Arabe (cheval)

Arabe (cheval)
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Arabe / Pur-sang arabe (PSar)
Étalon pur sang arabe "La mirage"
Mirage, étalon pur sang arabe.

Espèce Cheval (Equus caballus)
Région d’origine
Région Moyen-orient
Caractéristiques
Taille 1,40 m à 1,60 m en moyenne au garrot[1].
Poids 300 à 400 kg maximum[1]
Robe Majoritairement grise, toutes sont admises sauf le pie, la robe noire est très rare.
Tête Courte et carrée au profil concave (= tête camuse, en forme d'hippocampe), très belle, profil noble.
Caractère Familier, obéissant, particulièrement intelligent, affectueux, et maniable. Caractère noble, affirmé, et fort influx nerveux.
Autre
Utilisation Endurance, Randonnée équestre, TREC, Shows (concours de modèles et allures).

Le Pur-sang arabe (lignée pure élevée principalement par les bédouins) et le cheval arabe (le plus présent, n'étant pas forcément pur) sont des races chevalines de selle originaires du moyen-orient. Avec sa tête très typée et son port de queue relevé, le cheval arabe fait partie des races les plus facilement identifiables et il est souvent cité comme le plus beau cheval au monde. C'est aussi l'une des races les plus anciennes qui soient, des fouilles archéologiques ayant prouvé que des chevaux caspiens, très proches physiquement de l'arabe, vivaient déjà il y a 4500 ans en Mésopotamie. Au cours de l'histoire, les chevaux arabes ont quitté leur moyen-orient natal pour gagner d'autres régions à l'occasion de guerres ou d'échanges commerciaux. Ils furent utilisés en croisement pour apporter de la vitesse, de l'endurance, de l'élégance et des os solides aux autres races de chevaux. Aujourd'hui, on trouve des chevaux arabes dans la plupart des élevages modernes de chevaux de selle.

Le cheval arabe vivait traditionnellement sous un rude climat désertique et fut largement apprécié par les peuples nomades bédouins qui allaient jusqu'à partager la tente de leur famille avec lui. Cette relation étroite a forgé une race de bonne nature, intelligente et toujours prête à apprendre, qui a également développé une grande endurance et une résistante exceptionnelle à l'effort prolongé du fait de son utilisation à la guerre.

Le cheval arabe est réputé pour être l'une des meilleures montures en compétitions d'endurance, mais il peut être monté dans tout type de compétition équestre. Ces chevaux sont aujourd'hui répandus dans de très nombreux pays à travers le monde et ce sur les cinq continents, Afrique, Asie, Amériques, Europe et Océanie.

Sommaire

Mythes et légendes

Les chevaux arabes sont au centre de plusieurs légendes concernant leurs origines et celle des étalons et des juments fondateurs.

Création

Une vieille légende arabe mentionne comment Allah créa le cheval : «  Lorsque Dieu a voulu créer les chevaux, il a dit au vent du Sud : je vais créer de toi une créature en qui je placerai la puissance de mes amis, l’avilissement de mes ennemis, le rempart des gens qui m’obéissent.
- Crée ! » dit le vent.
Allah prit alors de ce vent une poignée et créa un cheval auquel il dit :
« Je te nomme et te crée Arabe,
Je lie le bien aux crins de ton toupet ;
Le butin sera pris grâce à ton dos.
La puissance est avec toi où que tu sois.
Je te préfère à toutes bêtes de somme, dont je te fais le Seigneur.
Je te rends sympathique à ton maître.
Je te fais capable de voler sans ailes, ;
Tu es destiné à la poursuite et à la fuite.
J’imposerai à ton dos des hommes qui me glorifieront,
Et proclameront ma grandeur et mon unité.
Et lorsqu’ils me glorifieront tu me glorifieras aussi ;
Et lorsqu’ils proclameront ma grandeur, tu la proclameras aussi ;
Et lorsqu’ils attesteront mon unité, tu l’attesteras aussi. »
[réf. nécessaire]

Al Khamsa

L'un de ces mythes raconte comment le prophète de l'Islam, Mahomet, choisit les jument fondatrices de la race sur leur courage, leur résistance et leur loyauté. Il existe plusieurs variantes mais l'une des plus communes raconte qu'après un long et pénible voyage à travers le désert, Mahomet dirigea sa harde de chevaux assoiffés vers une oasis. Tous les animaux se mirent alors à galoper en désordre vers le point d'eau et Mahomet leur donna l'ordre de revenir vers lui. Seules cinq juments répondirent à son appel. Pour les récompenser de leur loyauté et d'avoir répondu malgré leur soif, il fit de ces juments ses favorites et les nomma Al Khamsa , ce qui signifie, les cinq. Ces juments devinrent les cinq fondatrices des cinq premières lignées du cheval pur-sang arabe[2],[3] Bien que Al Khamsa soient probablement des chevaux mythiques sans existence réelle[4], certains éleveurs de pur-sang arabes affirment que les montures modernes des bédouins descendent de ces juments[5].

Safanad

Une autre légende raconte que le roi Salomon possédait une jument pur-sang arabe nommés Safanad (« la pure »), cadeau des Reines de Saba[4]. Selon Ben Hodeïl dans « La parure des cavaliers et l'insigne des preux » (1365), Salomon aurait donné son célèbre étalon Zâd-er-Râkib (« la provision du cavalier ») aux gens de Banu Azd lorsqu'ils vinrent payer leur tribut. Cet étalon légendaire est dit plus rapide que le zèbre et la gazelle, chaque expédition de chasse avec lui était couronnée de succès et les peuples arabes en firent un étalon fondateur de légende[4],[6].

Origines, la vie dans le désert

Pur-sang arabe du haras Kabyuks près de Choumen. Créé par les Turcs pour les besoins de l'armée, ce haras élevait 1300 chevaux par an.

Les origines du pur-sang arabe sont mal connues et sujettes à bien des débats. Une chose est sûre : cette race est très ancienne, d'origine orientale et forgée par la rude vie en zones désertiques ou semi-désertiques.On le surnomme le roi du désert.

À partir du travail de sélection de la dynastie perse des Sassanides, les arabo-musulmans créèrent une race équine qui étonna énormément les premiers croisés par son agilité. Il faut préciser que les chevaux des croisés étaient sélectionnés pour leur robustesse et leur aptitude à porter de lourdes charges, à l'exacte inverse des pur sang arabes, choisis pour leur endurance, leur sobriété et leur vivacité.

Ses caractéristiques ainsi que son homogénéité étaient déjà bien établies vers la fin du 1er millénaire, sous la dynastie abasside des califes de Bagdad. Mille ans de vie nomade en milieu hostile rendirent le cheval arabe endurant et sobre. Puis la vie aux côtés des bédouins l'a amené à parcourir de longues distances en peu de temps. Il y a gagné la vitesse et la robustesse.

Dans le désert, les dunes peuvent se succéder à perte de vue, sous une chaleur torride suivie d'une nuit glaciale. Le désert est aussi constitué de plateaux caillouteux et de montagnes aux sommets enneigés. Ce milieu est aussi hostile que varié et le manque d’eau reste la plus grande préoccupation pour les hommes et leurs montures. Aussi, les chevaux qui y vivent doivent se contenter de peu : quelques touffes d’herbes, quelques dattes, et les maigres pâturages trouvés au gré des chemins. Lorsqu'ils vivent avec les hommes, cette nourriture peut être complétée avec du lait de chamelle, et les nomades donnaient parfois de la viande séchée à leur monture car cela les aidait à recouvrer leur force.

Dans sa région d'origine, le pur-sang arabe était souvent élevé par les femmes et les enfants lorsqu’il était poulain. À l’âge adulte, il vivait près de la tente de son maître, restant souvent sellé et entravé. Cette promiscuité le rendit très proche de l’homme du désert.

Contrairement à une opinion répandue, les guerriers du désert montaient souvent les juments, plus calmes et moins fougueuses que les entiers, trop prompts à donner l’alerte en hennissant.

Améliorateur de races

Le pur sang arabe est souvent dit « père de toutes les races » et « améliorateur de races ». Le sang vif de ce glorieux ancêtre coule dans les veines de presque toutes les races de chevaux légers modernes. Les premiers pur-sangs arabes arrivèrent en France au VIIIe siècle lors de la bataille de Poitiers. Au XIIe et XIIIe siècles, l'ordre du Temple prévoyait d'équiper son maître et ses hauts dignitaires de quatre chevaux dont un turkoman, autrement dit un pur-sang arabe. Quelques siècles plus tard, Napoléon Bonaparte œuvra pour promouvoir la race en lui permettant de se reproduire en race pure. Jusqu'alors, il n'était utilisé qu'en croisement.

Parmi les haras célèbres, il faut citer Janow Podlaski (Pologne), Tersky Stud (Russie), Om el Arab (Allemagne) et Crabbet Park (Angleterre). Dans ce dernier vécut le « cheval du siècle », Skowronek,(origine arabe sujette à caution...) dont la lignée a produit plus de 1000 champions en 15 ans. À noter enfin que les États-Unis possèdent à eux seuls près de 90% des chevaux de cette race.

Pur Sang

Article détaillé : Pur Sang.

Au XVIIe siècle, quelques étalons furent importés et croisés avec des juments autochtones de Grande-Bretagne. Les produits de ces croisements ont donné les pur-sangs anglais, nommés ensuite Pur Sang. Trois étalons présumés arabes sont particulièrement présents dans la race pur-sang anglais :

Les chevaux akhal-tékés réputés pour leur vitesse, rentreraient vraisemblablement aussi en compte dans le développement de la race pur sang anglais[réf. nécessaire].

Croisements

L'arabe est utilisé en croisement avec d'autres races pour en créer de nouvelles. Citons l'un des plus connu, l'anglo-arabe et ses nombreuses variantes comme l'anglo-Arabe Sarde, issu du croisement d'arabes et de pur-sang anglais. L'arabe-barbe est un autre croisement très répandu. L'ara-appaloosa est, comme son nom l'indique, issu du croisement avec un appaloosa, le quarab avec un quarter horse (croisement qui forme parfois de l'hyperactivité chez le cheval), l'arabo-lusitanien avec un lusitanien et l'arabo frison avec un frison. L'arabo-boulonnais est une tentative de relancement de l'élevage des chevaux boulonnais. Les timbaliers de la Garde Républicaine montent des arabo-boulonnais, chevaux gris solides capables de supporter les 25 kg de timbales. Il existe aussi des arabo haflingers, aralusian issus du croisement avec un pure race espagnole et aratel avec l'ardennais.

Demi-sang arabe (DSA)

Sont inscriptibles au registre du demi-sang arabe tous les produits non inscriptibles à la naissance à un stud-book géré en France ou au registre du Demi-sang Anglo Arabe (DSAA), présentant au moins 50% de sang arabe, et issus d'un ascendant direct inscrit au stud-book français du cheval Arabe ou au registre du demi-sang arabe, et d'un parent inscrit à un stud-book de chevaux de sang, de trait ou poney, ou à un registre ou Origine Constatée ou Origine Non Constatée. L'appartenance au registre demi-sang arabe est matérialisée par l'abréviation DSA. Avant 2006, les DSA étaient classés comme Chevaux de Selle (CS). A partir de 2006, ils sont inscrits au SIRE comme DSA.

Caractéristiques

Il est faux de parler de standard dans le pur sang arabe. Il existe une très grande variété de types de purs sangs arabes élevés par les bédouins ("la grande famille des purs sangs arabes selon Louis Damoiseau"). Ne pas confondre avec les pseudos arabes d'apparat élevés pour figurer dans les haras de hauts dignitaires égyptiens ou turcs et qui ont immanquablement marqué les esprits au point d'en faire un standard (voire à ce sujet la mission d'achat de l'inspecteur des haras Rieu de Madron)

Étalon arabe Straight Egyptian "Zarife El Mansour"

Ces chevaux sont rapides, maniables, courageux et résistants. Le pur-sang arabe a une peau très fine et se montre à l’occasion un peu chatouilleux ; pour le pansage, une étrille en caoutchouc est préférable au métal et le bouchon doit être passé en douceur sur les points sensibles : hanches, ventre.

Ses allures sont étendues et rasantes. Il se déplace en légèreté, dévoilant son mouvement caractéristique, souvent comparé à une danseuse, et dégage inévitablement un joyeux charisme. Il se distingue par un poil soyeux et la finesse de ses attaches, une encolure arquée, une tête particulièrement expressive et un profil concave.

  • Sa poitrine est profonde et ouverte, son dos plutôt court et large, parfois légèrement concave bien que la toute ligne du dessus se veuille droite, sa croupe est haute et généralement horizontale.
  • L’attache de la queue, haute, et avec un port relevé, sont caractéristiques de la race.
  • La tête du pur-sang arabe est sèche : l’ossature est nettement marquée, les veines se devinent sous la peau. Le front large est surmonté de deux oreilles bien écartées et joliment dessinées. Son chanfrein court, souvent concave, s'achève par un nez fin aux naseaux très ouverts. Les yeux sont grands et écartés, très expressifs. Le front large et plat.
  • Ses membres sont fins et solides, avec des jarrets longs et droits, larges et souples. Les articulations sont sèches. Les jambes puissantes. Tendons secs et durs. Paturons courts.

Le pur-sang arabe a la particularité d'avoir 17 côtes alors que les autres chevaux en ont 18 et 5 vertèbres lombaires au lieu de 6 ainsi que 16 vertèbre coccygiennes au lieu de 18. Ces soi-disantes particularités sont purs affabulations et ne constituent en aucun cas un critère de différenciation!... Ces trois points montrent bien que les pur-sang arabes ont gardés leur pureté primitive[7].

Lignées

Il existe differentes lignées, et types de chevaux arabes et de pur sang arabes :

  • Les lignées maternelles (les Strains) :
    • Koheilan : très masculins et puissants, idéalement en contraste direct avec le Saqlawi, extrême masculinité.
    • Saqlawi : Grâce féminine et grande élégance, représentation de la beauté et du raffinement extrême, endurance équivalente à celle des autres lignées, plus légers, paraissent plus maigres, arrière-main moins forte que dans les autres lignées, tendance à être un peu sous eux, chevaux de show naturels, bons sur les champs de course, courageux et dévoués, fiers mais feront tout pour un maître gentil et doux.
    • Dahman : réputée pour être issue des chevaux du Roi Salomon, "dahman" signifie "noir" ou "foncé", originellement une famille de la lignée Saqlawi, mélange idéal des deux types Saqlawi et Kuhaylan, à l'origine élevée par la famille Al Khalifa du Bahrein depuis la fin du 18e sciècle, cette lignée est encore élevée sur l'île, Mohammed Ali, Abbas Pasha et Ali Pasha Sherif y obtinrent des animaux de choix, ce sont de ces animaux que descendent nos Duhaym actuels.
    • Abbeyan : La lignée Abbeyah est reconnue pour être issue de la lignée Saklawiyah, dont elle serait un extrême. Les Bédouins ayant eu même souvent tendance à la nommer encore Saklawiyah Abeyyan au début du siècle.
    • Hadban : une famille du Kohailan, aujourd'hui plus Saqlawi en type, intéressante du point de vue de l'élevage : reconnue comme une lignée à mélanger. Les étalons Hadban sont connus pour reproduire à l'identique la jument qu'ils saillissent en sublimant leur conformation et leur look général - quelques uns des meilleurs chevaux égyptiens sont issus d'étalons Hadbans, comme Nazeer, Ibn Rabdan, Hadban Enzahi, etc.
    • Mouniqi : type course, grand et osseux.
  • Types modernes :
    • Russe : excellente réussite en show.
    • France : pour les croisements et les courses.
    • Pologne : sportif.
    • Angleterre : proche du Koheilan.
    • Espagne : avec un corps plus rond et une tête de type Saqlawi.
    • Égypte : tête extrêmement expressive mais moins performant en ce qui concerne le corps, la taille et les allures.

Galerie

Spécialités

  • Dans le monde des sports équestres, sa discipline de prédilection est l'endurance où il représente plus des trois-quarts des inscriptions.
  • Il est également très recherché pour ces aptitudes en équitation de loisir et de Trec.
  • Il n'est pas rare de voir un cheval arabe dans des épreuves de saut d’obstacles, mais pas à haut niveau.
  • Enfin, il peut concourir à petit niveau en dressage et attelage
  • Il existe un concours de modèle et allures exclusivement réservé aux pur-sang arabes, le show. Ces concours privilégient souvent la beauté du cheval et ses allures naturelles.

Purs sangs arabes célèbres

  • Persik, étalon performant en endurance.
  • Black, l'étalon noir de la série de romans de Walter Farley qui sont destinés àla jeunesse.
  • Da Valentino, étalon performer dans le show
  • Skowronek, contesté quand à ses origines pures! qualifié de « cheval du siècle »[Quand ?] né en 1909 au haras d'Antoniny du comte Potocki, en Pologne. Son père Ibrahim avait été importé du désert en 1907. Sa mère Yaskolka était l'une des meilleures juments du haras d'Antoniny. Dès sa naissance, il se fit remarquer pour sa beauté et son tempérament joueur d'où son nom « Skowronek » qui signifie « farceur ».Lady Wentworth, la fille de Lady Blunt, fondatrice du Crabbett Park, élevage prestigieux de pur sang arabes, l'acheta et ce fut le départ d'une carrière de compétitions. Il remporta de nombreux championnats[Lesquels ?]. Skowronek fut aussi un reproducteur. Rares sont les haras dont les chevaux actuels peuvent se prévaloir d'avoir Skowronek dans leur ascendance comme par exemple Qkehjalay ibn Jahcyr.

Notes et références

  1. a et b Sevestre et Rosier 1983, p. 119
  2. (en)Al Khamsa, « Al Khamsa The Five », Al Khamsa, Inc.. Consulté le 29 mai 2008
  3. (en)Archer, Arabian Horse, p. 92-93
  4. a, b et c (en)Upton, Arabians
  5. (en)Schofler, Flight Without Wings, pp. 3-4
  6. (en)Chamberlin, Horse, pp. 166-167
  7. (fr)"Les plus beaux chevaux du monde" de Gérard Klein, page 44, édition Michel Laffont

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • (fr) Le Pur-Sang Arabe - Histoire, Mystère Et Magie Par Peter Upton et Hosseïn Amirsadeghi, Publié par Actes Sud, 2006 (ISBN 9782742764396)
  • (fr) Le cheval arabe Par Philippe Barbié de Préaudeau, Publié par Les Éditions du Jaguar, 2002 (ISBN 9782869503588)
  • René Julian Chatelain, Mémoire sur les chevaux arabes : projet tendant à augumenter et à améliorer les chevaux en France..., Librairie de Madame Huzard, 1816, 158 p. [lire en ligne (page consultée le 30 juillet 2009)] 
  • Wich, Judith Jewels of the Desert - The Magic of Egyptian Arabians, Orienta Publications 2008 ISBN 978-3-9811137-0-9.
  • La parure des cavaliers et l'insigne des preux écrit en 1365 par Ali Ben Abderrahman Ben Hodeïl el Andalusy pour le sultan Mohamed V, traduction française : Louis Mercier, Librairie Paul Geuthner, 1924. Rare ouvrage sur l'origine du pur sang arabe.
  • Jacques Sevestre et Nicole Agathe Rosier, Le Cheval, Larousse, 1983, 388 p. (ISBN 978-2-03-517118-0), p. 119-120  Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Liens externes


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