Boulevard Vivier-Merle

45° 45′ 29″ N 4° 51′ 31″ E / 45.75798, 4.858532

Vue du sud du boulevard Vivier Merle.

Le boulevard Marius Vivier Merle est une voie du 3^e arrondissement de Lyon, dans le quartier des affaires de la Part-Dieu. Il traverse intégralement l'arrondissement dans sa largeur et est globalement orienté nord-sud. Son parcours s'amorce par une légère courbe au sud ou il prolonge le boulevard des Tchécoslovaques avant de se poursuivre en ligne droite jusqu'au cours Lafayette où il se prolonge dans le 6^e arrondissement sous le nom de boulevard des Brotteaux. Il mesure environ 1 550 mètres de long. Il est principalement bordé de bâtiments à vocation tertiaire. Sa partie routière est enterrée à l'approche de l'esplanade bordée du centre commercial de la Part-Dieu et de la Gare de Lyon-Part-Dieu.

Étymologie

Il fait référence au résistant français Marius Vivier-Merle. Il est secrétaire de l'Union des Syndicats ouvriers dont la dernière réunion, le 1^er mai 1941 se tient non loin du boulevard qui porte aujourd'hui son nom, à la Bourse du Travail^[1].

Description des bâtiments

La numérotation commence par le nord : les numéros pairs sont situés sur le côté ouest et les numéros impairs sur le côté est. Le sens de circulation est principalement du sud vers le nord. Le boulevard est successivement bordé du nord au sud par :

• au 10-12 : la tour Oxygène, achevée en juin 2010 du côté pair.
• la tour Swiss Life, du côté impair.
• le centre commercial de la Part-Dieu, côté pair.
• la gare de Lyon-Part-Dieu et l'esplanade formée par la place Charles Béraudier, qui borde le boulevard
• Le bâtiment de France 3 Rhône Alpes Auvergne, côté pair, dont l'adresse officielle se trouve sur la rue des Cuirassiers.
• au 113 : Espace Hillel, centre culturel juif de Lyon^[2].
• au 114 : Immeuble Aprilium, siège de la compagnie d'assurances April Assurances, appartenant à l'April Group.

Notes et références

1. ↑ Collectif, Les Lieux secrets de la Résistance : Lyon, 1940-1944, éditions lyonnaises d'art et d'histoire, 2003, p. 22.
2. ↑ Site officiel de l'Espace Hillel