Île Brion

Île Brion
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Île Brion
Chalet d'accueil sur l'île Brion
Chalet d'accueil sur l'île Brion
Géographie
Pays Drapeau du Canada Canada
Archipel Îles de la Madeleine
Coordonnées 47° 47′ 34″ N 61° 28′ 05″ W / 47.79278, -61.4680647° 47′ 34″ N 61° 28′ 05″ W / 47.79278, -61.46806
Superficie 7 km2
Point culminant Butte de l'Homme Mort (60 m)
Administration
Statut Réserve écologique

Drapeau du Canada Canada
Province Drapeau : Québec Québec
Agglomération Les Îles-de-la-Madeleine
Municipalité Grosse-Île
Démographie
Population Aucun habitant
Autres informations

Géolocalisation sur la carte : Québec

(Voir situation sur carte : Québec)
Île Brion
Île Brion

Géolocalisation sur la carte : Canada

(Voir situation sur carte : Canada)
Île Brion
Île Brion

L'Île Brion appartient, tout comme le Rocher aux Oiseaux, à la municipalité de Grosse-Île. C'est une île du golfe du Saint-Laurent, dans la partie la plus septentrionale de l'archipel des îles de la Madeleine. D'une superficie de 7 km², et d'une longueur de 8 km, elle est à environ 16 km au nord de Grosse-Île.

Fortement exposée à l'érosion, l'île pourrait bien se scinder en deux îles Brion, détachées là où la pointe de l'Est est étroitement reliée au reste de l'île, entre les Anse du Sud et Anse du Nord. En 2006, la Saddle (bande de sable reliant les deux îles a cédé, l'île est maintenant scindée en deux, les îles Brion. L'île, est presque entièrement protégée au sein de la réserve écologique de l'Île-Brion.

Sommaire

Toponymie

L'île Brion a été baptisé par Jacques Cartier lui même en 1534 en hommage à son principal bailleur de fond de son expédition, Philippe Chabot, amiral de Brion[1].

Géographie

Localisation

Carte de l'île Brion

L'île Brion est située dans l'Est du Canada et du Québec, dans le golfe du Saint-Laurent, à 16 km de la Grosse Île, dans les îles de la Madeleine[2]. Celle-ci a une superficie de 6,5 km2 et a une longueur de 7,5 km[2].

Au niveau administratif, l'île Brion fait partie de la municipalité de Grosse-Île, elle-même située dans l'agglomération des Îles-de-la-Madeleine et dans la région administrative de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine.

Topographie et géologie

Plage située au côté sud de l'île

L'altitude de l'île s'élève à 60 m au sommet de la butte de l'Homme Mort[2].

85% du sous-sol de l'île Brion est composé de grès rouge ou gris-vert parsemé de rare couche de calcaire[3]. Il fait partie de la formation de Cap-aux-Meules, une formation de dépôt en milieu désertique qui se serait déposé durant le Permien, il y a entre 299 et 251 millions d'années[4],[3]. Celle-ci fait partie du bassin des Maritimes, un bassin sédimentaire qui s'est formé à la suite de l'orogenèse acadienne de la formation des Appalaches[5]. Comme pour les autres îles de l'archipel, l'île Brion repose sur un dôme salin qui se serait formé lors de la migration du sel, plus léger que les roches environnantes, vers la surface[3]. Le dôme salin de l'île Brion est situé à 2 700 m sous la surface[3].

Les 15% restant sont composé de dépôt du Quaternaire, principalement située dans le secteur des Sillons, au sud-ouest de l'île[3]. Ses dépôts littoraux sont déposés à la suite de l'érosion du grès des falaises de grès de l'île[3]. On retrouve aussi au secteurs des Sillons des dunes et des tourbières formé par le déplacement des dépôt éoliens[3].

Pointe Nord de l'île Brion avec au loin le Rocher aux Oiseaux

Climat

Les îles de la Madeleine ont un climat océanique froid[6]. Les été y sont plus frais que dans le reste du Québec avec une moyenne de 13 °C et les hivers plus doux avec une moyenne de -3,5 °C[6],[7]. La moyenne annuelle des précipitations se situe entre 900 et 1 000 millimètres[7]. Les vents soufflent en moyenne entre de 17 et 40 km/h[6]. Dû à la présence des glaces retardent décale de un mois les saisons par rapport au reste de la province[6]. Il s'agit finalement de la région ou la période sans gel est la plus importante de la province[6].

Histoire

Les îles de la Madeleine ont été fréquenté par divers groupes Amérindiens depuis 3 500 à 4 500 ans[8]. Ces derniers aurait fréquenté les îles sur une base saisonnière pour ses ressources en poissons, en mollusques, en morses, en phoques et pour ses colonies d'oiseaux[9].

Jacques Cartier, premier Européen à l'avoir visitée, l'aurait baptisée ainsi en souvenir de sa rencontre avec François Ier en 1532 au Manoir de Brion, Manche. Il écrit dans son journal de bord (1534)[9]:

« Nous y fumes posez pour la nuyt, pour avoir des eaux et du bouays à feu. [...] Ceste dite Ille est la meilleure terre que nous ayons veu, car vng arpant d'icelle terre vault mielx que toute la Terre Neufve. Icelle isle est rangée de sablons et beau fons et possaige à l'entour d'elle, à seix et à sept brassez. Ceste dite isle est la meilleure terre que nous ayons veu, car ung arpant d'icelle terre vault mielx que toute la Terre Neufue. Nous la trouvames plaine de beaulx arbres, prairies, champs de blé sauvaige, et de poys en fleurs, aussi espes et aussi beaulx, que je vis oncques en Bretaigne, qu'ilx sembloient y avoir esté sémé par laboureux. Il y a force grouaiseliers, frassiers et rossez de Provins, persil, et bonnes erbes, de grant odeur. »

Les îles furent fréquentés à partir du XVIe siècle par les Basques, les Normands et les Bretons pour la pêche à la morue. Ce n'est qu'à partir du milieu du XIXe siècle que des habitants permanents s'établirent sur l'île. L'île fut témoin d'une soixantaine de naufrages qui sont associés à l'ile[9]. Deux toponymes font références de l'anse aux Madriers, où les habitants de l'île récupéraient les pièces des bâteaux, et le cap des Tombes[9].

Paul Hubert écrit dans son document historique Les Iles-de-la-Madeleine et les Madelinots, écrit en 1926:

« Cependant le Docteur Storn assure que les Scandinaves franchirent le détroit, pénétrèrent dans le golfe et essayèrent d'y fonder un établissement; et pour appuyer cette opinion on a prétendu que les prairies naturelles trouvées par Cartier sur l'Île Brion provenaient d'une culture antérieure. [...] Au printemps de 1597, Charles Leigh, équipant un navire et faisant voile vers l'île Ramea (les Îles-de-la-Madeleine),y arriva le 18 juin. Il trouva une énorme quantité, une multitude de vaches marines sur toutes les îles, même sur les battures du rocher aux Oiseaux. Et aux environs de Brion, il y avait tant de morues qu'en une heure, avec quatre lignes seulement, ses hommes en pêchèrent 250 et un flétan si gros que leur barque ne put le contenir. »

Maison de la famille Dingwell

Les premières habitations permanentes de l'île ont été construit en 1851. Le principal propriétaire terrien était la famille Dingwell, ces dernier louaient une partie des leurs terres aux autres habitants de l'île, où ils pratiquèrent l'agriculture, exploitaient un magasin général et une conserverie de homard et finançait les expéditions de chasse au phoque. La population de l'île atteint sont apogée vers 1878 où on dénombre une cinquantaine d'habitant vivant dans cinq maisons, la plupart étant d'origine écossaise. La mort de William Dingwell (1854-1907) coïncide avec la migration de la plupart de habitant de l'île vers les autres îles. Son frère reprit les affaires familiale jusqu'en 1940, marquant la fin de l’occupation permanente[10].

Le phare de l'Île-Brion a été construit en 1904-1905 à l'extrémité ouest de l'île. Ce dernier fait partie d'une seconde vague de construction de phare sur les îles de la Madeleine dans le but de facilité la navigation dans le golfe. Haut de 14,9 m, il est construit selon le plan typique de phare octogonal en bois du ministère de la Marine et des Pêches du Canada. Il est automatisé en 1967 et ses bâtiments en annexes sont démoli en 1972. Il a été cité monument historique par la municipalité des Les Îles-de-la-Madeleine en 2006[11].


Édouard LeBlanc, qui fut le dernier gardien de l'île, de 1986 à 1993, affirme que «La Corporation pour l'accès et la protection de l'île Brion n'existe plus et ne gère plus l'île depuis 1994.»[12]

Aujourd'hui inhabitée, l'affluence des visiteurs y est contrôlée. Des vestiges des anciennes habitations sont encore visibles. Durant la saison touristique, des excursions sont organisées pour visiter l'Île Brion, en compagnie d'un guide, et une ou deux yourtes y sont installées. Les restes d'un ancien quai exposé aux intempéries offrent peu d'abri aux embarcations; il y est interdit de débarquer sans permis.

Milieu naturel

L'île a conservé l'étonnante diversité écologique de l'état primitif des Îles-de-la-Madeleine. Une petite partie de l'île, à l'ouest, est exempte des restrictions propres aux réserves écologiques et est ouverte au camping sauvage. Elle a entre autres fasciné le botaniste Marie-Victorin (1885-1944).

Selon plusieurs sources, il a été reconnu que l'île Brion possède à la fois les éléments qui caractérisent les paysages marins québécois et qu'elle constitue un site représentatif de l'ensemble des caractéristiques écologiques de l'archipel madelinot, sauf en ce qui a trait aux lagunes [13], absentes su l'île Brion.

Flore

Il y a entre 200 et 250 espèces de plantes vasculaires à pousser sur l'île, dont 10 à 15 % aurait été introduit par l'homme. Cette flore représente environ le tiers de la flore des îles de la Madeleine[14]. On retrouve sur l'île trois plantes rares, soit l'hudsonie tomenteuse (Hudsonia tomentosa), le myrique de Pennsylvanie (Morella pensylvanica) et du genévrier des îles de la Madeleine (Juniperus communis var. megistocarpa)[15].

Prairies et forêts près de la maison Dingwell.

L'île Brion est la seule île de l'archipel dont la végétation reflète la situation d'avant la colonisation. Les forêts couvrent 63 % du territoire et sont dominées par le sapin baumier (Abies balsamea) et l'épinette noire (Picea mariana). Les milieux rocheux sont dominés par la sapinière à épinette blanche (Picea glauca). Outre ses deux espèces, elle est accompagné d'amélanchier de Fernald (Amelanchier fernaldii), de bouleau à papier (Betula papyrifera) et de sorbier d'Amérique (Sorbus americana). Les sous-bois de cette forêt sont occupé par les fougères, le gaillet palustre (Galium palustre), l'actée rouge (Actaea rubra), l'aralie à tige nue (Aralia nudicaulis), la maïanthème du Canada (Maianthemum canadensis), la prenanthe trifoliolée (Prenanthes trifoliolata), le quatre-temps (Cornus canadensis), la trientale boréale (Trientalis borealis), la deschampsie flexueuse (Deschampsia flexuosa), la monotrope uniflore (Monotropa uniflora), la monésè uniflore (Moneses uniflora) et l'oxalide de montagne (Oxalis montana)[16].

La sapinière rabougie.

Cette forêt est précédé par la forêt pionnière de l'aulnaie verte. Il s'agit d'une forêt dominée par l'aulne crispé (Alnus viridis subsp. crispa), dont l'azote produit par ses racines permet la croissance du sapin et de l'épinette. Cette forêt est accompagnée par la verge d'or (Solidago sp.), l'épilobe à feuilles étroites (Epilobium angustifolium), le chiendent commun (Elymus repens), la ronce pubescente (Rubus pubescens), et la galéopside à tige carrée (Galeopsis tetrahit)[17]. La sapinière rabougrie comprend les forêts de sapins battus par le vent dont les arbres ne dépassant pas quatre mètres de hauteurs. Ces krummholz serve de protection aux forêts de l'intérieur de l'île. Les autres regroupements forestiers sont la sapinière à sphaignes, la pessière à sphaignes que l'on retrouve dans les milieux aux mauvais drainage[17].

Les prairies recouvrent 20 % de l'île. Les principales espèces de cet habitat sont les pâturin (Poa sp.), la flouve odorante (Anthoxanthum odoratum), les agrostides (Agrostis sp.), la fléole des prés (Phleum pratense) et le fétuque rouge (Festuca rubra). On y retrouve aussi quelques arbuste, comme l'aulne crispé, le genévrier (Juniperus sp.) et le rosier brillant (Rosa nitida)[18]. Il y a deux tourbières sur l'île, qui couvre 0,5 % de celle-ci. Outre la sphaigne, l'une est dominé par le kalmia à feuilles étroites (Kalmia angustifolia) et l'aronie à fruits noirs (Aronia melanocarpa) et l'autre par les carex (Carex sp.)[19]. Au haut des falaises, on trouve des landes à camarine. Cette formation est dominée par la camarine noire (Empetrum nigrum), l'airelle rouge (Vaccinium vitis-idaea) et le raisin d'ours (Arctostaphylos uva-ursi)[19].

Pour ce qui est des dépôts sablonneux de l'île, ils sont constituée en plusieurs habitats habité par différentes plantes adaptés au conditions de chacune. Dans le haut des plages, on retrouve le caquillier édentulé (Cakile edentula), l'honckénye robuste (Honckenya peploides) et l'ammophile à ligule courte (Ammophila breviligulata). Les dunes bordières sont fixée par les rhizomes de l'ammophile à ligule courte qui est accompagnée de l'armoise de Steller (Artemisia stelleriana), de la gesse maritime (Lathyrus japonicus) et du myrique de Pennsylvanie. Entre les dunes, il y a plusieurs prés salées, qui sont peuplé par des groupement de spartine (Spartina sp.), de salicorne (Salicornia sp.), de jonc (Juncus sp.) et de carex. Une foi fixée, la dune devient une lande à camarine, composée principalement de camarine noire. Cette dernière évolue finalement vers la pessière sur dune où divers arbres rabougrie et arbuste aident à fixer la dune[20].

Faune

L'île Brion est assez pauvre en mammifère et ne contient que quatre espèces terrestres. Celles-ci sont la souris sylvestre (Peromyscus maniculatus), le renard roux (Vulpes vulpes), le vespertilion brun (Myotis lucifugus) et le coyote (Canis latrans)[21]. Ce dernier est d'ailleurs arrivé récemment, probablement par les glaces dérivante[21]. Quant au littoral, il est fréquenté par quatre espèces de phoques, soit le phoque commun (Phoca vitulina), le phoque gris (Halichoerus grypus), le phoque du Groenland (Pagophilus groenlandicus) et le phoque à capuchon (Cystophora cristata)[21].

Les eaux du golfe autour de l'île sont fréquenté par plusieurs espèces de Cétacés, soit le marsouin commun (Phocoena phocoena), le dauphin à flancs blancs (Lagenorhynchus acutus), le dauphin à nez blanc (Lagenorhynchus albirostris), le globicéphale noir (Globicephala melas), le cachalot macrocéphale (Physeter catodon), le petit rorqual (Balaenoptera acutorostrata) et le rorqual commun (Balaenoptera physalus), le rorqual bleu (Balaenoptera musculus), le rorqual à bosse (Megaptera novaeangliae) et la baleine noire (Eubalaena glacialis)[21]. Le littoral fut aussi une échourie de morse (Odobenus rosmarus), mais ceux-ci disparurent en 1799 suite à une chasse abusive[21].

Il y a 166 espèces d'oiseaux qui peuvent fréquenter l'île. Les principales espèces sont le pygargue à tête blanche (Haliaeetus leucocephalus), le bécasseau maubèche (Calidris canutus), la mouette tridactyle (Rissa tridactyla), le macareux moine (Fratercula arctica), le guillemot à miroir (Cepphus grylle), le petit pingouin (Alca torda), le harfang des neiges (Bubo scandiacus), le fou de Bassan (Morus bassanus), l'eider à duvet (Somateria mollissima), l'océanite cul-blanc (Oceanodroma leucorhoa), le grand cormoran (Phalacrocorax carbo), le cormoran à aigrettes (Phalacrocorax auritus), le goéland hudsonien (Larus smithsonianus), le goéland marin (Larus marinus) et le pluvier siffleur (Charadrius melodus)[22].

Protection du territoire

Réserve écologique de l'Île-Brion
Catégorie UICN Ia (réserve naturelle intégrale)
Pays Drapeau du Canada Canada
Province Drapeau : Québec Québec
Agglomération Les Îles-de-la-Madeleine
Superficie 6,5 km2[23]
Création 24 août 1988
Administration Ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs, Vert et Mer

La réserve écologique de l'Île-Brion, est une aire protégée du Québec et l'une des 70 réserves écologiques de cette province du Canada. Elle comprend la quasi-totalité de l'île Brion dans l'archipel de îles de la Madeleine. La réserve protège des écosystèmes représentatifs du golfe du Saint-Laurent, soit des peuplements de pessière blanche à sapin et de la sapinière à épinette blanche.

Il s'agit de l'une des 4 réserves écologiques ouvert au public.

Notes et références

  1. Île Brion, Banque de noms de lieux du Québec sur Commission de Toponymie. Consulté le 22 septembre 2010
  2. a, b et c Attention FragÎles 2010, p. 3
  3. a, b, c, d, e, f et g Attention FragÎles 2010, p. 12–16
  4. (en) Cap-aux-Meules Formation, Lexique des unités géologiques canadiennes sur Réseau canadien de connaissances en sciences de la Terre. Consulté le 26 février 2011
  5. Le bassin carbonifère des Maritimes sur Ministre des Ressources naturelles du Nouveau-Brunswick. Consulté le 26 février 2011
  6. a, b, c, d et e Attention FragÎles 2010, p. 18–19
  7. a et b Îles-de-la-Madeleine sur Cadre écologique du Canada. Consulté le 2 avril 2011
  8. Attention FragÎles 2010, p. 4
  9. a, b, c et d Attention FragÎles 2010, p. 5
  10. Attention FragÎles 2010, p. 6
  11. Phare de l'Île-Brion sur Répertoire du patrimoine culturel du Québec. Consulté le 10 septembre 2011
  12. Cité dans l'article de Nichole Ouellette
  13. St-Onge, 1990; St-Onge et Fortin, 1991
  14. Attention FragÎles 2010, p. 31
  15. Attention FragÎles 2010, p. 30
  16. Attention FragÎles 2010, p. 23–24
  17. a et b Attention FragÎles 2010, p. 24
  18. Attention FragÎles 2010, p. 27
  19. a et b Attention FragÎles 2010, p. 28
  20. Attention FragÎles 2010, p. 28–31
  21. a, b, c, d et e Attention FragÎles 2010, p. 42–46
  22. Attention FragÎles 2010, p. 34–42
  23. Gouvernement du Québec, « Registre des aires protégées au Québec: Réserve écologique » sur Ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs,, 2009. Consulté le 27 juin 2009

Annexes

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Bibliographie

Articles connexes

Liens externes


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