Classe préparatoire aux grandes écoles en France

Classe préparatoire aux grandes écoles en France

Les classes préparatoires aux grandes écoles (désignées par l'acronyme CPGE) sont en France des filières d'enseignement supérieur hébergées généralement dans les lycées. Communément appelées classes prépas ou prépas et pour la plupart publiques, elles sélectionnent sur dossier et recommandations après le baccalauréat et préparent en 2 ou 3 ans[1],[D 1] les étudiants aux concours d'admission à certaines écoles supérieures, en particulier aux grandes écoles et à certaines écoles supérieures de commerce. Quelque 81 100 étudiants étaient inscrits en classes préparatoires aux grandes écoles durant l'année universitaire 2009-2010[2].

Le Ministère de l'éducation nationale a défini par le décret du 23 novembre 1994, trois catégories de classes préparatoires aux grandes écoles : littéraires, scientifiques, ainsi qu'économiques et commerciales.

Il existe aussi des classes préparatoires aux écoles supérieures d'art et aux conservatoires supérieurs de musique et de danse ou d'art dramatique dont le concours d'entrée est souvent très sélectif. Elles relèvent du Ministère de la culture.

Sommaire

Historique

Vue de la façade de Louis-le-Grand
Le lycée Louis-le-Grand, où sont nées les premières classes préparatoires littéraires.

Les classes préparatoires apparaissent dès le XVIIIe siècle[3]. Initialement, elles sont exclusivement scientifiques. Il faut attendre le XXe siècle pour voir apparaître les classes préparatoires littéraires, puis enfin les classes préparatoires économiques.

L'apparition des premières classes préparatoires s'explique par la mise en place des premiers concours, destinés au recrutement dans les armes nécessitant des connaissances scientifiques (l'artillerie, par exemple), le critère de quartiers de noblesse étant nécessaire mais insuffisant pour sélectionner les candidats destinés à être officiers des armes savantes. Le premier concours est instauré par Vauban en 1692 (admission dans le Génie). C'est dans le but de préparer les candidats à ces concours militaires que les premières institutions, en grande majorité privées, font leur apparition.

Après la Révolution française, les carrières d'officiers supérieurs ne sont plus réservées aux membres de la noblesse. L'ambition de la République d'ouvrir tous les postes à tous les citoyens avec pour seul critère de sélection leurs capacités et leurs talents, trouve son aboutissement dans la création de l'École centrale des travaux publics, future École polytechnique, qui devait être le socle de base de tous les autres enseignements supérieurs techniques (Architecture, etc.). Les anciennes institutions de préparation aux concours de l'Ancien Régime ne survivent pas à la Révolution. En 1802, Napoléon Bonaparte crée les lycées, dotés chacun d'une « classe de mathématiques transcendantes ». En 1809, la 6e année de lycée devient la classe de « mathématiques spéciales ». En 1814 c'est la classe terminale de philosophie qui contient l'enseignement des mathématiques, puis apparait en 1821 une deuxième année de philosophie qui contient des enseignements plus poussés de mathématiques qui s'intitulent à nouveau « mathématiques spéciales » en 1840. Le baccalauréat ès lettres étant passé au terme de la première année de philosophie, celui-ci, et encore moins le baccalauréat ès sciences d'un niveau plus élevé, n'étant pas obligatoire pour l'admission au concours des écoles spéciales, les élèves suivent donc les cours de mathématiques spéciales essentiellement pour préparer le concours d'entrée à l'École polytechnique en négligeant les études classiques.

C'est en 1852 qu'est créée officiellement une classe de mathématiques spéciales postérieure au cursus secondaire, et dans seulement quinze lycées, dédiée à la préparation des concours d'entrée à l'École polytechnique et à la section des sciences de l'École normale. Le programme de cette classe devient en même temps le programme officiel de ces concours et le baccalauréat ès-sciences devient un pré-requis pour l'admission. La classe de logique (terminale) prépare également au concours d'entrée à l'école militaire, l'école forestière et l'école navale. À cette époque, la proportion d'élèves d'une classe d'âge titulaire du baccalauréat ès-sciences et susceptible de subvenir à ses besoins pour suivre les classes préparatoires aux concours était infime. La démocratisation de l'enseignement en France dans la seconde moitié du XXe siècle a permis l'augmentation des effectifs des classes préparatoires aux grandes écoles.

Les prémices des classes préparatoires littéraires se font à la fin du XIXe siècle afin de préparer les élèves au concours de l'École Normale Supérieure. Dans un premier temps, la préparation de ces concours s'est faite dans les classes de rhétorique des lycées, après le baccalauréat de philosophie. En 1880, quelques lycées ouvrent des classes de rhétorique supérieure préparant exclusivement au concours de l'École Normale Supérieure. La plupart de ces classes sont des subdivisions de la classe de rhétorique du lycée et sont rarement autonomes. Dès le début du XXe les lycées parisiens Louis-le-Grand et Henri-IV remplacent leur classe de rhétorique supérieure par l'année d'« hypokhâgne » et de « khâgne ». Dès lors, les classes préparatoires littéraires jouissent d'une grande réputation mais ne commencent à peser d'un point de vue numérique qu'à partir des années 1960[4].

Les CPGE de nos jours

Vue de la porte du lycée Henri-IV
Le lycée Henri-IV, à l'origine de la répartition du cursus en deux ans.

Situation générale

Les concours ont beaucoup évolué, ne serait-ce que parce que le nombre d'écoles d'ingénieurs ou de commerce a considérablement augmenté.

En 2006, on comptait plus de 180 écoles à caractère scientifique. Les Écoles supérieures de commerce sont elles au nombre de 56.

L'enseignement a lieu dans les lycées et les enseignants sont essentiellement des professeurs agrégés et des professeurs de chaire supérieure[D 2]. Les études s'inscrivent dans le système européen d'enseignement supérieur et les deux années de prépa sont équivalentes à 120 crédits compatibles ECTS[D 3].

Quelque 38 000 étudiants entrent en classe préparatoire par an, 28 000 sont admis dans une école, 2 000 rejoignent une école post-bac, 7 200 rejoignent l'université dont 5 600 en licence et 1 600 en DUT (IUT). L'origine socioprofessionnelle des étudiants de classe préparatoire est assez marquée. Alors que 31 % des étudiants en université ont des parents cadres supérieurs ou exerçant une profession libérale, (43 % pour les étudiants dans les filières de santé), ce taux s'élève à 51 % pour les étudiants en classe préparatoire. 24 % des étudiants d'université ont des parents ouvriers ou employés (13 % dans les filières de santé), alors qu'ils sont 15 % en CPGE[5]. Le taux d'étudiants boursiers en CPGE oscille entre 20 et 25 %.

Durant l'année scolaire 2009-2010, 81 135 étudiants étaient inscrits en classes préparatoires. Parmi eux, 49 909 (61 %) étaient dans des classes scientifiques, 19 447 (24 %) en classes économiques et commerciales et 11 779 (15 %) en classes littéraires. Environ 43 % des étudiants en classes préparatoires sont des filles, dont 30,5 % en filière scientifique, 55 % en économique et commerciale et 74 % en littéraire. Enfin, environ 16 % de ces étudiants étaient inscrits dans des établissement privés[6].

En 2006, le ministère de l'Éducation nationale a dépensé 14 250 euros par étudiant en classes préparatoires aux grandes écoles, la moyenne étant de 9 280 euros par étudiant du supérieur en France, et 10 655 pour les pays de l'OCDE[7]. Ces dépenses correspondent surtout à des dépenses de personnel. Les écarts résultent des différences de taux d'encadrement, celui-ci étant plus important en CPGE.

Si les concours des écoles les plus prestigieuses restent très sélectifs, peu de candidats des CPGE scientifiques et commerciales n'obtiennent pas de place à un concours au moins. En ce qui concerne les concours scientifiques en 2006, 18 552 candidats ont été classés sur 23 282. 17 460 ont été appelés, ce qui signifie qu'on leur a offert une place dans une école à l'issue du concours. 13 906 l'ont acceptée, les autres préférant le plus souvent refaire une année de prépa pour tenter d'obtenir une école leur convenant mieux ou poursuivre leurs études à l'université. Enfin, 1 433 places n'ont pas trouvé preneur[8].

D'autre part, la grande majorité des classes préparatoires sont publiques et la scolarité y est donc gratuite.

Préparation aux concours

Quelle que soit la filière, ces classes préparatoires, comme leur nom l'indique, préparent les étudiants au passage des concours d'entrée des grandes écoles de commerce, d'ingénieurs, écoles normales supérieures, écoles militaires, etc. (voir les articles détaillés)

Les élèves suivent donc un enseignement intensif et assez théorique (surtout en filière scientifique comparé à d'autres filières non-prépa). Outre les travaux dirigés (TD) et les devoirs à la maison (DM), ils se préparent à la partie écrite des concours grâce à des devoirs surveillés (DS) réguliers, qui peuvent être ou non extraits d'épreuves de concours. Les élèves se préparent également à la partie orale des concours, grâce à des interrogations orales (« colles » ou « khôlles » en argot scolaire) dont les examinateurs sont des « colleurs », qui sont majoritairement des professeurs de classes préparatoires ou de l'enseignement secondaire, et plus exceptionnellement des universitaires.

Critiques des CPGE

Tout en étant très réputées, il arrive que les CPGE soient la cible de trois critiques.

Il leur est d'abord reproché d'être un moyen de discrimination sociale dans la formation et la sélection des élites : il y avait par exemple deux fois moins d'enfants de classes populaires dans les grandes écoles en 2000 qu'en 1970. Il en est d'ailleurs de même dans tous les seconds cycles universitaires. De plus, si 5 % des élèves sont issus du milieu ouvrier et 51,9 % sont issus du milieu « professions libérales et cadres supérieurs »[9], on compte aujourd'hui 30 % de boursiers en classes préparatoires (rentrée 2011).

Les classes préparatoires sont accusées par certains de déstabiliser les élèves qui suivent leur enseignement[10]. D'autres disent que c'est un apprentissage de la vie professionnelle future et que le fort taux d'encadrement des CPGE garantit une réussite à tous les étudiants qui « jouent le jeu ».

Enfin, le coût pour l’État représenté par les élèves des classes préparatoires est 50 % plus élevé que celui des étudiants en université française, pour lesquels les investissements sont largement en-dessous de la moyenne de ceux des pays de l'OCDE[11].

Les filières

Il existe actuellement trois filières de classes préparatoires aux grandes écoles[D 4].

Les classes préparatoires scientifiques

shéma des parcours possibles pendant les deux années de prépa scientifique
Schéma exposant les différents parcours possibles en filière scientifique (filière technologique exceptée)

Cette filière scientifique se distingue en deux principaux pôles d'enseignement.

D'une part, celui nommé en argot scolaire « taupe ». Ce pôle d'enseignement a pour rôle de former les futurs ingénieurs, mathématiciens, physiciens et chimistes qui intégreront les écoles d'ingénieurs, les écoles normales supérieures. L'utilisation du terme « taupe » viendrait de l'animal car comme la taupe particulièrement myope, les élèves, les « taupins », ne sont pas censés voir souvent la lumière du jour. Une autre explication de l'origine du mot « taupe » est que bon nombre d'élèves espèrent intégrer une « école des mines ». Les filières du pôle « taupe » sont MP, PC, PSI, PT, TSI, TPC et ATS (les trois dernières étant parfois regroupées sous le nom de filière technologique).

D'autre part, celui nommé en argot scolaire « agro » ou « bio ». Ce pôle d'enseignement a pour rôle de former les futurs biologistes, vétérinaires et géologues qui intégreront respectivement les écoles d'ingénieurs, les écoles nationales vétérinaires ou les écoles de géologie comme celle de Nancy. Les filières du pôle « agro » sont BCPST et TB.

Les classes préparatoires littéraires

Elles ont pour caractéristique commune les appellations des années d'études :

  • Hypokhâgne ou Lettres supérieures pour la première année ;
  • Khâgne ou Première supérieure pour la deuxième année.

Il existe deux filières, dont la première se divise en deux sous-genres.

  • D'une part, une filière purement littéraire, appelée « Lettres ». Cette filière prépare aux Écoles normales supérieures, écoles supérieures de commerce et de gestion, Instituts d'études politiques, et à l'École nationale des chartes, aux écoles de traduction et d'interprétariat (comme l'ISIT ou l'ESIT) entre autres.
    La première année se nomme officiellement « Lettres Supérieures » (hypokhâgne A/L en argot scolaire), elle est indifférenciée et donne accès aux deux types de khâgne (A/L Ulm ou LSH) ; la seconde année « Première supérieure » (khâgne en argot scolaire). En outre, une distinction peut être faite entre les Première supérieure ENS Ulm ou khâgnes A/L ou Ulm (dites « classiques ») et les Premières Supérieures ENS de Lyon ou khâgnes Lyon ou LSH (dites « modernes ») :
    • les khâgnes « A/L », préparant au concours A/L de l'École normale supérieure, rue d'Ulm à Paris, disposent d'un enseignement de langue ancienne (latin ou grec ancien),
    • les khâgnes « LSH », préparant au concours de l'ENS de Lyon, disposent, de leur côté, d'un enseignement de géographie.
  • D'autre part, la filière « Lettres et Sciences Sociales », dite « B/L ». La première année se nomme hypokhâgne B/L ou Lettres Supérieures ; la deuxième année se nomme khâgne B/L ou Première Supérieure. Cette filière littéraire propose en plus un enseignement en mathématiques et en sciences économiques et sociales. Néanmoins, les mêmes matières littéraires y sont enseignées (philosophie, lettres, histoire, géographie, deux langues vivantes) à l'exception des langues anciennes (latin ou grec). Les élèves de la filière B/L peuvent prétendre à la réussite de concours de l'École normale supérieure de la rue d'Ulm, ainsi que des ENS de Lyon et de Cachan. En outre, les concours de l'ENSAE et de l'ENSAI leur sont également accessibles.

Les classes préparatoires économiques et commerciales

De création beaucoup plus récentes, la CPGE économique et commerciale — appelée « prépa ECS (écoles de commerce, option scientifique) ou ECE (écoles de commerce, option économique) » ou « épice » en argot scolaire (parce qu'elle était censée former des « épiciers », terme péjoratif pour désigner des vendeurs) — prépare aux concours des Écoles supérieures de management, de commerce et de gestion (ESSEC, HEC, ESCP Europe, EDHEC, EM Lyon, Audencia, EM Normandie etc.). Elle se décline en voie scientifique (anciennement « voie générale »), voie économique et voie technologique. Il n'existe pas de préparation spécifique pour les littéraires, mais les concours des écoles leur sont ouverts au travers des épreuves qu'ils passent dans leur propre filière.

Voici quelques précisions sur les quatre voies en prépa économique et commerciale[12] :

  • la voie scientifique, majoritaire, destinée aux élèves issus de baccalauréats scientifiques, dont la dénomination officielle est ECS.
  • la voie économique, destinée aux élèves issus principalement de baccalauréats économiques, dont la dénomination officielle est ECE.
  • la voie technologique, destinée aux élèves issus des baccalauréats technologiques, dont la dénomination officielle est ECT.
  • la voie ENS Cachan, avec les CPGE D1 -droit/éco- et D2 -éco/gestion-, destinée aux élèves issus de baccalauréats généraux.

Pour la voie scientifique, les matières enseignées et présentes aux épreuves écrites sont les mathématiques, l'histoire-géographie et la géopolitique du monde contemporain, la culture générale (au travers de la philosophie et du français), les langues vivantes (au nombre de deux, dont l'anglais) et le résumé de texte. L'économie est une option, et ne peut être passée aux concours. Dans la voie économique, l'analyse économique et historique des sociétés contemporaines (AEHSC) remplace l'histoire-géographie et la géopolitique. Dans la voie technologique, il s'agit d'une épreuve d'économie et de droit, d'une épreuve de management et gestion, d'une épreuve de culture générale (philosophie et culture générale), de mathématiques, de langue vivantes (au nombre de deux, avec anglais obligatoire).

Classement des classes préparatoires

Il n'existe pas de classement officiel des classes préparatoires. Certains journaux publient chaque année un classement fondé sur certaines statistiques, mais on reproche parfois à ces journaux de ne pas prendre en compte la totalité des données (omission de certaines écoles, par exemple) ou de pondérer les statistiques de manière à avantager une classe préparatoire plutôt qu'une autre.

Deux types de classements peuvent être publiés : des classements sur la base des résultats aux concours préparés par ces classes et des classements évaluant la sélectivité à l'entrée de ces classes. Sinon sur certains sites internet dédiés à l'étudiant des forums d'anciens élèves et des classements assurent un classement personnel des classes préparatoires présentes en France[13].

Homonymie

  • Lorsque les écoles de commerce ou les écoles d'ingénieurs ont des cursus de 5 ans, on parle de « classe préparatoire intégrée », bien que le taux d'encadrement ne puisse absolument pas être comparé au taux d'encadrement des vraies CPGE (presque absence de colles notamment dans beaucoup de cas).
  • Il existe aussi dans des lycées des classes de préparation au diplôme de comptabilité et de gestion.
  • La préparation aux concours des grandes écoles d'art publiques est assurée au sein d'un atelier préparatoire.

Notes et références

  1. Classes préparatoires aux grandes écoles, Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
  2. 6 Les étudiants media.education.gouv.fr
  3. Bruno Belhoste, Historique des classes préparatoires Lire en ligne , Colloque Démocratie, classes préparatoires et grandes écoles des 16 et 17 mai 2003 Lire en ligne
  4. Historique des classes préparatoires, CEFI
  5. cf.Origine socio-professionnelle des étudiants français dans les principales filières de l'enseignement supérieur en 2006-2007 dans « Repères et références statistiques - édition 2007 », p. 199.
  6. Les classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) sur le site du ministère de l'Éducation nationale. Consulté le 7 avril 2011.
  7. Site du ministère de l'Éducation nationale, Le coût d'une scolarité
  8. Statistiques 2010 sur le site du SCEI (Service de concours écoles d'ingénieurs). Consulté le 7 avril 2011.
  9. Le Dressage des élites. De la maternelle aux grandes écoles, un parcours pour initiés sur Magazine Sciences Humaines. Consulté le 7 avril 2011.
  10. Les élèves de prépa sont-ils à plaindre ? sur La Croix, le 16 février 2005. Consulté le 7 avril 2011.
  11. Coût de l’éducation en 2008, site du ministère de l'Éducation nationale. Consulté le 7 avril 2011.
  12. CPGE économiques et commerciales : les différentes voies, site du Ministère de l'Enseignement supérieur. Consulté le 7 avril 2011.
  13. Palmarès : le classement 2011 des prépas sur L'Étudiant. Consulté le 7 avril 2011.
  1. Article 3
  2. Article 5
  3. Article 8
  4. Article 2

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes



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