Suffolk Punch

Suffolk Punch
Suffolk Punch
Suffolks in Harness.jpg
Paire de Suffolk Punch au labour.

Espèce Cheval (Equus caballus)
Région d’origine
Région Suffolk, Drapeau d'Angleterre Angleterre
Caractéristiques
Morphologie Cheval de trait lourd

Standard de la race selon la Suffolk Horse Society (Royaume-Uni)
Standard de la race selon l'American Suffolk Horse Association (États-Unis)

Taille 1,65 à 1,78 m en moyenne
Poids 900 à 1 000 kg
Robe Toujours alezane.
Tête Large, pas trop longue.
Pieds Solides, peu de fanons
Caractère Agréable et docile
Autre
Utilisation Traction hippomobile

Le Suffolk Punch est l'une des races de chevaux de trait les plus anciennes de Grande-Bretagne. Ce trait lourd est caractérisé par sa robe, toujours alezane, le registre de la race n'acceptant que les sujets alezans. C'est aussi la seule race britannique de trait qui n'a que peu de fanons. Il est robuste, rustique, puissant, et dispose d'allures énergiques, particulièrement au trot.

La race est développée au début du XVIe siècle pour le travail dans les fermes et sa popularité est grande au début du XXe siècle. Cependant, la motorisation progressive de l'agriculture interrompt progressivement l'élevage, particulièrement dans les années 1950 et 1960 où elle disparaît presque totalement. Bien que le Suffolk Punch soit classé dans les races en danger critique d'extinction par le programme de sauvegarde des espèces du Royaume-Uni ainsi que l'American Livestock Breeds Conservancy, on observe un regain d'intérêt pour ce cheval dont la population est en train de s'accroître au début du XXIe siècle.

La race a connu un grand succès comme cheval de travail dans les fermes, utilisée pour la traction d'artilleries et de véhicules non-motorisés comme les tramways, elle a été exportée dans de nombreux autres pays depuis son Angleterre natale afin d'améliorer d'autres cheptels de chevaux de trait.

Étymologie et terminologie

Le Suffolk Punch était autrefois nommé Suffolk horse (« Cheval du Suffolk » en anglais) et Suffolk Sorrel (« Alezan du Suffolk »[1]). Le nom de la race est issu de sa région d'origine, le Suffolk, dans l'Est-Anglie. L'ajout de « Punch », qui désigne le dynamisme et l'efficacité ou désigne une personne trapue, semble être dû à son apparence dégageant puissance et force[2],[3]. Toutefois, d'autres origines sont évoquées, l'hippologue Eugène Gayot disant que « le surnom de punch, qui signifie tonneau, lui est venu de sa forme trapue et arrondie, d'autres disent de l'état de graisse habituel dans lequel s'entretenaient généralement ses produits sans avoir été pour cela poussés de nourriture. Le cheval de Suffolk, bien ensemble et bien roulé, était d'un petit entretien, s'engraissait d'une façon très-remarquable au point de prendre la forme d'un tonneau ; de là cette expression, actuelle parmi les fermiers, he is a very punch, quand ils voient un animal bien gras — bœuf, ou porc »[4].

Histoire

Traction hippomobile de voyageurs avec un Suffolk Punch.

La première mention connue de ce cheval remonte à l'ouvrage de William Camden, Britannia, publié en 1586[5], dans lequel il décrit un cheval de travail des comtés de l'Est de l'Angleterre, qui est facilement reconnu comme étant le Suffolk Punch. Cette description fait du Suffolk Punch la plus ancienne race de chevaux qui puisse être reconnue sous la même forme à l'époque moderne[6], et son registre d'élevage est aussi le plus ancien parmi les sociétés gérant des races anglaises[6]. Les animaux ont été développés dans le Norfolk et le Suffolk, dans l'Est de l'Angleterre, une région relativement isolée. Les agriculteurs locaux ont mit au point le Suffolk Punch pour les travaux agricoles, ils avaient en effet besoin d'un cheval doté de puissance, d'endurance, d'une bonne santé, d'une bonne longévité et de docilité, la création de la race Suffolk Punch étant une réponse à ces besoins. Les agriculteurs ont utilisé ces chevaux sur leurs propres terres et les ont rarement exportés, ce qui a contribué à préserver les grandes lignées de la race de tout croisement[7]. Certains spécialistes prétendent que cette race remonte au Moyen Âge et descend des chevaux de combat (Great Horses) utilisés par les chevaliers anglais. Dès le XIVe siècle, les fermiers autochtones du Suffolk et du Norfolk avaient besoin d'une race robuste, rustique, ardente, vive et docile pour travailler dans leurs champs à la terre lourde et argileuse[3].

Lignées fondatrices et croisements

L'étalon fondateur de la race Suffolk Punch moderne est un animal de 1,57 m au garrot, né près de Woodbridge en 1768, et appartenant à Thomas Crisp, à Ufford[5]. À cette époque, la race est connue sous le nom de Sorrel Suffolk horse (« cheval alezan du Suffolk[8] »). Cet étalon n'ayant jamais été nommé, il est simplement connu comme le « cheval de Crisp » (Crisp's horse)[1]. Bien qu'il soit communément (et à tort) admis que ce cheval ait été le premier représentant de la race, en réalité, dans les années 1760, la plupart des autres lignées mâles de la race ont disparu, entraînant une grande perte de diversité génétique. Une situation semblable s'est reproduite à la fin du XVIIIe siècle[6].

En 1784, la race est décrite comme « haute de 15 mains (1,52 m) de bonne taille, courte et compacte avec des jambes bien charpentées, souvent de couleur alezane claire, douce, docile, forte, et avec les épaules chargées de chair »[9]. Au cours de son développement, la race est influencée par le trotteur Norfolk, le Cob du Norfolk, et plus tard, le Pur Sang. La coloration uniforme découle en partie d'un petit étalon trotteur nommé Blakes Farmer, né en 1760[10], et qui serait l'ancêtre de tous les Suffolk Punch actuels[3]. D'autres races ont été croisées dans le but d'augmenter la taille et la stature du Suffolk Punch, ainsi que pour améliorer ses épaules, mais ont eu peu d'influence durable, la race étant restée telle qu'elle était connue avant ces croisements[1]. Le Suffolk Punch est alors très recherché dans les comtés de Norfolk et d'Essex. Un certain M. Wakefield, de Barnham, possédait un étalon dont on lui offrait 400 guinées et le duc de Richmond obtient d'excellents chevaux de voiture, beaux, actifs et forts, en croisant le Suffolk Punch avec l'un de ses meilleurs chevaux de chasse[11].

Des paris brutaux sont organisés, concernant la force de ces animaux, et plus d'un bon attelage est endommagé et ruiné[11]. L'amélioration des routes réduit la nécessité de posséder un cheval doté d'une grande force de traction, et porte préjudice à l'élevage du Suffolk Punch pour le transport. Il était un temps utilisé pour la traction des camions et les wagons, et l'on en voyait à Londres « de beaux attelages remarqués pour l'ampleur de leurs formes et le brillant de leur longue crinière ». Cependant, le goût prononcé pour les chevaux géants a prévalu et fait dominer le cheval noir pour cet usage[4].

Reconnaissance et exportations

La Suffolk Horse Society est formée en Grande-Bretagne en 1877 afin de promouvoir le Suffolk Punch[12], et ouvre le livre généalogique de la race en 1880[13]. Les premières exportations officielles des chevaux vers le Canada ont lieu en 1865[1]. En 1880, les premiers Suffolk Punchs sont importés aux États-Unis, et les importations s'accroissent en 1888 et en 1903 pour commencer l'élevage allogène du Suffolk Punch dans ce pays. L'American Horse Association Suffolk est fondée et publie son livre généalogique en 1907. En 1908, le Suffolk est également exporté hors de l'Angleterre, vers l'Espagne, la France, l'Allemagne, l'Autriche, la Russie, la Suède, et différentes régions d'Afrique, de Nouvelle-Zélande, d'Australie, d'Argentine et d'autres pays[13].

Au moment de la Première Guerre mondiale, le Punch Suffolk est devenu un cheval de travail populaire dans les grandes fermes de l'Est-Anglie en raison de son bon tempérament et de son excellente éthique de travail. Il reste populaire jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, quand la nécessité de produire des ressources alimentaires augmente pendant la guerre, ce qui entraîne l'envoi à l'abattoir de nombreux chevaux[14].

Après 1950

Présentation de chevaux Suffolk Punch en main.

L'augmentation de la motorisation agricole qui suit la guerre décime la population[14]. Seuls neuf poulains sont enregistrés par la Suffolk Horse Society en 1966, mais on observe un regain d'intérêt pour la race depuis la fin des années 1960, où les effectifs augmentent de façon continue[15]. La race reste très rare, et en 1998, on comptait seulement 80 juments poulinières en Grande-Bretagne, donnant naissance à environ 40 poulains par an[15]. Aux États-Unis, l'American Suffolk Horse Association est devenue inactive après la guerre et le reste pendant 15 ans, puis redémarre en mai 1961 alors que le marché du cheval de trait commence à se rouvrir[16]. Dans les années 1970 et au début des années 1980, le registre américain du Suffolk Punch permet à certains chevaux trait belges d'être croisés, seules les pouliches issues de ces croisements étant admises dans le registre de l'association américaine[17].

Depuis 2001, les chevaux issus de lignées américaines ne sont plus autorisés à l'enregistrement auprès de l'Association britannique, et la race est de facto considérée comme la plus rare de Grande-Bretagne[18]. Bien que la population du Suffolk Punch ait continué d'augmenter, le Rare Breeds Survival Trust du Royaume-Uni les considère leur statut comme critique, avec entre 800 et 1 200 spécimens aux Etats-Unis et environ 150 en Angleterre[19]. L'American Livestock Breeds Conservancy considère également la race comme étant en danger critique[20]. La Suffolk Horse Society a enregistré la naissance de 36 poulains de pure race en 2007, et 33 autres poulains en mars 2008[21].

Description de la race

Le Suffolk Punch mesure généralement de 1,65 m à 1,78 m[22], pour un poids de 900 à 1 000 kg[10]. Il peut peser jusqu'à 1 100 kg.

Robe

Article détaillé : Alezan.

Ce cheval présente la particularité de n'arborer que la couleur de robe alezane. L'orthographe traditionnelle du nom de la robe en anglais, toujours utilisée par la Suffolk Horse Society, est « chesnut », sans le « t » au milieu du mot, comme cela s'écrit généralement en anglais[1]. Les chevaux peuvent porter une robe dans différentes nuances de marron, allant du plus sombre (alezan brûlé) aux nuances rouges (alezan fauve), jusqu'à l'alezan clair[19], et le stud-book accepte sept nuances. Les éleveurs de chevaux Suffolk du Royaume-Uni utilisent plusieurs termes pour désigner les différentes couleurs spécifiques à la race, y compris les sombres alezans brulés[23]. Les marques blanches sont rares et généralement limitées à de petites zones sur la tête et le bas des membres[7]. L'auteur équestre Marguerite Henry décrit la race en disant que « Sa couleur est le châtain clair comme une langue de feu contre les sillons noirs des champs, contre les lames vertes des maïs, contre le blé jaune, contre les horizons bleus. Jamais il n'est d'une autre couleur[Note 1],[24].

Standard morphologique

Article connexe : Morphologie du cheval.

Le Suffolk Punch a tendance à être plus ramassé mais aussi plus massif que les autres races de trait lourd britannique, comme le Clydesdale ou le Shire, du fait que son élevage est spécifique aux travaux agricoles plutôt qu'au transport routier[25].

Gros plan sur la tête d'un Suffolk Punch.

Tête

La tête est large mais pas trop longue avec un nez assez fin. Les yeux sont écartés et très expressifs, ce qui lui donne une expression tranquille et intelligente.

Avant-main

L'encolure est puissante, arquée et épaisse, bien musclés et portée assez haut. Le poitrail et les épaules sont tombantes et imposantes[10]. La force immense du Suffolk Punch était jadis attribuée à la position abaissée des épaules, qui lui permettrait de déployer une grande énergie au collier[11].

Corps

Le corps est parfaitement courbé, cylindrique, dense et compact, la cage thoracique est profonde. Le dos est court et large[10],[3]. Son tour de sangle peut faire plus de 2 m, soit plus que l'énorme Shire.

Arrière-main

La croupe est large et musclée[10].

Membres

Les jambes sont courtes et fortes, avec des jointures larges. Les sabots sont bien formés, avec peu ou pas de fanons sur le boulet[10]. Ces membres courts et puissants lui donnent un trot aisé très particulier. Dans le passé, le Suffolk Punch a souvent été critiqué pour la pauvre qualité de ses pieds, ayant des sabots qui étaient jugés trop petits pour sa masse corporelle. Ce défaut a été corrigé par l'introduction d'une notation dans les grands Shows, la conformation du sabot et sa structure étant jugés. Cette pratique, unique parmi les races de chevaux, a abouti à une telle amélioration que le Suffolk Punch est désormais considéré comme ayant une excellente conformation du pied[22],[15].

Tempérament et entretien

Les allures du Suffolk Punch sont réputées énergiques, en particulier au trot. La race possède une croissance rapide et une maturité précoce, et dispose en outre d'une espérance de vie étonnamment longue. C'est une race rustique et économique, nécessitant moins de fourrage que les autres chevaux du même type et de la même taille[26]. Ce sont des travailleurs acharnés, réputés pour leur fermeté à la traction que l'on dit « prêts à tirer un chariot lourdement chargé jusqu'à ce [qu'ils] tombent »[27], selon Eugène Gayot, aucun cheval ne donne un coup de collier plus vigoureux et plus soutenu aux moments difficiles, un vrai punch du Suffolk tirera jusqu'à ce qu'il tombe ; à un signal donné et sans qu'il soit besoin d'employer le fouet, l'attelage plie les jarrets jusqu'à terre et tire quelque pesante voiture que ce soit[4]. Un ouvrage de zootechnie du milieu du XIXe siècle rappelle comme « c'était beau de voir un attelage de véritables Suffolks, à un signal du conducteur et sans être stimulé par le fouet, se traînant presque sur les genoux, vaincre tous les obstacles »[11].

Utilisation

Une paire de Suffolk Punch en démonstration de labour.

Le Suffolk Punch a été principalement utilisé pour le travail agricole (hersage, labour, etc.), mais aussi pour tirer les lourdes pièces d'artillerie en temps de guerre. Comme beaucoup d'autres chevaux lourds, ils étaient utilisés pour tirer les chariots avant la motorisation ainsi que divers et autres véhicules utilitaires. Désormais[8], ils sont utilisés pour l'exploitation forestière commerciale (débardage), divers travaux de traction, et des reconstitutions folkloriques[15].

Ils sont également utilisés en croisement, pour produire des chevaux demi-sang (warmblood) lourds aptes à l'utilisation en compétition d'équitation hunter et de saut d'obstacles[28].

Diffusion de l'élevage

Le Suffolk Punch a largement contribué à la création de la race danoise du Jutland. Oppenheimer LXII, un Suffolk Punch importé au Danemark dans les années 1860 par le célèbre marchand de chevaux Suffolk Oppenheimer de Hambourg, a été l'un des étalons fondateurs du Jutland. Oppenheimer était destiné à la vente et la promotion des chevaux Suffolk, afin de les importer au profit du registre d'élevage du Mecklembourg en Allemagne. L'étalon Oppenheimer a fondé la lignée la plus importante de la race du Jutland, à travers son descendant Oldrup Munkedal[29]. Des Suffolk ont également été exportés au Pakistan au cours du XXe siècle, afin d'être utilisés pour l'amélioration des races indigènes, ils ont été croisés avec des chevaux et des ânes du Pakistan pour créer une remonte à l'armée et des mules. Les chevaux Suffolk se sont bien adaptés au climat du Pakistan, en dépit de leur grande taille, et le programme d'élevage a été un succès[5]. Le Vladimir, une race de trait de l'ex-URSS, est lui aussi influencé par le Suffolk[30].

Culture populaire

Comme symbole du comté dans lequel la race a été fondée, l'Ipswich Town FC a intégré un Suffolk Punch sur une bonne part du fanion de l'équipe[31].

Notes et références

Notes et traductions

  1. Version originale : « His color is bright chestnut - like a tongue of fire against black field furrows, against green corn blades, against yellow wheat, against blue horizons. Never is he any other color. »

Références

  1. a, b, c, d et e Dohner 2001, p. 349–352
  2. Hendricks 1995, p. 405-406
  3. a, b, c et d Edwards 2006, p. 190
  4. a, b et c Moll et Gayot 1861, p. 591
  5. a, b et c Edwards 1994, p. 288
  6. a, b et c Ryder-Davies 1998, p. 18
  7. a et b (en) Suffolk, Oklahoma State University. Consulté le 19 décembre 2007
  8. a et b Hall 1989, p. 232-234
  9. Dohner 2001, p. 349
  10. a, b, c, d, e et f Bongianni 1988, p. Entrée 95
  11. a, b, c et d Youatt et Cluseret 1855, p. 242-243
  12. (en) The Suffolk Horse Society, Suffolk Horse Society. Consulté le 11 octobre 2008
  13. a et b Bailey 1908, p. 495-496
  14. a et b Ryder-Davies 1998, p. 18-19
  15. a, b, c et d Ryder-Davies 1998, p. 19
  16. (en) Online, American Horse Association Suffolk
  17. Dohner 2001, p. 351-52
  18. Dohner 2001, p. 352
  19. a et b (en) Foire aux questions sur le Suffolk Punch, American Horse Association Suffolk. Consulté le 31 aout 2008
  20. (en) Suffolk Horse, American Livestock Breeds Conservancy. Consulté le 1er juillet 2009
  21. News, Suffolk Horse Society. Consulté le 10 octobre 2008
  22. a et b Dohner 2001, p. 350
  23. (en) Stallion list, Suffolk Horse Society. Consulté le 11 janvier 2009
  24. (en) Suffolk Punch, International Museum of the Horse. Consulté le 19 décembre 2007
  25. Sponenberg 1996, p. 157
  26. Edwards 2002, p. 232
  27. Thirsk 1990, p. 46
  28. Hendricks 1995, p. 406
  29. Edwards 1994, p. 274
  30. Edwards et Geddes 1988, p. 113
  31. (en) The Badge Club, Ipswich Town Football Club, 16 mai 2007. Consulté le 5 mars 2010

Bibliographie

Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article : Ouvrage utilisé comme source pour la rédaction de cet article

  • (en) Philip Ryder-Davies, « The Suffolk », dans The Working Horse Manual, Tonbridge, Farming Press, 1998 (ISBN 0-85236-401-6) 
  • (en) Edward Hart, Suffolk Punch, Halsgrove Press, 2007 (ISBN 9781841146515) 

Ouvrages anciens

  • William Youatt et H. Cluseret, Le Cheval, Librarie de Deprez-Parent, 1852, 259 p. [lire en ligne] Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article 
  • Louis Moll et Eugène Nicolas Gayot, La connaissance générale du cheval: études de zootechnie pratique, avec un atlas de 160 pages et de 103 figures, Didot, 1861, 722 p. [lire en ligne] Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article 

Encyclopédies

Ouvrages de recherche

  • (en) Stephen J.G. Hall et Juliet Clutton-Brock, Two Hundred Years of British Livestock, Londres, British Museum (Natural History), 1989 (ISBN 0-56501077-8) Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article 
  • (en) D. Phillip Sponenberg, « The Proliferation of Horse Breeds », dans Horses Through Time, Boulder, CO, Roberts Rinehart Publishers (ISBN 1-57098-060-8) 
  • (en) Joan Thirsk, « Chapters from the Agrarian History of England and Wales: Agricultural Change: Policy and Practice, 1500–1750 », New York, Cambridge University Press, 1990 (ISBN 0-521-36882-0) [lire en ligne] 

Annexe

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