquent dans les patros féminins ou mixtes, restent rares, mais leur présence s’intensifie avec la guerre de libération nationale. Signalons Nini Derdéche de Philippeville, vice-championne de France toutes catégories de cross country en 1956[20] et, la même année, Lila Khelif d’Alger, championne d’Algérie junior du 800 m, du lancer du poids et du javelot[20]. Les patronages féminins, trop longtemps réservés aux Européennes, disparaissent cependant souvent avec l’Indépendance[23]

Les territoires du sud

Méhariste[N 8], sur son mehari[N 1], vers 1887 : une huile sur toile d’Étienne Dinet (1861–1929).

Si, dès 1902, le nord est constitué en trois départements français d’Algérie (Alger, Oran et Constantine), le sud algérien reste divisé en quatre territoires, sous administration militaire : Ghardaïa, Aïn Sefra, Touggourt et les Oasis jusqu’au statut du 20 septembre 1947, qui les assimile aux départements[24]. Jusque là, la Légion étrangère, les bataillons d’Afrique et les compagnies méharistes sahariennes y introduisent les activités sportives en faisant construire, par les indigènes, des courts de tennis qui s’ajoutent à ceux à des grands hôtels[25]. Mais la diffusion du sport auprès de la population locale par leur intermédiaire reste restreinte[26] et celle-ci relève surtout d’une autre institution[27], dont les liens avec l’autorité militaire restent cependant le plus souvent très étroits et complémentaires[5].

L’ordre des Pères blancs — nom officiel : Missionnaires d’Afrique — fondé en 1868, à Maison-Carrée (actuelle El Harrach, Algérie), par le Mgr cardinal Charles Lavigerie (1825–1892), archevêque d’Alger[N 9].

Le cardinal Charles Martial Lavigerie, professeur d’histoire ecclésiastique à la Sorbonne de 1854 à 1856, puis évêque de Nancy en 1863, est nommé évêque d’Alger en 1867[N 5]. Sa gestion remarquable de l’épidémie de choléra qui y sévit alors lui vaut une grande popularité auprès de la population musulmane[28]. Nommé par Pie IX, primat d’Afrique et délégué apostolique du Sahara[26] et du Soudan en 1884, il fonde, à cette fin, la Société missionnaire des Pères blancs, missionnée vers les tribus du M’Zab pour y soigner les malades, évangéliser et scolariser les enfants[29]. La création d’associations sportives, à côté des dispensaires et des écoles, facilite les contacts quotidiens avec les jeunes et, dès 1884, les Pères blancs jouent déjà un rôle dans la diffusion du sport auprès des populations locales de Kabylie[29], puis du Sud.

Les religieux, associés aux autorités militaires, organisent très tôt des courses de méhara[N 1]. Mgr Lavigerie institue, dès 1890, la grande course annuelle Touggourt-Biskra[32], totalisant 220 kilomètres et dotée d’un premier prix de 1000 francs[2]. En 1934, le succès constant entraîne une réglementation officielle des paris qui accompagnent l’évènement : le règlement du pari mutuel concernant les courses de chevaux du 31 mars 1898 et ses modifications applicables en Algérie seront, en ce qu’ils ne sont pas contraires aux présentes dispositions, applicables aux courses d’ânes et de méhara[33],[N 1].

Comme dans les villes du Nord, le sport traditionnel connaît aussi un développement institutionnel important entre les deux guerres. En 1928, l’Union sportive et de préparation militaire de Laghouat[34] se propose de réaliser l’union des éléments français, israélites et arabes de la localité. Sur les douze membres du conseil d’administration, quatre sont musulmans. Après 1941, la préparation militaire étant supprimée, elle devient l’Union sportive de Laghouat[A 4],[35] (USL).

La Société sportive saharienne[A 5] (SSS) paraît au JO du 15 novembre 1938. Son président est le révérend Lethielleux[précision nécessaire], supérieur des Pères blancs. Elle compte deux équipes de basket, deux de football et quarante postulants en pupilles[35].

L’enjeu n’est cependant pas toujours évident. À Geryville, on pratique l’athlétisme, le football et le basket à la Vie au Grand air[36]. Sur les onze membres du bureau, trois sont musulmans. Mais la coexistence est laborieuse et deux autres associations apparaissent en 1939 : l’Union sportive geryvilloise, présidée par l’agha Si Larbi Ben Eddine, chef de la zaouïa des Oualed Sidi Cheikh, chevalier de la Légion d’honneur et l’Étoile du Sud, sous la houlette des Pères blancs. La législation du régime de Vichy entraîne leur dissolution le 1er mars 1941 et une association unique est reformée : le Stade gérivyllois, dont le supérieur de la mission des Pères blancs reste vice-président[37].

Grâce aux Pères blancs et aux militaires, le sport implanté — surtout pour les Européens dans les villes du nord — concerne aussi les sahraouis du sud[2]. La population sédentarisée accède à la pratique sportive surtout à travers le football, les nomades bédouins restant attachés aux activités physiques traditionnelles bien prises en compte et organisées par les autorités.

Bibliographie

  • Youssef Fatès, « Algérie coloniale : les patronages et le sport », dans Sport et loisirs dans les colonies, Le Publieur, octobre 2004 (ISBN 978-2350610009), p. 203-218 .
  • Youssef Fatès, Sport et politique en Algérie, Paris, L’Harmattan, février 2009 (ISBN 978-2-296-07865-9) .
  • Robert Hervet (préf. François Hébrard), La FSF de 1898 à 1948, Paris, 1948, 173 p. (OCLC 66302325) .
  • Jean-Marie Jouaret, « Souvenir d’Alger », dans Les Jeunes, FSCF[A 6] « 2529 », novembre 2011, p. 32 

Notes et références

Acronymes

  1. a, b, c, d et e FGSPF : Fédération gymnastique et sportive des patronages de France
  2. a et b FSF : Fédération sportive de France, ancienne appellation de la Fédération sportive et culturelle de France
  3. a, b, c et d RSF : Rayon sportif féminin
  4. USL : Union sportive de Laghouat
  5. SSS : Société sportive saharienne
  6. FSCF : Fédération sportive et culturelle de France

Notes

Méhara[N 1], photographiés par Auguste Maure, à Biskra[32], en 1880.
  1. a, b, c, d, e et f Méhara : ce mot arabe[30] est — à l’origine — un nom masculin singulier qui, en Afrique du Nord, se réfère aux dromadaires. L’acception moderne lui confère, subsidiairement, un autre singulier, méhari[31], dont le pluriel est finalement devenu méhara[30] ou, optionnellement, méharis[31]. Il s’agit d’un dromadaire de monte, utilisé par les méharistes[N 8], pour les méharées. Les dromadaires méhara sont plus grands et plus fins que les dromadaires de bât. Le dromadaire méhari est l’animal noble par excellence. Il est de robe blanche, svelte, longiligne et d’allure altière. C’est un animal de selle, adapté aux razzias et à la course. Son berceau d’origine est l’Algérie.
  2. En 1946, présidée par le chanoine Fabre avec l’abbé Jean, curé de Lourmel comme secrétaire général, l’Union régionale d’Oran a, pour vice-président, M. Perisson, alors que M. Fonclair en est le trésorier général. La même année, l’Union régionale d’Alger est présidée par M. Eugène Simon.
  3. Le 14  juin 1930 correspond à la date anniversaire du centenaire du débarquement français à Sidi Ferruch.
  4. Eckmülh est un quartier d’Oran[12].
  5. a et b J’ai grandi au milieu des clochers, « Point de vue », par Abdelkader Djemaï[N 10]. Le Monde, 17 décembre 2004, 17:22. Mise à jour : 17 décembre 2004, 17:38. Consulté le 9 septembre 2011.
  6. Rappelons toutefois que la loi de 1901 renvoie alors au statut peu enviable d’association étrangère toute association dont un seul administrateur est étranger.
  7. Premier stage de monitrices du diocèse d’Oran, le 14 septembre 1942, sous la direction de Mlle Daumas.
  8. a et b Un méhariste est une personne qui monte un dromadaire ou un méhari[N 1], lors d’une méharée. En philatélie, le terme méhariste se rapporte aussi à une série de timbres-poste du Soudan — sous contrôle anglo-égyptien — initialement émise en 1898.
  9. Cette peinture à l’huile est exposée en l’église Sainte-Agnès en AgoneItalie, Rome — dont Mgr Charles Lavigerie était titulaire. Le nom du peintre ainsi que la date de réalisation de ce tableau sont pour l’heure inconnus. Tout renseignement complémentaire à cet égard serait bienvenu.
  10. Abdelkader Djemaï est écrivain, auteur d’une quinzaine de romans et de récits, dont : « Camus à Oran » (éditions Michalon), « Pain », « Adour et fantaisie » (éditions Le Castor astral), « Gare du Nord » et « Un moment d’oubli » (éditions Le Seuil).

Références

  1. Jouaret 2011, p. 32
  2. a, b, c et d Fatès 2004, p. 209
  3. Fatès 2004, p. 203
  4. a, b, c, d et e Fatès 2004, p. 213
  5. a, b et c Fatès 2004, p. 210
  6. Fatès 2004, p. 209-2010
  7. Fatès 2004, p. 211-212
  8. a et b (en) C†H, « Archbishop Auguste-Fernand Leynaud (1865–1953) », The Hierarchy of the Catholic Church: Current and historical information about its bishops and dioceses sur catholic-hierarchy.org. Consulté le 4 novembre 2011
  9. Hervet 1948, p. 80 et 144
  10. a et b Jean-Marie Jouaret in Les Jeunes N°2539
  11. Fédération gymnastique et sportive des patronages de France (FGSPF), « À ceux qui reviennent d’Alger », dans Les Jeunes, no 455, 29 juin 1930, p. 401-409 
  12. Oran, jadis : le quartier d’Eckmülh, tarambana, 15 février 2011.
  13. a, b, c, d et e Fatès 2004, p. 211
  14. Fédération gymnastique et sportive des patronages de France (FGSPF) [précision nécessaire] Les Jeunes, numéro 770, 14 mars 1937 p.[précision nécessaire]
  15. Fatès 2009, p. 47
  16. Déclaration sous le n° 921 le 24 avril 1922, parution au Journal officiel n° 124 du 7 mai 1922.
  17. Créée le 8 juillet 1959, avec parution au J.O. n° 167 du 22 juillet 1959.
  18. Fatès 2004, p. 52
  19. Fédération gymnastique et sportive des patronages de France (FGSPF), « [précision nécessaire] », dans Les Jeunes, no 3, 15 janvier 1939, p. [précision nécessaire] 
  20. a, b et c Fatès 2004, p. 214
  21. Fatès 2004, p. 214
  22. Fatès 2004, p. 214-217
  23. Fatès 2004, p. 215
  24. Fatès 2004, p. 203-204
  25. Fatès 2004, p. 205
  26. a et b Fatès 2004, p. 206
  27. Fatès 2004, p. 206-207
  28. Fatès 2004, p. 216
  29. a et b Fatès 2004, p. 207
  30. a et b Définition de méhara, en français, cf. Reverso : « Dictionnaire français des définitions et des synonymes ».
  31. a et b Méhari, au singulier ; méharis, au pluriel, cf. Reverso : « Dictionnaire français des définitions et des synonymes ».
  32. a et b (ar) Biskra — en langue arabe : بسكرة
  33. Circulaire 7262, émanant du du gouverneur général Jules Carde et promulguée en date du 30 juin 1934.
  34. Créée le 23 juin et agréée le 8 mars 1929 sous le no 13202.
  35. a et b Fatès 2004, p. 208
  36. Déclarée le 6 décembre 1936.
  37. Fatès 2004, p. 207-208

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