Sousse

Sousse
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35° 49′ 34″ N 10° 38′ 24″ E / 35.826, 10.64

Sousse
Armoiries de Sousse Drapeau de Sousse
Vue sur la médina et la ville européenne
Administration
Pays Drapeau de Tunisie Tunisie
Gouvernorat Sousse
Délégation(s) Sousse Jawhara
Sousse Médina
Sousse Riadh
Sousse Sidi Abdelhamid
Maire Hédi Ayache
Code postal 4000
Site web officiel Municipalité de Sousse
Démographie
Population 173 047 hab. (2004[1])
Gentilé Soussien
Géographie
Altitude 2 m.
Superficie 4 500 ha = 45 km2
Tunisian Republic location map.svg
Sousse
Sousse

Sousse (arabe : سوسة) est une ville portuaire de l'est de la Tunisie, située à 143 kilomètres au sud de Tunis, et ouverte sur le golfe d'Hammamet (mer Méditerranée).

« Capitale » du Sahel tunisien — elle est souvent surnommée la « perle du Sahel » pour ses longues plages, sa côte et ses stations balnéaires qui font d'elle la première ville touristique du pays[réf. nécessaire] — et chef-lieu du gouvernorat du même nom, la population de sa municipalité atteint 173 047 habitants en 2004[1] alors que son agglomération avoisine les 400 000 habitants, ce qui fait d'elle la troisième agglomération du pays après Tunis et Sfax. La médina de Sousse est inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1988.

Sommaire

Étymologie

Des noms semblables peuvent être trouvés en Libye et au sud du Maroc. Souss en marocain est synonyme de rief, ce qui désigne les nomades ou plus généralement les campagnards. Toutefois, le terme de Sousse est ici attribué à une ville à l'époque symbole de puissance et de sédentarité.

Géographie

Site

Géographie administrative

La municipalité de Sousse est divisée en quatre arrondissements municipaux[2] : Sousse Nord, Sousse Sud, Sousse Médina et Sousse Riadh. Les deux premiers sont créés le 11 février 1976 et les deux derniers le 19 février 1982.

Histoire

Si les peuples de la mer se sont sans doute fixés antérieurement dans la région de Sousse, c'est aux Phéniciens que l'on attribue le premier nom connu de la ville. Au XIe siècle av. J.‑C. apparaît le toponyme Hadrim qui désigne, selon M'hamed Hassine Fantar[3], un enclos ou un quartier d'habitation. Les vestiges archéologiques du site ne remontent cependant guère au-delà du VIe siècle av. J.‑C., période où Hadrim passe sous l'autorité de Carthage et vit avec elle les guerres puniques tout en maintenant une identité phénicienne comme l'attestent notamment les pratiques funéraires locales. Après avoir perdu la bataille de Zama, Hannibal Barca, qui a des propriétés dans les environs de Hadrim, fait effectuer des travaux civils à ses soldats et est à l'origine de la plantation de nombreux oliviers dans la région.

Hadrim se libère progressivement de la tutelle carthaginoise en établissant des relations économiques et diplomatiques directes avec Rome dont elle prend le parti durant la Troisième Guerre punique. Après la destruction de Carthage, les Hadrumétins deviennent, selon l'expression d'Appien, les « amis du peuple romain » et la ville, rebaptisée Hadrumète (Hadrumetum), devient une cité romaine privilégiée et libre. En 46 av. J.-C., elle perd une partie de ses privilèges et se trouve frappée d'une lourde amende lorsqu'elle choisit le camp des Pompéiens contre le victorieux Jules César.

À la fin du Ier siècle, Hadrumète est la première cité africaine à bénéficier du statut de colonie honoraire qui est attribué par l'empereur Trajan[4]. En reconnaissance, des monuments glorifiant le généreux empereur sont érigés : arc de triomphe, théâtre, amphithéâtre, thermes, etc. La prospérité de la ville culmine au IIIe siècle sous les règne de la dynastie des Sévères.

Le commerce de l'huile d'olive connaît un grand essor après que le fondateur de la dynastie instaure une distribution gratuite et quotidienne d'huile à Rome. La ville frappe même sa propre monnaie. Lorsqu'en 238, la ville soutient l'« usurpateur » Capellien, elle doit subir la répression du nouvel empereur Gordien II. Des monuments publics et des villas sont rasés et le port autrefois si actif perd de son importance. La cité retrouve une prospérité relative lorsqu'en 297 l'empereur Dioclétien fait de Hadrumète la capitale de la nouvelle province de Byzacène qui s'étend sur le centre du pays[4].

Tour du ribat de Sousse

Quand en 439 les Vandales chassent les Romains et détruisent l'enceinte de la ville, Hadrumète prend le nom de Hunéricopolis tiré du nom de Hunéric (fils du chef vandale Genséric)[5]. Elle végète pendant un siècle avant sa destruction par des pillards venus du sud du pays et ce peu avant l'arrivée des troupes byzantines. Le port, complètement ensablé, est remis en état par l'empereur byzantin Justinien dont la ville prend le nom en 535 (Justinianopolis)[5] et devient le chef-lieu de l'une des sept provinces du diocèse d'Afrique. La période byzantine dure environ 135 ans.

Le début de la période arabo-musulmane peut être fixé à 670, lorsqu'Oqba Ibn Nafi Al Fihri assiège la ville qui prend le nom de Sousse. Elle est d'abord une agglomération pourvue en 787 d'un ribat et habitée essentiellement par des ascètes chargés de la défense des côtes. Le vin, les jeux et la musique sont proscrits. Le nouvel essor de Sousse vient du second prince aghlabide Ziadet-Allah Ier qui dote la ville d'un chantier naval (821) d'où partent les navires à la conquête de la Sardaigne (821), de Malte, de la Sicile (827) ou de Rome (846). Au IXe siècle, la ville s'est ouverte et accueille des musulmans, des chrétiens et des juifs. Elle devient alors la seconde ville de l'Ifriqiya et la première du Sahel. Durant la période fatimide, la prospérité de Sousse ne souffre que modérément de la fondation de Mahdia. La ville, qui exporte ses étoffes en Orient et en Occident, est aussi une prospère cité oléicole. Jusqu'en 1159, Sousse subit les assauts puis l'occupation des Normands de Sicile qui la conquièrent en 1148[6]. Mais sa décadence, à partir du XIIe siècle, est surtout due à la promotion de Tunis comme capitale sous le règne des Hafsides, à l'appauvrissement de l'arrière-pays dont elle constitue le débouché maritime et, au XIIIe siècle, à la concurrence des textiles exportés depuis l'Europe, période durant laquelle des Génois s'installent à Sousse. La ville subit une courte occupation espagnole entre 1537 et 1574.

Pendant l'époque ottomane (1574-1881), la ville retrouve son importance. Sousse est alors, au XVIIe siècle, le deuxième port de commerce du pays. Aux brodeurs et tisserands s'ajoutent des artisans potiers qui exportent leur production dans tout le bassin méditerranéen. À la fin du XVIIIe siècle, la ville souffre des bombardements français (1770) et vénitiens (1784 et 1786). La ville s'enfonce dans le déclin après 1864 lorsqu'elle se range contre Sadok Bey dans une insurrection antifiscale. Elle passe, comme toute la Tunisie, sous le protectorat français à partir de 1881. La création d'un nouveau port (1884) lui redonne toutefois son rôle de débouché maritime des produits de la steppe. La municipalité de Sousse est instituée le 16 juillet 1884[7].

Architecture et urbanisme

Le flanc oriental de la médina est complété par un port agrandi à partir de 1899. Plus au nord s'étend la ville nouvelle construite sous le protectorat français et caractérisée par ses larges rues rectilignes et sa promenade dominant la mer où s'alignent les hôtels en direction de Port El-Kantaoui.

Médina

Article détaillé : Médina de Sousse.
Kasbah dominant les toits de la médina
Aperçu des remparts de la médina

La médina de Sousse, tout comme celle de Tunis, est classée au patrimoine mondial de l'Unesco (inscrite en 1988)[8]. L'un des éléments qui la distinguent est l'emplacement de la principale mosquée qui n'est pas au centre de la ville. Comme le ribat, elle était chargée de protéger le bassin artificiel de l'arsenal, ce qui explique son allure militaire.

Le ribat a vu le jour durant le règne de la dynastie des Aghlabides (821) mais, après l'édification des murs de la ville en 859[9], perdit peu à peu sa fonction militaire. Alors qu'à l'étage se trouve une petite mosquée, le sous-sol est aménagé en divers locaux et magasins alors que des traces d'une presse à olives subsistent. L'imposante entrée flanquée de deux piliers de style corinthien est conçue comme une double porte, ce qui permettait de bloquer l'accès à la forteresse. Quant à la kasbah, elle se situe dans la partie la plus haute de la médina et date de l'année 844[9]. En 853, un phare de 30 mètres de haut est baptisé du nom d'un eunuque du souverain aghladide Ziadet-Allah Ier (Khalaf El Fatâ). C'est dans ses murs qu'est logé le Musée archéologique de Sousse depuis 1951[10].

Remparts et portes

Les remparts, flanqués de tours carrées ou barlongues, se déploient tout autour de la médina. Les pierres sont posées en assises horizontales avec intercalation de joints et, à certains endroits, en opus africanum. Intégrant la kasbah du côté occidental, ils sont couronnés de merlons arrondis et percés par plusieurs entrées à arcs brisés et outrepassés, reposant sur des pieds-droits et inscrites dans un cadre rectangulaire paré de pierres ; un chemin de ronde en occupe la partie supérieure.

Les murs du côté de la porte de Bab El Bhar se caractérisent par la présence dans leur partie supérieure de deux séries d'arcades voûtées et superposées, ouvertes sur l'intérieur de la ville et se prolongeant sur une vingtaine de mètres.

Édifices religieux

Grande Mosquée

Article détaillé : Grande Mosquée de Sousse.
Aperçu de la Grande Mosquée

D'après l'inscription figurant sur la façade intérieure en style kufi, la Grande Mosquée aurait été bâtie autour de l'an 236 de l'hégire (soit entre 850 et 851)[11] par le souverain aghlabide 894 et 897 en direction du mur de la qibla. Le pavillon coiffé d'une coupole situé à l'angle nord du bâtiment et qui tient lieu de minaret est un ajout ultérieur, contrairement à l'opinion de Creswell, de la première moitié du Xe siècle. En effet, cette coupole est déjà mentionnée dans la biographie du juge soussien El Hassan Ben Nasr El Soussî mort en 952 :

« À la période du marché annuel, lorsque les Kairouanais venaient au ribat, il [le juge] avait l'habitude de s'asseoir sous la coupole (kouba) de la Grande Mosquée de Sousse à partir de laquelle on appelait à la prière et d'où on dominait les portes permettant l'accès à la mer. Lorsqu'il voyait un homme venir avec un jeune à ses côtés, il le laissait venir. Si le jeune était avec son père ou un autre parent, il le laissait passer. Quand il [le juge] suspectait [l'homosexualité], il l'arrêtait de disposer librement du garçon[12]. »

Mosquée Bu Ftata

Inscription sur la façade de la mosquée Bu Ftata

La plus ancienne mosquée de la ville se trouve à proximité de la porte sud, plus précisément à la lisière des souks. La mosquée Bu Ftata bâtie entre 838 et 841[13] porte la plus ancienne inscription sacrée de style kufi en Afrique du Nord sur la façade extérieure du bâtiment. Selon la tradition suivie par le souverain aghlabide Aboul Affan, cette petite mosquée mesure seulement huit mètres de côté et porte le nom de l'affranchi Bu Ftata.

Médersa El Zaqqaq

À proximité de la Grande Mosquée, dans la rue de Sicile où les quartiers résidentiels de la médina rencontrent les souks, se trouve la médersa El Zaqqaq qui est flanquée de sa propre mosquée surmontée d'un minaret de style turc. Selon la tradition locale, cette ancienne école porterait le nom de l'érudit marocain Ali ibn Kasim El Zaqqaq (mort en 1506 à Fès). Il est cependant probable que son nom provienne de celui d'un érudit local moins connu, Abou Jaafar Ahmed El Zaqqaq, qui vécut à la fin du IXe siècle. Les élèves étaient logés dans les petits bâtiments de l'école et y étudiaient le Coran, la grammaire et la rhétorique. À l'origine, il s'agissait sans doute d'une maison privée qui, sous le règne des Hafsides, fut transformée en école.

Synagogue Keter Torah

La synagogue Keter Torah, fondée par le rabbin Yossef Guez, grand rabbin de Tunisie de 1928 à 1934, est la seule synagogue de la ville, où l'importance de la communauté juive s'est considérablement réduite[14]. Cette communauté compte en 1946 3 530 membres, dont il ne reste plus que 36 en mai 2006[14].

Église Saint-Félix

Construite en 1919 par Mgr Leynaud, alors curé de Sousse, à la place d'une église devenue trop petite, elle est restaurée dans les années 1990[15] ; elle est victime d'une tentative d'incendie en 2011[16].

Elle sert aussi de lieux de culte protestant et évangélique[17].

Il exista aussi dans le passé l'église Notre Dame, la petite chapelle Saint Joseph et l'église de la Jeanne-d'Arc[18].

Démographie

Culture

Musées

Mosaïque du musée archéologique : Le triomphe de Neptune

Situé dans la kasbah, le musée archéologique, créé en 1951[19], possède la deuxième collection de mosaïques après celle du musée national du Bardo. À l'ouest de la ville, les catacombes forment un labyrinthe de 240 galeries souterraines se déployant sur cinq kilomètres et contenant 15 000 sépultures.

Le musée, comme les catacombes[20], sont l'objet de l'attention de la Société archéologique de Sousse depuis sa création en 1903[21].

Festivals et événements

La saison culturelle est marquée, chaque 24 juillet, veille de la fête de la République, par le carnaval d'Aoussou. Longeant la plage et remontant l'avenue Habib Bourguiba en direction de la médina, des chars symbolisant l'environnement, l'enseignement ou encore les communications défilent aux côtés de troupes folkloriques tunisiennes et étrangères.

Enseignement

La ville abrite l'Université de Sousse, anciennement connue comme l'Université du Centre, avec notamment sa faculté de médecine Ibn El Jazzar.

On note aussi la présence d'un certain nombre de lycées, tels que le Lycée pilote, le Lycée de garçons, le Lycée Tahar-Sfar (anciennement Lycée de jeunes filles), le Lycée 20 Mars, le Lycée Abdelaziz-El-Bahi ou le Lycée El Jawhra, et des collèges, tels que le Collège pilote de Sousse, le Collège Mohamed El Aroui ou le Collège Constantine.

Dialecte

Le dialecte soussien présente les caractéristiques du dialecte parlé dans l'ensemble du Sahel tunisien, le mot le plus caractéristique étant le pronom de la première personne du singulier eni. Cependant, il existe quelques spécificités locales, surtout au niveau de l'accent plus aigu, avec une accentuation de la prononciation du i. Quelques mots sont prononcés exclusivement par les Soussiens comme yahbenni, qui exprime la stupeur ou la surprise, le mot chichma qui signifie « robinet » alors que dans le reste du pays on utilise le mot sabéla, et le mot chlaka qui signifie « pantoufles » alors les autres tunisiens l'appellent chléka.

Politique

Le Conseil municipal se compose de quarante membres dont le président, un vice-président et 38 conseillers[22].

Économie

Vue de la corniche de Boujaafar

L'économie de Sousse repose principalement sur l'activité industrielle, ses usines fabriquant essentiellement du matériel de transport, des textiles et des produits agroalimentaires (en particulier des sardines en boîte et de l'huile d'olive). C'est à Sousse, à la fin du XIXe siècle, que les premières presses à vapeur destinées à la production d'huile d'olive, furent mises en œuvre en Tunisie.

Le marché agricole du Sahel (oliveraies) et le tourisme — notamment grâce à sa position centrale par rapport à de nombreux sites historiques ou balnéaires comme Port El-Kantaoui, Monastir, Hammamet, El Jem et Kairouan — représentent une autre part de l'économie locale. Pôle touristique, Sousse accueille un nombre important d'hôtels de plusieurs catégories.

Transports

La Société de transport du Sahel (STS) est la seule société offrant un service de transport en commun en bus. La ville de Sousse est reliée aux villes environnantes par un réseau de louages et de taxis qui ne cesse de se développer pour assurer la fluidité de la circulation des personnes.

La ville de Sousse est desservie par une ligne de chemin de fer régional, le Métro du Sahel, reliant Sousse à Monastir et Mahdia. La longueur totale de la ligne est de 97 kilomètres.

Sport

L'Étoile sportive du Sahel est l'association omnisports de référence de la région du Sahel. Fondée le 11 mai 1925[23] et basée à Sousse (actuellement à l'avenue Mohamed Karoui), elle comporte six sections de football, volley-ball, basket-ball, handball, judo et lutte. Son équipe de football est l'une des plus prestigieuses du championnat national et joue au stade olympique. Elle est finaliste de la Ligue des Champions de la CAF en 2004 et 2005 et vainqueur de cette même compétition en novembre 2007.

Il existe d'autres associations sportives de Sousse telles que le Stade soussien, une ancienne gloire du football national dans les années 1960, l'Athletic Club de Sousse ou encore la Patriote de Sousse (doyen des clubs tunisiens fondé par un juge de paix français, George Henri Cachelou, en 1903) sans oublier l'Association féminine du Sahel (ASFS) qui possède d'excellentes équipes de handball et de football féminins.

Jumelages

Sousse a développé des relations de coopération avec des villes de plusieurs continents via l'établissement de relations de jumelage[24] :

Notes et références

  1. a et b (fr) Recensement de 2004 (Institut national de la statistique)
  2. (fr) Arrondissements municipaux (Municipalité de Sousse)
  3. M'hamed Hassine Fantar, Carthage. Approche d'une civilisation, éd. Alif, Tunis, 1993
  4. a et b (fr) Abdelhamid Hénia (sous la dir. de), Être notable au Maghreb : dynamique des configurations notabiliaires, éd. Maisonneuve et Larose, Paris, 2006, p. 44
  5. a et b (en) Adrian Room, Placenames of the world: origins and meanings of the names for over 5 000 natural features, countries, capitals, territories, cities, and historic sites, éd. McFarland, Jefferson, 2003, p. 338
  6. (fr) Unité mixte de recherche 5648 « Histoire et archéologie des mondes chrétiens et musulmans médiévaux », Pays d'islam et monde latin. Xe-XIIIe siècle. Textes et documents, éd. Presses universitaires de Lyon, Lyon, 2000, p. 293
  7. (fr) Date de création de la municipalité (Municipalité de Sousse)
  8. (fr) Médina de Sousse (Unesco)
  9. a et b L'Afrique littéraire et artistique, n°11-20, éd. Société africaine d'édition, Dakar, 1972, p. 89
  10. (fr) Caroline Gaultier-Kurhan, Le patrimoine culturel africain, éd. Maisonneuve et Larose, Paris, 2001, p. 152
  11. Pierre Devambez, Histoire de l'art, vol. I, éd. Gallimard, Paris, 1961, p. 954
  12. Heinz Halm, Nachrichten, 141
  13. Georges Marçais, L'architecture : Tunisie, Algérie, Maroc, Espagne, Sicile, vol. I, éd. Picard, Paris, 1927, p. 24
  14. a et b (fr) Communautés juives tunisiennes (Association El Ghriba de Jérusalem)
  15. (fr) Épiscopat de Mgr Fouad Twal (Archevêché de Tunis)
  16. (fr) « Sousse : arrestation de l'incendiaire de l'Église catholique et de l'école des Sœurs », Tunis Afrique Presse, 13 juillet 2011
  17. (en) Blog The Sousse Church du pasteur Mike Farho de Sousse
  18. (fr) Communauté catholique à Sousse (Sousse 1881-1956)
  19. (fr) Musée archéologique de Sousse (Portail de l'Institut national du patrimoine)
  20. (fr) « Extraits des procès-verbaux des réunions. Séance générale du 17 novembre 1904 », Bulletin de la Société archéologique de Sousse, n°1, 1904, p. 207
  21. (fr) « Statuts », Bulletin de la Société archéologique de Sousse, n°1, 1903, pp. 3-7
  22. (fr) Conseil municipal (Municipalité de Sousse)
  23. (fr) Historique : les débuts fondateurs (Étoile sportive du Sahel)
  24. (fr) Coopération internationale (Municipalité de Sousse)

Bibliographie

  • Ameur Baâziz, Si Soussa m'était contée, éd. Ameur Baâziz, Tunis, 2005
  • Ahmed El Bahi, Sousse et le Sahel à l'époque médiévale, éd. Centre de publication universitaire, Tunis, 2004
  • Néji Djelloul, Sousse, l'antique Hadrumetum, éd. Contraste, Sousse, 2006
  • Anouar El Fani, Sousse, mémoire de médina, éd. Sagittaire Éditions, Tunis, 2007
  • Louis Foucher, Hadrumetum, éd. PUF, Paris, 1964
  • Kamel Jerfel, Les communautés européennes au temps de la colonisation française : la ville de Sousse. 1881-1939, éd. Faculté des lettres et des sciences humaines de Sousse, Sousse, 2001
  • Alexandre Lézine, Sousse, les monuments musulmans, éd. Cérès Productions, Tunis, 1968
  • Collectif, À la recherche de Sousse d'antan, éd. Société archéologique de Sousse, Sousse, 1984

Liens externes

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