Tour de babel

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Tour de Babel

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La tour de Babel était selon la Genèse une tour que souhaitaient construire les hommes pour atteindre le ciel.

Selon les traditions judéo-chrétiennes, c'est Nemrod, le « roi-chasseur » régnant sur les descendants de Noé, qui eut l'idée de construire à Babel (Babylone) une tour assez haute pour que son sommet atteigne le ciel, en tout cas aussi haute que le mont Ararat (où se serait échouée l'Arche de Noé), afin que les flots ne puissent en submerger le sommet en cas de nouveau Déluge.

Descendants de Noé, ils représentaient donc l'humanité entière et étaient censés tous parler la même et unique langue sur Terre, une et une seule langue adamique. Pour contrecarrer leur projet qu'il jugeait plein d'orgueil, Dieu multiplia les langues afin que les hommes ne se comprissent plus. Ainsi la construction ne put plus avancer, elle s'arrêta, et les hommes se dispersèrent sur la terre.

Cette histoire est parfois vue comme une tentative de réponse des hommes au mystère apparent de l'existence de plusieurs langues, mais est aussi le véhicule d'un enseignement d'ordre moral : elle illustre les dangers de vouloir se placer à l'égal de Dieu, de le défier par notre recherche de la connaissance, mais aussi la nécessité qu'a l'humanité de se parler, de se comprendre pour réaliser de grands projets, ainsi que le risque de voir échouer ces projets quand chaque groupe de spécialistes se met à parler le seul jargon de sa discipline.

Les récits de constructions que les hommes tentaient d'élever jusqu'au ciel ont depuis longtemps marqué les esprits, source d’inspiration pour bon nombre d’écrivains et d’artistes.

Sommaire

Origine possible

L’origine de ce mythe est bien évidemment la Mésopotamie voisine mais ses modalités d’élaboration sont encore mal définies. Son origine pourrait être la déportation à Babylone d’une partie de la population juive en 597 après la prise de Jérusalem par Nabuchodonosor II (604-552). La déportation de populations civiles était une pratique courante à cette époque pour amener le calme dans les régions rebelles. Les Juifs auraient été subjugués par la grande ziggurat du dieu Marduk, située au cœur du sanctuaire de l’Esagil : « temple dont la tête est élevée ». La ziggurat en elle-même était appelée l’Etemenanki : « temple-fondation du ciel et de la terre ». Selon Francis Joannès, elle était conçue comme « le pivot qui réunissait le ciel et la terre et assurait l’unité de l’Univers ».

Les ziggurats ont été construites dans toute la Mésopotamie de la fin du troisième millénaire à l’occupation achéménide. Les plus anciennes sont l’œuvre d’Ur-Nammu (2112-2095), roi sumérien de la dynastie d’Ur III. Etemenanki était exceptionnelle par ses dimensions. Elle a bénéficié à la fois des travaux de reconstruction entrepris par Assarhaddon (680-669) et des embellissements réalisés par les souverains néo-babyloniens qui ont pu profiter d’un gigantesque butin. La ziggurat avait une base de 90 mètres de côté et peut-être une hauteur équivalente. Cela devait en faire un des monuments les plus spectaculaires de toute l’Antiquité. Elle comptait probablement 7 étages, colorés par des parements de briques émaillées (le chiffre 7 avait une valeur symbolique en Mésopotamie). Cependant sa forme n'était pas circulaire : toutes les ziggurats avaient une base carrée ou rectangulaire.

L'origine des représentations picturales d'une tour ronde peut être liée à une association tardive entre la tour de Babel et le minaret de la mosquée de Samarra situé à 205 km au nord du site et 125 km au nord de Bagdad. La tour Malwiya, qui n'est ni plus ni moins celle que l'on peut admirer dans la majorité des représentations de la tour de Babylone, sa forme unique, en spirale, a influencé de nombreux peintres et explorateurs. Cependant cette mosquée date du IXe siècle, et n'a par conséquent aucun lien avec la cité antique de Babylone.

Texte français de la Bible

La tour de Babel est évoquée dans la Genèse, au chapitre 11, versets 1 à 9 :

Traduction dans la Bible de Jérusalem

Tout le monde se servait d'une même langue et des mêmes mots. Comme les hommes se déplaçaient à l'Orient, ils trouvèrent une vallée au pays de Shinéar et ils s'y établirent. Ils se dirent l'un à l'autre : « Allons ! Faisons des briques et cuisons-les au feu ! » La brique leur servit de pierre et le bitume leur servit de mortier. Ils dirent : « Allons ! Bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet pénètre les cieux ! Faisons-nous un nom et ne soyons pas dispersés sur toute la terre ! »

Dieu descendit pour voir la ville et la tour que les hommes avaient bâties. Et Dieu dit : « Voici que tous font un seul peuple et parlent une seule langue, et tel est le début de leurs entreprises ! Maintenant, aucun dessein ne sera irréalisable pour eux. Allons ! Descendons ! Et là, confondons leur langage pour qu'ils ne s'entendent plus les uns les autres. » Dieu les dispersa de là sur toute la face de la terre et ils cessèrent de bâtir la ville. Aussi la nomma-t-on Babel, car c'est là que Dieu confondit le langage de tous les habitants de la terre et c'est là qu'Il les dispersa sur toute la face de la terre.

Traduction courante

La tour de Babel peinte en 1587 par Lodewyk Toeput. Le dogme judéo-chrétien lui impute la confusion des langues.

Toute la terre avait une seule langue et les mêmes mots. Comme ils étaient partis de l’orient, ils trouvèrent une plaine au pays de Chmunter , et ils y habitèrent. Ils se dirent l'un à l'autre : Allons ! Faisons des briques, et cuisons-les au feu. Et la brique leur servit de pierre, et le bitume leur servit de ciment. Ils dirent encore : Allons ! Bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet touche au ciel, et faisons-nous un nom, afin que nous ne soyons pas dispersés sur la face de toute la terre.

L'Éternel descendit pour voir la ville et la tour que bâtissaient les fils des hommes. Et l'Éternel dit : Voici, ils forment un seul peuple et ont tous une même langue, et c’est là ce qu'ils ont entrepris ; maintenant rien ne les empêcherait de faire tout ce qu'ils auraient projeté. Allons ! descendons, et là confondons leur langage, afin qu’ils n’entendent plus la langue, les uns des autres. Et l’Éternel les dispersa loin de là sur la face de toute la terre ; et ils cessèrent de bâtir la Ville. C’est pourquoi on l’appela du nom de Babel, car c’est là que l’Éternel confondit le langage de toute la terre, et c’est de là que l’Éternel les dispersa sur la face de toute la terre.

Une inspiration sumérienne ?

Il existe d'autres mythes antérieurs expliquant l'origine des langues par une intervention divine. Le plus vieux d'entre eux est le mythe sumérien appelé Enmerkar et le seigneur d'Aratta. Le texte est assez fragmentaire et difficile d'approche. Enmerkar, fondateur légendaire de la cité d'Uruk, tente de soumettre la cité d'Aratta, située sur le plateau iranien et demande l'aide de la déesse Ishtar. Celle-ci lui conseille d'envoyer un héraut pour négocier avec le seigneur rival. Au cours des négociations, le héraut récite une incantation dédiée à Enki qui entraine la division des langues.[1] Ce texte offre au final assez peu de ressemblances avec le récit biblique, aussi établir un lien quelconque entre les deux textes est pour l'heure peu évident. Enfin, on peut trouver sur Internet un récit assez étrange attribué aux Sumériens dans lequel Marduk ou Enki prive l’humanité du langage... Sans référence sérieuse, ce mythe doit être pris avec beaucoup de circonspection. Les mythes sumériens ne se sont jamais intéressés à Marduk, du simple fait que l’ascension de Babylone, et par conséquent de son dieu tutélaire, est postérieure à la chute de la dernière dynastie d’Ur III. Les mythes qui mettent en scène Marduk sont élaborés par le clergé babylonien et ne pratiquent pas cette confusion des genres. [2]

Autres sources

Une interprétation protestante

La confusion des langues, Gustave Doré

Le passage de la tour de Babel - récit étiologique justifiant la diversité des langues et des peuples - marque la clôture du récit des origines qui s'étend à partir de Gen. I. Ce récit est jalonné par le péché, par « ses éruptions » : la chute, le récit de Caïn et Abel, le chant de Lemec, le déluge. Cependant une distinction, nous semble-t-il, doit être faite. Contrairement à la chute, au récit de Caïn et Abel et au chant de Lémec, qui stigmatisent des péchés ou des comportements individuels, les unions des anges qui susciteront le déluge et l'aventure de la construction de la tour de Babel sont des péchés ou des comportements collectifs. Dans ces deux cas, il s'agit d'événements où l'humanité est comprise comme la communauté des fils d'Adam.

Au terme de l'histoire des origines, il s'agit donc de marquer le péché collectif d'une communauté humaine et d'en montrer la condamnation par Dieu. Une condamnation sans appel, sans intervention de la grâce. À partir de cette parole : « le Seigneur les dispersa sur la face de toute la terre », le récit de la tour de Babel et celui des origines s'ouvre à l'avenir au sens où la question de la relation entre les hommes et Dieu est posée.

(Von Rad, Théologie de l'Ancien Testament, vol. I, Genève, Labor et Fides, p. 146)

La confusion des langages, source du pouvoir

Selon Alexander Hislop, le fondateur de Babylone, Koush, père de Nemrod, s'identifierait à Hermès. Ainsi ce qui caractériserait le régime Babylonien serait la découverte des langages secrets, de l'Hermétisme (ce qui est caché), et ceci dans un but de Pouvoir. Pouvoir fondé sur la confusion des esprits et l'apparition de jargons, c'est à dire de langages à double sens compris seulement par les initiés, et au sens profond desquels la masse des humains n'aurait pas accès. Les classes supérieures apparaissent alors qui connaissent les langages secrets (prêtres et nobles guerriers). Babylone est la première des sociétés hiérarchiques et spécialisées, préfigurant toutes les civilisations suivantes avec leurs classes sociales, elle est fondée sur la rétention d'information et donc de la valeur. L'information et la valeur sont thésaurisées (capitalisées) par les classes nobles et sacerdotales. La populace reçoit une information simplifiée, dénuée d'intérêt, inopérante, destinée à produire une image insensée du monde: la superstition, entretenue par le clergé.

C'est dans cette volonté de promouvoir des langages secrets que réside le pouvoir des classes supérieures, et aussi la cause de la confusion des langages et leur multiplication parmi les peuples. Les humains de Babel (Babylone) trouvent ainsi leur punition dans le système de pouvoir qu'ils ont eux-mêmes inventé.

Le Coran et la tradition musulmane

La sunna n'évoque pas explicitement le mythe de la tour de Babel, ni la confusion des langues, ni l'existence d'une tour quelconque. Ce qui pourrait être considéré comme étant la tour de Babel, est appelé en arabe Palatinum et plus communément as-Sarh, dont la définition correspond à « une seule maison construite de façon solitaire et robuste, s'élevant hautement dans le ciel ; toute bâtisse haute étant un sarh ». Dans la Tradition, Babel est citée une fois, en occurrence au « Chapitre sur la prière dans les ruines et les lieux de douleur » de l'important recueil de traditions musulmanes : L'Authentique d'al-Bukhârî (194/810 - 256/870), en relation avec le refus d'Alî de prier sur des ruines : « On mentionne que 'Alî - que Dieu soit satisfait de lui ! - répugna à faire la prière dans les ruines de Babel. » Ces deux attestations, négatives, paraissent faire briller de la couleur de l'aversion le silence noir et réprobateur qui entoure Babel au cœur même de l'Islam. Remarquons à cet effet, que malgré la caractérisation de Babel comme lieu d'Ascension au Ciel, c'est de la ville sainte de Jérusalem que le prophète de l'islam Mahomet s'envole vers le Trône de Dieu lors de son voyage nocture al-Isrâ wa-l-Mi'râdj.

Origine du nom

Babel vient du mot akkadien Bāb-ili (La porte du Dieu), Bāb voulant dire « porte » et ilu voulant dire « Dieu ». (décliné ili) Autre signification bab-'el (la cité de Dieu). On peut aussi y voir une onomatopée : cf babil.

Cette origine est clairement une référence à Babylone, située dans le chapitre 11 de la Genèse, dans le pays de Shinear (Sumer).

Apparitions et références

Dans la littérature

  • La bibliothèque de Babel (1941) de Jorge Luis Borges : histoire d'une bibliothèque exhaustive
  • Babel, la Langue promise, d'Alain-Abraham Abehsera, BibliEurope - Connectives, 1999 (essai sur la parenté universelle des langues avec l'hébreu biblique). ISBN 2-911398-34-3
  • L’homme qui a défié Babel de René Centassi et Henri Masson (Œuvre biographique sur Ludwik Lejzer Zamenhof ; avant-propos de Louis Christophe Zaleski-Zamenhof), Éditions Ramsay ; ISBN 2-7475-1808-6 ; 2002.
  • Des tours de Babel de Jacques Derrida
  • Babel de Jean-Claude Francklin
  • Babel, la tour des hommes de Daniel Brentwood
  • Babel ou l'inachèvement de Paul Zumthor, éditions du Seuil
  • Le Sacrifice interdit chapitre 3 de Marie Balmary éditions Grasset 1999.
  • La Tour de Babel chanson de Guy Béart
  • Tour de Babel chanson de Glenmor tiré de l'album "Hommage à Morvan LEBESQUE"
  • La Tour d'El-Bab et La Colère d'Enki, tome 5 et 6 de la série québecoise Amos Daragon de Bryan Perro.

Dans la peinture

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  • Lucas van Valckenborch (1535-1597) Construction de la tour de Babel (Coblence, Mittelrhein-Museum, Inv. Nr. M 31), 1595 (?), huile sur bois, 42 x 68 cm
  • Martin van Valckenborch (1535-1612), La Tour de Babel, huile sur bois 49,5 x 66,6 cm (Pinacoteca ; Sienne)

Au cinéma

  • Dans le film Metropolis, une scène raconte l’histoire de la tour de Babel : son but, sa construction, les incompréhensions entre la main et la tête et sa fin. Dans le manga moderne portant le même titre, un homme cherche à s'élever au-dessus des autres par le biais d'un robot à l'apparence de petite fille, pouvant contrôler le monde du haut d'une tour appelée Ziggurat, faite à l'image de la tour de Babel.
  • Dans le film Alexandre de Oliver Stone, une scène montre la tour de Babel située à Babylone.
  • Le film d'Alejandro González Iñárritu, Babel fait référence au mythe en prenant appui sur les difficultés rencontrées par les hommes pour communiquer, alors qu'ils sont tous unis par la même humanité.

Dans les films d'animation

  • La tour de Babel fait son apparition dans Nadia, le secret de l'eau bleue. Elle a été construite par les Atlantes mais celle-ci a également servi à leur destruction.
  • Dans Le Château dans le ciel, l'origine du château est peu connue mais le générique fait penser au thème des hommes qui ont voulu s'élever au rang des dieux (vie dans les nuages, puissance infinie qui peut faire le bien ou le mal suivant leur volonté) et qui ont été presque anéantis, les survivants ayant tout à réapprendre. Le lien est d'autant plus flagrant que l'un de ces châteaux apparaissant dans le générique ressemble fortement à la représentation de Pierre Bruegel.
  • Dans Patlabor, E. Hoba (en référence à Jéhovah) tente de saboter le projet Babylone en introduisant un virus qui cause l'apparition du mot "Babel" sur les écrans d'ordinateur et la folie des robots infectés par ce virus. Cette manoeuvre a pour but d'empêcher le retour de Dieu, censé punir l'homme, comme dans l'Ancien Testament, suite au pharaonique projet Babylone.

Dans les jeux vidéos

  • Dans Soleil, un ancien jeu sur SEGA dans lequel le héros montant la tour de Babel, passe des épreuves pour arriver au sommet de la tour, et une autre plus ardue pour atteindre les cieux. C'est un lapin dans un village proche de "Fleur Brûlée" qui nous indique que les humains ont des difficultés à communiquer entre eux.
  • Dans Illusion of Time dans lequel un héros évolue a l'intérieur d'une tour ressemblant à la tour de Babel,
  • Dans Super Mario Bros. 3 où elle constitue un petit niveau dans le monde 5 qui justement est le monde du ciel.
  • Dans Prince of Persia: Les Deux Royaumes, produit par Ubisoft, on peut gravir cette tour dans les derniers niveaux du jeu.
  • Dans Xenogears, où elle constitue une étape importante du jeu. Le symbole du lien avec Dieu et de la montée de l'homme vers le ciel est réutilisé dans ce jeu au scénario très mystique.
  • Dans Golden Sun:
  • Dans Nostalgeo no Kaze : La tour de Babel à des graphismes rappelant parfaitement le tableau de Bruegel l'Ancien.
  • Dans Sim city Creator, la Tour de Babel est le monument repésentant l'époque antique, elle est semblable au tableau de Bruegel l'Ancien
  • Dans Painkiller, le niveau 3 du chapitre 4 s'appelle "Babel". Il se déroule dans une vaste cité orientale où culmine la fameuse tour.

Dans la bande-dessinée

  • La Tour de François Schuiten et Benoît Peeters relate l'histoire d'un mainteneur dans une tour d'une taille démesurée, évoquant la tour de Babel.
  • Le tome 5 de la bande dessinée Universal War One est intitulé Babel, en référence à la tour de Babel dont l'histoire y est relatée.

Voir aussi

Bibliographie

  • Hubert Bost : Babel. Du texte au symbole. Ed. Labor & Fides, 1985, (ISBN 2830900359)
  • Jean Budillon : Babel. Étude biblique à partir de Genèse 11,1-9. Edité par l’Association LEKH-LEKHA, 1990
  • Paul Zumthor : Babel ou l’inachèvement. Ed. du Seuil, 1997, (ISBN 2020262657)
  • Pierre Bouretz, Marc de Launay, Jean-Louis Schefer : La Tour de Babel. Ed. Desclée de Brouwer, 2003, (ISBN 222005165X)
  • Bluma Finkelstein : L’Héritage de Babel – Éloge de la diversité. Ed. L'Harmattan, 2005, (ISBN 2747584992)
  • Sylvie Parizet : Le Défi de Babel : un mythe littéraire pour le XXIe siècle. Ed. Desjonquères, 2001, (ISBN 284321033X)
  • François Marty : La Bénédiction de Babel. Ed. Le Cerf, 1990 (ISBN 2204040371)
  • Gilbert Tournier : Babel ou le vertige technique. Ed. Fayard, 1960
  • Sous la direction de A. Reuter, JP. Ruiz : Retour de Babel, Itinéraires, Mémoires et Citoyenneté. Ed. Retour de Babel, Luxembourg, 2007 (ISBN 978-2-9599924-0-7)

Liens internes

Liens externes

Notes et références

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