Sainte-Luce-sur-Loire

Sainte-Luce-sur-Loire
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47° 15′ 01″ N 1° 29′ 08″ W / 47.2502777778, -1.48555555556

Sainte-Luce-sur-Loire
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Canton Carquefou
Code commune 44172
Code postal 44980
Maire
Mandat en cours
Bernard Aunette (PS)
2008-2014
Intercommunalité Nantes Métropole
Site web www.sainte-luce-loire.com
Démographie
Population 12 098 hab. (2009)
Densité 1 057 hab./km²
Gentilé Lucéen
Géographie
Coordonnées 47° 15′ 01″ Nord
       1° 29′ 08″ Ouest
/ 47.2502777778, -1.48555555556
Altitudes mini. 2 m — maxi. 36 m
Superficie 11,45 km2

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Situation de la commune de Sainte-Luce-sur-Loire dans le département de Loire-Atlantique

Sainte-Luce-sur-Loire est une commune française, située dans le département de la Loire-Atlantique et la région Pays de la Loire.

Sommaire

Géographie

Sainte-Luce-sur-Loire est située sur la rive nord de la Loire, immédiatement à l'est de Nantes. Le centre-ville de Sainte-Luce se trouve à 7 km de celui de Nantes.

Les communes limitrophes sont :

Les limites de la communes sont :

  • Le ruisseau du Seil à l'ouest avec Nantes,
  • La route départementale 723 au nord avec Carquefou,
  • La Loire au sud avec Saint-Julien-de-Concelles et Basse-Goulaine,
  • Le ruisseau de Guette-Loup à l'est avec Thouaré-sur-Loire.

Selon le classement établi par l’INSEE, Sainte-Luce-sur-Loire est une commune urbaine, une des 19 communes de banlieue de l’unité urbaine de Nantes ; elle fait donc partie de l’aire urbaine de Nantes et de l’espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Communes de Loire-Atlantique).

L’accès à Sainte-Luce est particulièrement aisé : par le périphérique de l’agglomération nantaise (porte de Carquefou, porte de Sainte-Luce, porte d’Anjou), par l'ancienne Route nationale 23 devenue route départementale 723 (ou route de Paris) ou par l’autoroute A 811 (sortie Sainte-Luce).

Histoire

L’histoire de Sainte-Luce est liée aux traditions des maraîchers, des sabliers et des pêcheurs de Loire, dont on retrouve la mémoire le long du fleuve, sur la promenade de Bellevue, autrefois village de pêcheurs.

Partie ancienne de l’Hôtel de Ville, le Château de Chassay était à l’origine la résidence de campagne des évêques de Nantes. Il fut construit semble-t-il (dès le VIe siècle par saint Félix Ier, selon certaines sources) à l'emplacement d'une ancienne villa romaine baptisée Cariacum, située sur le tracé de la plus ancienne voie romaine de la région (déjà mentionné au IIIe siècle) et qui menait à Nantes via Doulon, village lui aussi habité dès l'époque gallo-romaine.
En 1076, l’évêque de Nantes, Guérech II de Cornouaille (ou Quiriac), donna à son frère Benoît, abbé de la puissante abbaye Sainte-Croix de Quimperlé, une de ses métairies à Chasseil. Selon les archivistes Léon Maître et Paul de Berthou, à l'époque, ce toponyme et ses variantes (« Chefsail », « Chesail », « Chessail » ou encore « Chefseil ») désigne la source du Seil, ruisseau qui coule à l’ouest de la commune. Deux siècles auparavant, il était fait mention des termes : « Chassiacum » ou, selon les rédacteurs, « Chezal », « Chassalineum » ou « Chassaliacum ».
Au cours du XVe siècle, le territoire paroissial, dans son ensemble, fut désigné par le nom de Sainte-Luce, patronne de l'église qui était alors construite au milieu de l'ancien cimetière[1] se trouvant à l'entrée ouest du bourg (l'existence de l'ancien presbytère attenant à ce dernier, au 3 rue du Président Coty, baptisé « Maison Auvigné » et datant de 1450, en atteste la présence).
Henri IV y séjourna le 13 avril 1598, à l’invitation de l’évêque Philippe du Bec, avant d’entrer à Nantes pour y signer son célèbre édit.

Emblèmes

Héraldique

Blason Blasonnement
D'azur à une clef d'or et une épée d'argent garnie aussi d'or, passées en sautoir, et à la bordure d'hermine.
Commentaires : Le centre du blason représente l'écu du Chapitre épiscopal de Nantes : d'azur à une clef d'or et une épée d'argent, la garde et la poignée d'or passée en sautoir. En effet, la majeure partie du territoire de l'ancienne paroisse de Sainte-Luce appartenait à la juridiction de l'évêché de Nantes. L'idée d'utiliser cet écu est venue de la découverte d'une pierre de bornage par un maraîcher de La Haye. Cette pierre armoriée portait à son avers l'écu du chapitre épiscopal, et servait à matérialiser les limites des juridictions. La bordure d'hermine évoque le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance de la ville au duché de Bretagne sous l'Ancien Régime. (Les quatorze épis d'or symbolisent les quatorze anciennes maisons nobles de Sainte Luce : La Thébaudière, La Chaussée, La Haie, Le Patis-Mandin, La Poitevinière, Belle-Rivière, Le Grand-Plessis, La Guyonnière, Le Perrier, La Mignonnerie, Le Linot, Le Chassay, La Gabillaudière (Nobilière), La Saminière[réf. nécessaire]. Blason conçu par M. Trelhouet et l'héraldiste Michel Pressensé (délibération municipale du 28 avril 1976).

Devise

La devise de Sainte-Luce-sur-Loire : Nutrisco Et Non Extinguor. Je nourris et ne m'éteins pas. La devise est celle de la famille de Fremond de La Merveillère. Bernard de Fremond de La Merveillère, dont la famille possédait le manoir de Chassay jusqu'en 1956, autorisa la ville à prendre usage de la devise de sa famille. La devise est inscrite en bandeau sous le blason.

Administration

L'hôtel de ville de Sainte-Luce-sur-Loire
Liste des maires successifs depuis 1945[2]
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1958 Louis Gaudin    
1958 1959 Pierre Renoux   Premier adjoint, assure l'intérim
1959 1983 Félix Tessier    
1983 2007 Pierre Brasselet Divers droite Conseiller général (canton de Carquefou) de 1985 à 2004
2007 en cours Bernard Aunette PS Conseiller général (canton de Carquefou)
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique

En 2009, Sainte-Luce-sur-Loire comptait 12 098 habitants (soit une augmentation de 5.2 % par rapport à 1999). La commune occupait le 788e rang au niveau national, alors qu'elle était au 783e en 1999, et le 17e au niveau départemental sur 221 communes.

Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1e janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006[N 1].

Évolution démographique
Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 890 908 909 981 957 985 1 027 1 024 939[4]
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 1 045 1 087 1 110 1 045 1 119 1 133 1 122 1 133 1 144
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 1 148 1 193 1 112 1 105 1 116 1 220 1 278 1 417 1 961
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2009
Population 2 929 3 420 5 939 8 399 9 648 11 263 11 776[5] 11 696[6] 12 098
Notes, sources, ... Sources : pour le recensement de 1836, archives départementales de la Loire-Atlantique[4], base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusque 1962[7], et à partir de 1968 : Insee (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[8],[5],[6].
Histogramme

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19,1 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,9 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,7 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 48,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 19,6 %, 15 à 29 ans = 18,6 %, 30 à 44 ans = 19,1 %, 45 à 59 ans = 25,3 %, plus de 60 ans = 17,3 %) ;
  • 51,7 % de femmes (0 à 14 ans = 17,3 %, 15 à 29 ans = 17 %, 30 à 44 ans = 18,9 %, 45 à 59 ans = 26 %, plus de 60 ans = 20,8 %).
Pyramide des âges à Sainte-Luce-sur-Loire en 2007 en pourcentage[8]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,2 
90  ans ou +
0,7 
4,2 
75 à 89 ans
6,5 
12,9 
60 à 74 ans
13,6 
25,3 
45 à 59 ans
26,0 
19,1 
30 à 44 ans
18,9 
18,6 
15 à 29 ans
17,0 
19,6 
0 à 14 ans
17,3 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2007 en pourcentage[9]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,3 
90  ans ou +
1,0 
5,3 
75 à 89 ans
8,7 
11,4 
60 à 74 ans
12,8 
20,3 
45 à 59 ans
19,8 
21,6 
30 à 44 ans
20,4 
20,6 
15 à 29 ans
18,8 
20,5 
0 à 14 ans
18,3 

Equipements

Ste Luce ne possède pas de monuments, mais un certain nombre d'équipements. Parmi eux :

  • La médiathèque-ludothèque René Goscinny ouverte depuis mai 2006 face à la mairie,
  • Le petit "zénith lucéen" Ligéria,
  • L'école de musique Sinfonia,
  • Ainsi que de nombreux complexes sportifs (Philippe Porcher, Marc Jaffret, Marcel Le Bonniec, Eric Tabarly. et un stade municipal).

Les jeunes de la commune peuvent également se réunir au Patio, lieu d'activités et où des sorties sont organisées.

Personnalités liées à la commune

  • Alain Coelier, tout comme le célèbre rôdeur Jean Grenouille, figures du grand banditisme, sont originaires de la commune.
  • Mgr Joseph Rabine (1922-1988), ancien archevêque d'Albi, est né à Sainte-Luce.

Tourisme

Patrimoine civil

Aujourd’hui le bâti ancien, peu présent, est disséminé sur le territoire de la commune, fréquemment sous forme de maisons nobles et de fermes, soit dans les sites naturels, soit parmi les lotissements pavillonnaires récents des villages ou du secteur urbanisé de l’ouest. On compte quatorze anciennes maisons nobles réparties sur Sainte-Luce-sur-Loire :

  • La Haie - route de la Haie ;
  • La Noblière - rue de la Mazure et rue de la Nobilière ;
  • La Mignonnerie - rue de la Loire et chemin du Perrier ;
  • La Thébaudière ;
  • Le Linot - allée Claire Fontaine ;
  • Le château de Chassay - partie ancienne de l’Hôtel de ville ;
  • Le Perrier, Perier ou Poirier - rue de la Sèvre,

chemin du Perrier et rue de l’Erdre ;

  • La Gironnière - chemin des Rouaudières ;
  • La Poitevinière - rue de la Poitevinière ;
  • Le manoir du Grand Plessis (Plessis ou Lombarderie) - route des Sables ;
  • Le Pasty ou Patis-Mandin (aucun vestige ne subsiste) ;
  • La Chaussée (aucun vestige ne subsiste) ;
  • Belle-Rivière - terrain du camping, chemin du halage ;
  • La Saminière ou l’Angle (il ne reste que des pans de mur).

Cependant, le château de Chassay et les maisons nobles ne constituent pas les seules traces du passé de la ville. En effet, elle conserve un patrimoine architectural qui témoigne de l’histoire de Sainte-Luce-sur-Loire.
À découvrir aussi : le Manoir de Bellevue (en bord de Loire), les chapelles domestiques (peu de vestiges subsistent), la Maison Auvigne (ancien presbytère - rue du Président Coty), la maison de la Massonnerie (abrite le presbytère - rue du Président Coty), l’église et les calvaires (calvaires de la Grille - rue Jules Verne, du bas du bourg - rue du Président Coty, de la Bournière, de la Mignonnerie et des Trois Chênes ».

Animations

Les Feux de l’été

De 1998 à 2007, chaque dernier samedi de juin, plusieurs milliers de spectateurs se réunissaient devant le château de Chassay pour assister au conte pyrotechnique de la société Féerie. Les thèmes s'inspirent de l'histoire et de la mythologie :

  • Henri IV en 1998 était la première expérience de Féerie à Ste Luce ;
  • Jules Verne en 1999 racontait les plus belles œuvres de Jules Verne, sous formes de « nouvelles pyrotechniques » ;
  • Merlin en 2000 était le premier « conte de fée » réalisé par Féerie ;
  • Christophe Colomb en 2001 ;
  • La Belle au bois dormant en 2003 ;
  • Esméralda en 2004 ;
  • Le Tour du monde en 80 jours en 2005 marquait l'arrivée de nouvelles technologies ;
  • Roméo et Juliette en 2006 ;
  • Terra Nostra en 2007, qui raconta sous forme d'un spectacle pyrotechnique l'odyssée de la Terre, de sa création à aujourd'hui, sur fond de message écologiste et humaniste.

Les Guinguettes de la Saint-Jean

En 2008, la ville de Ste Luce n'a pas souhaité reconduire les feux de l'été, pour miser sur une autre forme d'animation.

Le 28 juin 2008, les lucéens avaient donc rendez-vous au bord de la Loire, au coeur de l'ancien village de pêcheurs de Bellevue. Au programme, dégustation de sardines grillées et autres mets locaux, le tout animé par trois scènes et pistes de danse, réparties le long des bords de Loire.

Le 27 juin 2009 a eu lieu la deuxième édition. Plus de 10 000 personnes se sont réunies[réf. nécessaire] à Bellevue où étaient réinstallées les 3 pistes de danse.

Marché aux puces

Les puces lucéennes ont lieu deux fois par an, le deuxième dimanche de juin et le 1er dimanche de septembre sur les bords de la Loire.

Les courses cyclistes

2 courses cyclistes :

  • Mars : Le Grand Prix de la Ville
  • Avril : Les Boucles de la Loire

Jumelage

La ville est jumelée avec:

Voir aussi

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Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Par convention, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de 5 ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements que les populations correspondant aux années 2006, 2011, 2016, etc ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee. Dans le graphique sont par contre représentés l’ensemble des populations légales connues.

Références

  1. Il ne faut pas le confondre avec le nouveau cimetière inauguré en 1935 et se trouvant en face, de l'autre côté de la rue.
  2. a et b Les maires de Sainte-Luce sur Mairie de Sainte-Luce. Consulté le 4 février 2011
  3. Eudes de Fremond de La Merveillère sur roglo.eu. Consulté le 22 octobre 2011
  4. a et b Sainte-Luce 1836 sur Archinoë portail d'indexation collaborative. Consulté le 28 avril 2011
  5. a et b Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur insee.fr. Consulté le 27 juillet 2010
  6. a et b Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur insee.fr. Consulté le 28 avril 2011
  7. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 27 juillet 2010
  8. a et b Évolution et structure de la population sur insee.fr. Consulté le 27 juillet 2010
  9. Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique en 2007 sur insee.fr. Consulté le 28 avril 2011

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Sainte-Luce-sur-Loire de Wikipédia en français (auteurs)

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