Agence Continentale

Agence Continentale

L'Agence de presse Continentale, appelée longtemps aussi "Agence Wolff", a été fondée à Berlin en 1849 par Bernhard Wolff (1811–1879), un journaliste allemand revenu au pays, qui avait travaillé peu avant en France après avoir fui l'Allemagne juste après la Révolution de 1848. Parmi les quatre grandes Agence de presse mondiale et généraliste au XIXe siècle, elle est l'ancêtre de la Deutsche Presse-Agentur (DPA).

Sommaire

Le XIXe siècle

Les débuts

Bernhard Wolff était propriétaire du quotidien National Zeitung, qu'il avait créé après avoir travaillé pour le Vossische Zeitung. Il fonde une nouvelle entreprise sous le nom d’Agence Wolff, en partant de la première, après un court séjour à Paris en 1848 chez Charles-Louis Havas, fondateur de l'Agence Havas. Le 28 novembre 1849, la National Zeitung annonce qu'elle publiera des informations à destination des autres journaux, à Paris, Londres, Francfort etAmsterdam[1].

L'Agence Continentale fut la première à viser directement des clients médias, milieu dont elle était issue, puis à utiliser le télégraphe électrique pour la collecte de ses informations. Ancien employé d'Havas, tout comme Paul Julius Reuter Bernhard Wolff était le cousin de l'ingénieur Werber Siemens (1816-1892). En tant que membre de la "triarchie" des agences de presse, qui se partagent le monde en 1856 avec Reuters et l'Agence Havas, il disposa assez rapidement alors d'une large zone d'influence en Europe[2] Pendant ses six premières années, jusqu'en 1855, Wolff ne transmit que les cours de la bourse et les nouvelles commerciales. Il y ajouta des nouvelles politiques en 1855.

Les réformes de 1865

En 1865, Reuters essaya de mettre la main sur certaines agences télégraphiques du continent, pour compléter son réseau. Le bureau fondé en 1851 par Paul Julius Reuter entra en Bourse, devenant la Reuter's Telegram Company, société à responsabilité limitée, avec des ambitions internationales.

Le chancelier allemand Bismarck décida de s'opposer à l'expansion de Reuters grâce à l'aide de son banquier Gerson von Bleichröder (1822-1893). Richard Wentzel, directeur de l'Agence Wollf, convainquit le roi de Prusse d'aider financièrement la société via un prêt de 300000 thalers[3] , dont 200000 thalers[3] à la nouvelle société par action créé en 1865, la "Continental Telegraphen Compagnie", dotée de différents privilèges, via des accords secrets, comme la priorité dans l’accès au télégraphe, un avantage que Reuters n’obtiendra que quatre ans plus tard lors du Telegraph Act de 1869.

Parallèlement, Wolff fait alliance avec la nouvelle Western Associated Press créé à Chicago, ce qui lui permet d'avoir plus de nouvelles américaines à meilleur prix que Reuters, qui reste liée à la New York Associated Press[3]. , dont 200000 thalers[3]

En mai 1889, un nouveau traité de coopération est signé entre l'Agence Havas, Reuters, la Continentale et le Corrbureau ou Telegraphen Korrespondenz Bureau, agence officieuse austro-hongroise[4]. La même année, l'Agence Continentale veut se démarquer pour le service d'Outre-Atlantique. Elle préfère s'entendre directement avec la Western Associated Press de Chicago plutôt que de partager avec l'Agence Havas et Reuters le coût du service que Reuters reçoit de New York.

Elle s'installe dans une aile du bâtiment berlinois de la poste centrale, ce qui lui permet un accès direct et rapide au fil télégraphique, même si une bonne partie des nouvelles sont ensuite redistribuées vers les clients finaux par un service postal classique ou par pneumatique[1]. Elle restera dans le bâtiment jusqu'en 1877, date à laquelle une modification des tarifs lui permet d'utiliser des petites sociétés pour compléter son réseau de collecte d'information.

Revers de la médaille, l'Agence Continentale devient alors la plus contrôlée et surveillée des agences mondiales d'information, via le gouvernement prussien. A cette occasion, elle se transforma en en société en commandite, puis devient une société par actions classique 9 ans plus tard, en 1874. En 1870, la Continentale a pour territoire l'Allemagne, la Scandinavie, Saint-Pétersbourg et Moscou, tandis que Reuters obtient les Pays-Bas. Associated Press se joint au cartel en 1875.

Les années 1870 et la concurrence d'Havas et Reuters

Le le 30 juin 1876, au début de la guerre de la Serbie et du Monténégro contre la Turquie, Reuters refuse d'envoyer un correspondant commun avec Havas, qui veut en savoir plus sur ce conflit. En octobre 1876, après l'ultimatum russe à la Turquie, Havas envoie ses propres reporters dans la zone de la la Continentale, mécontente que cette dernière ait sous-traité à une agence officieuse russe, appelée tantôt Agence générale russe, tantôt Agence internationale, qui n'assure pas un service satisfaisant.

Ces reporters débarquent à Saint-Pétersbourg en novembre, à Bucarest et Constantinople en décembre, puis à Roustchouk en avril 1877. Mission assurer un service régulier pour Havas en pleine zone de la Continentale. Reuters refusant de coopérer, Havas signe un contrat à Saint-Petersbourg avec l'agence russe officielle le 2 juin 1877. Puis c'est avec la Roumanie en juillet 1877 et avec la Bulgarie en 1879. Cette expansion à l'est, sous forme de contrats, suit l'effort d'investissement réalisé deux ans avant par Havas en Amérique du Sud. Jusqu'en 1879, Havas étend en particulier son domaine au Sud-Est de l'Europe, avec des correspondants à Belgrade, Bucarest, Sofia et Constantinople, tout en étant représentée à Athènes.

Cette expansion française s'effectue sur fond de progrès technologique, un mouvement qui a aussi l'inconvénient de faire peur aux gouvernements, attachés à contrôler quand c'est possible l'information. Graham Bell invente le téléphone en 1875, même s'il faudra attendre encore douze ans pour la première ligne téléphonique Paris-Bruxelles, mais dès octobre 1880, une dépêche télégraphique est transmise en trente-huit minutes de Melbourne à Londres. Au cours des entretiens entre Francesco Crispi et Bismarck en 1877, les deux dirigeants débattent du statut des agences de presse. Francesco Crispi désire faire de l'agence italienne un outil de sa politique, tandis que Bismarck reproche à la Continentale de ne pas être assez bismarckienne.

Les deux écueils de l'année 1887

Des trois grandes alliées européenne, l'Agence Continentale était jugée comme la moins entreprenante dans la recherche de territoires étrangers. Mais il lui faut s'adapter à la demande des clients, qui à la fin du siècle demandent de l'international. En février 1887, Reuters et la Continentale conclurent une alliance "offensive" qui prévoyait une action commune pour étendre leur couverture européenne des grandes capitales, afin de répondre la demande croissante d'informations internationales dans la plupart des pays, sur fond d'expansion coloniale[5].

Le succès de leur alliance de 1887 reposait sur l'opération commune des bureaux de Continentale et Reuters à Rome et Paris, puisque aucune des deux ne pouvait espérer la coopération d'Havas. L'agence s'est vue reprocher sa couverture de la très importante campagne électorale allemande de 1887, comme étant trop favorable au gouvernement de Bismarck. Des correspondants avaient été envoyés à Berlin par les deux quotidiens français à l'époque les plus tournés vers l'actualité internationale, Le Soleil et Le Temps. Selon l'Agence Havas, ils fournissent un service plus fiable que celui de l'Agence Continentale[6]. Ces élections, marquées par la protestation nationaliste après la poussée boulangiste en France, voient un net recul des partis dits "progressistes": représentés au Reichstag de 1884 par 61 députes, ils n'en comptaient plus que 31 en 1887. Les urnes ont donné ainsi une confortable majorité favorable au projet de loi militaire de Bismarck, ce qui préoccupe le général Boulanger.

Deux mois après les élections allemandes éclata l'Affaire Schnaebelé, incident diplomatique entre la France et l'Allemagne, du20 avril 1887, dont est victime Guillaume Schnæbelé, commissaire de police français d'origine alsacienne en fonction à Pagny-sur-Moselle en Meurthe-et-Moselle, en Lorraine française sur la frontière de l'époque. L'un des agents alsaciens-mosellans qui l'arrête du côté français de la frontière se révèle être un agent double travaillant pour Bismarck. Edouard Lebey, directeur de l'Agence Havas écrit alors au directeur de la Continental en prenant des précautions : "Depuis quinze jours que se discute l'affaire Schnaebelé, j'ai eu soin de ne vous adresser aucun reproche"[7]. Mais un peu plus loin, il se plaint de de n'avoir pratiquement rien reçu de la Continental pendant l'Affaire Schnaebelé[8], à part quelques résumés de journaux allemands. Cette crise va envenimer les relations entre deux agences de presse en principe alliées et affaiblir le cartel les unissant à l'agence de presse Reuters.

Le XXe siècle

L'expansionnisme des concurrentes américaines

En juillet 1909 est signé un nouvel accord décennal d'échange des nouvelles et de partage du monde, entre l'Agence Havas, Reuters et Continental, complété par un accord avec l'agence de Vienne, à une époque où cette dernière joue encore un rôle significatif. Le contrat renouvelle celui de 1898. Principal handicap, la Continental et la Telegraphen-Union sont alors privées des liaisons transocéaniques par câbles. De ce fait, à une période de forte croissance du marché et d'implantation en Europe des agences américaines Associated Press, United Press International et International News Service (INS), leur voix fut le plus souvent moins prise en compte à l'étranger que celles de Reuters et de l'Agence Havas. De plus, en novembre 1909, le directeur de l'Associated Press, Melville Stone renégocie avec les agences de presse européenne le traité de 1902 qui l'unit aux agences européennes, négociation reflétant cette nouvelle donne. En position moins forte qu'avant, la Continental va être tenté par un repli vers un positionnement encore moins indépendant et moins international, avant de changer de cap pour s'intéresser à l'Amérique du Sud.

En 1909, l'invention de la mention "Tractatus"

L'invention en 1909 de la "mention Tractatus" reflète ce positionnement moins indépendant. La Continental obtient le droit de communiquer directement des dépêches aux journaux étrangers, sans passer par l'agence partenaire couvrant le pays, à condition de ne pas dépasser 20% du volume de dépêches que cette agence partenaire diffuse à ses clients du pays. Cette agence partenaire n'a plus le droit de filtrer ou jeter à la poubelle cette dépêche, elle est obligée de la diffuser. Elle l'a fait précéder du mot conventionnel "Tractacus", ce qui signifie que l'agence expéditrice les envoie "dans un but exclusivement politique".

À partir de 1912, le nombre de dépêches à "mention Tractatus" reproduites, dans la presse sud-américaine notamment, inquiète les responsables de l'Agence Havas: les journaux de Buenos-Aires et Rio de Janeiro reçoivent de l'Agence continental des services gratuits ou quasiment gratuits, selon l'historien Michaël Palmer[9]. Cette pratique va bouleverser l'histoire des agences de presse en Amérique du Sud.

Signe de la mondialisation de l'information, la presse européenne s'attache "de plus en plus, aux nouvelles d'Amérique du Sud", "les allemands, dans l'installation en Amérique du Sud, s'affirment de jour en jour, dans le désir de conquêtes commerciales et politiques

Grâce à la construction de câbles par la société Gesellschaft Kabelgramm, les milieux politiques et diplomatiques allemands se sont imaginées de faire parvenir en Amérique latine, dans certaines circonstances, quelques nouvelles favorables à leurs intérêts", au frais de la Continental.

Havas comprend alors fort bien qu'avec la mention Tractatus, la propagande prend le dessus sur l'information, estime l'historien Michaël Palmer[9]. Mais cette propagande "dictait les prétentions de Wolff", et "devait avoir raison de notre résistance": "plutôt que de rompre (car la rupture était inévitable), nos apposames notre signature", écrit alors le directeur d'Havas à Elie Mercadier, le responsable du bureau de Londres de l'agence française.

Première guerre mondiale, les difficultés s'aggravent

"Une fois la guerre déclarée en 1914, Havas s'efforcera de reprendre le terrain perdu", note Michaël Palmer. Pendant la première guerre mondiale, la situation a commencé à se décanter encore plus clairement en défaveur de l'agence allemande. La Continental eut à partir de 1913 à supporter la concurrence de la Telegraphen Union allemande, du groupe Hugenberg, un homme d'affaires engagé à droite, qui contrôle un quart de la presse allemande au début de la guerre, directement ou indirectement. C'est l'époque où toutes les agences souffrent. L'histoire de l'Agence Reuters opère même un tournant, car son cours de Bourse s'effondre, entraînant le suicide du fils du fondateur et le rachat par Sir Roderick Jones.

Puis en 1914, à la veille de la Première guerre mondiale, fut créée la Transozean Gesellschaft, agence officielle, appelée aussi "Transocean". En 1918, conséquence de la défaite, l'Agence Continentale est quasiment déchue de son rang d'agence mondiale. L'Agence de presse Transocean prend le relais, s'installe en Chine dans les années 1820. Vers la fin des années 1830 commence à jouer un rôle important dans le pays au moment de l'occupation japonaise. En Argentine, elle opère directement des émissions radio à grande écoute et subventionne la presse locale[10]. Parallèlement, l'URSS crée en 1925 l'Agence Tass, dont le budget sera décuplé en cinq ans.

Les années 1930

L'Agence Continentale fusionna avec la Telegraphen-Union (TU) en 1934, devenant le Deutsches Nachrichten-Büro (DNB), d'inspiration national-socialiste. Cette nouvelle entité, dotée de moyens considérables pour l'époque, disposera du monopole de l'information en Allemagne sous le régime d'Hitler, qui l'a précédée. L'Agence de presse Transocean la complète et l'assiste, en particulier pour les émissions radio à destination de l'étranger. Elle étend son réseau à tout le continent sud-américain, relayé en Colombie et en Équateur par des services dépendant directement de l'ambassade allemande.

Après 1936, pendant la guerre civile espagnole et après la victoire du Général Franco, le "DNB", appelé souvent "Transocean" par ses clients, fournit une grande quantité d'informations internationales aux journaux espagnols, en les sélectionnant pour alimenter une idéologie national-socialiste. Plus généralement, les dépêches concernant la « question juive », quelle que soit la région du monde concerné, étaient signées, dans les grands quotidiens espagnols, par le sigle DNB. Ce fut le cas d'une série de six dépêches publiées dans le journal ’’ABC’’, le 20 janvier 1937. La "mobilisation antijuive" y était présentée comme une affaire planétaire[11].

Au cours de l'occupation allemande en France, la signature d'une convention entre Inter-France, créée en 1937 par Dominique Sordet et Michel Alerme, et l'Agence de presse Transocean prévoyait que la première diffuse auprès des journaux régionaux de zone occupée les dépêches de la seconde et lui transmette les informations régionales[12]. Parmi les journaux régionaux, 300 donnèrent leur adhésion, le plus souvent forcée. Après la seconde guerre mondiale, la toute nouvelle Deutsche Presse-Agentur (DPA) a succédé au DNB en 1949, avant de devenir une des agences européennes les plus dynamiques.

Chronologie des accords internationaux

Références

  1. a et b "News agencies from pigeon to internet", par K. M. Shrivastava, page 3
  2. « Un siècle de chasse aux nouvelles: de l'Agence d'information Havas », par Pierre Frédérix – 1959
  3. a, b, c et d "International news and the press: an annotated bibliography", par Ralph O. Nafziger, page XXV
  4. "Des petits journaux aux grandes agences", par Michael B. Palmer, page 164
  5. "Des petits journaux aux grandes agences", par Michael B. Palmer, page 217
  6. "Des petits journaux au grandes agences", par Michaël Palmer, page 124
  7. "Des petits journaux au grandes agences", par Michaël Palmer, page 125
  8. "Histoire générale de la presse française: De 1871 à 1940", par Claude Bellanger
  9. a et b "Des petits journaux au grandes agences", par Michaël Palmer, page 245
  10. "Les États-Unis et la neutralite de 1939 a 1941", par Pierre Monniot, 1946
  11. «L'organisation de la presse et de la propagande dans l'Espagne rebelle (1936-1939) », par Javier DOMÍNGUEZARRIBAS , Université Paris XIII – CRESC
  12. "L'argent nazi à la conquête de la presse française, 1940-1944", par Pierre-Marie Dioudonnat - 1981

Voir aussi


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