Abbaye du Val des Écoliers de Liège

Abbaye du Val des Écoliers de Liège
L'abbaye du Val des Écoliers de Notre-Dame de l'Isle à Liège[1] dans le quartier d'Outremeuse de la Cité de Liège, entre la Meuse et l'Ourthe: le bâtiment au centre droit devant l'église détruite abrite toujours la salle capitulaire,
Salle capitulaire du Couvent du Val des Écoliers, Liège, XIVe siècle

L'abbaye du Val des Écoliers de Notre-Dame de l'Isle à Liège, fondée au XIIIe siècle par les Écoliers du Christ, est située dans le quartier d'Outremeuse, entre la Meuse et l'Ourthe. L'ordre du Val-des-Écoliers y installa un prieuré dès le XIIIe siècle et une abbaye dès le XVIe siècle qui sera un des trois plus important de leurs prieurés. Le bâtiment principal abrite toujours l'antique salle capitulaire aux six voûtes à nervures en tuffeau, seul témoin de l'architecture gothique du XIVe siècle à Liège. L'abbaye deviendra à la Révolution une caserne et récemment une école supérieure d'art et d'architecture.

Sommaire

Origine

Selon Jean d'Outremeuse, Otton de Geneffe, dit dès Prés, doyen de Saint Paul, a fondé en 1220, sur la Gravioûle, une maison qu'il a ensuite donnée à des chanoines régulier du Val-Benoit que venait d'être chassé par les Cistertiennes[2]. Ces arrangements d'Otton des prés seront repris par Jean d'Eppes.

Du prieuré à l'abbaye

Philippe-le Bel, ses trois fils et les Écoliers invoquant Saint-Louis: Priez pour nous Saint-Louis, afin que nous soyons digne des promesses du Christ[3]

L'Ordre du Val-des-Écoliers

L'abbaye du Val des Écoliers de Liège est rattachée à l'ordre des Écoliers du Christ, fondé en 1201[4], par quatre maîtres en théologie de l'Université de Paris et est une filiale de l'abbaye fondée en 1212, sous la Règle de saint Augustin, dans le Val de Verbriesles dans le diocèse de Langres par les fondateurs de l'ordre[5], avec une trentaine d'étudiants, des « écoliers. » En 1219, le pape approuve la règle de l'ordre. Ce dernier se développe et possède jusqu'à 28 prieurés. L'ordre va essaimer en Belgique à Géronsart[note 1], Mons, Malines, Houffalize et à Liège. La construction du prieuré de Paris commence en 1229[6].

L'église de l'abbaye aurait été consacrée en 1228[7].

Filiation de Géronsart

Le prieuré de Géronsart, a l'écart de la ville actuelle de Jambes possède les cinq cures d'Erpent Mezeret, Wierde, Andois et Wez, toute situées dans son voisinage. Il relève de l'évèque de Liège, mais n'est qu'à huit kilomètre de la capitale du Comté de Namur. Les trois premières ont été rattachée avant l'arrivée des Ecoliers[8]. Le pape Alexandre IV leur en confirme la possession le 12 mars 1265. Les paroisse de Wez et Andoy sont unies aux XVe siècle à celles de Wierde et d'Erpent et par conséquent reviennent aux frères de Géronsart[9]. Le prieuré de Géronsart va attendre 10 ans avant d'avoir une filiale, Notre-Dame de l'Île à Liège[10].

Situation du monastère de l'Île-Notre-Dame

Un peu à l'écart de la Cité, dans l'île d'Outremeuse encore peu peuplée, dans l'enceinte de la cité du XIIIe siècle, reliée à la cité par le seul Pont des Arches, les Écoliers vont choisir un emplacement isolé. Cernée de trois côté par l'eau, par le Barbou, le bief de Gravioule et la Meuse, on n'avait accès à l'abbaye que par un portail au bout de la rue des Écoliers, dite rue Devant les Écoliers[note 2]. Un large biez, le Barbou, qui suivait à peu près l'emplacement actuel des boulevards de l'Est et de la Constitution et était relié à la Meuse par un autre bras transversal, le bief de la Gravioule[note 3],[11].

C'est à un endroit appelé graveria en Outremeuse[note 4] que se trouvait l'église érigée par Otton des Prés, dédiée à Notre-Dame. Les Écoliers prennent donc place en 1231 à Liège dans ce monastère déjà appelé l'Île-Notre-Dame[12]. Jean d'Eppes y avait d'abord installé un prieuré de chanoines réguliers en janvier 1231[13], mais quelques mois plus tard, l'évèque céda le prieuré au couvent de Géronsart[14], affilié depuis 1221 à l'Ordre du Val des Écoliers. L'institution pris alors le nom de Couvent du Val des Écoliers sous la bienveillance d'Otton, le doyen de Saint-Paul et de Jean de Nivelles, chanoine de Saint-Jean-l'Evangéliste. Ce lieu prit ensuite le nom d'Ile-Notre-Dame après la fondation, sous le règne du prince-évêque Jean d'Eppes, peut-être vers 1224, d'une église en l'honneur de la Vierge.

Fondation

En janvier 1231, l'évêque [15]Jean d'Eppes, reconnaît l'établissement d'un prieuré de l'ordre de Saint-Augustin dans l'Ile-Notre-Dame de Liège et quelques mois plus tard, en octobre, la maison est affiliée à l'ordre des chanoines réguliers du Val-des-Écoliers de France[16],[17].

Hors les murs

Comme les autres monastères établis à Liège au XIIIe siècle, le Val-des-Écoliers s'installa donc « hors les Vieux murs », car après l'expansion démographique du XIIe siècle, l'espace protégé par l'enceinte notgérienne était de plus en plus occupé. La présence du nouveau monastère ainsi que la menace que faisait peser la conquête du duché de Limbourg par le duc de Brabant (1288) ont stimulé l'élargissement des fortifications au-delà de la tête du Pont des Arches.

Le tracé de la nouvelle enceinte, longeant le biez de la Gravioule et le Barbou, se voit encore sur la gravure de J. Blaeu en 1649 car il est conservé tout au long des Temps modernes. En 1572, la fonte des glaces fit s'écrouler les murailles, ensuite relevées. Ce n'est qu'en 1777 que les religieux furent autorisés à les démolir ; la ville se réservant toutefois le droit d'exiger leur rétablissement[18]. Les ruines d'un bastion à la rencontre du biez de la Gravioule et de la Meuse se voyait encore en 1852.

Proche de la Foire

Les terrains vagues laissés entre l'enceinte et le prieuré servirent de longues années à la foire annuelle de Liège, instituée par Englebert de la Marck en 1550.

L'abbaye

Le quartier entre Urte et Meuse vers 1649[19]: de haut en bas le long de la chaussée d'Aix-la-Chapelle, le Pont-des-Arques, Saint-Folien, Saint-Nicolas, Saint-Julien et enfin la Porte d'Amercœur vers l'Allemagne; à gauche les « Terres de Bèches » et la Tour de Bèche, à droite l'Abbaye du Val-des-Ecoliers et plus bas le Couvent des Récollets et « Les Prés Saint-Denis ».

En 1614, le prieuré est transformé en abbaye grâce aux efforts du prieur Winand Latomé. En 1655, le pape Innocent X réunit tous les couvents de l'ordre à la congrégation de France en introduisant les réformes nécessitées par un relâchement de la discipline. Celle-ci était particulièrement déficiente dans le monastère liégeois qui, de plus, de par ses attaches françaises, subissait l'influence janséniste au point d'inquiéter le prince-évêque. Enquêtes et visites de nonces apostoliques ont laissé de nombreux textes éclairants à ce sujet[20]. On trouve une description de Saumery dans les Délices du pays de Liège[21] :

  • Le cloître, qui communique à l'église est propre, et solidement voûté. La maison est très bien bâtie; et tous les appartements en sont riants; leur situation ne contribue pas peu à leur donner cet agrément. La Meuse, et l'Ourthe, qui forment de cette Maison une espèce d'Ile, sont deux charmants objets pour ceux qui y font leur séjour. Ils sont, proprement parlé, à la campagne, et à la ville, mais ils voient l'une et l'une et l'autre du même coup d'œil, Les jardins y sont cultivés, avec une propreté, qui se fait souvent désirer ailleurs.

L'église et la salle du chapitre de l'Île-Notre-Dame

L'église à chevet plat, bien orientée, est construite au nord du cloître. Le bras sud du transept touche l'aile abbatiale qui comprenait la salle du chapitre [note 5] est divisée en deux galeries de trois travées[note 6] miraculeusement conservée et abritait la salle à manger des officiers de la caserne. Une aile en retour borde la galerie méridionale du cloître et l'ensemble se referme avec l'aile occidentale. Curieusement, sur le plan de 1809, le cloître ne compte que trois galeries[note 7].

Le plan de l'église rappelle nettement celui des cisterciennes. Les bras du transept se subdivisent aux extrémités orientales de façon à aménager deux pièces communiquant avec le chœur à un endroit où l'on a l'habitude de voir des chapelles.

On retrouve le même type d'annexes sur le plan de la Collégiale Saint-Paul dressé en 1850 par l'architecte Delsaux avant la malheureuse transformation de l'église[22].

L'hospice de l'Égalité

Avec la révolution française, la sécularisation du monastère en 1790 marque le début de son déclin. L'église, la maison conventuelle, les cours, jardins, vergers et dépendances furent occupés par un hôpital militaire, l'hospice de l'Égalité pour y recevoir les braves libérateurs liégeois[note 8]. Puis, en 1805, l'abbaye fut vendue comme bien national et lors de la visite du Premier Consul Bonaparte, elle avait été changée en caserne[23].

Le couvent au XVIIIe siècle

De nouveaux bâtiments sont bâtis au début du XVIIIe siècle ; il se composait d'une chapelle et de divers corps de bâtiments servant au logement des religieux et à leurs cérémonies, de jardins et de prairies qui s'étendaient depuis l'ancienne rue devant les Écoliers jusqu'au bras de l'Ourthe appelé le Barbou.

La période militaires

La révolution

L'utilisation du monastère des Écoliers à des fins militaires a donc rapidement suivi le départ des ecclésiastiques à la Révolution. Dans un premier temps, les constructions religieuses ont été utilisées telles quelles et ont notamment servi Iors du recrutement des volontaires engagés par Napoléon pour former un régiment de « chevaux légers » sous le nom de « chevaux-Légers belges » [24].

En 1810, on entreprend la démolition de l'église[note 9]. Un accident mortel a lieu pendant les travaux à la suite de la chute d'un pan de mur.

La caserne des Écoliers

Par un décret impérial de la même année, la Ville de Liège devient propriétaire de la caserne et est chargée de son entretien et des aménagements suivant la force de la garnison. Cependant, quelques années plus tard, sous le régime hollandais, en 1824, une partie des constructions est rétrocédée au Gouvernement jusqu'en 1832 lorsque le jeune ministre de la guerre restitue les bâtiments à Liège mais dans un état très délabré.

Installation de la cavallerie

La ville décide alors la rénovation et l'agrandissement de la caserne pour répondre aux besoins de la cavalerie. Ce qui subsiste du couvent est détruit à l'exception de ce qu'on appelait à l'époque « La chapelle », c'est-à-dire l'aile conventionnelle comprenant la salle du chapitre, et de l'aile sud perpendiculaire.

De 1832 date la construction de longues ailes de part et d'autre de l'ancienne « Cour des Écoliers » et de l'emplacement de l'église démolie. Lors de cette campagne de construction, le portail du couvent est réutilisé pour l'entrée de la caserne.

Le biez du Barbou n'étant pas encore comblé, il ne le sera qu'un demi-siècle plus tard, la rue devant les Écoliers demeure l'accès obligé. La même année on élève deux ailes en retour d'équerre, contre le bâtiment longeant la cour d'entrée. Dans ce nouveau complexe, les rez-de-chaussées sont conçus pour abriter les écuries; même la salle du chapitre reçoit cette destination au point d'en obstruer partiellement les grandes fenêtres.

Nouvelles écuries

Le 6 septembre 1857, une convention entre le gouvernement et le Collège échevinal prévoit la construction de nouvelles écuries pour 489 chevaux et un manège couvert de 68 x 25 m en plus des bâtiments de 1852. Ainsi l'importance de la caserne s'est-elle considérablement accrue avec l'indépendance de la Belgique. Sous le régime hollandais, en 1830, le 1er Bataillon d'artillerie de milice caserné dans l'ancien couvent comptait 799 hommes[25],[26].

Après l'indépendance, avant 1857, la cavalerie installée aux Écoliers comprenait 1048 hommes et 511 chevaux; ces chiffres, après les travaux de 1837, s'élevèrent à 1156 hommes et 873 chevaux[23].

Le biez du « Barbou » constituait un handicap évident pour l'agrandissement de la caserne. Son comblement précéda la dernière grande campagne de construction qui donna à la caserne sa physionomie actuelle avec ses bâtiments de 1887 longeant le nouveau boulevard de la Constitution crée grâce au retrait des eaux et son comblement.

La Caserne Fonck

En 1885, la, caserne des Écoliers abritait le 2e Régiment des Lanciers qui, en 1914, comptait le cavalier Antoine-Adolphe Fonck parmi ses hommes. Premier soldat belge tué dans la « Grande guerre » son nom sera désormais attaché à l'ancien monastère transformé en caserne.

Classement

Le bâtiment conventuel, la salle capitulaire et le sont manège classés comme monument le 7 mai 1997.

Destination actuelle

Les bâtiments sont dédié à l'enseignement depuis l'an 2000 par la vente des bâtiments aux instituts supérieurs Saint-Luc et en 2010, par l'installation partielle de la nouvelle Faculté d'architecture de l'Université de Liège. La salle capitulaire est co-propriété de L'école supérieure et de l'Université

Sources fondamentales

  • Archives de l'État à Liège,
    • douze chartes dont la première datée du 5 avril 1377.
    • Registres des écoliers: 1 à 36, de 1234 à 1792
    • Cartulaire des écoliers (reg. 2)
    • Liste des pierres tombales (reg. 8, f° 544-548)
  • Archives de l'évêché à Liège: liasse G. VI. 16
  • Bibliothèque Sainte-Geneviève de Paris
    • Manuscrit 519 et 1855, concernant l'alliance avec la Congrégation de France
  • Archives vaticanes
    • Dossier 144 de l'Archiviodelle Nuziatura di Colonia, relate les visite de l'abbé de Géronsart en 1635 et 1636

Iconographie

Le manuscrit 1676 de l'Université de Liège reproduit deux dessins de bâtiment de l'abbaye

Sources complémentaires

  • HOFFSUMMER Patrick, auteur en trois partie d'une publication qui fait le point sur la question, complétée d'un document anonyme de la description de la caserne: Du couvent des écoliers à la caserne Fonck[27],[28].

Articles connexes

Notes et références

Notes

  1. anciennement Léau
  2. Ce portail Louis XVI est démoli fin XIXe mais deux dessins sont publiés: in Thuillier Hubert Art Wallon, Croquis et document, t. 2, planche. 43: relevé et dessiné par B. Denkers
  3. Ce terme Gravioule ou graveria désignait à l'origine l'île comprise entre la Meuse et le Barbou en faisant allusion à la nature du sol, un dépôt de grève alluvionnaire, la rue longeant l'institut supérieur d'architecture au nord conserve ce toponyme
  4. Cet endroit s'appelle actuellement la Graviôule en wallon la gravière
  5. De 10 mètres sur 15 mètres.
  6. dont les voûtes d'arête en tuffeau sont bien conservées
  7. alors que la gravure de Johannes Blaeu en 1647 en montre quatre
  8. Si en 1790, ces bâtiments furent évalués à 240.000 florins, ils n'en valurent plus que 40.000 en 1795 tant les dégradations étaient grandes et en 1795, la bibliothèque fut pillée par les Autrichiens; in Rochette-Russe J. , 1955, ibidem
  9. adjugée le 21 décembre à un certain Eustache Delhaxhe, au prix de 4 600 francs

Références

  1. Gravée par Julius Milheuser et édité en 1649 par Johannes Blaeu
  2. Berlière Ursmer (Dom), Abbaye du Val des Écoliers, Monasticon, t.2, p. 194, 1928 p. 323; réédition 1955
  3. Enluminure du Cartulaire de Royallieu, f° 9, r° à la Bibliothèque Nationale de France
  4. Monastica Augustianum, Paris 1623, p. 110
  5. Rochette-Russe Julia, 1955, pp. 527-528 — Mottard F. , 1972, p. 1
  6. Guyon Catherine, Les Écoliers du Christ, l'ordre canonial du Val des Écoliers 1201-1539, PU, Saint-Etienne, 1998, 625 pp, p. 123 à 130
  7. en cours
  8. Barbier V., Histoire du Monastère de Géronsart, Namur, 1886, p.7-16
  9. Barbier V. 1886, ibidem, p.10 et p.13
  10. Guyon Catherine, Les Écoliers du Christ: l'ordre canonial du Val des Écoliers, 1201-1539, Université de Saint-Étienne, 1998
  11. Gobert Th., 1889 : Les rues de Liège, anciennes et modernes, 2e édition, Liège, t. 1, pp. 450-455, 1977; vide p. 451
  12. Heller J., Aegidii Aureaevallensis Gesta Leodiensium, p. 126, repris dans Bormans S., Fragment d'une Chronique liégoise inédite du XIIIe siècle, p. 187-188
  13. Bacha E., Chronique liégeoise de 1402, p. 162
  14. Barbier G. Histoire du Monastère de Géronsart, p. 220-221, n° 14
  15. Miraeus Aubert et Foppens P., t. 3, p.393
  16. et va les mettre sous la dépendance de GéronsartGobert Th., 1889, ibidem p. 451, ibidem
  17. Bélière U., ibidem, p. 327-328
  18. Gobert Th., 1889, ibidem, p. 451, ibidem
  19. Carte publiée par Blaeu en 1649
  20. Mottard F.,ibidem, 1972
  21. de Saumery P., Les délices du Païs de Liège ou description des monuments sacrés et profanes. t.1, Liège, pp. 180-181, 1738
  22. Forgeur R., ibidem 1969 : La construction de la collégiale Saint-Paul à Liège aux temps romans et gothique, dans Bulletin de la Commission Royale des Monuments et des Sites, t. 18, pp. 3-49
  23. a et b Gobert Th., 1889, p. 454
  24. Puraye J., 1970, ibidem p. 80
  25. Dumoulin P.,1970, ibidem p. 109
  26. Hoffsummer P., in : Description de la caserne des Écoliers au milieu du XIXe siècle. Document manuscrit, daté 1842, anonyme, ce document se présente sous la forme d'un cahier in folio de cinquante pages couvertes d'une écriture calligraphiée et illustrées de croquis descriptifs; il est conservé au Bureau des domaines de la Direction régionale des Constructions Militaires
  27. Du couvent des écoliers à la caserne Fonck: in Centre liégeois d'Histoire et d'Archéologie Militaire, t. 1 - Fascicule 12 - Octobre-Décembre 1982; t. 2 - Fascicule 1 - Janvier-Mars 1983; t. 2 - Fascicule 5 - Janvier-Mars 1984
  28. CLHAM, Tome II - Fascicule 5 - Janvier-Mars 1984

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